Une récente recherche suggère que les enfants d’adoption, comparativement à ceux qui vivent avec leurs parents biologiques, sont plus enclins à développer des troubles comportementaux tels que l’hyperactivité, le manque de confiance en soi et des difficultés d’apprentissage scolaire.
Des chercheurs affirment que les résultats d’une étude démontrent que les enfants « très joyeux » ont une vie plus courte que leurs compagnons plus calmes. Le Telegraph rapporte que la principale raison à cela réside au niveau des choix effectués plus tard dans leur vie adulte.
En effet, les enfants anormalement heureux, et ce, à des moments inappropriés, seraient plus enclin à développer une bipolarité ou à effectuer des choix de vie dangereux ou nocifs pour leur santé.
L’analyse, provenant de plusieurs universités, remonte aux années 1920, les enfants choisis ayant été suivis jusqu’à leurs vieux jours. En outre, les chercheurs ont découvert que le fait de tenter d’être heureux se soldait par un comportement d’autant plus dépressif.
La professeure June Gruber, coauteure du département de psychologie de l’Université Yale, explique : « Lorsque l’on tente les exercices proposés par nos lectures et que ceux-ci ne fonctionnent pas, nous éprouvons de la déception et la joie s’en trouve diminuée, contrairement à l’effet escompté. »
En résumé, la clé du bonheur consiste à entretenir des relations sociales gratifiantes avec nos proches et nos amis. Le reste n’est qu’illusion.
En effet, Babycenter rapporte les résultats d’une nouvelle étude reliée à la sécurité des jeunes enfants dans leur environnement familial. Sur une période 2 ans, les chercheurs du Centre Hospitalier pour enfants de Cincinnati ont évalué deux groupes distincts de familles ayant des nourrissons à la maison.
L’investigateur en chef de l’étude, Dr Kieran J. Phelan, précise : « Les parents n’ont peut-être pas le temps, manquent de connaissances ou de ressources pour obtenir et installer ces produits de sécurité. Par contre, si l’on considère l’ampleur des visites annuelles reliées à la négligence de la sécurité, des millions de dollars en frais de santé pourraient facilement être épargnés. Il suffirait d’implanter à grande échelle des mesures de sécurité de base dans les environnements familiaux. »
Il semblerait que lorsque nous hésitons à nommer quelque chose et intégrons des pauses telles que « euh » ou « hum », notre nourrisson détecte qu’il est sur le point d’apprendre quelque chose de nouveau et porte une attention particulière à ce que nous nommerons.
En effet, selon le HealthDay News, les parents qui utilisent ces onomatopées aident leur poupon dans l’apprentissage de sa langue maternelle. Des chercheurs ont effectué une étude auprès d’enfants âgés de 18 à 30 mois. L’équipe du Baby Lab de l’Université de Rochester, à New York, confirme que les enfants tendent l’oreille dès qu’une voix leur fournit une explication accompagnée d’une pause. Par exemple : « regarde le, euh… parapluie ».
Cependant, les recherches précisent que les résultats sont probants uniquement chez les enfants âgés de plus de 24 mois. En deçà de cet âge, les nourrissons n’associent pas d’emblée le « euh » ou le « hum » qui précède habituellement une nouvelle information.
Celeste Kidd, principale responsable de l’équipe du Baby Lab, explique : « Nous ne préconisons pas l’utilisation abusive de ces disfluences auprès des parents, mais je crois qu’il est important qu’ils comprennent que ces pauses ou hésitations constituent des éléments informatifs influents auprès des nourrissons ».
Sous le radar de bien des médias depuis le début du forage de puits d’extraction de gaz de schiste, l’État de la Pennsylvanie voit sa capitale Philadelphie se faire attribuer le titre peu enviable de ville la plus toxique des États-Unis.
C’est en effet Philadelphie qui trône au sommet d’une étude menée par Forbes.com qui a analysé les indices de toxicité de l’eau, de l’air et de sites contaminés dans plus de 80 municipalités du pays.
Morgan Brennan de Forbes précise que « l’air de Philadelphie n’est pas très bon, mais d’autres villes sont pires qu’elle. Philadelphie possède toutefois plus de 50 sites contaminés, de l’eau de très mauvaise qualité et beaucoup d’émissions toxiques. »
Les villes de Bakersfield et Fresno en Californie se classent respectivement 2e et 3e, suivies de New York et Bâton-Rouge qui complètent dans l’ordre le top 5 des villes jugées les plus toxiques aux États-Unis.
Toutefois, Brennan met un bémol quant à cette analyse. « Ce n’est pas parce qu’une ville est jugée toxique que ses habitants sont exposés directement ou courent un risque de cancer relié aux émanations. »
De nouvelles études sur l’aspartame
Une étude conjointe entre plusieurs universités fait une nouvelle lumière sur la façon d’éduquer les enfants, apprenons-nous dans le Daily Mail.
Selon son auteure, Dre Ingrid Pramling Samuelsson de l’Université de Göteborg, le développement de la pensée, du raisonnement et de la compréhension est beaucoup plus avancé que l’on ne croit durant la petite enfance.
Les recommandations de la Dre Pramling Samuelsson et de son équipe sont donc de repenser la façon dont se déroule l’éducation des enfants.
Celle-ci pourrait être entreprise plus tôt, car les enfants, selon des données scientifiques, comprendraient dès un jeune âge les tenants et aboutissants de leur environnement social, économique et écologique.
Finalement, en vue d’un plus grand développement durant les années suivantes, une dernière recommandation serait d’encourager l’innovation dans les programmes éducationnels dès l’âge préscolaire.
Sous la direction du Dr Hugues Patural, cette étude française cherchera à mieux nous faire comprendre le développement du système nerveux des poupons, nous apprend Le Progrès.
Le pédiatre-réanimateur suivra donc 400 bébés, avec l’accord de leurs parents. Pour ce faire, un capteur sera placé dans leur lit, qui les reliera à un enregistreur pendant leur sommeil.
Vingt-quatre heures plus tard, le bébé sera ramené à l’hôpital afin que l’on puisse récupérer l’appareil. Ainsi, cinq visites seront nécessaires au bon fonctionnement de l’étude, et ce, pendant deux ans, soit la durée des recherches.
Le but est de mettre au point un modèle d’équilibre pour les enfants de zéro à deux ans. Il sera ainsi plus facile, à l’avenir, de détecter quels sont les enfants le plus à risque de mort subite, un phénomène encore trop peu expliqué.
Par ailleurs, pour prévenir la mort subite du nourrisson, il est d’avis médical de coucher les nourrissons sur le dos pendant leur sommeil, de contrôler la température de la chambre et de ne pas couvrir leur visage, entre autres.