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L’exercice contre le déclin cognitif

Publiés dans l’édition du 23 avril des Archives of Internal Medicine, les résultats démontrent que les personnes âgées devraient faire des étirements et des exercices de résistance régulièrement, mais raisonnablement.

Des essais ont été menés sur 77 femmes âgées de 70 à 80 ans. Elles devaient, deux fois par semaine, faire soit un exercice aérobique comme la marche ou la natation, soit un exercice anaérobique comme la musculation ou l’haltérophilie.

Les femmes ayant participé à des exercices anaérobiques ont amélioré plusieurs aspects de leur fonctionnement cognitif, dont la mémoire.

De plus, la capacité cardiovasculaire des patientes a également été améliorée. En fait, ces femmes auraient une meilleure circulation sanguine dans des zones précises du cerveau.

Celles s’étant adonnées à des exercices aérobiques ont eu une amélioration de leur équilibre, de leur mobilité ainsi que de leur capacité cardiovasculaire.

Rappelons aussi que les personnes âgées qui gardent la forme seraient plus heureuses que les plus jeunes.

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L’exercice contre le déclin cognitif

Publiés dans l’édition du 23 avril des Archives of Internal Medicine, les résultats démontrent que les personnes âgées devraient faire des étirements et des exercices de résistance régulièrement, mais raisonnablement.

Des essais ont été menés sur 77 femmes âgées de 70 à 80 ans. Elles devaient, deux fois par semaine, faire soit un exercice aérobique comme la marche ou la natation, soit un exercice anaérobique comme la musculation ou l’haltérophilie.

Les femmes ayant participé à des exercices anaérobiques ont amélioré plusieurs aspects de leur fonctionnement cognitif, dont la mémoire.

De plus, la capacité cardiovasculaire des patientes a également été améliorée. En fait, ces femmes auraient une meilleure circulation sanguine dans des zones précises du cerveau.

Celles s’étant adonnées à des exercices aérobiques ont eu une amélioration de leur équilibre, de leur mobilité ainsi que de leur capacité cardiovasculaire.

Rappelons aussi que les personnes âgées qui gardent la forme seraient plus heureuses que les plus jeunes.

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Souffrir pour mieux guérir

Selon une étude réalisée sur des souris et publiée dans la revue Circulation, les niveaux de substance P augmenteraient après un blocage temporaire de la circulation sanguine.

Ce phénomène inciterait la moelle osseuse à libérer des cellules qui réagissent à la substance P et qui favorisent la guérison des tissus. De plus, ces cellules aideraient à la reconstruction de vaisseaux sanguins.

Les chercheurs ont examiné, sur des humains, si les cellules de la moelle osseuse réagissaient de la même façon à la substance P, et si les niveaux de cette substance étaient plus élevés à la suite d’une crise cardiaque ainsi que si elles pouvaient contribuer à la guérison.

Les résultats confirment que la souffrance joue un rôle important dans le processus de cicatrisation et que de trop engourdir la douleur bloquerait en partie ses effets bénéfiques.

Selon les experts, l’idéal serait de produire un médicament qui amenuise la douleur sans freiner la production de substance P.

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Les femmes prendraient moins de risques en présence d’un bébé

Contrairement aux hommes, qui ne réduisent pas les risques qu’ils prennent en présence d’un bébé, les femmes ont tendance à être significativement plus prudentes en présence d’un poupon ou d’un jeune enfant.

Les chercheurs de l’Université de Warwick et de l’Université de Basel croient que ce pourrait être un exemple de forces évolutives au travail.

« Notre attitude face au risque forme une grande part de notre personnalité et détermine nos gestes dans toutes sortes de domaines », selon le docteur au Département de psychologie de l’Université de Warwick, Thomas Hills.

En fait, les hommes seraient plus compétitifs et rechercheraient plus le risque, alors que la femme chercherait, par instinct maternel, à protéger ses enfants.

Une seconde étude a aussi démontré que les hommes prenaient encore plus de risques lorsqu’ils étaient en équipe avec d’autres hommes.

Cela vient confirmer que les hommes, une fois en couple ou avec une famille, sont moins portés à être en compétition entre eux.

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Manger moins de viande pour réduire les gaz à effet de serre

Une étude du Woods Hole Center, au Massachusetts, démontre que la consommation de viande devrait être coupée de 50 % par personne d’ici 2050.

Les experts estiment que la population mondiale augmentera de 2 milliards. Ainsi, la consommation et la production de viande monteront en flèche également.

Le fait de changer la façon dont les gens mangent peut avoir un effet considérable sur l’émission de gaz à effet de serre des ménages, selon le docteur, président et scientifique en chef du Woods Hole Center, Eric Davidson.

« S’il y a une demande grandissante en viande, ce qui est le cas, ça va finir par exiger une plus grande quantité de fertilisants contenant de l’azote et la production de plus de fumier, qui tous les deux engendreront des émissions involontaires de formes variées d’azote dans l’environnement, y compris les nitrates dans les nappes phréatiques et les eaux de surface ainsi que les gaz à effet de serre comme l’oxyde nitreux », dit le docteur Davidson.

En fait, l’oxyde nitreux reste dans l’atmosphère très longtemps, voire des centaines d’années, avant de se décomposer. Bien qu’il soit au troisième rang des gaz à effet serre, il s’agit du plus puissant.

Rappelons que les sources principales de ce type de gaz sont, justement, les engrais azotiques synthétiques et le fumier.

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Un duo de parasites responsable de la toxoplasmose infantile

Durant les 3 dernières décennies, la toxoplasmose congénitale aux États-Unis provient de deux sous-types de Toxoplasma gondii, tous deux améliorés par un traitement, selon cette étude.

Le sérotypage de 200 patients infectés congénitalement a prouvé que le sérotype II et le sérotype non exclusivement II (NE-II) étaient responsables de proportions similaires d’infection.

Le développement d’un test immuno-enzymatique (ELISA) a permis de relier l’infection par les parasites de type II et de type non-II. Les experts ont donc observé la distribution de ces parasites dans deux cohortes bien précises de patients atteints de toxoplasmose congénitale.

Aux États-Unis, plus de 61 % des patients atteints de la maladie portaient le parasite NE-II.

« Les sérotypes NE-II sont souvent plus présents que les sérotypes II chez les enfants nés prématurément ou atteints de maladies graves ainsi que dans certains groupes démographiques », explique la coauteure et docteure à l’Université de Chicago, Rima McLeod.

Lorsque la toxoplasmose n’est pas diagnostiquée à la naissance, elle cause des dysfonctions motrices et cognitives ainsi que des convulsions plus tard dans la vie du patient, en plus d’augmenter de plus de 90 % les risques d’infections oculaires à l’adolescence.

Rappelons que les traitements avec de la pyriméthamine et de la sulfadiazine ont montré des résultats positifs, selon un article du Clinical Infectious Diseases publié en ligne.

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Être végétarien améliorerait l’humeur

Selon une étude publiée en février dans le Nutrition Journal, un groupe de gens omnivores ayant éliminé la viande, la volaille et le poisson de leur diète durant deux semaines ont vu leur humeur s’améliorer.

En fait, en comparaison à la diète des végétariens, celle des omnivores est riche en acide arachidonique, un oméga-6. Dans le passé, les recherches ont montré que la grande consommation de ce type d’acide, que l’on trouve principalement dans la viande rouge, la volaille et quelques poissons, causait des changements dans le cerveau qui pouvaient affecter négativement l’humeur.

De plus, la présence d’acide arachidonique dans le sang, en contact avec l’acide eicosapentaénoïque (oméga-3), était liée aux symptômes cliniques de la dépression.

Selon l’auteure de la recherche, Bonnie Beezhold, les régimes végétariens sont naturellement moins riches en acides gras oméga.

Alors que l’on ne cesse de vanter les bénéfices des oméga-3 pour notre cerveau, les oméga-6, eux, pourraient causer plus de tort que de bien, selon les experts.

Ces changements engendrés par les oméga-6 pourraient être en partie contrés par la consommation de noix de Grenoble et de graines de lin.

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Manger des baies réduirait le risque de contracter la maladie de Parkinson chez les hommes

C’est ce que démontre une étude publiée dans le journal Neurology. 

Les baies comme les bleuets, les fraises, les mûres et le cassis sont riches en flavonoïdes, qui sont des antioxydants.
 
Les antioxydants aident à neutraliser les radicaux libres, des substances destructives qui se trouvent dans le métabolisme et qui peuvent causer des dommages aux membranes des cellules et à l’ADN.
 
L’étude prouve aussi que les hommes qui mangent des petits fruits au moins une fois par semaine pourraient réduire du quart leurs chances de développer la maladie de Parkinson.
 
L’étude stipule également que les effets bénéfiques proviennent d’une plus grande consommation d’anthocyanes, un type de flavonoïdes contenu dans les baies.
 
« Étant donné le potentiel des petits fruits pour la santé […] il est recommandé d’en ajouter à votre régime quotidiennement », explique le docteur de l’Harvard School of Public Health, Xiang Gao.
 
Étrangement, les chercheurs n’ont pas remarqué de résultats similaires des flavonoïdes sur le corps des femmes.
 
Rappelons que la maladie de Parkinson provoque des tremblements et de la rigidité musculaire et touche toutes les régions du corps. Il n’existe à ce jour aucun remède, aucune médication ni chirurgie pouvant guérir cette maladie.
 
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Le yogourt riche en vitamine D contre les maladies du coeur

L’étude publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism stipule que le yogourt enrichi contient non seulement plus de vitamine, mais aussi plus de calcium, qui lui confère des propriétés anti-inflammatoires.

L’inflammation joue un rôle important dans le développement du diabète de type 2 ainsi que dans ses complications cardiaques, comme les maladies coronariennes ou les accidents vasculaires cérébraux.

« L’étude a démontré que le fait de consommer du yogourt enrichi en vitamine D diminue les substances sériques comme la protéine C réactive (CRP) dans l’organisme, qui favorise l’inflammation », explique l’auteur principal de cette recherche, Tirang Neyestani.

L’étude a également permis de démontrer que le taux d’adiponectine, une substance sécrétée par les tissus adipeux qui agit contre l’inflammation, augmente lorsque le patient consomme du yogourt enrichi de vitamine D.

Outre ces effets bénéfiques anti-inflammatoires, le yogourt enrichi de vitamine D aide au maintien de la santé des os. Sans vitamine D, le calcium, qui assure la solidité de l’os, ne peut se fixer sur ce dernier, fragilisant la structure osseuse du patient.

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Le châtiment corporel rend les enfants agressifs

Une étude à long terme de l’Université du Manitoba et de l’Hôpital pour enfants de l’est de l’Ontario, publiée dans le Canadian Medical Association Journal, révèle que les enfants qui ont été plus souvent giflés, qui ont reçu la fessée ou qui se sont fait souvent crier dessus sont plus susceptibles de reproduire ces gestes avec autrui lorsqu’ils seront grands, et ce, presque sans exception, démontre l’étude.

Les auteurs de l’analyse affirment que les enfants punis physiquement pourraient être contre-productifs. Il semblerait que le châtiment corporel pousse davantage l’enfant à remettre en cause les adultes et à développer des problèmes de santé mentale comme la dépression.

Aujourd’hui, les sociétés ne considèrent plus la punition physique comme le meilleur moyen de discipliner les enfants.

Mentionnons que la fessée est interdite et illégale dans certains pays de l’Europe, comme l’Allemagne, l’Espagne et les Pays-Bas. En Grande-Bretagne, depuis 2004, un « châtiment raisonnable » est toléré. Cela signifie que le geste physique ne doit pas laisser de marques ou de rougeurs.

Les chercheurs pensent que les médecins devraient aider les parents à mieux cerner le comportement des enfants, apprendre à se maitriser et adopter des solutions non violentes : des approches efficaces pour la discipline.

Selon eux, beaucoup d’adultes ne comprennent pas ce qui pousse le comportement d’un enfant. « Ils croient que les jeunes sont rebelles, mais ils font tout simplement ce qui est normal pour leur développement », expliquent-ils.