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La danse au secours de patients atteints du Parkinson

Le Globe and Mail rapporte une touchante et prometteuse initiative de la part d’un groupe de chercheurs canadiens et de la National Ballet School de Toronto, qui vise à aider des groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson à améliorer leur sort grâce à la danse.

Alors que le projet est déjà un succès sur le terrain, le programme officiel n’en est qu’à sa moitié, et tentera de définir pourquoi la danse semble avoir un impact si positif sur ces patients, qui affichent des améliorations notables de leur état de santé physique et psychologique au fil de ces classes de danse.

Des tests poussés seront effectués sur ces groupes de patients afin de comprendre les réponses cérébrales et analyser les raisons qui font que la danse semble outrepasser certaines barrières, pourtant créées par la maladie de Parkinson.

Mais au-delà du langage scientifique et des recherches, l’initiative a déjà changé la vie de ceux et celles qui participent à celle-ci, comme le quotidien le constate.

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Les femmes peuvent encore espérer vivre quatre ans de plus que les hommes

Le Telegraph (UK) rapporte une étude statistique qui donne encore une fois l’avantage de l’espérance de vie aux femmes, alors que ces dernières peuvent espérer vivre quatre ans de plus que les hommes.

Ces chiffres, basés sur des données britanniques, mais qui se transposent facilement à la population mondiale, font également état d’une hausse de longévité potentielle de quelques points pour les enfants nés entre 2010 et 2012.

On parle donc d’une espérance de vie de 79 ans pour les hommes et de près de 83 % pour les femmes, et d’une moyenne globale totale de près de quatre années de différence.

Encore une fois, ces chiffres peuvent varier grandement en fonction de la classe sociale, du style de vie et du lieu de résidence d’un individu, mais on constate néanmoins des hausses générales de longévité, même chez les hommes, chez qui celle-ci semble même plus rapide dans son évolution.

Pour l’instant, les femmes conservent la palme et peuvent aspirer à quatre années de plus que leurs congénères, quatre années de paix et de tranquillité, diront certaines. 

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Une étude se porte à la défense du fromage

Il semble qu’il existe des courants et des modes en nutrition, alors que certains aliments se voient subitement massivement mis en relief dans des campagnes de promotion agressives, et que d’autres se voient ostracisés, devenant soudainement des ennemis de la santé.

Ce fut le cas du café, à une certaine époque, avant que celui-ci retrouve ses lettres de noblesse au fil des deux dernières années. On peut également penser au vin et à la bière, aux suppléments de vitamine et aux œufs, qui sont passés d’une catégorie à l’autre en l’espace de quelques modes.

L’un des plus récents et probants exemples de ce mouvement d’opinion est sans aucun doute celui du fromage, qui fut depuis des décennies un allié puissant de la santé, avant que l’on décide qu’il était « trop gras » et « dangereux pour le cœur ».

Or, Top Santé rapporte une nouvelle étude sur le sujet, qui invalide partiellement ces théories. La recherche, effectuée par le cardiologue Aseem Malhotra et publiée dans le British Medical Journal, conclut que les dangers du fromage et du beurre qui sont véhiculés en ce moment ne sont qu’une infime partie du tableau global.

« Paradoxalement, en cessant de consommer du beurre et du fromage, nous avons pris des risques cardiovasculaires, car les produits laitiers riches en graisses saturées sont également riches en vitamine A, en vitamine D, en calcium et en phosphore, dont notre corps a besoin pour bien fonctionner. Mais les consommateurs doivent faire la différence entre les graisses saturées et les gras trans que l’on trouve souvent dans les produits tout préparés, les plats industriels et la malbouffe », écrit le Dr Malhotra dans une analyse qui se veut on ne peut plus claire.

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Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

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Rester debout pourrait vous faire gagner deux années supplémentaires

Des chercheurs de l’Université de Chester dévoilent leurs conclusions se basant sur une prémisse fort simple, mais qui ne nous apparait pas toujours de façon évidente au quotidien.

Le Dr John Buckley et son équipe ont en effet déterminé que les impacts positifs sur la santé du simple fait de rester debout, au lieu de toujours chercher à s’assoir, sont nombreux et vérifiables, rapporte Top Santé

On le sait, la sédentarité (terme qui définit l’inaction, le manque d’activité physique) est blâmée et considérée comme l’un des principaux facteurs de problèmes de santé, comme l’obésité et les maladies cardiovasculaires.

Or, il n’est pas toujours facile de bouger dans un contexte de travail de bureau, par exemple, et de trouver le temps qu’il faut pour l’activité physique au fil de semaines qui s’étirent et n’en finissent plus.

Selon Buckley, la solution est toute simple et réside en partie dans le fait de se lever et de rester debout dans le plus de situations possible, ce qui permettrait à un individu de brûler 750 calories de plus par jour, et même de gagner deux ans en espérance de vie!

« Faire du sport présente de nombreux avantages pour la santé, mais cela ne pourra pas réparer les dommages causés par la position assise prolongée. Notre corps a besoin d’être stimulé et de produire une activité musculaire quotidienne », explique Buckley, qui croit qu’un minimum de trois heures passées debout par jour devrait être observé pour en retirer tous les bénéfices.

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Les choux protègeraient aussi des dangers des traitements par radiation

Une nouvelle étude avance que les choux, comme le chou-fleur et le brocoli, ne seraient pas que des alliés en prévention du cancer, mais aussi lorsque celui-ci se développe et qu’un traitement par radiation est nécessaire.

On sait depuis maintenant un bon moment que les membres de la famille du chou, les crucifères, sont d’excellents aliments anti-cancer, grâce à leur teneur en DIM. Or, selon ce que rapporte Top Santé, ils permettraient aussi de protéger des effets retour de la radiothérapie, ironiquement proposée justement dans les cas de cancer.

Eliot Rosen et son équipe de la célèbre Université Georgetown ont dû irradier des groupes-tests de rongeurs, des rats et des souris, afin de confirmer leur théorie concernant les effets protecteurs du DIM.

« Tous les rats qui n’avaient pas été traités au DIM sont morts. Mais plus de la moitié de ceux qui l’avaient été sont restés vivants 30 jours après avoir été irradiés. Le DIM a été étudié en tant qu’agent de prévention du cancer, mais nos travaux montrent qu’il peut aussi agir comme un protecteur anti-rayonnement. Le DIM pourrait protéger les tissus normaux chez les patients recevant une radiothérapie contre le cancer, mais il pourrait aussi protéger les individus contre les conséquences fatales d’une catastrophe nucléaire », conclut Rosen.

Compte tenu de ces récentes découvertes et de leurs nombreux avantages sur le plan nutritif, on suggère donc fortement d’intégrer les crucifères à notre alimentation le plus souvent possible.

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Le sommeil ciblé en prévention de la maladie d’Alzheimer

Alors que les recherches pour traiter, prévenir et enrayer l’Alzheimer vont bon train, et que plusieurs essais semblent prometteurs et en apprennent davantage sur ce qui cause la terrible maladie, la course au traitement préventif bat son plein.

De plus en plus de tests et d’analyses comparatives permettent de mieux comprendre ou plutôt de voir l’évolution de la maladie. On n’a qu’à penser à ces fameuses plaques cérébrales (ou amyloïdes) identifiées récemment par les chercheurs, et qui sont l’indicateur principal du développement actif ou éventuel de la maladie d’Alzheimer.

Mais alors, comment en freiner l’évolution? Selon ce que rapporte The National Library of Medicine, l’une de ces solutions pourrait se trouver dans de bonnes nuits de sommeil, tout simplement.

Adam Spira, de la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, croit qu’il existe effectivement une corrélation entre le sommeil et l’Alzheimer chez les personnes plus âgées. « Il y a un lien entre le sommeil et la quantité de bêta-amyloïde retrouvée dans le cerveau », explique-t-il.

Cependant, il reste à savoir si le sommeil de qualité peut vraiment aider en prévention de l’Alzheimer, ou si cette dernière cause un sommeil de moindre qualité, ce qui donnerait les mêmes résultats d’étude, sans permettre d’avancée.

« Ce que nous avons observé chez les gens qui ne présentent pas de signes d’Alzheimer nous mène à croire qu’il y a une connexion entre la privation de sommeil et le développement des plaques amyloïdes et de l’Alzheimer, mais on ne peut le confirmer encore. »

Alors que d’autres études sont donc à prévoir, une toute récente concluait que le cerveau s’affaire à effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement lors du sommeil, un nouveau fait qui peut facilement s’accoler à la théorie de Spira et de ses homologues.

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Le bonheur des hommes passerait par leur vie sociale

Un homme heureux est celui qui voit souvent ses amis, pourrait résumer la pensée de Robin Dunbar, de l’Université d’Oxford, qui publie une étude sur le lien entre le bonheur des hommes et leur vie sociale.

Les conclusions de Dunbar, rapportées par le Daily Mail (UK), parlent d’une nécessité pour l’homme de voir ses congénères plusieurs heures par semaine pour atteindre un certain niveau de bonheur, même si ces heures sont consacrées à ne pas faire grand-chose!

Ainsi, une bière dans un pub, pratiquer un sport ou simplement discuter de tout et de rien suffirait à augmenter le taux de bonheur masculin. Mais pour y parvenir, Robin Dunbar suggère un minimum de deux fois par semaine… et de quatre amis!

Selon ses observations, les hommes qui respectent ces critères sont globalement plus heureux que leurs homologues qui se limitent à une visite par semaine ou qui ont moins de quatre amis.

Malheureusement, un tiers des hommes répondants à l’étude affirment avoir du mal à se dégager pour avoir une vie sociale épanouie, souvent à cause du travail.

Danny Wallace, un écrivain qui commente la recherche de Dunbar, déclare en conclusion : « La science nous dit d’avoir plus de plaisir ensemble et de faire plus de choses. Ce sont d’excellentes nouvelles, et nous devons obéir à la science! »

Parions qu’une bonne quantité d’hommes seront d’accord et risquent de faire imprimer cette étude en guise de « passeport de liberté ».

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Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

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L’air officiellement cancérigène, selon l’OMS

C’est une véritable bombe que ce rapport de l’OMS, alors que l’Organisation mondiale de la santé classe officiellement l’air ambiant comme une substance cancérigène, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

Alors que les cas de cancer semblent augmenter de façon constante, et ce, malgré les progrès stupéfiants de la médecine moderne et des sciences, on cherche à déterminer depuis longtemps les causes qui peuvent expliquer le phénomène.

L’une des théories persistantes est celle de l’air ambiant, respiré par tous, qui serait teinté de substances cancérigènes. Une théorie qui serait maintenant vérifiée et vérifiable, selon l’OMS.

« Notre tâche était d’évaluer l’air ambiant que tout le monde respire, plutôt que de mettre l’accent sur des polluants spécifiques. Les résultats de nos études pointent dans la même direction : le risque de développer un cancer du poumon est dramatiquement plus élevé chez les personnes soumises à la pollution de l’air », explique Dana Loomis dans un communiqué.

Bien entendu, cette notion est variable selon les régions du monde et la location géographique d’un individu, mais ces révélations ont de quoi décevoir et rendre pessimiste.

La Chine serait l’une des régions du monde les plus touchées par la pollution de l’air, à cause de son industrialisation effrénée, conclut aussi l’étude.