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La médication pour le cholestérol fonctionne

Il appert que les nouveaux médicaments qui contrôlent le taux de cholestérol dans le sang fonctionnent bien, selon les statistiques récentes.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux de plusieurs patients (près de 38 000) et, en faisant une moyenne, ont calculé les variations enregistrées entre 1988 et 2010.

Les résultats sont clairs et encourageants : les niveaux de mauvais cholestérol sont en baisse, du moins aux États-Unis. On peut déduire qu’il s’agit de statistiques similaires au Canada, puisque les traitements sont sensiblement les mêmes.

Ainsi, la moyenne des taux de cholestérol a chuté de dix points, passant de 206 à 196. Plus précisément, la moyenne du taux LDL (mauvais cholestérol) est passée de 129 à 116.

Ces chiffres permettent aux chercheurs d’affirmer, selon les conclusions rapportées par www.nlm.nih.gov, que la médication moderne prescrite aux gens qui ont des problèmes de ce type fonctionne, et bien.

Étonnamment, on suggère aussi que de diminuer sa consommation de cigarettes par jour peut contribuer à améliorer son taux de cholestérol dans le sang. Éliminer les gras trans et autres aliments nocifs peut également jouer un rôle déterminant.

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L’alcoolisme plus mortel que le tabagisme

De nouvelles recherches suggèrent que l’alcoolisme est plus ravageur que le tabagisme quant à l’espérance de vie, entre autres.

Ces résultats, rapportés par www.nlm.nih.gov, tendent à démontrer que la durée de vie serait raccourcie de plus d’années chez un alcoolique que chez un fumeur. On affirme aussi que cette statistique s’applique d’autant plus chez les femmes aux prises avec un problème d’alcool.

Voilà qui a de quoi surprendre, puisque la cigarette est devenue l’ennemi public numéro un en matière de santé au fil des dernières années.

Les chercheurs allemands à l’origine de ces recherches sont convaincus de ce qu’ils avancent : le taux de mortalité est 4,6 fois plus élevé chez les femmes alcooliques, et 1,9 fois plus chez les hommes, en comparaison avec le reste de la population dite « générale ».

Il s’agit d’une super-étude, puisque des données concernant plus de 4000 individus ont été compilées pour arriver à ces résultats.

Le directeur de l’Institute of Epidemiology and Social Medicine de l’University Medicine Greifswald urge les gens qui ont des problèmes d’alcool à consulter le plus rapidement possible afin d’obtenir de l’aide.

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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.

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Les effets de ne pas déjeuner sur le cerveau

Lorsqu’une personne est aux prises avec des problèmes de poids, il est facile pour elle de décider de ne plus manger du tout, ce qui est une très mauvaise idée.

C’est particulièrement vrai en ce qui a trait au petit déjeuner, selon ce qu’affirme une étude rapportée par Santelog.com.

Sauter le déjeuner aurait un impact puissant sur le bon fonctionnement du cerveau, expliquent les chercheurs qui dirigent l’étude.

Cette dernière, effectuée à l’Imperial College London et présentée devant la Society for Neuroscience lors de l’événement Neuroscience 2012, suggère que de ne pas déjeuner peut mener à de sérieux dérèglements de l’organisme.

De plus, on serait plus enclins à craquer pour de mauvais aliments, les gras surtout, plus tard dans la journée.

L’étude a été effectuée sur 22 personnes, 17 hommes et 5 femmes d’environ 24 ans. On numérisait les réponses cérébrales lors de différentes situations, soit avec un petit déjeuner ou sans. L’exercice a été répété à plusieurs reprises.

Les chercheurs concluent qu’une personne qui ne déjeune pas va consommer en moyenne 20 % de calories de trop quotidiennement, en plus de choisir les mauvais aliments.

Il serait donc plus facile, pour les gens qui se soucient de leur poids, de surveiller leur silhouette en déjeunant simplement.

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Le manque d’oméga-3 lié à la dépression chez les femmes âgées

Plusieurs études récentes suggéraient un lien entre les symptômes de dépression et le manque d’oméga-3 dans l’organisme.

Cette fois, des chercheurs italiens ont décidé de pousser cette question plus loin, en ciblant le phénomène chez les femmes plus âgées.

46 femmes âgées de 66 à 95 ans avec un diagnostic de dépression ont donc fait partie des patientes dans cette étude. On a par la suite séparé le groupe en deux, l’un recevant un complément alimentaire d’oméga-3, et l’autre, un placebo.

Les résultats, rapportés par Lanutrition.fr, sont plutôt clairs. Les chercheurs concluent qu’un taux plus élevé d’EPA dans le sang permet d’amoindrir les symptômes de la dépression. Des changements d’humeur positifs ont également été notés chez ces personnes d’âge mûr.

Il faut cependant prendre note que les spécialistes italiens croient qu’il faut également regarder du côté des taux d’acides gras oméga-6, qui joueraient un rôle important dans le processus.

En clair, plus le taux d’oméga-3 est élevé, combiné à un taux d’oméga-6 faible, plus les symptômes liés à la dépression sont faibles.

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Bonds de géant pour l’espérance de vie de l’homme moderne

Les gens qui vivent dans les pays développés à notre époque ont plus de chance de vivre vieux que ceux de n’importe quelle autre société ou époque avant eux.

C’est ce qu’affirme une étude rapportée par www.nlm.nih.gov, qui explique que l’espérance de vie a connu des bonds prodigieux au fil des dernières générations. De fait, l’homme moderne peut espérer profiter de plus du double d’années que ses ancêtres.

Les spécialistes se disent surpris de constater à quel point le plus gros de ce progrès s’est effectué de façon contemporaine, depuis quelques générations seulement.

« Je ne peux toujours pas croire à quel point ce progrès est récent », déclare Oskar Burger, auteur principal de l’étude, et docteur à l’Institute for Demographic Research de Rostock, en Allemagne.

Il ajoute : « Il semble de plus en plus évident qu’il n’existe pas de mort prédéterminée chez l’homme, puisque celui-ci est en mutation génétique à mesure qu’il progresse et vieillit ».

Le plus gros du progrès en matière d’espérance de vie serait survenu au tournant du 20e siècle. Les raisons évoquées par les chercheurs sont, entre autres, l’eau potable et la nourriture de meilleure qualité, de meilleures maisons et une médecine en constante évolution.

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Rester assis : un ennemi potentiellement mortel

On le sait, demeurer assis n’est pas la meilleure solution pour se donner un corps en santé. Cependant, plusieurs personnes travaillent dans cette position, et ce, durant de longues heures.

Une nouvelle étude vient démontrer les conséquences d’être assis trop longtemps quotidiennement et saura sans doute convaincre certaines personnes de commencer à bouger plus pour contrer le phénomène.

Cette étude, conduite par l’Université de Leicester, regroupe 18 autres études précédentes sur le sujet. Au total, c’est donc près de 800 000 personnes qui se retrouvent comme sujets dans cette recherche exhaustive, qualifiée de « méta-analyse », selon ce que rapporte Santelog.com.

Les conclusions ont de quoi donner un choc. On parle d’un facteur de risque doublé, donc deux fois plus de chances de développer des problèmes cardiaques ou du diabète pour ceux qui restent assis la majeure partie du temps.

On va même jusqu’à qualifier ce type de sédentarité de « cause indirecte de mortalité ».

La conclusion logique pour les gens inquiets et à risque est de simplement se lever plus souvent et d’inclure à son mode de vie quotidien des exercices physiques.

Aller simplement marcher, chaque jour, peut s’avérer bénéfique.

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L’hypersexualité démystifiée

Une panoplie de chercheurs de toutes spécialités ont joint leurs forces afin de boucler une étude qui démystifierait une fois pour toutes le concept vague connu sous le nom d’« hypersexualité ».

L’étude s’est effectuée sur 207 patients âgés de 18 ans ou plus qui avaient recours à des soins en santé mentale, rapporte Santelog.com. Du nombre, 152 avaient consulté pour des problèmes de sexualité trop présente dans leur vie.

L’équipe de chercheurs, composée de psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux (et autres thérapeutes), a alors tenté de s’entendre sur les notions de symptômes et de diagnostics dans le cas de l’hypersexualisation.

Les résultats de ce système de « jury » démontrent que ce n’est pas tous les patients qui étaient en problème réel. Du lot, 32 patients ont été gardés en observation, et seulement 29 (sur 207 au début) ont officiellement reçu un diagnostic de trouble d’hypersexualité.

Les symptômes « officiels » qui découlent de l’étude sont donc : fantasmes récurrents et intenses, violents, accompagnés de pulsions qui prennent trop de place dans la vie quotidienne, au point de nuire au développement social. Réagir au stress par des comportements sexuels est aussi du nombre.

Aussi, si une personne tente de maitriser ses pulsions et problèmes et qu’elle en est incapable, ou qu’elle a des comportements sexuels extrêmes sans aucune notion de danger ou de préjudice physique, elle est touchée.

Au final, les chercheurs préfèrent parler de « trouble de la personnalité » plutôt que de dépendance.

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La vérité sur les médicaments

Les médicaments, s’ils sont une source de soulagement, de guérison et d’espoir, mais ils sont aussi source d’inquiétudes et de nombreux questionnements.

Topsanté s’est penché sur la question et rapporte que plusieurs médicaments sont rappelés annuellement pour cause d’effets secondaires, très graves dans certains cas, moins dans d’autres.

Si ce genre de situation est fréquent, cela ne signifie pas pour autant que les vérifications ne sont pas rigoureuses. Malheureusement, des cas de compagnies pharmaceutiques qui trichent lors des tests et examens de normes, ça arrive.

Inquiétant, il faut en convenir. De plus, les médecins semblent de plus en plus enclins à prescrire des médicaments, parfois plus d’un par patient, pour à peu près tous les symptômes présentés. Qu’elles soient utiles ou superflues, ces prescriptions à la chaîne ont de quoi laisser le public songeur.

On suggère d’éviter de changer constamment de médication et de se questionner sur le besoin réel de celle-ci. Si l’on veut poursuivre un traitement, pourquoi changer de type de médicament si le précédent fonctionnait bien et, surtout, sans effets secondaires?

Les gens ont souvent envie d’essayer le produit le plus récent sur le marché. Un comportement à éviter, tout comme voir les médicaments comme des solutions faciles, sans conséquence.

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Le Botox prometteur pour contrer les douleurs au cou

Longtemps utilisé pour contrer les effets du vieillissement comme les rides, le controversé Botox pourrait se trouver une nouvelle utilité. C’est ce que proposent des chercheurs, dans une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

En effet, il semble que les personnes qui souffrent de douleurs chroniques au cou et aux épaules pourraient obtenir soulagement et espoir de la part du Botox.

Ce genre de douleur, aux dires du Dr Robert Suarte, qui dirige le Pain Center of Cushing Neuroscience Institute dans l’État de New York, en est un commun et persistant, qui peut causer de sérieux problèmes chez le patient.

De plus, ces symptômes sont souvent accompagnés de maux de tête, ce qui ajoute à l’inconfort ressenti par les victimes de douleurs chroniques.

Dans l’étude, 118 patients aux prises avec ces maux (depuis plus de deux mois minimum) ont reçu du Botox ou un placebo. Ceux qui ont reçu le « médicament » ont démontré des signes encourageants de rémission, ou à tout le moins des douleurs moins sévères que ceux qui ont reçu le placebo.

Les patients « botoxés » ont également vu le nombre de migraines diminuer, augmentant ainsi de beaucoup leur qualité de vie.