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Découvertes génétiques concernant le Parkinson

La maladie de Parkinson, on le sait, est l’une des plus terrifiantes et dévastatrices. Beaucoup d’argent, de ressources et de mains-d’œuvre sont mis à contribution afin d’en venir à bout, partout dans le monde.

C’est le cas de l’Université de Boston, où des chercheurs travaillant sur ce dossier viennent de publier une étude concernant l’identification de nouveaux variants génétiques associés à la maladie.

Jeanne Latourelle, professeure adjointe de neurologie à l’Université de Boston et coauteure de l’étude avec le Pr Richard H. Myers, explique, dans des propos rapportés par Santelog.com, que des variations dans l’expression de gènes spécifiques dans les risques de développer cette maladie ont été observées.

Ainsi, on pourrait bientôt améliorer les traitements que reçoivent les patients qui souffrent de la maladie de Parkinson. Les médicaments pourraient être mieux adaptés et utilisés, permettant ainsi de voir des résultats concrets sur les patients.

La prochaine étape sera donc de tester ces nouvelles applications sur des modèles d’animaux ou sur des lignées cellulaires, et ainsi déterminer les façons d’améliorer les traitements.

Un brin d’optimisme pour ceux qui souffrent de Parkinson et leurs proches, qui en ont certainement grand besoin.

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Un phénomène rare lié à l’obésité, la dépression et les troubles d’attention

Des chercheurs ont découvert une mutation génétique qui serait liée à plusieurs problèmes de santé et maladies mentales modernes, comme l’obésité et la dépression, selon www.nlm.nih.gov.

De fait, il semble que certaines personnes procèdent, sans le vouloir, à un « effacement » de ce qu’on appelle le facteur neurotrophique du cerveau, ou BDNF en anglais.

Ce comportement est une mutation et pourrait entraîner certains dérèglements biologiques liés aux problèmes d’obésité, de dépression, d’anxiété et de trouble de l’attention.

Le facteur neurotrophique du cerveau joue un rôle important dans le développement du cerveau et de ses capacités.

Ces résultats sont le fruit d’une étude qui ciblait 65 000 personnes à travers le Canada, les États-Unis et l’Europe. Les patients visés montraient des problèmes de poids, d’humeur, de retard intellectuel ou de trouble de l’attention.

Du lot, les chercheurs de l’Université McGill ont réussi à trouver cinq cas d’effacement du facteur neurotrophique du cerveau, ce qui vient confirmer leur théorie.

Bien entendu, vu le nombre de cas limités, on comprend qu’il s’agit d’un phénomène rare.

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Les cellules souches pourraient remédier à l’infertilité

Pour cette expérience menée au Japon, les chercheurs sont parvenus à prélever des cellules souches sur une souris adulte, qu’ils ont modifiées puis réimplantées.

La souris a pu produire des ovocytes viables par elle-même, et ceux-ci ont été inséminés in vitro dans une souris « mère porteuse », qui a donné naissance à des bébés aptes à se reproduire.

Les ovocytes sont des cellules sexuelles femelles, dont certains deviendront des ovules. Ils diminuent fortement avec l’âge de la femme, et s’ils ne sont pas ou plus présents et de bonne qualité, une grossesse sera très peu probable.

« Le résultat de nos expériences va nous aider à comprendre le mécanisme de production d’ovocytes et donc contribuer à élucider et clarifier les causes de l’infertilité », a expliqué le chercheur Michinori Saito, selon magicmaman.

Celui-ci a toutefois rappelé qu’il restait beaucoup d’étapes à réaliser et de recherches à mener avant de pouvoir effectuer des tests sur l’humain.

L’étude a été publiée dans la revue Science.

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L’exposition au mercure durant la grossesse pourrait être reliée au trouble du déficit de l’attention

L’étude menée aux États-Unis a observé 600 mères ainsi que leur enfant, en analysant leur taux de mercure durant la grossesse, puis en évaluant les enfants à l’âge de 8 ans.

Lorsque le taux de mercure dépassait la dose d’un microgramme par gramme, le risque pour l’enfant de présenter les symptômes de trouble du déficit de l’attention (TDA) augmentait de 40 à 70 %.

Cette association était particulièrement présente chez les garçons, ce qui n’a pas surpris les chercheurs, puisqu’il est bien établi que ceux-ci réagissent différemment des filles lorsqu’ils sont exposés à des substances toxiques qui affectent le système endocrinien.

Un auteur de l’étude, le Dr Bruce Lanphear, a expliqué que « cette étude, qui associe une exposition prénatale au mercure avec le développement du TDA, suggère que l’impact du mercure est beaucoup plus important que ce que nous croyions précédemment », tel que rapporté par le Huffington Post.

L’étude a été publiée dans la revue Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, et il faut souligner que celle-ci s’est attardée uniquement aux symptômes du TDA, et non pas à un diagnostic officiel.

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Une nouvelle étude confirme les effets négatifs des jeux vidéo sur le cerveau des enfants

L’étude a été menée auprès de 70 participants, à la fois des adultes et des jeunes, qui ont joué à un jeu vidéo soit violent ou non violent pendant 25 minutes.

Tout de suite après, les chercheurs ont enregistré la réponse du cerveau des participants à une série de photos neutres ou violentes, puis ont fait s’affronter deux participants dans un jeu qui les poussait à émettre un son explosif plus ou moins fort contre leur adversaire.

Le cerveau des jeunes ayant joué à un jeu violent avait une réponse réduite aux photos violentes, et ceux-ci produisaient un son beaucoup plus fort que les autres, suggérant une « désensibilisation » et un taux d’agressivité bien plus élevé.

De plus, les participants les plus habitués aux jeux vidéo violents présentaient la plus faible réponse du cerveau à la violence.

L’auteur et professeur de psychologie Bruce Bartholow confirme que l’étude « démontre sans nul doute une association de cause à effet » entre la désensibilisation à la violence et une augmentation de l’agressivité chez les enfants, ajoutant que ces résultats « font froids dans le dos », tel que rapporté par Santé log.

L’étude sera publiée sous peu dans la revue Journal of Experimental Social Psychology.

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Offrir des contraceptifs gratuitement réduit le nombre d’avortements

Une nouvelle étude publiée dans la revue médicale Obstetrics & Gynecology présente les conclusions d’un projet d’une durée de trois ans, ayant procuré des contraceptifs sans frais à 9256 adolescentes et femmes.

Celles-ci étaient conseillées sur la meilleure méthode contraceptive pour elles, et 76 % ont choisi une méthode dite de longue durée (par exemple les implants sous-cutanés et les dispositifs intra-utérins, aussi appelés stérilets).

Ces méthodes sont plus efficaces que les autres contraceptifs comme les anovulants et les préservatifs, mais sont moins utilisées, entre autres parce qu’elles sont plus coûteuses.

Cette étude est importante dans une perspective où environ la moitié des grossesses aux États-Unis ne sont pas prévues, ce qui coûte 11 milliards aux contribuables américains chaque année, ont remarqué les auteurs.

Ceux-ci soulignent que les taux d’accouchement chez les adolescentes participant à l’étude ont également diminué « beaucoup en deçà » des moyennes nationales.

La Dre Alice Mark a affirmé que l’étude procure « un soutien accru en faveur d’un plus grand accès à la contraception gratuite, particulièrement pour les femmes à haut risque ainsi que les très jeunes femmes, incluant les méthodes de longue durée », tel que rapporté par Medscape.

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Le meilleur traitement pour ralentir un accouchement prématuré

Les chercheurs ont analysé les données provenant de 95 études s’attardant sur différentes thérapies utilisées pour retarder un accouchement prématuré chez les femmes à risque.

Ils ont trouvé que les anti-inflammatoires de la classe des « inhibiteurs de prostaglandine » étaient le meilleur traitement possible pour retarder l’accouchement de 48 heures, dans 85 % des cas.

En comparaison, le deuxième meilleur traitement, les médicaments de la classe des « inhibiteurs calciques », arrivait loin derrière avec 6 %.

Les médicaments de la classe des inhibiteurs de prostaglandine étaient aussi considérés comme le meilleur traitement en termes de mortalité néonatale, ainsi que pour soigner le syndrome de détresse respiratoire du nouveau-né.

Le médicament le moins efficace et le plus associé à des effets secondaires néfastes était le sulfate de magnésium.

Dans un éditorial accompagnant l’étude, le Dr Zarko Alfirevic a toutefois souligné « qu’il n’était pas nécessairement très utile de déterminer quel traitement était le meilleur, puisque la science n’avait pas encore établi que retarder l’accouchement était sécuritaire », selon MedPage Today.

Celebrex est commercialisé par Pfizer, tandis qu’Indocin est commercialisé par Merck. La méta-étude a été publiée dans le British Medical Journal.

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Un geste simple pour ne pas crouler sous la pression

Une nouvelle étude démontre qu’un tout petit geste pourrait améliorer la résistance à la pression, selon nlm.nih.gov.

Le secret résiderait dans la main gauche!

En effet, il semble que de simplement presser une balle (les balles antistress, par exemple) de la main gauche aurait un effet bénéfique sur le cerveau.

Les mêmes effets seraient observables en pliant simplement la main gauche à quelques reprises.

Ainsi, les gens qui doivent performer sous pression pourraient voir diminuer leur chance de s’écrouler dans les moments importants. Les athlètes, par exemple, sont des exemples parfaits de personnes qui peuvent bénéficier de ce « traitement ».

Les chercheurs allemands de l’étude ont testé leur théorie sur des joueurs de soccer, de badminton et des judokas. Les tests ont été effectués durant des pratiques et des compétitions.

L’étude, publiée dans le Journal of Experimental Psychology: General, conclut que les droitiers qui pressent une balle dans leur main gauche avant une compétition ont une meilleure résistance à la pression que ceux qui font le même geste, mais de la main droite.

On peut donc déduire que la main gauche a bel et bien un effet sur le cerveau, activant l’hémisphère droit. Les données concernant les gauchers n’ont pas été compilées.

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Le travail humanitaire favoriserait l’anxiété et la dépression

 Les bonnes âmes qui se dévouent chaque jour un peu partout sur la planète devraient surveiller leur santé mentale, affirme nlm.nih.gov.

En effet, il appert que le travail humanitaire favoriserait les problèmes d’anxiété et de dépression nerveuse, qui peuvent survenir pendant le voyage et au retour.

Un rapport propose donc aux employeurs dans ce domaine de mettre en place certaines mesures pour contrer le phénomène.

Dans l’étude, les chercheurs ont sondé plus de 200 travailleurs humanitaires et les ont suivis avant, pendant et après leurs interventions.

Au départ, on notait 4 % des travailleurs sujets à l’anxiété, et 10 % qui présentaient des symptômes de dépression. Il s’agit de statistiques normales, en comparaison avec le reste de la population.

Durant les affectations, les chiffres ont grimpé jusqu’à 12 % (anxiété) et 19 % (dépression diagnostiquée). Au retour, le taux d’anxiété rapporté chutait immédiatement de 8 %. La dépression, quant à elle, poursuivait sa hausse vertigineuse avec un taux de 20 %.

Tout comme pour les militaires, le retour à la maison peut s’avérer difficile, et il faut prendre conscience de ce phénomène, selon Alastair Ager, professeur à la Columbia University’s Mailman School of Public Health de New York.

Une vie sociale bien remplie et un soutien soutenu des proches sont des éléments clés dans le maintien d’une bonne santé mentale pour les gens qui vivent des expériences intenses comme l’aide humanitaire, conclut l’étude.

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L’aspect financier, important pour arrêter de fumer

Il semble que l’aspect financier soit un incitatif qui fonctionne pour les gens qui tentent d’arrêter de fumer, rapporte nlm.nih.gov.

Outre le coût des cigarettes, il semble que lorsque le gouvernement participe et débourse les frais médicaux divers liés à l’arrêt du tabagisme, les chances de succès augmentent.

C’est ce que rapporte une étude hollandaise, alors que le gouvernement en place a décidé de défrayer les coûts des thérapies et produits que les fumeurs utilisent pour arrêter cette habitude.

Durant une année, donc, la Hollande y est allée d’une grande campagne contre le tabagisme, mettant en place plusieurs plans d’action, dont une ligne téléphonique de soutien sans frais.

Après 12 mois, les résultats sont concluants : on constate une hausse radicale des personnes qui ont arrêté de fumer. Il semble donc facile de dresser le portrait de la situation.

« Les gens apprécient le remboursement des différentes méthodes pour arrêter de fumer. », affirme l’auteur en chef de l’étude, Marc Willemsen, chercheur et professeur à l’Université Maastricht.

Il ajoute qu’en démontrant qu’ils prennent le problème au sérieux et en enlevant la barrière financière, les gouvernements peuvent agir directement sur le problème.