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Hausse des cas d’accidents de la route liés à la marijuana aux États-Unis

The National Library of Medicine rapporte des statistiques alarmantes démontrant une hausse significative des cas d’accidents de la route mortels liés à la consommation de marijuana, au cours des dix dernières années.

Ironiquement, la publication de ces statistiques en provenance des États-Unis survient au même moment où certains États américains viennent de légaliser le cannabis, notamment au Colorado et à Washington.

Selon les informations proposées par des chercheurs de l’Université Columbia, les accidents mortels liés à la consommation de cette drogue douce auraient triplé au cours de la dernière décennie.

« En ce moment, un conducteur sur neuf impliqué dans un accident de la route mortel serait testé positivement à la marijuana. Si la tendance se maintient, dans cinq ou six ans, les drogues auront dépassé l’alcool comme substance la plus impliquée dans les décès à survenir sur les routes », s’inquiète le Dr Guohua Li.

Le cannabis est donc de loin la substance qui affiche la plus grande progression à ce chapitre, un phénomène auquel il faudra s’attaquer vigoureusement, selon les chercheurs de Columbia.

L’un des principaux problèmes des autorités est la difficulté à créer et mettre sur pied des tests de dépistage. On estime cependant que de sérieuses percées pourraient être effectuées en ce sens au cours des cinq prochaines années.

Ces révélations ont été publiées en ligne dans l’American Journal of Epidemiology.

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Des pompiers testent la diète méditerranéenne

La diète méditerranéenne remporte une autre victoire au royaume de la nutrition, rapporte avec justesse The National Library of Medicine, alors qu’une nouvelle étude impliquant des pompiers américains vient en confirmer les bienfaits pour la santé.

C’est pas moins de 800 pompiers qui ont été sondés dans le cadre de cette étude américaine effectuée par des chercheurs de l’Université Harvard, et qui visait à déterminer une nouvelle fois les impacts de ce type de régime.

La diète méditerranéenne, qui comprend de forts apports en fruits, légumes, poissons, noix, eau et vin, est de plus en plus prisée et suggérée par les consommateurs et les spécialistes en santé et nutrition.

Et pour cause, car comme le confirme cette étude, on estime que les personnes qui intègrent ce régime à leur style de vie verront leurs risques de développer des troubles cardiovasculaires et d’autres problèmes de santé liés au « syndrome métabolique » chuter de 35 %.

L’analyse de ces pompiers « volontaires » aura aussi permis de constater une plus grande facilité à maintenir un poids santé en suivant cette diète, avec un risque de prise de poids réduit de près de 50 %.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal PLoS One.

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Une toxine alimentaire pourrait causer la sclérose en plaques

On apprend via Top Santé que certains cas de sclérose en plaques pourraient avoir été causés ou fortement encouragés par la présence d’une toxine alimentaire présente dans l’organisme, une nouvelle découverte qui a de quoi surprendre.

Ce sont des chercheurs américains de l’Université Cornell qui tracent ce lien, expliquant que la toxine en question peut affaiblir le système immunitaire à un point tel qu’elle ouvrirait toute grande la porte au possible développement de la sclérose en plaques.

Baptisée « toxine Epsilon » par les chercheurs, cette dernière évoluerait dans une direction ou dans l’autre selon certains facteurs environnementaux ou encore biologiques, ce qui explique cette possibilité.

Jennifer Linden, une spécialiste du sujet qui participe aux recherches, aurait tenté de confirmer la théorie en observant la réaction de la toxine sur des rongeurs, et aurait effectivement pu constater la cause à effet.

Si les tests subséquents s’avèrent aussi probants, les chercheurs tenteront ensuite de s’attaquer à la progression de la toxine et au développement possible de la sclérose en plaques qui en découle.

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Une méthode prometteuse pour traiter l’allergie à l’arachide

Alors que les allergies alimentaires, particulièrement celle à l’arachide, semblent connaître une hausse vertigineuse depuis quelques années, un nouvel espoir serait maintenant possible pour les personnes qui en souffrent.

C’est du moins ce que rapportent plusieurs sources, dont Santé Log, alors qu’une nouvelle méthode prometteuse commencerait à faire ses preuves, selon des médecins britanniques et américains.

Le principe est fort simple : proposer aux personnes allergiques de petites portions de farine d’arachides, afin de permettre une tolérance progressive.

Les chercheurs de Cambridge qui ont testé la manœuvre seraient parvenus, dans certains cas, à permettre une tolérance complète équivalente à cinq cacahuètes, rapporte la même source, une première incontestable.

Plusieurs autres tests devront suivre, notamment pour vérifier la durée de l’efficacité du traitement, mais les spécialistes semblent ravis de ces résultats préliminaires.

Les conclusions des chercheurs de Cambridge sur le sujet ont été publiées dans le journal Lancet.

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Les automobilistes ne voient souvent pas les motocyclistes sur la route

« Je ne l’avais pas vu », est souvent une réponse fournie aux policiers par les automobilistes impliqués dans un accrochage ou un accident de la route avec un motocycliste.

Cette tendance semble répandue, rapporte The National Library of Medicine, et pourrait bien s’expliquer, selon des chercheurs australiens.

Ssi les conducteurs n’aperçoivent souvent pas les motos dans leur champ de vision, ou à tout le moins pas longtemps d’avance, c’est peut-être parce que ce type de véhicule leur est moins familier, c’est-à-dire qu’ils en croisent moins souvent.

C’est l’une des raisons proposées par la chercheuse Vanessa Beanland, de l’Université Nationale d’Australie, pour expliquer les statistiques d’accidents de la route impliquant des motocyclistes.

Après avoir analysé les comportements et réactions de 40 conducteurs adultes grâce à un simulateur de conduite, Beanland remarque que ceux-ci sont plus conscients et réceptifs face à un véhicule qu’ils ont croisé plus souvent sur leur route précédemment. Ainsi, tout véhicule ou objet plus rare demandera un temps de réponse supplémentaire au cerveau, comprend-on de cette étude.

« Les conducteurs ont plus de difficulté à détecter des véhicules ou des obstacles qui sont rares, comparativement à des objets qu’ils voient fréquemment », résume Vanessa Beanland.

On peut donc en conclure qu’il est primordial de demeurer bien concentré et « éveillé » au volant, et d’éviter les gestes automatiques et la conduite par le subconscient.

On rappelle également qu’il est fortement déconseillé d’effectuer une autre tâche lorsqu’on est au volant de son véhicule.

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L’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie?

Au cours de l’été dernier (2013), l’American Medical Association (AMA) qualifiait officiellement l’obésité comme une maladie dans sa liste des troubles de la santé officiels et répertoriés.

Mais l’AMA s’est-elle trompée en qualifiant l’obésité de maladie? Voilà la question qui demeure lorsqu’on prend connaissance des observations proposées par des chercheurs de l’Université du Minnesota, qui publient une étude sur le sujet.

Rapportée par Santé Log, notamment, l’étude en question révèle un impact plus négatif que positif sur la mentalité et les actions des patients souffrant d’obésité, ces derniers affichant une motivation moindre à changer leur situation depuis qu’on les considère comme des « malades » à part entière.

L’étiquette de « maladie » relève donc de la fatalité, ce qui n’est pourtant pas toujours le cas dans des situations de surpoids et d’embonpoint, notent les chercheurs américains.

Si le fait de qualifier l’obésité parmi les maladies a permis un discours plus libre sur le sujet, le geste aurait également banalisé l’affaire, et remis plusieurs patients sur la mauvaise voie alimentaire. Or, rappelle-t-on, il est effectivement possible d’améliorer sa condition ou son état dans cette situation, contrairement à d’autres « vraies » maladies qui s’avèrent réellement une fatalité.

Ces conclusions et réflexions sont publiées dans le magazine Psychological Science.

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Les suppléments d’antioxydants pourraient favoriser le développement du cancer du poumon

Une étude proposée par une équipe de chercheurs suédois a de quoi inquiéter les amateurs et consommateurs d’antioxydants et de suppléments de vitamines antioxydantes, rapporte Top Santé.

Selon les chercheurs du Centre du cancer à l’Institut de médecine de Göteborg, menés par le Dr Martin Bergö, les suppléments d’antioxydants pourraient contribuer à un facteur de risque aggravé de cancer du poumon, notamment en accélérant certains processus qui mènent à la maladie.

Pour l’instant limitées aux suppléments, ces observations contredisent plusieurs idéologies véhiculées par de nombreux spécialistes de la santé au cours des dernières années. Pourtant, les chercheurs suédois semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

« Nous avons constaté que ces antioxydants ont triplé le nombre de tumeurs et aussi fortement accéléré leur agressivité. Quand nous avons éliminé cette protéine chez les souris et dans les lignées cellulaires de cancer du poumon humain, les antioxydants n’ont plus eu d’effet », explique le Dr Bergö.

Ce dernier recommande donc, et particulièrement aux fumeurs, d’éviter la prise de ce type de suppléments et de s’en tenir à une alimentation saine et équilibrée.

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Un test génétique pour choisir le bon régime

Il y a tant de régimes miracles sur le marché et tant de témoignages différents pour chacun d’eux qu’il est devenu difficile de savoir à quel saint se vouer et quelle diète sélectionner.

Or, selon MedicalNewsToday, un nouveau test génétique pourrait faire son apparition et permettre aux consommateurs de connaître précisément quel type de régime serait le plus pertinent à leur métabolisme.

Publiant une recherche sur le sujet dans le magazine Cell Metabolism, les chercheurs Sean Curran et Shanshan Pang affirment avoir identifié une série de gènes qui permettent à l’organisme de s’adapter au type d’alimentation proposé.

Ces mêmes gènes indiqueraient par le fait même quel régime alimentaire serait le plus adéquat pour un individu donné, réglant définitivement la guerre des régimes et la confusion qui s’y rattache.

« Ces études ont révélé qu’une seule mutation d’un gène peut altérer la capacité de l’organisme à utiliser une diète spécifique. Chez les humains, de petites différences dans la génétique d’une personne […] peuvent expliquer pourquoi certaines diètes fonctionnent pour certaines personnes et pas pour d’autres », résume Sean Curran.

Une théorie qui abonde dans le même sens que celle proposée par plusieurs observateurs, spécialistes et utilisateurs de régimes, et qui profite d’une logique quasi à toute épreuve : une seule solution ne peut s’appliquer à tous les humains, vu la complexité de l’homme.

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Un pesticide lié à des cas d’Alzheimer

Top Santé rapporte les conclusions proposées par une équipe de chercheurs américains concernant un type de pesticide, le DDT, qui pourrait favoriser le développement de la maladie d’Alzheimer.

C’est ce que croient les spécialistes des universités Rutgers et Emory, qui publient leurs observations dans le Journal of the American Medical Association.

L’étude, menée notamment par le Dr Allan Levey, révèle : « Le DDE, composant actif restant après que le DDT a été métabolisé par le corps, est près de quatre fois plus élevé dans le sang des personnes atteintes d’Alzheimer que dans celui des témoins sains. C’est l’une des premières études à identifier un important risque environnemental pour la maladie Alzheimer ».

« L’ampleur de l’effet du DDT est importante, comparable au facteur génétique le plus courant prédisposant à la maladie d’Alzheimer. Le DDT peut rester dans l’organisme de huit à dix ans et le DDE, son métabolite, s’accumule dans les tissus alors que les personnes vieillissent. Ceci pourrait aider à expliquer le fait que l’âge est le plus grand facteur de risque d’Alzheimer. »

Même si le pesticide DDT est interdit sur le territoire américain depuis 1972, le Dr Levey et ses collègues expliquent que nous mangeons toujours des fruits et légumes en provenance d’autres pays qui n’ont pas les mêmes législations que les pays nord-américains.

L’équipe derrière ces résultats veut poursuivre et pousser ses recherches encore plus loin.

On estime que les cas d’Alzheimer vont doubler d’ici 2020, notamment en lien avec le vieillissement de la population.

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L’huile d’olive agirait aussi sur les os

Une autre propriété santé de l’huile d’olive aurait été confirmée par des chercheurs espagnols, rapporte le Daily Mail (UK).

La populaire huile végétale à base d’olives serait en effet également bénéfique pour la santé des os, selon une équipe de spécialistes basée à l’Université de Madrid qui s’est penchée sur les effets de l’ingrédient sur l’organisme.

Après deux ans de recherches, les chercheurs concluent que les personnes qui consomment de l’huile d’olive présentent de plus hauts taux d’ostéocalcine dans le sang, un marqueur d’une ossature forte et en santé.

Cette nouvelle étude complète celle publiée précédemment par l’Université d’Athènes, qui prêtait le même genre de vertu à l’huile d’olive, lorsque combinée à de faibles apports en viandes rouges, spécialement chez la femme.

Par ailleurs, il appert que les statistiques d’ostéoporose, une maladie des os, seraient plus faibles chez les gens qui adoptent une diète de style méditerranéenne, qui utilise justement quantité d’huile d’olive et d’huiles végétales.