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L’avocat : aliment clé pour éviter de tricher dans la journée

Il existerait un aliment clé et fort efficace pour vous aider à cesser de grignoter entre les repas, spécialement dans le jour, et qui permettrait un plus grand sentiment de satiété, élément essentiel pour éviter de tricher son régime alimentaire.

Il s’agit de l’avocat, rapporte le Daily Mail (UK), un fruit qui passe souvent dans l’ombre de ses homologues, mais qui contient pourtant une foule de nutriments et d’avantages pour la santé.

Une étude menée par la Dre Joan Sabate, de l’Université Loma Linda de Californie, démontre maintenant que le simple fait d’ajouter une portion d’avocat à son dîner permettrait de survivre sans peine jusqu’au repas suivant, et de lutter efficacement contre les différentes tentations environnantes.

Après avoir effectué une expérience auprès de 26 adultes en surpoids, mais en bonne santé, les chercheurs de l’équipe de Sabate rapportent une baisse d’environ 40 % de l’envie de manger entre deux repas, suivant celui auquel on a incorporé un demi-avocat.

Un effet qui se ressentirait toujours trois heures, et parfois cinq, après le dîner, un résultat convaincant qui a poussé les chercheurs californiens à publier leurs conclusions dans le Nutrition Journal.

Une portion d’avocat contiendrait 150 calories et serait riche en fibres, mais également en gras. Les chercheurs n’ont pas observé une hausse des taux de sucre chez les sujets à la suite de l’ajout d’avocat à leur régime, ce qui laisse croire que le fruit aurait également d’autres propriétés santé à proposer.

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La spiritualité réduirait l’anxiété et serait bénéfique pour la santé

Les gens spirituels semblent moins nombreux de nos jours, ou peut-être sont-ils moins bruyants quant à leurs croyances qu’à une certaine époque, le sujet étant devenu pratiquement un tabou dans notre société.

Cependant, il semble que la spiritualité soit un excellent allié de la bonne santé mentale et physique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), si l’on se fie à une nouvelle étude sur le sujet.

Selon des chercheurs britanniques menés par la psychologue Roxane Gervais, les personnes qui se disent croyantes ou spirituelles seraient moins malades que les autres, et s’absenteraient du travail pour cette même raison moins souvent que les personnes qui se disent sans foi.

Aussi, il appert que ces mêmes personnes subissent moins les affres du stress et de l’anxiété, le tout largement aidé par le sentiment que la vie a un réel sens, et qu’elles ne sont pas seules.

« La spiritualité offre une protection contre les aléas de la vie moderne. Alors que le rythme du travail et de la vie s’accélère, les gens ont besoin de trouver un sens… et la jeune génération est spécialement en quête de plus qu’un simple gros chèque de paie… », lance la Dre Gervais, qui croit que de faciliter l’accès à des ressources spirituelles sur les lieux de travail pourrait améliorer les performances et la santé mentale des employés et employeurs.

Un discours qui tranche avec le débat actuel qui sévit au Québec, n’est-ce pas?

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Le sucre est-il la nicotine de l’ère moderne?

« Le sucre est le nouveau tabac », lance Simon Capewell, un professeur d’épidémiologie clinique à l’Université de Liverpool.

Son opinion va de pair avec celle exprimée par bon nombre de ses confrères et spécialistes de la santé, comme on le sait, et un groupe composé d’Américains et de Britanniques lance maintenant une campagne de sensibilisation afin d’obliger les multinationales et compagnies productrices d’aliments à baisser les taux de sucre dans leurs produits d’au moins un tiers.

Pour étayer leurs propos, les chercheurs affectés à cette campagne ont décidé de tester plusieurs produits et aliments pour en dévoiler leur teneur en sucre. Ainsi, rapporte le Daily Mail (UK), on découvre que presque tout contient du sucre, même des yogourts « sans sucre », des eaux vitaminées embouteillées et de la soupe aux tomates (Heinz).

« Nous devons entamer un plan structuré et cohérent afin de doucement réduire le nombre de calories consommé par les gens en retirant le sucre ajouté des aliments et des boissons », lance le professeur Graham MacGregor, de Londres.

Pour ces chercheurs, le sucre s’est infiltré dans tout ce qu’on mange, et la donne doit changer afin d’assurer la sécurité du public contre des multinationales qui ne « songe qu’aux profits, et non à la santé des consommateurs ».

En se basant sur cette prémisse, le sucre pourrait bien effectivement être la nicotine de l’ère moderne.  

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Un système inspiré des feux de circulation au service d’une nutrition saine

Un hôpital américain a tenté une expérience qui semble s’être avérée concluante, et qui avait pour but de sensibiliser et de transformer certaines habitudes alimentaires de leurs patients et de leurs employés, selon ce que rapporte webmd.com.

Ce sont des membres de l’Hôpital général de Boston, au Massachusetts, qui ont tenté cette expérience empruntée au système de feux de circulation, et consistant à simplement apposer un code de couleurs aux aliments proposés dans l’établissement.

Ainsi, un autocollant vert était apposé sur les aliments sains et recommandés, un jaune pour la nourriture passable, et un rouge pour la malbouffe et les aliments déconseillés.

À la surprise générale, un geste aussi simple a démontré un réel impact sur le choix des sujets. De plus, il semble que ces choix se soient répercutés à plus long terme chez ces derniers.

« Nos résultats actuels démontrent des changements significatifs dans les modèles d’achats… et ceux-ci ne se sont pas estompés avec le temps, les gens de la cafétéria s’y étant habitués. Ces découvertes sont des plus importantes… car elles démontrent que l’étiquetage et l’intervention sur les produits peuvent promouvoir de meilleurs choix pour la santé, et qui persistent avec le temps », explique la Dre Anne Thorndike.

Ces résultats ont été publiés dans l’American Journal of Preventive Medicine.

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Une majorité de gens surestime leur degré d’activité physique

Une majorité de gens surestimerait leur degré d’activité physique, selon des informations proposées par le Daily Mail (UK), et ne serait pas tout en fait en phase avec la réalité de leurs véritables réalisations personnelles en matière de sport.

Une équipe d’experts publient d’intéressantes statistiques dans le Medicine & Science in Sports & Exercise, qui révèlent que la plupart des gens se croient bien plus actifs qu’ils ne le sont en réalité.

De plus, les hommes seraient plus fautifs que les femmes, paraît-il, et auraient tendance à largement surestimer leurs efforts, toujours selon les informations rapportées.

Les hommes ajouteraient 56 minutes de trop à leur bilan d’activité physique hebdomadaire, contre 52 pour les femmes. Les deux sexes auraient cependant la tendance égale de sous-estimer le temps passé assis, à ne rien faire et à manger.

C’est en évaluant près de 1800 participants volontaires et leurs habitudes de vie que les chercheurs en sont venus à de telles conclusions, et si ces derniers ne proposent pas de solutions tangibles, on peut comprendre qu’il faudra s’assurer d’être un peu plus durs envers nous-mêmes et nos capacités afin de fournir un véritable effort qui aura de l’impact sur notre santé.

Fait intrigant en conclusion, les chercheurs estiment que les personnes possédant un bagage d’études universitaires auraient moins tendance à mentir ou à gonfler les faits que les autres!

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Malbouffe : Une expérience nutritionnelle des plus étonnantes

Un professeur américain a décidé d’ajouter son grain de sel dans le dossier épineux de la malbouffe et des habitudes alimentaires et de santé des Nord-Américains, avec des résultats étonnants, rapporte notamment Top Santé.

Le professeur John Cisna a en effet décidé de reprendre la formule Supersize Me du réalisateur Morgan Spurlock, version Cisna, et a mangé des repas fournis par McDonald’s chaque jour, trois fois par jour.

La variante, et elle est importante, consistait cependant à faire preuve de stratégie quant au choix des repas et, surtout, à ajouter l’exercice physique à sa routine afin de voir si cela pouvait compenser le burger quotidien.

Il a donc chaque jour ingurgité un œuf McMuffin le matin, accompagné de flocons d’avoine, une salade le midi, puis un trio classique le soir. Chaque journée était assortie d’au moins une marche de 45 minutes.

Résultat? John Cisna a perdu 37 livres. Et il y a plus, le professeur a vu son taux de mauvais cholestérol retrouver un seuil beaucoup plus normal qu’auparavant.

« Ce sont nos choix qui nous rendent gros, pas McDonald’s », lance en conclusion John Cisna, non fier d’avoir réussi son expérience, qui en dit long sur les impacts de l’activité physique sur le poids et la santé. 

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Injecter de l’argent en santé bénéficierait davantage aux hommes qu’aux femmes

Une étude proposée par un candidat au doctorat montréalais dévoile des statistiques intéressantes en matière de développement du système de santé et de ses impacts sur les hommes et les femmes.

Rapportée par The National Library of Medicine, l’étude en question analyse des données en provenance de 27 pays développés concernant leur système de santé, et l’efficacité des sommes injectées.

« Nous avons été surpris de découvrir un large écart entre les sexes en matière d’efficacité des sommes injectées à travers les pays industrialisés dans le monde », lance Douglas Barthold, de l’Université McGill.

Il appert en effet que depuis 1991, les avancées médicales et les investissements en capitaux dans les systèmes de santé ont largement profité aux hommes, qui ont vu leur espérance de vie augmenter plus rapidement que celle des femmes.

Il semble que pour chaque 100 $ investi dans un système de santé de l’un de ces pays, un homme gagnerait 2,56 mois d’espérance de vie, contre 1,26 pour les femmes.

Ces étranges conclusions demeurent à être développées et expliquées plus en détail, mais on peut noter que les femmes bénéficiaient déjà d’une espérance de vie plus grande, ce qui s’avère vrai à ce jour.

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Les conducteurs ne regardent pas la route 10 % du temps

Les National Institutes of Health publient des statistiques éloquentes en matière de sécurité routière, et confirment que les distractions sont si nombreuses au volant que la grande majorité des conducteurs ne regardent plus la route une fois sur dix.

10 % du temps de conduite serait donc accordé à « autre chose » qu’à conduire, selon l’étude proposée, des statistiques démontrées par une équipe de chercheurs des NIH et de Virginia Tech.

Les chercheurs en sont arrivés à cette moyenne après avoir testé des conducteurs au volant sur une période donnée, à l’aide de technologies comme la vidéo et des capteurs sensoriels.

Du nombre des activités préférées des conducteurs, on retrouve le fait de texter, composer un numéro, manipuler divers objets et manger, et cela affecte d’une manière ou d’une autre l’acuité au volant.

On note que les dangers sont plus élevés lorsqu’il s’agit de jeunes conducteurs moins expérimentés, mais les conclusions touchent l’ensemble des automobilistes présents sur les routes, semble-t-il.

Les adolescents ont tout bonnement plus de risques de causer un accident en effectuant les mêmes actions que leurs aînés, en raison d’un manque d’expérience et de routines de conduite moins établies.

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Lire pour guérir

Top Santé rapporte une tendance des plus intéressantes en matière de thérapie et de méthodes de traitements alternatives contre la dépression et les troubles de l’humeur : la lecture.

En effet, il semble que de plus en plus de thérapeutes et de spécialistes s’attardent sur ce qu’il serait convenu d’appeler la bibliothérapie. Ils décident ainsi de « prescrire » des lectures aux patients en mal de vivre ou sous le coup d’un épuisement moral et/ou professionnel.

C’est particulièrement le cas du côté des États-Unis et maintenant de l’Angleterre, alors que l’on a mis sur pied un programme intitulé The Reading Agency, permettant aux praticiens et thérapeutes de prescrire des choix de lecture à leurs patients.

Des troubles comme l’anxiété, l’angoisse, la dépression, le sentiment de vide ou d’épuisement, le manque de foi ou encore le manque de confiance pourraient être soulagés partiellement ou complètement par des lectures adéquates.

« Les romans peuvent aider les personnes à se reconnaître, à s’identifier à un problème, à se sentir moins seules, à se dire que des solutions existent, ou encore à se poser des questions », lance un spécialiste et psychothérapeute européen.

Certains organisent même des séances d’échanges sur les livres prescrits, afin que les patients puissent discuter entre eux et avec leur psychothérapeute des émotions et des perceptions proposées par ceux-ci.

Il s’agit incontestablement d’une alternative des plus intéressantes à la prescription systématique d’antidépresseurs.

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La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.