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Jake Gyllenhaal a pleuré parce qu’il ne pouvait jouer dans Mighty Ducks

Jake Gyllenhaal a beau incarner un dur à cuire dans Southpaw, cela n’empêche pas l’acteur d’avoir une belle sensibilité.

Surtout à un jeune âge, alors que Gyllenhaal révèle une anecdote amusante concernant un film qui a marqué toute une génération de jeunes cinéphiles et d’amateurs de hockey : Mighty Ducks.

Alors âgé de 11 ans seulement, Jake Gyllenhaal a vu ses parents refuser qu’il joigne la distribution du film.

« Je me souviens clairement d’avoir pleuré sur le comptoir de la cuisine. J’étais genre : vous êtes cinglés. Mes parents étaient genre : regarde, tu vas entrer à l’école secondaire, tu dois penser à ton éducation, c’est la chose la plus importante. On te promet, tu nous hais maintenant, mais tu vas nous remercier plus tard », explique Jake Gyllenhaal en entrevue avec Howard Stern sur Sirius XM.

L’année suivante, les parents de l’acteur allaient cependant accepter qu’il joue dans leur propre film, A Dangerous Woman. Cette expérience mènera le jeune Gyllenhaal vers Donnie Darko, en 2001, et l’acteur ne regardera plus jamais derrière.

Jake Gyllenhaal multiplie les succès depuis quelques années, notamment sous les ordres de Denis Villeneuve pour Enemy et Prisoners.

Son plus récent film, Southpaw d’Antoine Fuqua, est actuellement en salles.

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Miles Teller n’a toujours pas remboursé ses dettes d’étude

Miles Teller n’en finit plus de surprendre.

La jeune sensation et star de Whiplash étonne cette fois en déclarant qu’il n’a pas l’intention de régler sa dette d’étude contractée dans les années 2000, alors qu’il étudiait à la Tisch School of the Arts de l’Université de New York.

BANG Media International rapporte plutôt que l’acteur s’est vu conseiller de ne pas rembourser immédiatement, parce que « ça ne faisait aucun sens ».

« Celui qui gère mes affaires m’a dit que le taux d’intérêt est si bas que ça ne fait aucun sens de rembourser ça. Je peux, si je veux ce badge d’accomplissement, mais jusque là j’ai encore vraiment mes prêts de la NYU », lance Miles Teller.

Dans la même veine, l’acteur affirme ne pas se souvenir de ses études.

« Je ne pourrais pas vous dire une seule chose que j’ai apprise à l’université. Tu es vraiment dedans à ce moment-là, mais quand tu pars, tu oublies », explique-t-il.

Cela n’empêchera certainement pas Miles Teller de poursuivre son étonnante progression au cinéma.

L’acteur sera d’ailleurs en vedette dans la nouvelle mouture des Fantastic Four, prochainement.

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Eva Longoria heureuse d’avoir réussi sur le tard

Eva Longoria n’est pas du genre à regretter les années perdues ou encore à s’imaginer que la vie aurait été plus rose si son succès était survenu plus tôt.

Au contraire, la mannequin et vedette de Desperate Housewives croit plutôt que ce succès tardif lui a permis de garder la tête froide et de s’assurer d’une belle maturité.

Maintenant âgée de 39 ans, Longoria croit que son rôle dans Desperate Housewives est arrivé au bon moment, alors qu’elle savait qui elle était.

« Je suis devenue connue tard dans la vie, selon les standards hollywoodiens. J’avais 28 ou 29 ans. J’avais déjà mon bac, et j’étais très sûre de qui j’étais avant cette chose que l’on appelle la célébrité. Si vous laissez les médias vous qualifier “d’enfant chérie de l’Amérique” ou de “fille de party”, et que vous empruntez cette direction, c’est là que vous pouvez vous retrouver dans le trouble », expliquait de manière éclairée Eva Longoria lors d’une allocution au Dublin Web Summit mardi dernier (4 novembre).

La sereine actrice prévoit maintenant un retour à la télévision l’an prochain, après une longue pause, rapporte BANG Media International.

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Eva Longoria heureuse d’avoir réussi sur le tard

Eva Longoria n’est pas du genre à regretter les années perdues ou encore à s’imaginer que la vie aurait été plus rose si son succès était survenu plus tôt.

Au contraire, la mannequin et vedette de Desperate Housewives croit plutôt que ce succès tardif lui a permis de garder la tête froide et de s’assurer d’une belle maturité.

Maintenant âgée de 39 ans, Longoria croit que son rôle dans Desperate Housewives est arrivé au bon moment, alors qu’elle savait qui elle était.

« Je suis devenue connue tard dans la vie, selon les standards hollywoodiens. J’avais 28 ou 29 ans. J’avais déjà mon bac, et j’étais très sûre de qui j’étais avant cette chose que l’on appelle la célébrité. Si vous laissez les médias vous qualifier “d’enfant chérie de l’Amérique” ou de “fille de party”, et que vous empruntez cette direction, c’est là que vous pouvez vous retrouver dans le trouble », expliquait de manière éclairée Eva Longoria lors d’une allocution au Dublin Web Summit mardi dernier (4 novembre).

La sereine actrice prévoit maintenant un retour à la télévision l’an prochain, après une longue pause, rapporte BANG Media International.

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Les devoirs à la maison, la bête noire des parents

Les devoirs, que ce soit aux États-Unis, en France ou au Canada, n’ont pas la cote chez les parents ni chez les enfants.

Cependant, ils sont essentiels et obligatoires. Impossible, donc, de passer à côté. Quelle est donc la recette « parfaite » pour éviter les tensions et frustrations de part et d’autre de la table de travail?

Des psychologues observent que le moment des devoirs devient souvent un moment de « rapport de force avec l’enfant », indique Le Figaro. Selon Béatrice Sabaté, psychologue, la formule gagnante est un mélange « d’amour et de loi » dans un cadre « ferme et bienveillant ».

Ainsi, il ne faut pas faire les devoirs à sa place ou l’abandonner si le tout ne se déroule pas comme on veut. Il faut accompagner l’enfant par sa présence, son écoute, ses conseils. Il faut également l’encourager et développer une routine d’étude avec lui.

Comme l’explique Sabaté, il faut cesser de voir uniquement le résultat. L’objectif des devoirs est de valider les connaissances et améliorer l’apprentissage.

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Les devoirs à la maison, la bête noire des parents

Les devoirs, que ce soit aux États-Unis, en France ou au Canada, n’ont pas la cote chez les parents ni chez les enfants.

Cependant, ils sont essentiels et obligatoires. Impossible, donc, de passer à côté. Quelle est donc la recette « parfaite » pour éviter les tensions et frustrations de part et d’autre de la table de travail?

Des psychologues observent que le moment des devoirs devient souvent un moment de « rapport de force avec l’enfant », indique Le Figaro. Selon Béatrice Sabaté, psychologue, la formule gagnante est un mélange « d’amour et de loi » dans un cadre « ferme et bienveillant ».

Ainsi, il ne faut pas faire les devoirs à sa place ou l’abandonner si le tout ne se déroule pas comme on veut. Il faut accompagner l’enfant par sa présence, son écoute, ses conseils. Il faut également l’encourager et développer une routine d’étude avec lui.

Comme l’explique Sabaté, il faut cesser de voir uniquement le résultat. L’objectif des devoirs est de valider les connaissances et améliorer l’apprentissage.

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Jessica Alba regrette de ne pas avoir fait d’études supérieures

Quand on dit que la célébrité n’efface pas tout, et qu’il est possible d’avoir des regrets et une certaine nostalgie d’éléments plus « réels », Jessica Alba devra maintenant être citée en exemple en la matière.

La belle actrice regrette en effet de ne pas être allée à l’université. Elle admet qu’elle ressent depuis toujours une certaine insécurité face à son manque d’études supérieures, rapporte BANG Media International.

« J’ai toujours été inquiète à propos du fait de ne pas aller à l’université, et je ne me suis jamais sentie assez intelligente. Durant mon adolescence et ma vingtaine, je ne me sentais pas sûre de moi et je ressentais le besoin de m’excuser », dévoile Jessica Alba.

La star de Sin City: A Dame To Kill For donne cependant du crédit à sa famille et au fait de prendre de l’âge pour sa confiance renouvelée au fil des ans.

« Je me sens mieux maintenant. Surtout après mes 30 ans. C’est fou ce qui arrive », conclut l’actrice de maintenant 33 ans.

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Les probiotiques utiles pour les patients atteints de cirrhose

Les patients diagnostiqués avec une cirrhose pourraient bénéficier de la consommation de probiotiques, selon une étude rapportée par MedicalNewsToday.

Les probiotiques seraient en effet particulièrement efficaces en prévention de l’encéphalopathie hépatite, une complication cérébrale très sérieuse de la cirrhose.

Cette conclusion est proposée par un groupe de chercheurs basé à New Delhi, en Inde, qui publie les résultats d’un essai clinique impliquant deux groupes de sujets volontaires. Le premier groupe a reçu des probiotiques, et le second, un placebo.

Les chercheurs ont alors observé une baisse substantielle des risques d’encéphalopathie hépatite chez les patients du premier groupe, similaire à celle observable avec le traitement offert actuellement, le lactulose. Cependant, les probiotiques semblent être mieux tolérés par les patients.

« Cette rigoureuse nouvelle recherche permet de constater que les probiotiques permettent la prévention de l’encéphalopathie hépatite. Ces résultats offrent une alternative sécuritaire, mieux tolérée et possiblement moins coûteuse aux traitements actuels », confirme le Dr David W Victor III, qui contribue aux efforts de ces travaux.

Les résultats de cette recherche ont été publiés par le journal médical Clinical Gastroenterology and Hepatology.

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Les hallucinations auditives de la schizophrénie démystifiées

Une percée intéressante aurait été effectuée par des chercheurs en matière de schizophrénie, alors que ceux-ci seraient parvenus à mieux comprendre et démystifier les hallucinations auditives qui découlent parfois de la maladie.

Les spécialistes américains du St. Jude Children’s Research Hospital se sont attardés à ce symptôme des plus étonnants et terrifiants, et seraient parvenus à établir une cause physique au phénomène, selon ce que rapporte Top Santé.

Après analyse, les chercheurs estiment que ces hallucinations pourraient être le résultat de l’absence d’un gène chez les patients souffrant de schizophrénie. Ce gène manquant impliquerait des transformations chimiques cérébrales et réduirait le flux d’information, en plus d’altérer le traitement normal des informations auditives par le cerveau.

« Nous pensons qu’en réduisant le flux d’informations entre ces deux structures cérébrales qui jouent un rôle central dans le traitement d’informations auditives, on peut réduire l’état de stress et les autres facteurs associés qui déclenchent les voix, qui sont le symptôme psychotique le plus courant de la schizophrénie », estime Stanislav Zakharenko, coauteur de la recherche.

Il s’agit d’une percée des plus intéressantes et prometteuses, dans la quête de traitements plus performants pour soigner les patients schizophrènes.

Les résultats de l’étude américaine ont été proposés dans le magazine Science.

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Les téléphones cellulaires pourraient aussi nuire à la fertilité masculine

Alors que plusieurs spécialistes rapportent certains dangers pour le cerveau inhérents à l’utilisation massive de téléphones cellulaires et intelligents, une nouvelle étude vient mettre en garde les hommes contre la surutilisation de ces appareils.

En effet, selon l’étude rapportée par The National Library of Medicine, les hommes qui gardent leur téléphone constamment dans leur poche pourraient subir des dommages au niveau de leur fertilité.

Les chercheurs britanniques derrière l’étude concluent que la viabilité du sperme peut être atteinte à cause de ces téléphones et des ondes qu’ils dégagent.

On propose même des statistiques alarmantes, alors que le pourcentage de fertilité des hommes utilisant et portant leur téléphone constamment oscille parfois autour de 8 % seulement. En comparaison, les hommes n’étant pas en présence constante d’un tel appareil présentent des statistiques de viabilité du sperme de 50 à 85 %.

« Vu l’échelle énorme d’utilisation des téléphones mobiles à travers le monde, le rôle potentiel d’une exposition environnementale doit être clarifié », croit l’auteure de l’étude, Fiona Mathews, de l’Université d’Exeter.  

Les résultats de l’étude, qui ne démontrent pas de cause à effet, ont été publiés dans le magazine Environment International.