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Garder son téléphone près du lit serait une bien mauvaise idée

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude intéressante sur les impacts et effets sur la santé du simple fait de garder son téléphone cellulaire près de son lit durant la nuit.

Quelques études précédentes avaient déconseillé une telle habitude, expliquant notamment que la luminosité de l’écran pouvait nuire au sommeil et faciliter les problèmes d’insomnie.

Cette nouvelle étude, qui prend la forme d’un sondage, révèle que huit personnes sur dix gardent leur téléphone allumé durant les périodes de sommeil, et que la moitié d’entre nous utilise cet appareil comme réveille-matin.

Un comportement qui nuit gravement au sommeil et à la qualité de ce dernier, s’accordent pour dire plusieurs spécialistes qui commentent l’étude.

D’abord parce que l’émission d’ondes et d’énergie perturbatrice par nos appareils mobiles nous garde en état d’hyper-vigilance, et s’avère susceptible de nuire à la qualité du sommeil.

Des nuits moins réparatrices donc, et souvent moins longues, qui peuvent même mener à de l’insomnie et à d’autres troubles connexes. Des maux de tête, des nausées et des étourdissements peuvent aussi être observables chez ceux qui conservent leur téléphone à portée de main, même la nuit.

L’étude sondage a été réalisée par la firme Ofcom, en Angleterre.

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Les kiosques de nourriture gagneraient à intégrer des aliments santé

Une nouvelle étude constate des effets bénéfiques à l’ajout d’aliments santé au sein de certains kiosques de nourriture d’universités américaines, rapporte le Medical News Today.

Appelés par des chercheurs de l’université à intégrer de la nourriture santé au kiosque du booster club de l’équipe de football locale, les membres de l’organisation ont décidé de relever le défi.

Une décision qui se serait avérée payante pour l’école de Muscatine en Iowa, qui a vu ses revenus à la caisse de son kiosque de nourriture non pas dégringoler, mais bien augmenter de manière intéressante.

On signale une hausse des ventes de près de 4 % la première année, mais il y a plus. En effet, on constate aussi que les aliments santé ont compté pour 9,2 % des ventes totales de nourriture cette année-là.

Les organisateurs affirment également que les parents, étudiants et joueurs de l’Université d’Iowa se sont massivement dits contents de la manœuvre, et de cet accès à de meilleurs aliments lors des matchs et des activités de l’équipe et de l’école.

Comme quoi l’offre santé n’est pas nécessairement impopulaire, et qu’une meilleure éducation en matière d’alimentation peut bénéficier à toutes les parties impliquées.

Les résultats de cet essai, par ailleurs effectué au cours de l’année 2008-2009, ont été révélés dans le Journal of Public Health.

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Le test sanguin de dépistage de la maladie d’Alzheimer semble fonctionner

Du nouveau dans le dossier de l’élaboration d’un test sanguin capable de détecter les premières traces de la maladie d’Alzheimer, rapporte The National Library of Medicine, alors que la méthode s’annonce prometteuse.

Une nouvelle étude en provenance de l’Université Georgetown vante les mérites de ce test sanguin, qui pourrait prédire jusqu’à 90 % le risque de développement de la maladie d’Alzheimer chez un individu.

Le Dr Howard Federoff, qui dirige l’étude, estime que les résultats du test sont aussi surprenants que prometteurs, et qu’ils démontrent qu’il est possible de prédire les risques d’Alzheimer grâce à l’analyse de plusieurs symptômes et facteurs.

Le but ultime est bien entendu d’être en mesure d’identifier le plus de patients à risque d’Alzheimer le plus tôt possible, afin de les traiter rapidement.

« Les biomarqueurs sanguins représentent une bonne et utile option… plus accessible, moins invasive, plus facile à utiliser et moins onéreuse. Plusieurs tests sont en développement, et plus d’investissements sont nécessaires de façon urgente », explique quant à elle Maria Carrillo, la vice-présidente des relations scientifiques et médicales de l’Association contre l’Alzheimer.

D’autres essais sont donc à effectuer sur ce nouveau test sanguin, mais les premiers résultats rendent la communauté scientifique plus qu’optimiste.

Les conclusions de l’étude de Georgetown ont été publiées dans le journal Nature Medicine.

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Les oméga-3 favoriseraient un sommeil de qualité

Alors que l’on ne croyait plus trouver d’avantages aux oméga-3, voilà qu’une nouvelle étude laisse entrevoir la possibilité que la prise de suppléments pourrait aussi favoriser un sommeil de qualité.

Principalement retrouvés dans les poissons et fruits de mer, les oméga-3 sont vantés depuis quelques années pour leurs nombreux bienfaits potentiels sur la santé. L’une de ces propriétés pourrait-elle être un meilleur sommeil?

C’est ce que semblent croire des chercheurs de l’Université d’Oxford, rapporte MedicalNewsToday, qui ont testé la théorie sur des enfants aux prises avec des troubles du sommeil, notamment.

Un groupe de 300 jeunes sujets ont donc été appelés à consommer 600 mg d’oméga-3 sur une période de 16 semaines afin d’évaluer les effets. Les résultats semblent probants, alors que l’on note une moyenne de près d’une heure de sommeil supplémentaire par nuit chez plusieurs enfants.

De plus, les sujets ont démontré un sommeil de plus grande qualité, de moindres mouvements et des nuits plus réparatrices.

D’autres études et recherches sont à venir dans ce dossier qui s’annonce prometteur, notamment pour évaluer si des résultats similaires peuvent être confirmés chez les adultes.

Les résultats de l’étude d’Oxford ont été publiés dans le Journal of Sleep Research.

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Ces personnes qui n’aiment pas la musique

Il n’existe que quelques petites choses de la vie qui semblent faire l’unanimité et qui plaisent à tout le monde, mais à toute bonne règle existe une exception.

C’est le cas de la musique, qui fait vibrer et agrémente la vie de plusieurs personnes, sauf celles qui souffrent « d’anhédonie musicale », selon ce que rapporte Santé Log.

Des chercheurs espagnols basés à l’Université de Barcelone se sont penchés sur le cas de ces personnes qui n’aiment pas la musique, afin de mieux comprendre cette imperméabilité aux mélodies et arrangements de toutes sortes.

À la suite des analyses, les chercheurs estiment que cette insensibilité et ce manque d’intérêt pour la musique s’expliquent par une absence de réaction de la zone du plaisir du cerveau. Ces personnes peuvent cependant tout aussi bien réagir à d’autres plaisirs, ce qui fascine et intrigue les chercheurs.

Cette étude confirme donc que le circuit de récompense du cerveau, ou zone du plaisir, ne réagit pas de façon identique d’un individu à l’autre. La recherche s’ajoute à de précédentes sur le processus de réaction du cerveau aux plaisirs, et celles-ci pourraient contribuer à des percées dans le traitement de certaines dépendances, croit l’équipe de l’Université de Barcelone.

Les résultats de l’étude espagnole sur l’anhédonie musicale ont été publiés dans le magazine Current Biology.

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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Les boissons énergisantes augmentent les risques de troubles mentaux

Comme si les boissons énergisantes n’avaient pas déjà assez mauvaise presse et d’ennemis dans la communauté médicale comme cela, voilà qu’une nouvelle étude en rajoute.

Le Daily Mail (UK) rapporte en effet que des chercheurs estiment maintenant que ces boissons pourraient également être dangereuses pour la santé mentale, et mener à diverses dépendances.

Cette théorie s’ajoute bien entendu aux effets nocifs potentiels des boissons énergisantes sur la santé cardio-vasculaire, déjà bien connus des spécialistes.

L’étude ici rapportée parle d’un danger accru de dépendances diverses chez les adolescents, encouragés par la consommation de boissons énergisantes. Des troubles dépressifs seraient aussi liés à une consommation accrue de ces boissons, dans plusieurs cas.

Les chercheurs canadiens en tête de l’étude s’inquiètent également de la tendance qui voit les jeunes mélanger boissons énergisantes et alcool, un cocktail explosif et dangereux.

« Les campagnes de marketing semblent entièrement dédiées à inciter les jeunes et les jeunes adultes. », s’insurge l’auteur de l’étude, le Dr Sunday Azagba.

Les résultats de cette étude sont publiés dans le journal Preventive Medicine

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Surconsommation de sucre : Nouvelle posologie suggérée par l’OSM

La population en général mange trop de sucre, on le sait. Les études et analyses sur le sujet abondent depuis un bon moment déjà et pressent les consommateurs de réduire considérablement, et le plus rapidement possible, les apports en sucre de leur alimentation.

Oui, mais alors, quelle serait la « bonne quantité » de sucre à respecter? L’OSM propose de nouvelles suggestions en la matière, avec une posologie claire et précise.

Six morceaux de sucre par jour pour les adultes et trois morceaux de sucre par jour pour les enfants, voilà les doses maximales quotidiennes recommandées par l’OMS.

S’en tenir à cette posologie peut sembler plus facile à dire qu’à faire. Car si l’OMS est précise, les industries le sont beaucoup moins quand vient le temps d’afficher le nombre de « morceaux » de sucre que leurs produits contiennent.

L’OMS mentionne quelques exemples. Le ketchup comprend un morceau de sucre par cuillère à soupe, et une canette de boisson gazeuse en comprend sept.

On demande aux consommateurs de s’informer et d’être vigilants, car une majorité d’aliments retrouvés sur le marché contiennent beaucoup trop de sucre.

Boire de l’eau, éviter les produits transformés et usinés, et s’en tenir aux fruits et légumes demeure le type de comportement à adopter.

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Une étude estime que les carnivores sont plus en santé que les végétariens

Des chercheurs autrichiens risquent de soulever l’ire des végétariens et de donner des munitions aux mangeurs de viande avec la parution de cette nouvelle étude qui compare les deux habitudes alimentaires.

Selon les chercheurs de l’Université de Graz en Autriche, les carnivores auraient une longueur d’avance sur les végétariens en matière de santé, rapporte Top Santé

Ceux qui estimeront qu’il ne peut s’agir d’une étude exhaustive devront se raviser, puisque les chercheurs autrichiens auraient analysé 15 000 dossiers pour en arriver à de telles conclusions.

« Nous avons commencé notre étude avec 15 000 études de cas et avons divisé les témoins en groupes alimentaires. Nous avons sélectionné 343 végétariens et avons ensuite examiné leur âge, leur sexe et leur origine sociale et économique, qui comprenait le niveau d’éducation, le revenu et leur carrière. Nous avons ensuite comparé les végétariens avec des personnes aux caractéristiques similaires dans les trois autres groupes d’aliments », précise la coauteure de l’étude, Nathalie Burkert.

Au nombre des observations, on remarque qu’un grand nombre de végétariens déclarent ne pas se sentir en bonne santé, souffrir d’allergies et même ressentir des lacunes sur le plan social.

Nathalie Burkett souligne cependant qu’elle ignore si le choix du végétarisme est la cause de ces symptômes, ou si l’inverse serait vérifiable.

Elle croit cependant que l’étude démontre clairement encore une fois que le meilleur choix de diète demeure la méditerranéenne.

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Trop de protéines peuvent affecter la santé des cinquantenaires

Les gens qui traversent le cap de la quarantaine et de la cinquantaine devraient surveiller leurs apports en protéines dans leur alimentation, si l’on se fie aux conclusions proposées dans une nouvelle étude.

L’étude en question, rapportée par The National Library of Medicine, estime qu’une diète à forte teneur en protéines peut s’avérer dommageable pour la santé des personnes en « milieu de vie », soit entre 45 et 60 ans.

Passé cet âge, étrangement, il semble que les protéines redeviennent un allié de la santé, comme le confirmait d’ailleurs une récente étude sur le sujet.

« La recherche démontre qu’une diète faible en protéines en milieu de vie peut être utile pour prévenir du cancer et de la mortalité en général. Cependant, nous proposons également qu’à un âge plus avancé, il peut être important d’éviter une diète faible en protéines afin de maintenir un poids santé », explique la coauteure de l’étude, Eileen Crimmins, de l’Université de la Californie du Sud.

En clair, l’humain doit s’adapter selon son groupe d’âge en matière de santé, et cette nouvelle étude confirme que les besoins et dangers du corps humain évoluent avec les autres facteurs lors du vieillissement.

Les conclusions de l’étude californienne ont été publiées dans le magazine Cell Metabolism.