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Les gauchers plus à risque de développer des troubles comme la schizophrénie

Les personnes qui écrivent de la main gauche sont-elles plus à risque de développer certains problèmes de santé mentale ou neurologiques, comme la schizophrénie?

C’est ce qu’avance une nouvelle étude sur le sujet rapportée par Top Santé, qui fait état des variations qui s’opèrent au cerveau des gauchers. Celles-ci pourraient paver la voie au développement de maladies comme la schizophrénie, par exemple.

L’étude américaine, parue dans l’édition d’octobre de SAGE Open, analysait les données et réactions observables chez 107 patients. Elle trace un parallèle entre le fait d’être gaucher et les risques de schizophrénie.

« Le cerveau humain se développe de façon asymétrique, de sorte que certains processus cognitifs surviennent principalement du côté gauche ou droit. Il a été suggéré que les variations de cette latéralité contribuent à certaines formes de maladies mentales, comme la schizophrénie », résument les chercheurs américains.

Seule bonne nouvelle, ces mêmes gauchers seraient moins sujets aux troubles de l’humeur et de la santé psychologique, comme la dépression.

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L’impact de la nouvelle génération de jeux vidéo sur la santé

Les jeux vidéo progressent à un rythme impressionnant en termes de qualité, de réalisme et de potentiel d’immersion, déchaînant les passions chez les fans, mais aussi les inquiétudes chez certains spécialistes de la santé.

C’est le cas d’une équipe de chercheurs australiens, rapporte le Daily Mail (UK), qui publient leurs conclusions en la matière, à savoir les impacts de ces jeux hyper réalistes et immersifs sur la santé et les facultés de ceux qui y jouent.

On n’a qu’à penser au nouveau Grand Theft Auto V et surtout à son révolutionnaire mode en ligne, qui permet de vivre dans un véritable monde parallèle, truffé de violence et d’humour noir.

En analysant les comportements et réactions de joueurs intensifs, en utilisant par exemple des tests psychologiques, des tests de résistance à la douleur et des mises en situation, les chercheurs australiens constatent une désensibilisation marquée chez ceux-ci.

Les sujets de l’étude ont presque tous démontré une perte d’intérêt envers leur propre corps, et donc des symptômes d’une maladie probable ou encore de la fatigue ou d’une perte de moral. De plus, on remarque une baisse considérable d’empathie et de la qualité de leurs relations avec les autres, un peu comme si les jeux vidéo immersifs et la vie par procuration qu’ils suggèrent s’avéraient « suffisante ».

Ces révélations peuvent s’avérer inquiétantes pour l’avenir, mais un joueur averti en vaut deux, et plusieurs gamers sauront sans doute faire la part des choses lorsqu’ils auront conscience du phénomène, notamment grâce à ce genre de recherches.

Plusieurs études précédentes ont par ailleurs démontré des bienfaits évidents découlant de l’utilisation des jeux vidéo, notamment sur le cerveau et les fonctions cognitives.

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Le bacon reçoit le titre d’aliment miraculeux

Un article à priori banal et rigolo de la part de Wired fait des remous sur la Toile, après que celui-ci ait couronné le bacon comme étant le roi des aliments miraculeux.

Il n’en fallait pas plus pour des observateurs, des nutritionnistes et des fanatiques de la santé montent aux barricades!

Attention, cependant, on ne parle pas ici d’un « miracle pour la santé », mais plutôt de la propriété du bacon à améliorer plusieurs recettes, et donc les rendre plus populaires.

Radio-Canada, qui rapporte l’article initial, explique que le journaliste s’est basé sur des statistiques proposées par FoodNetwork.com pour son étude qui, avouons-le, est plutôt exhaustive.

Wired a en effet compilé et analysé les données concernant près de 50 000 recettes, et plus de 900 000 commentaires d’internautes, avant de conclure que le bacon était l’ingrédient le plus miraculeux à inclure dans une recette, le tout basé sur un algorithme simple mais ingénieux.

L’ingrédient améliorerait pratiquement tous les plats sauf les pâtes et les desserts, selon les conclusions proposées.

Par ailleurs, une récente étude suisse vantait les mérites du bacon sur la longévité, ce qui a de nouveau soulevé l’ire des spécialistes, qui rappellent les dangers des viandes transformées sur l’organisme.

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Fibromyalgie : de plus en plus d’études et un nouveau test de dépistage

Il n’y a pas si longtemps, la fibromyalgie relevait pour plusieurs du mythe ou de la sorcellerie, et les femmes qui en souffraient se voyaient la plupart du temps isolées et incomprises.

La donne a cependant changé au cours des deux dernières années, alors que les études sur le sujet s’accumulent, dont cette plus récente rapportée par The National Library of Medicine, ainsi que la création d’outils de prévention et de traitement, comme le rapporte Top Santé.

D’abord, la première étude fait état d’un impact plus important de la fibromyalgie sur les femmes plus jeunes, expliquant que les symptômes de ce problème de santé sont souvent plus violents chez les femmes de 30 ans et plus.

Alors qu’on suggère à celles-ci de prendre le sujet au sérieux et de ne pas hésiter à consulter, on rapporte du même coup la création d’un nouveau test de dépistage qui se base sur l’analyse des protéines capables de prévenir de la douleur, produites en moins grande quantité chez les patientes atteintes de fibromyalgie.

« 83 % des personnes atteintes de fibromyalgie, et 89 % de celles qui ne souffraient pas de cette maladie, ont été identifiées correctement avec le test. Ces résultats doivent être considérés comme préliminaires. Ce test doit être éprouvé sur une plus grande échelle et validé par des experts médicaux extérieurs. Notre test, s’il est validé, permettra de légitimer le diagnostic et d’aider les malades à se soigner plus rapidement », résument en conclusion Bruce Gillis et Scott Zashin, d’EpicGenetics, l’entreprise créatrice du test en question.

S’il reste encore du chemin à faire en termes de dépistage, de prévention et du traitement de la fibromyalgie, tous ces exercices permettent au moins une plus grande sensibilisation au phénomène.

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Le sexe permettrait de brûler plus de calories que la marche

« Oubliez la promenade et essayez le sexercice! », titre avec humour le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude amusante mais tout à fait scientifique sur le nombre de calories dépensées lors d’une relation intime.

D’abord, il faut rappeler que les spécialistes de tous acabits se sont obstinés depuis des lunes concernant les véritables bienfaits de la sexualité sur la santé physique, et la pertinence de considérer l’acte sexuel comme une activité physique à part entière.

Ce n’est que récemment que certaines études ont finalement penché du côté de ceux qui le considèrent comme un exercice, mais cette plus récente proposée par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avancent des chiffres qui nous replongent dans une zone grise.

C’est que si la recherche confirme effectivement une perte calorique, on constate du même coup que les relations sexuelles ne permettent de brûler que peu de calories, si on les compare au jogging, par exemple.

Ainsi, c’est 4,2 calories par minute d’activité sexuelle qui s’envolent chez l’homme, et 3,1 chez la femme. Pas de quoi fouetter un chat, si l’on considère que la relation sexuelle moyenne ne dure que 24,7 minutes, pour un total de 104 calories de dépensées pour les hommes, et de 69 pour les femmes.

En étirant le temps et en augmentant un peu l’intensité, cependant, la sexualité peut alors devenir plus bénéfique que la marche, en termes de perte calorique.

Mais au final, bien que l’on conclut du côté des chercheurs québécois que le sexe peut être une activité physique reconnue, on ne suggère pas pour autant d’abandonner le sport ou l’entraînement!

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Les passe-temps et activités physiques simples sont aussi bénéfiques pour votre santé

On vante sans relâche les bienfaits de l’activité et de l’exercice physique, avec raison, mais on oublie souvent l’impact d’une multitude d’autres « petites » activités sur l’organisme et sa santé.

Car après tout, une vie active implique quantité de gestes et d’activités, et ne se limite pas à trois joggings par semaine ou à un entraînement en salle.

C’est précisément ce que rapporte Top Santé, qui fait état d’une nouvelle étude ciblant les impacts des activités dites « non sportives », par exemple les arts visuels (bricolage, peinture, etc.), le fait de jardiner ou encore de simplement laver sa voiture ou faire le ménage.

L’étude suédoise, initialement publiée dans le British Journal of Sports Medicine, a déterminé les effets de ces passe-temps ou activités plus simplistes sur des personnes plus âgées, en analysant les réactions et les taux de mortalité d’un groupe de plus de 4000 personnes, toutes âgées de plus de 60 ans, sur une période de 12 ans.

Les résultats sont clairs : la pratique d’activités non sportives permet de réduire les risques d’infarctus et d’AVC de près du tiers (27 %).

« Une vie quotidienne généralement active, indépendamment du fait de pratiquer ou non de l’exercice régulièrement, est associée à la santé cardiovasculaire et à la longévité à ces âges », résume l’équipe de chercheurs qui dirige les travaux.

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Solidifier son système immunitaire par la vitamine D

Alors que la première petite neige fondante s’est abattue sur plusieurs régions du Québec, signifiant du même coup l’arrivée de la saison de la grippe, plusieurs personnes chercheront à augmenter et solidifier les capacités de leur système immunitaire.

Selon le Nutrition News et son éditeur, Joshua Corn, il n’existe pas beaucoup d’alternatives ou de meilleurs moyens que de compter sur la vitamine D. D’ailleurs, la prochaine édition du magazine papier sera consacrée à la précieuse vitamine, qui a gagné ses galons depuis l’hiver dernier.

En effet, au cours de l’année qui se terminera bientôt, plusieurs études et recherches sont venues consacrer la vitamine D et son importance pour l’organisme, notamment en ce qui concerne les capacités immunitaires.

Rappelant du même coup qu’il n’est pas absolument nécessaire de recourir au fameux vaccin contre la grippe, Corn et son équipe précisent que le manque de vitamine D est maintenant un phénomène presque pandémique. Aucune surprise alors de voir les gens tomber malades facilement lors de l’arrivée de la saison froide.

Mais où retrouve-t-on la fameuse vitamine D? Malheureusement du soleil, qui se fait timide et moins accessible en hiver. On conseille donc de se tourner vers les suppléments, notamment de D3, et de demander les conseils d’un spécialiste de médecine naturelle, plus conscient des méthodes de fabrication des grandes marques.

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Le secret est dans les amandes

Toujours faim? Envies incessantes de grignoter? Incapable de perdre du poids et à la recherche de trucs utiles et infaillibles? Selon le Daily Mail (UK), il appert que le secret est dans les amandes!

En effet, le quotidien rapporte une étude effectuée par des chercheurs de l’Université Purdue (Indiana, États-Unis) qui fait état des bienfaits stupéfiants d’une consommation quotidienne d’amandes en guise de collation.

Selon les données proposées, la proportion de gens qui avouent manger au moins une collation superflue par jour serait maintenant de 97 %, alors aussi bien dire tout le monde ou presque.

Or, le choix de cette collation est vital, car elle contribue largement à la prise de poids presque épidémique enregistrée par plusieurs populations. Selon les chercheurs américains, remplacer cette collation par environ 30 amandes suffirait non seulement à calmer la faim, mais également à ne pas absorber trop de calories supplémentaires.

Car si les amandes contiennent bien sûr elles-mêmes des calories, elles ont démontré être en mesure d’aider les participants à ne pas manger davantage et même à réguler leurs heures de repas.

Les amandes sont par ailleurs une excellente source de vitamines, de protéines et de fibres, les qualifiant haut la main de collation par excellence.

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L’anxiété de la première grossesse

Alors que la dépression post-partum est bien connue, l’anxiété à la suite de la naissance d’un premier enfant serait encore plus propagée.

C’est ce que révèle une récente étude australienne publiée dans le Journal of Affective Disorders.

En évaluant 172 couples ayant différents historiques et vivant tant en ville qu’en régions, les chercheurs sont arrivés à la conclusion que ce n’est pas moins du tiers des nouvelles mamans qui souffriraient de symptômes d’anxiété après la naissance de leur premier enfant. Les nouveaux pères n’en sont pas non plus à l’abri, alors que plus de 17 % d’entre eux en souffriraient aussi.

La Dre Karen Wynter de l’unité de recherche à la Monash University explique que le taux d’anxiété découvert était beaucoup plus haut que précédemment supposé.

« La plupart des gens croient que la dépression post-partum est le mal le plus répandu pour les nouveaux parents, mais nous savons maintenant qu’elle n’est pas même près d’être aussi commune que l’anxiété », dit-elle.

Elle fait aussi la lumière sur le besoin réel pour les nouveaux parents d’être ouverts l’un envers l’autre sur leur état d’esprit afin de déceler les signes d’anxiété, ainsi que d’avoir accès à des professionnels de la santé pour les aider à mieux se préparer à l’arrivée de bébé, particulièrement s’il s’agit du premier. 

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Traitement de l’Alzheimer : une prédiction futuriste étonnante

Le Daily Mail (UK) rapporte une prédiction stupéfiante en matière de traitement éventuel de la maladie d’Alzheimer, une nouvelle qui a de quoi semer l’optimisme chez les spécialistes, les chercheurs, les patients et la population vieillissante, si elle s’avère fondée.

Selon des chercheurs de l’Université Cardiff, Julie Williams en tête, il serait possible dans un avenir rapproché de mettre au point un traitement sous forme de vaporisateur nasal qui échangerait et ajouterait des gènes en santé chez le patient qui l’utilise.

Quels gènes? À commencer par les 11 identifiés dans cette recherche, la même qui mène à cette prédiction quasi historique. Cette dernière se base sur le travail de 180 chercheurs basés dans 15 pays différents, et qui concluent conjointement à l’existence de 11 autres gènes qui augmentent les risques de développement de la maladie d’Alzheimer, portant le total à 21.

Williams, directrice de la recherche, résume : « Ce qui nous a surpris le plus est le schéma très fort qui montre l’implication de plusieurs gènes menant à la démence. Chaque gène individuel apporte un risque faible, mais quand on place toute l’information ensemble, ils (les gènes) nous racontent une intéressante et nouvelle histoire. Ça nous mène dans une nouvelle direction ».

Encore une fois, la réponse semble bel et bien se trouver dans l’analyse génétique, et Julie Williams croit qu’il est raisonnable de croire à un traitement de l’Alzheimer d’ici les dix prochaines années.