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Les effets bénéfiques d’un lien parental fort sur le comportement

Si vous tenez à ce que votre progéniture soit sujette au bonheur, tout en assurant son efficacité sociale, il serait important de prendre le temps de bien créer des liens lors de la jeune enfance, selon une étude rapportée par medicalnewstoday.

En effet, il semble que les jeunes enfants qui ont la chance d’avoir un lien fort et intime avec leurs parents sont moins enclins à être confus, anxieux, troublés ou agressifs en vieillissant.

Les chercheurs de l’étude conduite en Iowa affirment également qu’il est plus bénéfique pour un enfant d’avoir un tel lien avec un seul de ses deux parents, ce qui a de quoi surprendre.

Voilà qui ajoute au débat musclé qui fait rage concernant le rôle du parent sur le développement à long terme d’un enfant en bas âge.

Les auteurs de l’étude, Dr Sanghag Kim en tête, expliquent : « Il y a une période fort importante dans laquelle la mère (ou le père) doit former une relation forte avec l’enfant, et elle se situe dans les deux premières années de sa vie. Cette période semble critique pour son développement social et émotionnel futur ».

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Une étude suggère aux ophtalmologistes d’être plus vigilants envers les aînés

Les spécialistes des yeux devraient-ils être plus vigilants envers les aînés, afin de détecter les situations potentiellement dangereuses au volant?

C’est ce que suggère une étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui presse les ophtalmologistes et autres experts à bien questionner leurs patients concernant leurs habiletés à prendre le volant.

Plusieurs accidents sont causés par des gens plus âgés, parfois sans mauvaise volonté, qui tardent trop à accepter de ne plus conduire. Très souvent, le problème en est un de vision, et c’est là que les spécialistes peuvent intervenir.

Ils en auraient même le mandat, poursuit l’étude, en avançant qu’il s’agit d’un « sérieux problème de santé publique ». Après tout, il est vrai que d’ici 2020, le nombre de gens en âge d’or aura bien grossi (on parle de 40 millions aux États-Unis), puisque cette statistique de « vieillissement de la population » est toujours en hausse.

Les cas de conduite dangereuse risquent donc d’augmenter en conséquence. Les conclusions de l’étude sont claires : prendre le temps de poser des questions approfondies sur le sujet aux patients à risque lors des examens visuels peut sauver des vies.

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Des poumons en santé seraient bénéfiques pour le cerveau

Outre les raisons et bénéfices connus de s’occuper de sa santé pulmonaire, il appert que des poumons sains seraient aussi bénéfiques pour le cerveau, selon une étude.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, qui reprend des propos contenus dans une étude produite par des chercheurs suédois. Ceux-ci auraient réussi à tracer un lien entre la santé pulmonaire et la capacité du cerveau à résoudre des problèmes.

Si cela s’avère exact, on peut donc penser qu’il serait possible pour la population de prévenir les problèmes cognitifs et le « ralentissement » du cerveau dû à l’âge.

Les chercheurs suédois ont analysé les cas de 832 patients âgés de 50 à 85 ans, suivis depuis plusieurs années. Les résultats ont été publiés dans le journal Psychology Science.

Voici un extrait des commentaires exprimés par l’équipe, professeur Charles Emery en tête : « La conclusion logique de nos recherches et qu’il est assurément bénéfique pour les performances cognitives et cérébrales de maintenir une bonne santé pulmonaire ».

Il ajoute que, bien sûr, cesser de fumer et faire de l’exercice physique sont les deux premières clés.

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Un bon régime et l’exercice pour hausser son « bon cholestérol »

Les bénéfices d’un changement de style de vie vont au-delà de la simple perte de poids, affirment des experts. C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, dans une étude qui parle entre autres de patients souffrants de diabète et aux prises avec des problèmes de poids.

Les chercheurs ont constaté que les patients qui appliquaient un nouveau style de vie, c’est-à-dire en mangeant mieux et en faisant de l’exercice régulièrement, perdaient non seulement du poids, mais favorisaient la création d’une hormone que l’on croit responsable de la production de « bon cholestérol ».

L’étude, publiée par l’hôpital méthodiste de Houston, comprend des statistiques recueillies sur deux groupes de patients. L’un était pris en charge radicalement, avec des programmes intensifs d’exercices et d’alimentation, alors que l’autre groupe n’était suivi que psychologiquement.

Après un an, le groupe pris en charge complètement montrait des taux de sucre dans le sang corrects, et des niveaux de gras et de tissus adipeux beaucoup moins élevés. Les taux de mauvais cholestérol n’ont pas changé significativement, mais c’est le LDL (bon cholestérol), et le taux d’apiponectine (hormone) qui ont réjoui les spécialistes. On parle de 12 % d’amélioration, ce qui est significatif.

Au final, c’est tout le cœur qui se voit grand gagnant de cette progression, ce qui signifie une espérance de vie plus grande pour les patients qui décideraient d’opter pour un tel changement.

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Les femmes et le stress

En effet, Santelog.com rapporte que des chercheurs ont réussi à démontrer clairement ce phénomène, et même à en déterminer les raisons. Lorsqu’on dit que les femmes sont plus « émotives », il s’agit là d’un stéréotype facile, mais expliquer les raisons de ce jugement s’avère plus complexe.

Les spécialistes croient qu’une partie de la réponse se trouve dans l’évolution. Les femmes auraient plus tendance à ressentir du stress lorsqu’on attaque ou met en péril l’intégrité physique ou psychologique de sa famille, surtout de ses enfants. L’instinct de mère, évoluant au fil des générations, devient un principal facteur de réaction chez la femme.

L’homme, lui, serait plus enclin à réagir au stress devant des situations qui menacent son propre bien-être. Une réaction beaucoup plus égoïste, mais bien réelle.

De plus, les chercheurs pointent du doigt l’ère numérique et d’informations rapides dans laquelle on vit. Être bombardé de nouvelles, souvent pessimistes et négatives, placerait la femme moderne dans un état de stress plus élevé que l’homme.

En contrepartie, la femme qui voit son taux de cortisol augmenter (réaction du corps en période de stress) voit aussi sa mémoire s’activer davantage et retenir plus d’informations que l’homme.

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Plus d’un tiers des enfants ne sont pas correctement attachés dans la voiture

Pour les biens de l’étude, des voitures contenant des enfants ont été arrêtées au hasard sur la route, et la manière dont les enfants étaient attachés a été examinée.

Les résultats ont démontré que 37 % des enfants n’étaient pas correctement attachés, incluant 23 % qui l’étaient d’une manière assurant qu’un impact aurait certainement causé des blessures graves ou la mort.

Les enfants âgés de 4 à 7 ans étaient les plus susceptibles d’être mal attachés. Les erreurs les plus fréquentes étaient les ceintures mal placées, tordues ou pas assez serrées, ainsi que les enfants mesurant moins de 135 cm qui étaient dans un siège n’offrant pas de soutien latéral.

En étudiant un registre des accidents de la route, les chercheurs ont également indiqué que « 52 % des enfants qui ont été blessés ou tués n’étaient pas correctement attachés. Nous avons également observé des cas où des objets traînant dans la voiture ont sérieusement blessé des enfants en les frappant lors d’un impact », a conclu la Dre Marianne Skjerven-Martinsen.

Les résultats de l’étude, menée par l’Institut de la santé publique de Norvège, ont été présentés lors d’un récent colloque sur les accidents de la route.

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Des secrets de l’hypnose révélés

Des tests de résonnance magnétique effectués sur des patients sous hypnose révèlent certains secrets de cet art, rapporte www.nlm.nih.gov.

Il appert que le cerveau des gens qui sont sensibles à l’hypnose est différent de celui de ceux qui ne sont pas « hypnotisables », affirme cette étude récente.

Les chercheurs ont utilisé des tests de résonnance magnétique (MRI) afin d’examiner l’activité de trois zones du cerveau sur 12 adultes réceptifs à l’hypnose, et sur 12 qui ne le sont pas.

Les trois zones, ou réseaux, du cerveau analysées étaient le mode « pause », le mode « exécutif », utilisé lors d’une prise de décision, et le mode « saillie », utilisé lorsque l’on veut choisir entre deux options.

Ainsi, on a constaté que les deux groupes avaient le même système cérébral de « pause », mais que ceux qui s’avéraient de meilleurs sujets d’hypnose avaient des systèmes « exécutif » et de « saillie » plus coopératifs.

L’hypnose permet d’aider les gens aux prises avec des problèmes de douleur, d’angoisse, de stress et phobiques.

Le Dr David Spiegel conclut : « Jamais une signature cérébrale d’hypnose n’a été obtenue, et nous sommes sur le point d’y arriver ».

Un tel accomplissement pourrait jeter beaucoup de lumière sur l’obscur processus de l’hypnose sur le cerveau humain.

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L’hormonothérapie de remplacement réduirait les risques de troubles cardiaques

Une nouvelle recherche, rapportée par www.nlm.nih.gov, prétend que les femmes qui suivent un traitement d’hormonothérapie de remplacement pourraient bien améliorer également leur santé cardiaque.

Lorsqu’entamé en début de ménopause, ce traitement pourrait réduire les risques de crises cardiaques et d’autres problèmes similaires. Les bénéfices de l’hormonothérapie de remplacement viendraient de plus sans revers de médaille, c’est-à-dire qu’ils ne feraient pas grimper les chances de développer un cancer ou une autre maladie.

C’est un débat qui dure depuis longtemps qui pourrait être sur le point d’être tranché. En effet, l’hormonothérapie de remplacement inquiète les spécialistes, qui hésitent parfois à le recommander, justement à cause de risques potentiels au niveau du cœur.

Cette étude danoise pourrait calmer le jeu. Cependant, d’autres études contredisent celle-ci, et deux médecins affirment qu’elle n’est pas concluante. Ils suggèrent de traiter à petites doses et de commencer très tôt dans le processus de ménopause.

Un débat qui demeure ouvert, donc, et qui devrait se poursuivre. Les spécialistes prennent la chose très au sérieux, puisque les femmes sous-estiment souvent les risques de problèmes cardiaques, selon plusieurs statistiques.

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L’immunothérapie peut fonctionner pour les enfants allergiques aux oeufs

Pour cette étude clinique publiée dans le New England Journal of Medicine, des enfants de 5 à 18 ans souffrant d’une allergie non sévère aux œufs ont reçu soit de la poudre de blanc d’œufs en quantité précise et de façon quotidienne, soit un placébo.

La quantité administrée correspondait à 2 grammes, soit environ un tiers d’un œuf. Les enfants ne devaient consommer aucun autre produit contenant des œufs durant l’étude.

Après 10 mois de traitement, les enfants recevaient une dose de 5 grammes, et leurs réactions étaient évaluées. S’ils passaient le test, le traitement continuait jusqu’au 22e mois, après lequel les enfants recevaient plutôt 10 grammes de poudre de blanc d’œuf. Le traitement cessait ensuite, et les enfants recevaient encore 10 grammes deux mois plus tard.

Au 10e mois, 55 % des enfants ayant reçu de la protéine d’œuf ont passé le test, et au 22e mois, ce nombre est passé à 75 %.

Après 24 mois, c’est-à-dire après un arrêt de traitement de 2 mois, 28 % des enfants ont passé le test, tel que rapporté par Medscape. Aucun des enfants qui avaient reçu un placébo n’a passé les différents tests.

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La pollution reliée à la circulation affecte les poumons des bébés à long terme

Cette étude menée en Suède a analysé des données provenant de plus de 1900 enfants, qui ont été suivis de leur naissance jusqu’à l’âge de 8 ans.

Les chercheurs ont établi un modèle mathématique qui estimait le niveau d’exposition des enfants à la pollution de l’air ambiant, en fonction de l’emplacement de leur résidence, de leur garderie et de leur école.

À l’âge de 8 ans, il y avait une différence négative significative dans la mesure du volume d’air expiré pendant une seconde entre les enfants se situant dans le 95e percentile (les plus exposés à la pollution) et les enfants se situant dans le 5e percentile (les moins exposés).

Les chercheurs ont noté que l’impact le plus grand semble se produire durant la première année de vie d’un enfant, selon Medical News Today. Les garçons ainsi que les enfants souffrant d’allergies alimentaires et respiratoires étaient aussi beaucoup plus touchés par la pollution.

L’étude a été publiée dans la revue American Journal of Respiratory and Critital Care Medicine.