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Le système immunitaire au service de la lutte anti-obésité?

Le système immunitaire pourrait-il s’avérer une nouvelle arme dans la lutte à l’obésité? C’est ce que proposent deux nouvelles études sur le sujet, dont les conclusions sont rapportées par le Science Daily.

Les chercheurs croient que l’activation provoquée du système immunitaire pourrait activer de « bon gras » dans l’organisme, qui permettent de bruler des calories stockées dans l’organisme.

La manœuvre pourrait s’avérer la base d’un nouveau traitement contre l’obésité. « L’idée que la santé métabolique puisse être améliorée par l’activation des cellules immunitaires dans les gras est plutôt fantastique. Cette étude révèle une nouvelle classe potentielle de traitements qui pourraient un jour être utilisés pour traiter les désordres liés à l’obésité », commente l’auteur de l’une de ces études, Bruce Spiegelman, du Dana-Farber Cancer Institute and Harvard Medical School.

Une autre étude publiée presque simultanément par des chercheurs de l’Université de Californie abonde dans le même sens.

Les résultats de ces deux études ont été publiés par Cell Press dans le journal scientifique Cell.

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Les messages textes aideraient vraiment les fumeurs à arrêter

On vous parlait récemment de ce projet pilote consistant à aider les fumeurs à arrêter la cigarette grâce à l’envoi de plusieurs messages textes ciblés. Il semble que la manœuvre ait démontré son efficacité au cours d’un essai, dont les résultats sont maintenant dévoilés dans une étude, rapporte The National Library of Medicine.

Selon les chercheurs de la George Washington University’s Milken Institute School of Public Health, les chances de succès d’un fumeur qui souhaite cesser de fumer augmenteraient du double.

« Les messages textes semblent donner aux fumeurs des rappels constants des raisons pour arrêter de fumer. Par contre, d’autres études doivent être accomplies afin de confirmer ce résultat, et afin de voir comment ces programmes fonctionnent lorsqu’associés avec d’autres méthodes pour cesser de fumer », explique l’auteure de l’étude, Lorien Abroms.

L’étude pilotée par Abroms analyse les résultats obtenus par ces messages textes automatisés sur 503 fumeurs volontaires pour la recherche.

11 % des fumeurs du programme auraient cessé de fumer, contrairement à 5 % pour le groupe test comparatif.

Les résultats de l’étude ont été publiés en ligne par l’American Journal of Preventive Medicine.

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Les chicanes de couple sont dures pour la santé

Les femmes seraient plus à risque de problèmes de santé et de mort prématurée découlant des disputes et chicanes de couple, selon une nouvelle étude rapportée par Top Santé.

Selon des chercheurs universitaires américains basés à Pittsburgh, les chicanes de couple sont lourdes de conséquences pour la santé des gens qui les vivent, et chez les deux sexes, mais particulièrement chez les femmes.

Augmentation de la tension artérielle, risque accru de troubles cardiaques et d’AVC, décès prématuré, stress, anxiété, voilà autant de problèmes qui peuvent découler des disputes engendrées au sein d’une relation amoureuse.

C’est après avoir analysé les cas de plus de 1500 personnes âgées de 50 ans, soit en milieu de vie, que les chercheurs ont remarqué de tels impacts sur la santé, notamment chez les femmes.

« Les disputes ont donc plus d’importance à leurs yeux et ont un impact sur leur tension nerveuse », mentionne le chercheur Rodlescia Seed, qui croit que les femmes s’impliquent davantage que les hommes sur le plan émotif dans une relation.

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Les Canadiens « oublient » les deux tiers de leur consommation d’alcool

Les Canadiens « oublieraient » les deux tiers de leur consommation réelle d’alcool lorsque questionnés à ce sujet, selon une analyse rapportée par Radio-Canada.

Alors que l’énoncé est une porte ouverte aux blagues faciles, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour le directeur de cette recherche, Tim Stockwell, du Centre de recherche en toxicomanie de l’Université de Victoria.

Selon Stockwell, les données analysées provenant de sondages sur la consommation d’alcool effectués auprès des Canadiens entre 2008 et 2012 ne collent pas avec les chiffres de ventes d’alcool obtenus au cours de cette même période.

Soit les répondants canadiens mentent volontairement lors de ces questions, soient ils s’avèrent nonchalant lorsque vient le temps de calculer leur consommation. Quoi qu’il en soit, l’étude démontre un phénomène de sous-estimation de la consommation générale d’alcool, particulièrement en ce qui concerne le vin, semble-t-il.

L’étude conclut également que les habitants des régions du nord du pays sont de plus grands consommateurs d’alcool, alors que ceux de l’est du Canada seraient plus raisonnables, en moyenne.

Les analyses du Centre de recherche en toxicomanie de l’Université sont proposées dans le magazine scientifique Addiction.

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Mangez-vous vos super-légumes?

Vous mangez des fruits et légumes? Bien! Mais mangez-vous aussi vos super-légumes? Voilà la question que pose The National Library of Medicine en rapportant une nouvelle étude sur les bienfaits de certains légumes en particulier.

Il y a des légumes, selon l’étude, qui contiennent des doses impressionnantes et puissantes de vitamines et minéraux par calorie, et qui sont à conseiller largement au sein d’une alimentation saine.

Du nombre, les légumes à feuilles vertes (foncées), les choux chinois, les bettes à carde et les feuilles de betteraves seraient des alliés particulièrement puissants de l’organisme. À l’inverse, les framboises, les tangerines, l’ail et les oignons n’auraient que peu d’impact en comparaison.

La recherche se base sur des données recueillies par la professeure Jennifer Di Noia de l’Université de Wayne, au New Jersey. La spécialiste a analysé 47 fruits et légumes et n’en a retenu que six qui se qualifient comme super-aliments.

« Ces aliments frappent fort parce qu’ils procurent plus de nutriments par calorie. Ces résultats peuvent aider les consommateurs à se concentrer sur des aliments qui remplissent leurs besoins énergétiques quotidiens », croit Di Noia.

Les conclusions de la recherche ont été publiées dans le journal Preventing Chronic Disease.

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La qualité de l’activité physique plus importante que la quantité

« La qualité est plus importante que la quantité » est un adage vieux comme le monde, et il semble qu’il s’applique également en matière de santé et d’activité physique, rapporte Top Santé.

En effet, selon une nouvelle étude américaine, cibler et varier le type d’exercice et miser sur l’impact de ceux-ci serait plus bénéfique pour la santé que de miser sur la répétition et la durée.

Pour arriver à ces conclusions, les auteurs de l’étude du Skidmore College de Saratoga Springs ont analysé les réactions de trois groupes de sujets volontaires. L’un des groupes ne devait simplement rien faire, le second devait miser sur un programme d’activité physique très intense et fréquent (quatre fois par semaine), alors que le troisième devait varier les types d’exercice et de programmes, mais de façon moins répétée.

Vous aurez deviné que le troisième groupe a bénéficié davantage de ce type de programme, tout en gagnant du temps précieux sur une base hebdomadaire.

« Pour être en bonne santé, il ne faut pas simplement faire plus de sport, mais pratiquer une gamme d’exercices appropriés qui sont bénéfiques et réellement utiles à la forme physique. Mais les résultats de l’étude suggèrent la nécessité de réévaluer les directives de santé dans le monde. En effet, leurs recommandations s’appuient aujourd’hui sur le temps passé à faire de l’exercice par semaine, et non sur les types d’activités physiques pratiquées », résume Paul Arciero, directeur de l’étude.

En ce moment, l’OMS suggère 150 minutes d’activités physiques dites « modérées » par semaine, ou 75 minutes d’activités très intenses.

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De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

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Des animaux de compagnie qui nuisent au sommeil

Nos petits amis à poils et à plumes pourraient être la cause de sérieux problèmes de sommeil, selon une étude rapportée par Top Santé.

Des chercheurs de la Clinique Mayo ont évalué l’impact des animaux de compagnie sur la qualité du sommeil, et estiment que plus une personne possède d’animaux, plus elle risque de nuire à la qualité de ses nuits.

Selon les données de l’étude, qui analyse les réponses de 110 patients en consultation pour des troubles du sommeil, 46 % d’entre eux possèdent un animal de compagnie, et 42 % plus d’un animal.

« Les patients reçus en consultation se plaignent le plus fréquemment des ronflements de leurs animaux, mais aussi de leurs cris, notamment lorsqu’ils veulent sortir, jouer ou tout simplement lorsqu’ils s’ennuient. Cela cause une perturbation du sommeil, bien sûr, mais aussi de l’irritabilité chez les sujets », signale par ailleurs Dre Loïs Krahn, une psychiatre de la Clinique Mayo.

Cependant, on ne peut jeter l’entièreté du blâme sur ces petites bêtes, puisqu’il est important que le maître prenne ses responsabilités et éduque adéquatement son animal de compagnie, estiment les chercheurs.

Les données de cette étude ont été présentées devant les spécialistes réunis au 29e Congrès annuel de la société des professionnels du sommeil.

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Nouveau traitement prometteur contre l’Alzheimer

Un nouveau traitement, maintenant considéré comme « prometteur » par les spécialistes, aurait passé une nouvelle étape après des tests concluants effectués sur des rongeurs, dévoile The National Library of Medicine.

C’est un nouveau médicament, le 2-PMAP, qui aurait démontré des effets plus qu’intéressants sur des souris, rapporte cette même source, en coupant de moitié les niveaux de bêta amyloïde.

Cette dernière est la protéine qui serait largement associée au développement de la maladie d’Alzheimer, un fait confirmé par plusieurs autres études et spécialistes depuis un bon moment déjà.

La stratégie derrière ces tests et la création du 2-PMAP est de contrer les effets de l’Alzheimer avant sa progression.

« La clé est de prévenir le processus de la maladie pour éviter qu’il n’aille trop loin. Ce que nous voulons d’un médicament préventif contre l’Alzheimer, c’est qu’il réduise le bêta amyloïde, tout en demeurant sécuritaire à long terme », explique le Dr Martin Sadowski, auteur principal de l’étude et professeur au NYU Langone Medical Center.

D’autres essais sont à prévoir pour tester plus amplement les bienfaits du 2-PMAP.

Les résultats de cette plus récente étude ont été publiés dans la version en ligne des Annals of Neurology.

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Les prunes contribueraient à la perte de poids

Les prunes possèdent plusieurs bienfaits reconnus pour la santé et permettraient également de favoriser une perte de poids, de façon directe ou indirecte, rapporte MedicalNewsToday.

C’est une nouvelle étude conduite par des chercheurs de l’Université de Liverpool qui mène à ce constat, alors que celle-ci conclut que l’ajout de prunes dans l’alimentation et au sein d’un régime permet une plus grande perte de poids.

Les chercheurs de l’Institute of Psychology, Health and Society de l’Université de Liverpool ont testé l’impact de l’ajout de prunes au régime alimentaire chez 100 patients considérés comme obèses, sur une période de 12 semaines.

En analysant plusieurs facteurs externes et en déterminant les effets des prunes sur le métabolisme, les chercheurs sont parvenus à la conclusion que ces fruits permettent bel et bien de favoriser une perte de poids. Les résultats auraient été particulièrement probants lors des quatre dernières semaines de l’essai.

« Il s’agit des premières données qui démontrent une perte de poids et aucun effet secondaire lié à la consommation de prunes dans le cadre d’un programme de contrôle du poids », lance le Dr Jo Harrold, qui dirige l’étude.

En contrepartie, les fruits séchés ne sont pas systématiquement suggérés par les spécialistes dans le cadre d’un régime pour perdre du poids, même s’ils permettent une plus grande satiété, rappelle en terminant cette même source.