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Les caissiers et serveurs à risque à cause du bisphénol A?

Le métier de caissier, commis ou serveur est-il plus dangereux qu’on pourrait le croire? C’est ce que laisse entendre une nouvelle étude en provenance de l’Université de Cincinnati, maintenant rapportée par The National Library of Medicine. Elle conclut que les factures et reçus manipulés des milliers de fois par ces employés pourraient être toxiques.

Une toxicité explicable par la présence de bisphénol A (aussi largement connu sous le nom de BPA) dans les reçus de papier tendus aux clients à la suite d’une transaction.

Utilisé pour éviter que les couleurs et détails du reçu s’effacent, le bisphénol A n’aurait besoin que de deux heures pour causer un effet sur un caissier, selon les chercheurs américains.

C’est donc dire qu’après deux heures de travail intense, un commis verra ses taux de BPA augmenter radicalement. Cette conséquence peut s’avérer bénigne, mais les chercheurs s’inquiètent de voir de jeunes femmes enceintes ou fertiles passer 40 heures par semaine à manipuler ces reçus et factures.

La même crainte, cette fois en lien avec des contenants et bouteilles, a été établie au cours des dernières années concernant le BPA et les jeunes enfants.

D’autres études sur le sujet doivent être réalisées pour mesurer les effets réels à long terme du BPA retrouvé sur les reçus et factures des magasins.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of the American Medical Association.

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Manger des fraises peut contribuer à contrôler le cholestérol

ScienceDaily rapporte une étude intéressante en nutrition qui accorde un bénéfice important aux fraises en matière de contrôle des taux de cholestérol dans le sang.

Selon les informations dévoilées, des chercheurs italiens et espagnols ont demandé à une équipe de volontaires de consommer un demi-kilo de fraises quotidiennement, afin de vérifier les effets et impacts de ces petits fruits sur le sang.

L’équipe a ainsi pu confirmer les conclusions de plusieurs autres études sur les bienfaits et apports des antioxydants retrouvés dans la fraise. Mais les chercheurs européens ont également remarqué des changements dans les taux de cholestérol dans le sang affichés par les patients volontaires.

Les niveaux de mauvais cholestérol et de triglycérides des sujets ayant mangé la quantité de fraises proposée au cours du mois d’essai auraient descendu de façon « significative ».

En ajoutant cette fonction aux précédentes accordées à la fraise, on peut donc conclure que le petit fruit est un précieux allié du sang et de la santé, et qu’il serait donc bénéfique de l’inclure à notre alimentation de façon répétée.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Journal of Nutritional Biochemistry.

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Pointer, première forme de communication des bébés

Une étude catalane effectuée à l’Université Pompeu Fabra de Barcelone sur le développement du langage chez les jeunes enfants suggère que la gestuelle et le pointage d’objets sont les premières étapes vers l’apprentissage d’une langue.

La recherche publiée dans le journal Speech Communication est la première à démontrer comment et quand les bébés assimilent la coordination de gestes à la parole.

Dans les faits, la communication interactive et les émotions sont transmises par le langage et des éléments de communication non verbale, tels les gestes effectués avec les mains, les expressions faciales et la position du corps.

Les auteurs de l’étude affirment que le langage et le langage corporel sont deux éléments requis pour accéder à la communication verbale chez l’humain. Il y a de plus en plus d’indications que les deux modes d’expression sont développés en même temps et sont intimement reliés.

Au total, 4500 actes de communication ont été étudiés chez des bébés âgés de 11 à 19 mois pour les besoins de cette étude.

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La malbouffe liée au développement de la maladie d’Alzheimer

Il existerait un lien entre des composantes de divers aliments jugés mauvais pour la santé et une hausse des risques de faire de l’Alzheimer.

Ces résultats, rapportés par The National Library of Medicine, sont ceux obtenus après qu’une équipe de chercheurs de la Mount Sinai School of Medicine de New York aient testé l’impact de ces aliments sur des rongeurs.

Les souris tests ont présenté des traces accrues de bêta-amyloïde au cerveau après que les chercheurs aient intégré dans leur alimentation des composantes retrouvées dans la malbouffe.

La bêta-amyloïde est une protéine responsable des plaques amyloïdes, l’une des caractéristiques de la maladie d’Alzheimer.

On retrouve ces composantes alimentaires néfastes et propices au développement de l’Alzheimer dans les viandes chauffées à haute température, comme les viandes frites et bouillies, ainsi que dans les produits laitiers pasteurisés.

« On ingère ces toxines par grandes quantités au cours d’une vie », lance la docteure Helen Vlassara, qui dirige les travaux.

Même si Vlassata et son équipe doivent démontrer une cause à effet directe, il s’agit d’une des premières études à démontrer efficacement un possible lien entre la malbouffe et l’Alzheimer.

Les conclusions de ces recherches ont été publiées dans les Proceedings of the National Academy of Sciences.

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La vitamine E et le sélénium augmenteraient les risques de cancer de la prostate

Des apports trop élevés en vitamine E et en sélénium pourraient être hautement dangereux pour certains hommes, selon ce que rapporte Top Santé.

Ce sont les conclusions proposées dans une étude se basant sur les premiers essais du programme Selenium and Vitamin E Cancer Prevention Trial (SELECT) et mettant en doute les bienfaits des suppléments de vitamine E chez certains hommes.

L’étude en provenance du Fred Hutchinson Cancer Research Center avance des chiffres stupéfiants en la matière, considérant que les essais effectués avaient pour but de déterminer la réduction des risques de cancer liée à une prise de suppléments en vitamine E et en sélénium.

Au lieu de cela, on estime une hausse de 91 % des risques de cancer de la prostate chez les hommes consommateurs de suppléments de sélénium. La hausse des risques liée aux suppléments de vitamine E serait quant à elle de 63 %.

« Prendre des suppléments de sélénium sans carence peut devenir toxique. Les hommes qui prennent ce type de suppléments doivent arrêter. Les effets des suppléments simples à forte dose sont imprévisibles, complexes et souvent nuisibles. Les niveaux optimaux sont souvent ceux liés simplement à une alimentation saine », croit l’équipe de chercheurs en tête de l’étude.

Ces inquiétants résultats ont été publiés dans le Journal of the National Cancer Institute.

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Les meilleurs souvenirs confinés aux 25 premières années d’une vie?

Est-ce que les meilleurs souvenirs d’une vie entière se cacheraient presque tous au cours des 25 premières années? C’est ce que semble laisser entendre une nouvelle étude sur la mémoire et le comportement, rapporte The National Library of Medicine.

Cette étude menée par Kristina Steiner et en provenance de l’Université du New Hampshire analysait la vie et les réponses de 34 sujets volontaires qui devaient raconter leurs parcours. Ceux-ci ont majoritairement repris des événements qui s’étaient déroulés entre l’âge de 17 et de 25 ans.

« Quand les gens regardent leur vie et qu’ils doivent choisir des souvenirs importants, la plupart divisent les histoires par chapitres, définis par des moments importants qui sont universels : l’amour, l’entrée à l’université, un premier emploi et les enfants.

Comme ces grands changements et événements surviennent pour une majorité de gens avant l’âge de 25 ou 30 ans, les chercheurs américains remarquent que bien peu de souvenirs des périodes entre 30 et 70 ans refont surface lorsqu’ils questionnent leurs sujets.

Est-ce là une réaction normale ou devrions-nous nous assurer de nous créer des souvenirs aussi magiques qu’à 25 ans, une fois la trentaine passée? L’étude de Kristina Steiner a de quoi faire réfléchir.

Les résultats ont été publiés dans le journal Memory.

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Création d’un nouveau test de détection du cancer sans danger pour la santé

The National Library of Medicine rapporte la création d’une nouvelle méthode pour tester les gens en prévention du cancer, et qui ne comporte pas de risque inhérent pour la santé.

Ironiquement, les tests scanneurs utilisés en oncologie pour dépister les cas de cancer utilisent des radiations qui peuvent contribuer au développement de problèmes de santé chez les patients testés, voire du cancer lui-même. On parle d’un risque accru chez les enfants et les « jeunes adultes », soit jusqu’à 40 ans.

Mais selon le Dr Heike Daldrup-Link, de l’école de médecine de Stanford, la solution pourrait maintenant être à nos portes.

« Nous pouvons résoudre le problème et le dilemme liés à la nécessité d’un scanneur pour tout le corps et son risque potentiel de provoquer un cancer plus tard au cours de la vie d’un patient », explique le Dr Daldrup-Link.

Cette solution se traduit par l’utilisation d’un test par résonnance magnétique doublé d’un agent contrastant, un genre de supplément, qui permet de mieux voir ce qui se passe dans le corps d’un patient. Un premier essai sur 22 patients a démontré une efficacité similaire à celle du scanneur par radiations.

Même s’il s’agit d’une belle percée, d’autres études et tests sont à faire avant que cette nouvelle méthode soit approuvée et utilisée sur une large échelle.

Les conclusions de cette étude ont été publiées dans le journal The Lancet Oncology en février.  

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Penser au présent influence négativement les choix alimentaires

On nous parle souvent de l’importance de profiter du moment présent et de privilégier celui-ci au lieu d’avoir la tête dans le futur, mais cette idéologie pourrait bien être plus néfaste qu’autre chose en matière d’alimentation.

Selon une étude américaine en provenance de l’Université du Delaware, les personnes aptes à manger de façon équilibrée ou à tenir le coup face à un régime seraient celles dont les pensées sont axées vers le futur, rapporte Top Santé.

Parfois hors de contrôle, le réflexe de se concentrer sur le présent et sur les choses réconfortantes de l’environnement immédiat survient souvent lors de mauvaises passes et de moments de déprime, selon le professeur Meryl Gardner.

Cette dernière, qui dirige l’étude, explique : « Lorsque nous nous sentons mal à l’aise ou de mauvaise humeur, nous savons que quelque chose ne va pas. C’est logique de se concentrer sur ce qui est proche de nous physiquement et temporairement. Si les personnes de mauvaise humeur choisissent souvent des aliments qui leur fournissent une récompense immédiate, il serait plus efficace de les encourager à améliorer leur humeur d’une autre façon. Si vous ne vous sentez pas en phase avec vous-même, au lieu de vous concentrer sur la nourriture et les étiquettes, essayez de parler à des amis ou d’écouter de la musique ».

Comme ces recherches l’indiquent, il est possible de conditionner un patient à prendre les bonnes décisions alimentaires lors de phases de déprime ou de détresse psychologique, et ainsi éviter de compenser ou de se réconforter dans la nourriture.

La clé résiderait donc dans la capacité à penser au futur et à se tourner vers l’avenir, afin de se concentrer sur de meilleurs jours à venir et les conséquences de mauvais choix alimentaires, et non sur ce gâteau au chocolat disponible au présent.

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Les personnes impulsives plus à risque d’obésité

Une nouvelle étude américaine trace un parallèle entre l’impulsivité et une hausse des risques d’obésité, rapporte Santé Log.

Selon des chercheurs de l’Université de Géorgie, un comportement impulsif peut mener rapidement à une prise de poids. La même chose s’applique à l’abus d’alcool et de drogues, mais le phénomène serait particulièrement sournois en matière d’alimentation.

Ce lien a pu être tracé grâce à l’analyse de sujets volontaires, que l’on a soumis à deux types de tests. Le premier vérifiait le niveau de dépendance alimentaire et les habitudes de consommation, alors que le deuxième s’attardait au degré d’impulsivité des sujets. 233 de ces volontaires à l’étude ont permis d’établir le lien exposé par les chercheurs.

Ils croient ainsi qu’il est possible de s’attaquer à l’obésité et aux troubles alimentaires de la même façon qu’on le fait pour traiter d’autres dépendances découlant de l’impulsivité.

Cette étude s’ajoute donc à plusieurs autres qui ont précédemment établi que la surconsommation de nourriture et certains troubles alimentaires sont des phénomènes similaires aux autres dépendances.

Les aliments gras, salés, sucrés ou réconfortants permettent tous de créer une réaction dans la « zone de récompense » du cerveau, pavant ainsi la voie aux abus et à l’obésité.

D’autres études et recherches sont attendues afin d’analyser les possibles méthodes de traitements afin de venir en aide aux personnes impulsives qui souhaiteraient améliorer leurs habitudes de consommation de nourriture.

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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.