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La folie des antioxydants : danger?

Les antioxydants font la manchette dans toutes les sections santé du Web, des magazines et des bulletins télévisés. Tout le monde est d’accord pour confirmer les vertus protectrices des antioxydants contre plusieurs maladies (cardiovasculaires, diabète, cancer, etc.)

Plusieurs chercheurs n’ont pas hésité à conseiller à la population d’ingérer des suppléments d’antioxydants, comme moyen de prévention.

La folie des antioxydants est maintenant partout, et voilà que d’autres experts pensent que des effets négatifs potentiels d’une prise élevée de ces produits doivent être nommés et étudiés.

Ainsi, selon des propos rapportés par www.extenso.org, des études démontrent que la consommation massive de bêta-carotène chez les fumeurs pourrait augmenter les risques de cancer du poumon.

Une autre étude, effectuée auprès de 13 000 personnes (hommes et femmes de 35 à 60 ans) consommant quotidiennement des suppléments d’antioxydants, démontrerait que l’effet est maximal à faible dose seulement, et uniquement chez les hommes.

Les femmes qui ont déjà une quantité adéquate d’antioxydants dans leur organisme ne gagneraient rien à prendre des suppléments. On parle d’un « effet seuil ».

Toutes les études dressent cependant un tableau similaire qui mènerait à cette conclusion : la supplémentation d’antioxydants à fortes doses nuirait carrément aux gens en phase pré-cancer (sans symptôme) et serait tout bonnement inutile pour les autres.

Donc, peu importe la situation, une dose modérée est requise.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Un nouveau traitement retarderait la progression du cancer

Avec cette combinaison de médicaments visant spécialement la progression du mélanome avancé, les scientifiques ont remarqué un délai supplémentaire, d’environ quatre mois, avant que les patients deviennent résistants à leur thérapie, rapporte nlm.nih.gov.

Le mélanome est le plus sérieux, et souvent mortel, des cancers de la peau. Dans la moitié des cas, la croissance de la tumeur est causée par la mutation génétique qui garde une protéine (BARF) activée en permanence.

Les médicaments administrés à ces patients sont en mesure d’inverser le processus de la tumeur dans 90 % des cas, mais le problème se situe dans le fait que ceux-ci développent rapidement une résistance au traitement. Le cancer reprend donc quelques mois plus tard.

À la suite de plusieurs études qui corroboraient ces théories, les chercheurs du Massachusetts General Hospital Cancer Center ont tenté de rendre tangibles ces théories, et auraient réussi.

Selon ce que l’on constate, la plupart des patients ayant reçu cette combinaison de médicaments auraient allongé leur capacité de traitement de quatre autres mois, sans résistance.

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Le vaccin contre le papillomavirus humain est généralement sécuritaire

À la suite d’une analyse de données concernant 189 629 jeunes filles et femmes âgées de 9 à 26 ans ayant reçu le vaccin contre le papillomavirus humain, des chercheurs ont conclu que celui-ci pouvait être considéré comme « sécuritaire » et faire partie d’une intervention clinique de routine.

Les auteurs ont toutefois noté que le vaccin était possiblement lié à un risque plus élevé d’éprouver des problèmes mineurs, soit un évanouissement le jour de l’immunisation (probabilité 6 fois plus importante) ainsi qu’une infection de la peau dans les deux semaines qui suivent (probabilité 1,8 fois plus importante).

L’étude, menée par Merck, a été réalisée à partir de la mise en marché du vaccin en 2006 et jusqu’en 2008, à la demande des autorités en santé américaines.

Les données sont parues dans la revue médicale Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

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Deux facteurs qui ont une influence sur les symptômes pendant l’enfance

Une nouvelle étude dessine un parallèle entre les symptômes fonctionnels somatiques (SFS) chez les enfants et des problèmes survenus durant les premiers mois de leur vie, en particulier des difficultés avec l’autorégulation ainsi que des problèmes psychiatriques maternels.

Les SFS sont des maux inexpliqués, par exemple des maux de tête, de la douleur aux bras, aux jambes ou au ventre, de la fatigue ou des étourdissements. Ceux-ci affectent de 10 à 30 % des enfants et adolescents, et correspondent à environ 2 à 4 % des visites chez le pédiatre.

Les auteurs ont étudié les dossiers de 1327 enfants âgés de 5 à 7 ans pour découvrir que 23,2 % d’entre eux souffraient de SFS. Il y avait une différence marquée entre les sexes, puisque les SFS affectaient 27,6 % des filles, contre seulement 18,8 % des garçons.

Selon les chercheurs, les enfants ayant subi ces problèmes durant leurs premiers mois de vie seraient beaucoup plus susceptibles de développer des SFS, c’est-à-dire sept fois plus dans le cas où leur mère avait subi un problème psychiatrique, et presque trois fois plus dans le cas de problèmes d’autorégulation (reliés au sommeil, à l’alimentation ou à une réactivité au toucher).

Selon PsychCentral, les experts avancent que l’anxiété ou la dépression maternelle peut exacerber les problèmes d’autorégulation chez le nourrisson, mais aussi qu’inversement, les difficultés du bébé peuvent influencer l’état psychologique des parents.

Le revenu familial a aussi été examiné, mais les données n’ont révélé aucune corrélation entre ce facteur économique et les SFS. Les résultats de cette étude menée au Danemark seront bientôt publiés dans The Journal of Pediatrics.

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Les blessures subites à la suite de maltraitance en légère hausse chez les enfants

Le nombre d’enfants hospitalisés à la suite de blessures sérieuses liées à la violence corporelle a augmenté de 5 % en douze ans aux États-Unis, a révélé la revue médicale Pediatrics dans son numéro de novembre, publié en ligne le 1er octobre.

L’étude en question contredit les données avancées par les agences américaines de protection des enfants, qui parlent plutôt d’une baisse de 55 % des cas de sévices pendant la période allant de 1997 à 2009.

Selon Healthy Children, les conclusions soulevées par cette étude font craindre que la baisse comptabilisée par les services de protection à l’enfance soit attribuable à des changements administratifs dans la collection de données, et non à une diminution réelle des cas.

L’auteur de l’étude, le professeur en pédiatrie de l’Université Yale, John M. Leventhal, a affirmé que « les résultats font ressortir le défi d’aider les parents à s’améliorer avec leurs enfants, ainsi que l’importance des programmes de prévention pour diminuer les blessures graves reliées à l’abus chez les jeunes enfants ».

À partir de bases de données d’hospitalisation, les chercheurs ont répertorié les cas de blessures graves subites par des enfants à la suite de la maltraitance, par exemple des blessures à la tête, des fractures, des brûlures ainsi que des blessures abdominales, et ont également étudié des données démographiques sur les patients.

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Le stress lié aux risques de maladies cardiaques

Voici un constat qui ne surprendra personne. Les gens qui déclarent ressentir un haut niveau de stress au quotidien ont plus de risques de développer des maladies cardiaques que ceux qui sont moins stressés.

Même si cela n’a rien de bien étonnant, cette révision de plusieurs études dresse un tableau plus clair des causes à effet, selon nlm.nih.gov.

« Tout le monde sait que le stress est mauvais pour le cœur », lance le professeur Donald Edmundson du Colombia University Medical Center. Il poursuit : « Les preuves ont cependant été disparates au fil des dernières années ».

Cette année, une étude de 200 000 Européens démontrait clairement que ceux qui travaillaient dans un environnement stressant avaient plus de risques de maladies cardiovasculaires que ceux qui ressentent moins de pression de leur emploi.

Aussi, ceux qui possèdent une plus grande liberté d’action professionnelle réduisent grandement le facteur de stress ressenti.

Des études ont par ailleurs suivi des milliers de personnes qui n’avaient aucun diagnostic de problèmes cardiaques, sur une période variant de 3 à 21 ans.

Les chercheurs concluent que les gens stressés voient leur taux d’hormones dans le sang augmenter, et qu’ils sont également plus sujets aux comportements nocifs pour la santé (cigarette, mauvais régime alimentaire, faible activité physique) que les gens plus détendus au travail. Il s’agirait donc d’une cause indirecte, mais très réelle.

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Moins de risque de diabète dans les quartiers accessibles à pied

Les gens qui vivent dans des quartiers ou des communautés qui facilitent la marche auraient moins de risque de développer du diabète que ceux qui sont moins accessibles à pied. C’est ce que révèle une large étude canadienne, publiée sur nlm.nih.gov.

Gillian Both, qui dirige l’étude, déclare : « Si vous avez moins d’occasions de pratiquer une activité physique comme la marche au quotidien dans votre quartier, vous risquez de prendre du poids. Les chances de diabète sont également plus élevées ».

La chercheuse de l’hôpital St. Michaels à Toronto estime que des études précédentes ont également révélé des liens entre les gens qui marchent pour se déplacer dans le voisinage et leur santé physique.

Le sujet l’intéresse particulièrement, puisque la concentration des gens dans les grandes villes est en constante progression. Les immigrants provenant de pays moins développés qui s’installent dans une cité nord-américaine sont également visés, puisqu’une soudaine sédentarité s’installe souvent dans leur nouveau mode de vie.

Les chercheurs qui travaillent sur ce dossier affirment, en conclusion, que l’environnement dans lequel on vit affecte grandement notre santé et fera varier les types de maladies contractées ainsi que les manières dont elles se développent.

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Le suicide plus mortel que les accidents de voiture

Selon nlm.nih.gov, une nouvelle étude fait passer le suicide devant les accidents de voiture comme cause de mortalité principale aux États-Unis.

Dans les dix dernières années, le nombre d’accidents automobiles aurait diminué, rapporte l’étude. Le suicide demeure un fléau grandissant dans bon nombre de régions du monde, et les statistiques ne seraient pas encore exactes, selon Ian Rockett, professeur d’épidémiologie à l’Université West Virgina.

« Le suicide est mal répertorié dans nos recherches, par le fait que tous ne sont pas rapportés. Je crois que le problème est encore plus grave que ce que les données officielles indiquent », affirme Rockett.

Il croit que jusqu’à 20 % des suicides ne sont pas rapportés. De plus, les morts par empoisonnement sont en hausse, et plusieurs de celles-ci pourraient en fait s’agir de suicides. Cette statistique comprend également les morts par surdose de médicaments d’ordonnance, toujours nébuleuses.

Le professeur poursuit : « La situation est devenue hors de contrôle, et j’aimerais voir autant d’efforts mis dans cette cause que dans celle des accidents de la route ».

Le rapport publié utilisait les données compilées par le U.S. National Center for Health Statistics.

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Une nouvelle tendance : fractionner ses repas

Plusieurs études affirment que de se confectionner plusieurs petits repas serait plus bénéfique que les classiques trois repas par jour que l’homme connaît depuis la nuit des temps.

Une nouvelle surprenante s’il en est une, alors que les amateurs de régimes se voyaient contraints de ne pas manger « entre les repas », il n’y a pas si longtemps. Selon topsante.com, cette tendance serait possiblement révolue.

Des chercheurs britanniques affirment qu’il pourrait être mieux de fractionner ses repas, les faisant ainsi passer de trois à neuf par jour. Pour étayer cette théorie, la Medical Research Council’s Human Nutrition Research Unit lance une étude qui suivra 50 patients souffrant d’hypertension.

La moitié ingurgitera neuf petits repas par jour, alors que les autres poursuivront avec les trois repas traditionnels. On pourra ainsi vérifier les effets escomptés sur la pression artérielle, entre autres.

Il semble que ce soit également un bon moyen de perdre du poids, les chercheurs alléguant que l’on doit brûler des calories durant la digestion. Donc, plus de digestion durant la journée signifie non seulement une perte calorique, mais aussi un risque moins élevé de fringales et, donc, de tricher son régime.

Cette théorie, bien sûr, ne change pas le fait que les aliments ingérés doivent être de qualité, soulignent les experts.