Catégories
Uncategorized

Le traitement public des troubles de la fertilité serait bénéfique

Que le gouvernement et le système public de santé s’occupent des traitements de fertilité et de fécondation in vitro auxquels ont recours des milliers de femmes est une bonne chose, selon une toute nouvelle étude sur le sujet.

C’est ce que rapporte Radio-Canada, qui reprend une étude en provenance de l’Université de l’Alberta, qui avait pour but d’évaluer les impacts d’une intervention publique en matière de traitement de l’infertilité.

Pour les chercheurs de l’Université de l’Alberta, l’intervention de l’État dans l’accompagnement de ces femmes désireuses d’avoir un enfant permettrait des traitements moins risqués et plus ciblés, ainsi qu’une réduction des frais généraux.

On parle d’une économie possible variant de 50 à 100 millions pour l’Alberta  si la province se lançait dans l’aventure publique, en plus d’un nombre réduit de naissances prématurées et de complications.

L’étude fait grand bruit dans les villes albertaines qui souhaitent voir le système public augmenter son soutien aux femmes et aux parents désireux d’avoir un enfant.

On estime à 16 % le nombre de citoyens canadiens aux prises avec des problèmes d’infertilité.

Catégories
Uncategorized

Une poignée de noix pour prévenir du cancer du pancréas

Quelques noix peuvent-elles changer la donne en matière de prévention du cancer du pancréas? C’est ce que semble indiquer une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui vante les mérites des noix en prévention de ce virulent type de cancer.

L’étude exhaustive en provenance de l’Université Harvard analysait les données recueillies auprès de 75 000 femmes. Les résultats semblent clairs pour les chercheurs de la prestigieuse université : la consommation de noix peut bel et bien réduire les risques de cancer du pancréas.

On parle d’une diminution des risques de tumeur de 35 % chez les femmes qui consommaient des noix au moins deux fois par semaine.

L’étude ne mentionne pas quel type de noix serait plus efficace en matière de prévention, mais en suggère simplement la consommation hebdomadaire.

Les noix sont également vantées dans plusieurs autres études en nutrition. Elles préviendraient plusieurs maladies et troubles de la santé, et devraient faire partie d’un régime équilibré, selon une majorité de spécialistes.

Catégories
Uncategorized

Prendre une marche bénéficie aussi au cerveau

Les amateurs de promenades et de longues marches connaissent bien les avantages de cette activité physique simple. L’air frais, la découverte de nouveaux lieux, la complicité à partager avec une autre personne, l’activité physique, une meilleure digestion, bref, les bienfaits connus de la marche sont nombreux.

Mais selon une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), la marche aurait également des bénéfices secrets pour le cerveau.

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, le fait de s’adonner à trois marches hebdomadaires de 40 minutes aurait un impact direct sur le cerveau et l’hippocampe. Cette zone grossirait au gré de ces marches de santé, ce qui pourrait prévenir de certaines maladies comme l’Alzheimer, croient les chercheurs américains.

« Vous n’avez pas besoin d’une activité physique hautement vigoureuse pour observer ces effets. Ça peut sembler modeste comme somme (d’exercice), mais ça permet d’inverser l’horloge de l’âge de quelques années », croit le Dr Kirk Erickson, chercheur en chef de l’étude à l’Université de Pittsburgh. 

Bien qu’il spécifie également que la marche, ou une autre activité physique, ne constitue pas une « baguette magique » contre les maladies dégénératives comme l’Alzheimer, le Dr Erickson reste convaincu qu’il s’agit de l’un des meilleurs moyens de garder son cerveau vif et en santé.

Catégories
Uncategorized

Football : Des casques souvent inefficaces

Le dossier des commotions cérébrales dans le sport est pris très au sérieux par les différentes fédérations, ligues, autorités sportives et athlètes depuis quelques années.

La violence et les coups portés à la tête sont notamment analysés au hockey et au football, et de nouvelles mesures sont implantées afin de protéger les joueurs, spécialement les plus jeunes.

Une nouvelle étude américaine en provenance du Florida State University College of Medicine et rapportée par The National Library of Medicine démontre cependant certaines lacunes alarmantes au niveau des casques portés par les joueurs de football.

Les casques ne protègeraient en fait que très peu des chocs reçus de façon latérale, c’est-à-dire de côté, selon les chercheurs floridiens. On parle d’une protection contre les blessures sérieuses à la tête de seulement 20 %, contrairement à 60 ou 70 % pour les coups reçus en ligne droite.

C’est après avoir conduit plus de 300 tests sur des mannequins arborant différents types de casques que le coauteur de l’étude, le Dr Frank Conidi, et son équipe ont pu conclure à d’aussi faibles résultats en matière de choc latéral au football.

Les chercheurs croient qu’il est impératif de remédier à la situation afin de protéger les jeunes joueurs de football de niveau secondaire et universitaire.

Le Dr Conidi et ses collègues présenteront leurs conclusions lors de la réunion annuelle de l’American Academy of Neurology (AAN), le printemps prochain.

Catégories
Uncategorized

La vitamine C peut-elle prévenir des AVC?

Une nouvelle étude en provenance de la France dévoile un présumé risque accru d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes présentant une carence en vitamine C, rapporte The National Library of Medicine.

Mais alors, la vitamine C pourrait-elle prévenir des AVC? Bien que les chercheurs français en tête de l’étude soient loin de pouvoir confirmer une telle cause à effet, ils affirment cependant avoir observé une plus grande incidence d’AVC chez des personnes affichant des carences en vitamine C.

« L’étude suggère en effet qu’un faible niveau de vitamine C est un risque pour des hémorragies cérébrales spontanées », lance le Dr Stéphane Vannier, de l’Hôpital Universitaire de Rennes.

Les chercheurs de l’étude croient que ces statistiques seraient explicables par le rôle joué par la vitamine C dans le maintien et le contrôle de la pression sanguine et des vaisseaux sanguins.

On retrouve de la vitamine C dans les fruits et légumes, notamment les oranges, les fraises, les poivrons et le brocoli, pour ne nommer que ceux-là.

Par ailleurs, l’équipe française ne recommande pas la prise de suppléments de vitamine C pour abaisser les risques d’AVC. On suggère plutôt les apports par l’alimentation.

Les résultats de cette étude seront présentés lors de l’assemblée annuelle de l’American Academy of Neurology, qui se tiendra du côté de Philadelphie.

Catégories
Uncategorized

Le poker en ligne crée les plus graves dépendances

De tous les jeux de hasard en ligne, le poker est celui qui présenterait les plus grands dangers de dépendance, selon ce que rapporte Top Santé.

Si on connaissait les dangers relatifs au poker en ligne, une nouvelle étude dévoile maintenant quelques statistiques pour illustrer les risques de dépendance découlant de ce loisir, qui peut parfois prendre des allures de cauchemar.

L’étude française, proposée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT), explique qu’un joueur de poker en ligne sur cinq parie de façon quotidienne, contre un sur dix pour les autres amateurs de jeux de hasard.

La moyenne de dépense annuelle est également la plus élevée chez les joueurs de poker en ligne, et se situe à près de 1200 dollars (CAN).

Mais la statistique la plus éloquente est celle qui dévoile la moyenne d’âge des amateurs de ces sites de poker. La moitié des joueurs auraient moins de 33 ans, et les trois quarts moins de 41 ans.

L’étude rappelle donc l’importance d’être vigilant, de jouer avec modération et de se souvenir que ce genre de jeu relève du hasard. Les allégations de tricheries et de collusion du côté de certains sites américains rendent donc la chose encore plus dangereuse, et les consommateurs de poker en ligne doivent être conscients du grand nombre de risques inhérents à cette activité.

Catégories
Uncategorized

La salade de chou, nouvelle alliée de la santé?

Qui aurait cru que des spécialistes nous conseilleraient un jour de manger davantage de salade de chou? C’est pourtant ce qui ressort d’une nouvelle étude qui vante les mérites des aliments fermentés comme ladite salade, les marinades et certains fromages.

Cette plus récente recherche abonde donc dans le même sens que celle publiée il y a quelques jours à peine par des chercheurs de Cambridge qui vantait les mérites du yogourt pour des raisons similaires, rapporte le Daily Mail (UK).

D’autres études préconisant la consommation d’aliments fermentés ont également été publiées au cours des derniers mois et des dernières années. Ces produits permettraient notamment de prévenir certaines maladies, des virus, des allergies, et favoriseraient une meilleure digestion.

Le phénomène s’explique par la présence bactéries, qui permettent une protection accrue de l’organisme.

« La perception de la santé publique a toujours été obsédée par les bactéries. On les considère comme des ennemies, mais 99,9 % d’entre elles sont bénignes. Un grand nombre de bactéries sont en relation symbiotique avec nous. Elles nous aident, et nous en avons besoin », tranche Michael Pollan, un spécialiste en nutrition américain.

Ces conclusions abondent dans le même sens que deux études publiées dans le Journal of Dairy Research et le journal Critical Reviews in Microbiology.

Catégories
Uncategorized

Les épinards et les oeufs favoriseraient des réflexes plus rapides

Certains aliments peuvent-ils augmenter votre vitesse de réaction et vos réflexes?

Si l’on se fie aux informations rapportées par Science Daily, il semble que oui, à condition que ces aliments contiennent de la tyrosine. Cette dernière est un acide aminé compris dans la composition des protéines, notamment.

Les épinards et les œufs sont d’excellents exemples d’aliments renfermant de la tyrosine, semble-t-il, puisqu’ils sont cités en exemple dans cette étude en provenance des universités Leiden et d’Amsterdam.

Les chercheurs ont testé les bienfaits des aliments renfermant de la tyrosine sur un groupe de sujets, et ont rapidement décelé une amélioration des réflexes et du temps de réaction de ceux-ci dans certaines situations données.

Notamment, on avance que les personnes ayant consommé des œufs ou des épinards avant de prendre le volant auraient moins de chances de faire un accident, ou à tout le moins de réagir plus rapidement que les autres en situation d’accident potentiel.

Les résultats étonnants de cette étude ont été publiés dans le journal Neuropsychologia.

Catégories
Uncategorized

Un cocktail d’antioxydants pourrait contribuer au ralentissement du déclin cognitif

Une étude américaine propose une nouvelle solution afin de prévenir et ralentir les effets du déclin cognitif dû au vieillissement, rapporte Santé Log.

Le concept proposé par des chercheurs de l’Université de Floride du Sud se traduit par un véritable cocktail d’antioxydants qui, une fois mélangé, peut se transformer en ce qu’on appelle un nutraceutique.

Les chercheurs croient être en mesure de commercialiser l’idée sous forme d’un simple comprimé, qui contiendrait à la fois du thé vert, de la vitamine D et des extraits de bleuets.

Ces trois aliments, tout comme les antioxydants, sont déjà reconnus pour leur capacité à prévenir le développement ou l’amplification de maladies cognitives, ou du déclin « normal » dû à l’âge.

Après une série de tests conduits sur des patients volontaires, les chercheurs de la Floride ont pu confirmer leur théorie. Un grand nombre de ces personnes âges participant à l’essai auraient bien répondu au traitement, en plus d’afficher certaines améliorations cognitives encourageantes.

D’autres phases de tests sont encore à venir, et les chercheurs croient que cette étude ouvre la porte à de nouvelles solutions en matière de traitement du déclin cognitif chez les personnes âgées.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Rejuvenation Research.

Catégories
Uncategorized

Le traitement précoce de la dépression réduit les risques d’AVC

Il existe un lien connu des spécialistes entre la dépression et un risque accru d’accident cardiovasculaire, rapporte The National Library of Medicine, et une nouvelle étude vient maintenant donner l’espoir de combattre le phénomène.

Ce sont des chercheurs américains qui se sont penchés sur la question, en analysant les impacts de deux types de traitement de la dépression sur la santé cardiovasculaire et les risques d’AVC.

235 personnes ont participé à l’étude, dont la moitié a bénéficié d’un traitement précoce de la dépression composé d’antidépresseurs et de psychothérapie. La deuxième portion du groupe a dû se contenter d’un traitement « standard » choisi par un médecin praticien.

En comparant les résultats après une période de suivi de huit longues années, les chercheurs de l’Indiana ont constaté une baisse significative des risques d’AVC liés à la dépression chez les patients du premier groupe.

« Ultimement, cette ligne de recherche pourrait produire une nouvelle approche en prévention des maladies cardiovasculaires », croit l’auteur de l’étude, Jesse Stewart.

L’étude initiale se voulait davantage une analyse des traitements contre la dépression, mais ses résultats pourraient contribuer à améliorer la santé cardiovasculaire des patients qui en souffrent, en plus de celle des patients à la santé cardiaque fragile.

Ces résultats sont considérés comme préliminaires, mais ouvrent la porte à de nouvelles révélations et percées en matière de prévention des AVC et des maladies cardiovasculaires.

L’étude de Jesse Stewart a été publiée dans l’édition de janvier du Psychosomatic Medicine.