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La vitamine D est-elle indispensable pour le cerveau?

Alors que plusieurs débats et polémiques fusent concernant la vitamine D et son réel effet sur le corps humain, mais surtout en ce qui concerne les impacts d’une carence sur l’organisme, une nouvelle étude américaine affirme cette fois qu’une telle condition peut s’avérer dangereuse pour la santé cérébrale.

Ainsi, selon une équipe de chercheurs basée à l’Université du Kentucky, des carences en vitamine D pourraient paver la voie aux maladies dégénératives et à la démence, en provoquant certains dommages au cerveau.

Top Santé, qui rapporte ces plus récentes conclusions, rappelle une étude précédente sur le sujet, qui vantait les mérites d’une supplémentation en vitamine D pour éviter de tels dégâts. Or, la promotion des suppléments de vitamine D est précisément au cœur du débat opposant les observateurs et spécialistes du domaine de la santé.

Les chercheurs américains en tête de cette récente étude, par ailleurs étayée par de multiples essais sur des souris, ne vantent pas les mérites des compléments alimentaires, mais prônent plutôt des apports de vitamine D par une alimentation équilibrée, tout simplement.

Ils confirment cependant qu’un manque de cette vitamine peut effectivement mener à une hausse des risques de développer la maladie d’Alzheimer, ce qui ne sera pas pour rassurer les plus craintifs, qui risquent de bondir vers une boîte… de suppléments.

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Des chercheurs parviennent à introduire de nouveaux gènes sains chez des souris

Bienvenue à Gattaca aurait aussi bien pu être le titre de cet article, puisque ceux qui se souviennent du film qui mettait en vedette Ethan Hawke il y a plusieurs années risquent de très bien comprendre ce qui suit.

ScienceWorldReport rapporte en effet que des chercheurs seraient parvenus, selon leur propre rapport publié dans le journal FASEB, à modifier le destin génétique de rongeurs en introduisant de nouveaux gènes sains, corrigeant ainsi les défauts présentés par toute une génération et ses suivantes.

En clair, l’équipe de chercheurs, dont fait partie Anil Chandrashekran, aurait réussi à corriger des travers génétiques permettant d’assurer un meilleur avenir aux descendants d’une lignée, pavant ainsi la voie au retrait et au traitement de certaines maladies graves.

« La technologie transgénique est l’un des plus importants outils pour la recherche contre toutes sortes de maladies retrouvées chez les humains et les animaux, et pour mieux comprendre certains problèmes cruciaux en biologie », explique Chandrashekran.

Bien entendu, ce qui s’avère une grande nouvelle pour les uns sera scandaleux pour les autres, et on peut maintenant s’attendre à ce que le débat concernant les manipulations génétiques soit à son plus fort au cours des prochaines années… probablement avec raison.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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Les hommes et les femmes possèdent des cerveaux complémentaires

Une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie explique les différences notables et observables au niveau des cerveaux des hommes et des femmes, qui ne sont visiblement pas « branchés » de la même façon.

Alors que ce genre d’étude a généralement pour effet d’alimenter la guerre des sexes et de stimuler les railleries entre partenaires et membres des sexes opposés, celle-ci affirme que malgré leurs différences, les cerveaux masculins et féminins sont absolument complémentaires.

Il est donc intéressant de lire les conclusions de Ragini Verma, qui mène la recherche, expliquant que les hommes seraient véritablement moins doués pour effectuer plusieurs tâches simultanément, au contraire de la gent féminine. Les hommes seraient toutefois efficaces lorsqu’il s’agit d’effectuer une action directe, par exemple lors de la pratique de sports.

Après avoir observé des centaines de cerveaux masculins et féminins, Verma et son équipe concluent que les connexions cérébrales ne travaillent pas de la même façon en fonction du sexe de l’individu.

« Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres », écrivent-ils.

Des différences qui prennent tout leur sens lorsqu’on constate que ces deux « types de cerveaux » sont parfaitement complémentaires, et donc destinés à travailler en équipe!

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Des notions de regrets bien différents chez les hommes que chez les femmes

Une équipe californienne a cherché à analyser les différentes réactions observables chez les hommes et les femmes en matière de comportement sexuel, rapporte Top Santé, et leurs premières conclusions se penchent davantage sur la notion de regrets.

Une notion amplement variable selon le sexe de la personne étudiée, constatent les chercheurs, alors que les hommes semblent regretter beaucoup plus de ne pas être passés à l’acte suite à une opportunité de relation sexuelle, et que les femmes regrettent plutôt d’avoir succombé à une situation similaire.

« Du point de vue de l’histoire de l’évolution, chaque occasion manquée de relations sexuelles avec une nouvelle partenaire est pour les hommes une chance perdue de se reproduire. Pour les femmes, la reproduction représente un investissement considérable, dont la grossesse, l’allaitement et l’éducation des enfants. Les conséquences d’un rapport sexuel occasionnel sont donc bien plus impliquantes pour les femmes que pour les hommes. »

« Cela entraîne naturellement une réaction émotionnelle beaucoup plus forte, chez la femme, au rapport sexuel. Ces réactions semblent toujours répondre, malgré les progrès sociaux, aux contraintes de reproduction du passé », peut-on lire en conclusion de l’étude proposée par les chercheurs de l’Université de Californie.

Plusieurs milliers sujets masculins et féminins ont pris part à cette étude, qui trace encore une fois une ligne marquée entre la psychologie féminine et masculine.

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Une équipe de chercheurs trace un lien entre l’Alzheimer et le diabète de type II

Le Daily Mail (UK) rapporte d’étonnantes affirmations de la part d’une équipe de chercheurs américains basée à l’Université d’Albany, dans l’État de New York.

Ces spécialistes tracent un lien entre deux des maladies les plus terribles de notre époque, soit la maladie d’Alzheimer et le diabète de type II. Pour l’équipe représentée par un certain Ewan McNay, il existe plusieurs parallèles qui semblent indiquer que « l’Alzheimer et le diabète de type II sont en fait la même maladie ».

Il semble que si on analyse les symptômes de l’Alzheimer, dont les fameuses plaques amyloïdes dont on parle de plus en plus récemment, on pourrait considérer la maladie comme l’un des stages avancés, voire finaux, du diabète de type II.

Un excès d’insuline découlant de cette dernière pourrait provoquer d’importants changements au cerveau, et ainsi empêcher d’importantes fonctions chimiques de jouer leur rôle.

Même si cette théorie peut surprendre et nécessite davantage de recherches, plusieurs spécialistes avaient déjà soupçonné un risque accru de développement de l’Alzheimer chez les personnes atteintes de diabète de type II, corroborant ainsi les conclusions de l’équipe américaine.

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Des baisses statistiques des cas de démence

Bien que les cas de démence, par exemple en ce qui concerne la maladie d’Alzheimer, sont pris au sérieux et confrontés plus que jamais par les spécialistes, il semble que ceux-ci soient généralement en baisse et moins hâtifs, selon des chiffres étonnants rapportés par Santé Log.

En fait, il semble qu’au cours des dernières années, les maladies dégénératives cérébrales liées au vieillissement, comme l’Alzheimer, ont ralenti en termes de progression moyenne, et frapperaient même plus tard dans la vie de plusieurs patients qu’auparavant.

Plusieurs facteurs peuvent expliquer le phénomène, à commencer par l’amélioration de la technologie et des soins de santé dans de tels cas, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux facteurs qui peuvent encourager le développement, à court ou très long terme, de maladies comme l’Alzheimer.

Du nombre, bien sûr, l’alimentation, le tabagisme, les habitudes en termes d’activité physique, le taux de sucre et le poids moyen.

Même si le combat contre la démence due au vieillissement n’en est pas à ses dernières batailles, les spécialistes américains (Californie, Michigan, Washington) qui publient leurs observations croient qu’il est important d’être optimiste et de continuer à miser sur la prévention pour les années à venir, le temps que l’on développe de nouveaux traitements.

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Des campagnes de sensibilisation sociale qui ratent la cible

Partout dans le monde, des campagnes de sensibilisation et de prévention concernant différents sujets et problèmes sont lancées afin de protéger et conscientiser la population, notamment chez les jeunes.

Mais une bonne partie de ces tentatives ratent la cible et ne permettent souvent pas les changements statistiques escomptés. Ici au Québec, on n’a qu’à penser aux efforts de la SAAQ pour contrer la vitesse et l’alcool au volant, des comportements qui semblent difficiles à prévenir.

Mais pourquoi beaucoup de ces campagnes ratent-elles leurs objectifs? Pour une équipe de chercheurs basée à Grenoble, qui publie une étude sur le sujet, le problème réside dans le fait que ces campagnes ne touchent pas la bonne corde sensible du public, spécialement chez les jeunes, rapporte Top Santé.

Au lieu de traiter du problème en tant que tel, comme celui de la malbouffe ou de l’alcool au volant, les organisateurs de ces campagnes devraient plutôt cibler les résultats sociaux qui en découlent, selon les chercheurs européens.

« Les campagnes actuelles se concentrent sur l’argument santé et négligent l’argument social, alors que les adolescents sont particulièrement sensibles aux normes sociales et à l’influence de leurs pairs », résume une spécialiste.

En clair, il faut donc chercher à « manipuler » l’auditoire de façon à toucher ce qui compte vraiment, et non en axant les campagnes sur des conséquences qui, selon plusieurs, « ne s’appliquent qu’aux autres ».

Les résultats et conclusions de cette étude sont publiés dans Le Parisien.

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Les sushis pourraient augmenter le risque de problèmes cardiovasculaires

Alors que les sushis ont pris d’assaut la planète entière et sont devenus en l’espace de quelques années une véritable tendance alimentaire, une nouvelle étude vient refroidir les ardeurs des fanatiques du mets japonais.

Selon MedicalNewsToday, qui rapporte l’étude américaine initialement publiée dans le Journal of Risk Research, des tests de mercure effectués sur quantité d’échantillons de sushis démontrent des taux beaucoup trop élevés de l’élément, mettant ainsi possiblement en danger la santé et la vie de nombreux Nord-Américains.

Les taux de mercure excèderaient tous les plafonds proposés par diverses organisations de la santé, par exemple la CDC et l’OMS, pavant ainsi la voie à de sérieux problèmes de santé cardiaque.

Ces résultats s’appliqueraient davantage aux sushis préparés avec du thon, qui contiendraient plus de mercure que les autres, comme ceux à base de saumon ou de crabe.

On suggère donc de minimiser sa consommation de sushis faits de thon, car non seulement sa surconsommation ferait grimper les risques de problèmes cardiovasculaires, mais mettrait également en danger plusieurs espèces en raison de la trop grande demande des consommateurs.

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Comment aider votre adolescent à réviser avant l’examen

Le syndrome de la page blanche ne remonte pas à hier. Peut-être que vous-même en étiez victime à l’école secondaire, surtout pendant les grosses périodes d’examens. Selon Psychoenfants.fr, il faut savoir décrypter les difficultés qui sont reliées à ce stress.

L’enfant a peut-être de la difficulté à gérer le stress qui accompagne l’examen, mais il se peut aussi que sa stratégie d’étude doive être révisée. Apprendre par cœur et comprendre la matière sont deux choses. Et la seconde vaut beaucoup mieux que la première.

Pour l’aider à mieux étudier

– Assurez-vous qu’il soit dans un environnement calme et bien organisé. Pas de musique ni de télévision.

– Donnez-lui des trucs efficaces, par exemple prendre des notes de ses lectures pour varier son activité cérébrale et rendre l’étude plus interactive, ou se préparer des fiches. Celles-ci contiennent des mots-clés d’un côté, et de l’autre, le concept global.

– Encouragez l’étude dès qu’il arrive à la maison, ou pendant une heure précise, après la douche entre autres, où il sera plus éveillé.

– Découvrez s’il est auditif ou visuel pour axer l’étude sur des graphiques, des couleurs, ou par voix de dictaphone pour qu’il s’enregistre et se réécoute.