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Morts foetales enfin expliquées?

Une étude parue dans le Journal of the American Medical Association nous permet d’en apprendre davantage sur le rôle du placenta dans les morts foetales in utero.

Selon des spécialistes de l’Institut américain de la santé, la moitié des morts foetales s’expliqueraient au minimum par une complication survenue au cours de la grossesse.

Pour en arriver à ces résultats, plus de 500 femmes ont été examinées par des scientifiques entre 2006 et 2008 dans cinq États américains.

Sur ce nombre, 26 % des morts foetales s’expliquaient par un dysfonctionnement du placenta, 14 à 19 % étaient provoquées par des infections ou intoxications aiguës qui touchaient la mère, et 10 % relevaient de malformations du foetus et de dysfonctionnements du cordon ombilical.

Selon la revue médicale The Lancet, 7000 décès in utero ont lieu quotidiennement sur la planète, et 98 % de ces morts surviennent dans des pays en développement.

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Trop fatigué pour aller à l’école

Selon une récente étude, un enfant sur 100 serait atteint du syndrome de la fatigue chronique (SFC), aussi connu sous le nom d’encéphalite myalgique. Cependant, après avoir été diagnostiqués et traités, les deux tiers d’entre eux reprendraient le dessus rapidement et retourneraient à l’école normalement.

Les spécialistes se sont penchés sur la question, après avoir remarqué que plusieurs jeunes manquaient, pour des raisons inexpliquées, le 1/5 de leurs cours. Ils en ont conclu que le SFC était une cause importante à l’absentéisme à l’école chez les jeunes.

Les enfants aussi jeunes que 5 ans peuvent être touchés par cette infection virale qui se traduit par de la toux, de la fièvre et de la fatigue extrême. Avant d’avoir terminé leur troisième secondaire, 461 étudiants sur 2855, en Angleterre, avaient manqué 20 % de leurs cours en six semaines.

Les seuls remèdes existants pour cette maladie sont la thérapie, l’encouragement à faire de l’exercice et à discuter afin de partager des inquiétudes.

Il semblerait également que les enfants ayant été diagnostiqués par les services scolaires (infirmière, psychologue, etc.) retrouvent leur énergie plus rapidement, car ils se sentent appuyés dans leurs démarches de guérison.

Les enfants ayant été traités dans des cliniques spécialisées prendraient plus de temps à revenir en classe, malgré l’apparence d’un traitement rapide et efficace.

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Bébé comprend le vocabulaire et la grammaire bien avant de parler

Une étude de l’Université de Notre-Dame a démontré comment un bébé s’y prend pour acquérir le langage, et ce, dès sa naissance.

Il semblerait que les bébés passent énormément de temps à écouter les gens parler, à tenter de trouver des indices dans le langage et à faire des associations. Ce serait grâce à la sonorité des mots et aux divers contextes que ces derniers pourraient être prêts, entre 18 et 24 mois, à maîtriser le langage et la parole.

Jill Lany, assistante en psychologie et directrice du Laboratoire bébé Notre-Dame, explique que les bambins peuvent distinguer des noms et des verbes, seulement en repérant des indices sonores.

Avant d’atteindre 12 mois, ceux-ci seraient aptes à comprendre que dans cette séquence de mots : « c’est un cadeau », « cadeau » est un nom, car il suit « c’est un ». Dès ce moment, le cerveau retiendrait que tout ce qui suit le son « c’est un » est un nom.

Vers l’âge de 15 mois, les enfants seraient capables de comprendre les termes placés plus tôt ou plus loin dans une phrase plus longue.

Selon Jill Lany, il serait faux de croire que la grammaire vient après l’apprentissage des mots. Le fait que le bébé assimile la manière dont les mots se placent et se produisent dans le langage durant les 12 premiers mois de sa vie permettrait de faciliter et soutenir son processus d’apprentissage du vocabulaire, qui arrive quelques mois plus tard.

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Grossesse : combien de poids devrait prendre une femme obèse?

Malgré plusieurs discussions sur ce sujet, il n’y a toujours pas décision générale qui a été prise concernant le poids santé que devrait prendre une femme obèse ou avec un surplus de poids, lors de la grossesse.

En 2009, même si tous n’étaient pas en accord, l’Institut de médecine a changé ses critères à la baisse, mentionnant qu’une femme dans cette situation devrait prendre de 11 à 20 livres.

Une étude a été réalisée auprès de 691 femmes obèses. Sur ce nombre, 57,7 % avaient, avant la grossesse, un indice de masse corporelle (IMC) de 30 à 34,9 (considéré niveau I d’obésité), 27,1 % obtenaient 35 à 39,9 (niveau II obésité) et 15,2 % avaient un IMC de 40 ou plus.

Parmi ces femmes, environ la moitié prenait 25 à 35 livres, soit un poids dit habituel et commun. Quant aux autres, elles prenaient le poids considéré sain par l’Institut de médecine, soit 11 à 20 livres.

Peu importe le poids accumulé durant la grossesse, aucune différence n’a été remarquée entre les deux groupes concernant le poids du bébé à la naissance ou encore le nombre d’admissions à des unités de soins spécialisés.

Cependant, il semblerait que plus de césariennes sont pratiquées et davantage de haute pression est remarquée pour les femmes ayant pris le poids recommandé par l’Institut de médecine.

Malgré ces points et le fait que rien n’a été encore prouvé concernant les effets à long terme sur la santé, les scientifiques suggèrent tout de même aux femmes obèses de prendre de 11 à 20 livres pendant la grossesse.

 
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La plus accrocheuse est We Are The Champions de Queen

Chaque jour peut nous apporter les résultats d’un sondage qui nous dit quelle est la pièce préférée d’un certain groupe d’âge, de lecteurs de tel magazine, mais rarement a-t-on la chance de prendre connaissance de résultats scientifiques en ce qui concerne la musique pop.

Une équipe de scientifiques de la Goldsmiths University à Londres ont observé des milliers de volontaires chantant sur une sélection de chansons. Ils ont découvert que 4 éléments précis faisaient d’une chanson une pièce accrocheuse.

Selon eux, il faut des phrases musicales longues et détaillées, des changements de ton multiples dans l’accroche d’une chanson, des chanteurs masculins et des voix masculines plus aiguës qui font un effort vocal notable.

En utilisant cette formule, les scientifiques ont trouvé que We Are The Champions de Queen est la pièce la plus accrocheuse de tous les temps.

Suivent Y.M.C.A. de Village People, Fat Lip de Sum 41, The Final Countdown de Europe et Monster de The Automatic pour compléter le top 5.

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Une autre étude confirme les effets néfastes de la télévision

Dès l’âge de 25 ans, chaque heure passée devant la télévision réduit l’espérance de vie de 20 minutes. C’est ce que dévoile une étude australienne publiée dans le British Journal of Sports Medicine.
 
Dans les faits, un adulte qui regarde la télévision environ six heures par semaine réduirait son espérance de vie de cinq ans, comparativement aux personnes qui ne regardent pas la télévision.
 
Regarder la télévision est une activité sédentaire qui est considérée comme un facteur de risque aux accidents cardiovasculaires, au même titre que le tabagisme et le manque d’activité physique. Cela accentue les risques de décès liés aux troubles cardiovasculaires.
 
Ces résultats ont été obtenus après avoir analysé les données sur le diabète, l’obésité et les habitudes de vie, récoltées lors d’une vaste enquête nationale.
 
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Les bienfaits d’un animal de compagnie remis en question

Le professeur en psychologie de l’université Western Carolina, Howard Herzog, affirme dans le magazine Tendances en psychologie que les bienfaits de posséder un animal de compagnie restent à confirmer.
 
Il mentionne qu’il y a eu de nombreuses études contradictoires. Alors que certains experts disent qu’avoir un animal de compagnie est bon pour la santé, d’autres affirment le contraire. Mais selon lui, les études plus négatives ne font pas vraiment les manchettes sur ce sujet.
 
Certaines autres études ont révélé que les bienfaits d’un animal de compagnie dans la vie d’une personne n’étaient que minimes.
 
Plus de recherches devraient être effectuées sur le sujet pour prouver qu’il existe bel et bien des avantages à posséder un animal.
 
Cependant, le professeur Herzog reconnaît que pour les enfants autistes et enfants aux prises avec des problèmes psychologiques, la présence d’un animal de compagnie est effectivement bienfaitrice.
 
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Des trucs pour améliorer le QI de votre enfant

Bien qu’aujourd’hui, les parents soient plus absents à cause de leur carrière, il demeure de leur responsabilité de participer au développement et à l’apprentissage de leurs enfants. Quelques trucs peuvent être facilement mis en place pour aider votre enfant à développer ses capacités intellectuelles.

D’une part, selon medicmagic.net, il faut se rappeler que les enfants apprennent mieux lorsque le jeu fait partie de la leçon. Ainsi, intégrez une balade à vélo en vous amusant aux tables de multiplication, aux règles de français ou à la retenue de lieux géographiques. Il est prouvé que brûler des calories en apprenant augmente les résultats scolaires en moyenne de 13,5 %.
 
Ensuite, assurez-vous de limiter le temps passé devant un écran, puisque cela diminue la production de dopamine, élément essentiel à la concentration et à l’apprentissage. De plus, gardez l’œil sur ce que regardent vos enfants. Il semblerait que les notes diminuent lorsque votre bambin regarde des films destinés aux adultes.
 
Ne laissez jamais votre enfant quitter la maison sans avoir pris un déjeuner. Il est connu que l’on apprend mieux le ventre plein. Choisissez par exemple le gruau, qui demeure plus longtemps dans l’organisme et nourrit ainsi le cerveau en continu.
 
Finalement, les jeunes devraient dormir au moins 8 heures chaque nuit. Une étude menée par l’Université Brown prouve que des enfants qui manquent de sommeil voient automatiquement l’efficacité de leur cerveau diminuer, tout autant que leur rendement scolaire.
 
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L’alcool pendant la grossesse serait bénéfique pour l’enfant

Il s’agit, selon reporternews.com, d’une première étude menée par des chercheurs australiens, puis d’une seconde recherche publiée dans le journal de l’Académie américaine de psychiatrie pour enfants et adolescents.

Les spécialistes australiens ont fourni les renseignements à la suite de l’étude de cas de 2 300 enfants âgés de 2 à 14 ans dont la mère buvait modérément pendant la grossesse (2 à 6 consommations par semaine). Il semble que ces enfants étaient plus équilibrés émotionnellement que ceux nés d’une mère qui s’était abstenue de tout alcool pendant la grossesse.
 
La seconde étude a été menée auprès de 11 500 enfants nés de mères qui consommaient légèrement pendant leur grossesse, soit de 1 à 2 consommations par semaine. Ces enfants ont obtenu des scores plus élevés aux tests cognitifs soumis.
 
La publication de ces données offense plusieurs corps médicaux. « On dirait plutôt une étude psychologique, et non une étude médicale », rapporte Edward Holt, obstétricien à Abilene. Un pédiatre du même institut, Justin Smith, se range du même côté, comme plusieurs autres collègues.
 
« Il n’y a aucune étude définitive et concluante à propos de la consommation d’alcool chez les femmes enceintes. Celle-ci ne fait pas exception », affirme Smith. « Le mot d’ordre demeurera le même, c’est-à-dire de conseiller l’abstinence de consommation, plutôt que de risquer la santé de la patiente et de l’enfant », poursuit le pédiatre.
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L’allaitement diminue les risques de mort subite du nourrisson

Babycenter.com révèle que l’édition de juillet de la revue Pediatrics contient une nouvelle étude sur la corrélation entre le syndrome de mort subite du nourrisson et l’allaitement. Ainsi, les mères qui donnent le sein à leur enfant, même sur une courte période, réduisent les risques de mort subite.

Ce syndrome, largement étudié à travers les différents corps médicaux et scientifiques, demeure en partie énigmatique.
 
Néanmoins, à la suite de l’analyse de 18 études complètes sur le sujet, le D. Hauck et son équipe ont été en mesure d’établir la relation directe entre l’allaitement et les risques de mort subite du nourrisson. Les éléments contenus dans le lait maternel renforcent naturellement le système immunitaire du bébé.
 
Les données consultées proviennent d’une multitude de pays et comprennent une grande variété de populations et de contextes socioéconomiques. Ce syndrome mystérieux se retrouve en majeure partie chez les bébés de 2 à 4 mois.
 
Ainsi, les spécialistes recommandent fortement que la mère offre le lait maternel jusqu’à 6 mois et, idéalement, fasse ainsi la première année de vie de l’enfant en évitant toute autre sorte de lait. Il va de soi que d’autres facteurs connus, comme la fumée secondaire, les matelas trop mous ou la prématurité, sont à considérer.