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Des pépites de poulet qui créent l’illusion

Les chaînes de restauration rapide sont devenues l’ennemi à abattre en santé de nos jours, et malgré des campagnes de prévention et une meilleure information, le public continue toujours d’affluer dans les différentes succursales de ces restaurants à travers le monde.

Les comportements changent, cependant, puisque plusieurs tentent de faire des choix éclairés au sein même de ces franchises de fast-food, un effort qui s’avère toutefois le plus souvent vain.

Une tendance remarquée est celle de se tourner vers les produits au poulet plutôt que ceux au bœuf, mais cette manœuvre ne s’avère pas aussi profitable qu’on pourrait le croire, selon le chercheur américain Richard deShazo.

Selon les analyses effectuées sur certains produits au poulet, les pépites dans ce cas-ci, vendus dans deux des plus grandes chaînes de restauration rapide au monde, deSHazo conclut que celles-ci contiennent plus de gras que de poulet, et qu’il s’agit d’un choix désastreux pour la santé, rapporte Top Santé.

La plupart de ces pépites créeraient plutôt une « illusion de poulet », comme le mentionne le chercheur, et seraient composées véritablement d’à peine 40 % de viande.

« Nous savons tous que la viande de poulet est une très bonne source de protéines maigres, c’est la raison pour laquelle nous encourageons nos patients à en manger. Mais certains industriels choisissent d’utiliser une mixture à base de poulet plutôt que de la viande maigre. Ils la mélangent, la font frire et continuent à l’appeler poulet », lance deShazo, en guise d’avertissement.

Aux amateurs de pépites de poulet et de produits de la volaille, le chercheur conseille vivement de les préparer soi-même.

Les analyses et conclusions tirées de l’étude de Richard deShazo ont été publiées dans la plus récente édition de The American Journal of Medicine.

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Le Sprite serait le meilleur traitement contre la gueule de bois

La boisson gazeuse de marque Sprite vient d’être couronnée championne des lendemains de veille, rapporte le Daily Mail (UK), alors qu’une étude étonnamment exhaustive classe la boisson comme étant le remède idéal à la gueule de bois.

L’équipe de scientifiques chinois en tête de cette nouvelle étude arrive à cette conclusion après avoir analysé les impacts de 57 différentes boissons, rien de moins, sur la santé physique des individus à la suite d’une soirée bien arrosée.

Tout y est passé, du thé aux jus, en passant par le café et le fameux Bloody Mary, longtemps considéré comme la solution la plus efficace par les fêtards.

Or, la solution à votre gueule de bois résiderait dans une simple bouteille ou canette de Sprite, et l’impact de la boisson gazeuse sur la récupération physique s’expliquerait par certains de ses ingrédients.

Le thé, en contrepartie, ne peut non seulement pas aider une personne lors d’un lendemain de veille pénible, mais peut même allonger la période de gueule de bois!

Il s’agit d’une belle publicité gratuite pour la boisson gazeuse, qui n’a vraisemblablement pas que de mauvais côtés, semble-t-il.

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La superstition en traitement de l’anxiété

Superstitieux, mais moins anxieux? C’est un peu la logique qui se cache derrière les révélations rapportées par Top Santé, qui font état des bienfaits de la superstition en « traitement » des troubles anxieux.

Des chercheurs américains, de l’Université de Chicago, tracent un lien direct entre certaines actions superstitieuses et des niveaux de stress et d’anxiété plus bas, ce qui porte à croire que l’on pourrait utiliser cette méthode pour traiter certains troubles anxieux de façon partielle.

Bien que la superstition soit associée à la magie, au mystique, au karma et au cosmique, les psychologues sont loin de réfuter son utilité. Ils expliquent simplement que ces gestes, comme celui de toucher du bois ou de placer un porte-bonheur à un endroit clé, touchent une fibre importante de la psychologie humaine et permettent à l’individu qui pose le geste de se rassurer.

« Nous pouvons chercher à nous débarrasser des superstitions au nom de la modernité et du progrès, mais cela risque d’être difficile, car même si ces gestes nous semblent superficiels et irrationnels, ils sont parfois nécessaires. Les rituels superstitieux marchent vraiment. Ce n’est pas de la magie, c’est de la psychologie », peut-on lire dans les conclusions de l’étude publiée par le Journal of Experimental Psychology.

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Des chercheurs découvrent le « gène du couple »

Des chercheurs californiens affirment avoir fait une découverte qui permet d’expliquer pourquoi certaines personnes semblent plus douées pour vivre en couple, mais surtout en harmonie.

Si l’on se fie aux conclusions rapportées par le Daily Mail (UK), il semble que cela ait bien peu à voir avec le compromis ou encore la volonté, mais plutôt avec notre bagage génétique.

En effet, les chercheurs de l’Université de la Californie et de Berkeley, en collaboration avec l’Université Northwestern, tracent un parallèle entre le bonheur en amour et un gène appelé 5-HTTLPR. Ce dernier serait la clé d’un mariage heureux, selon la longueur de ses variantes.

Les chercheurs ont remarqué que les couples qui présentent des variantes plus courtes de ce gène semblent plus malheureux en amour que ceux qui présentent des variantes plus longues, une logique qui semble implacable pour Robert W. Levenson, un psychologue qui dirige l’étude.

« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne. Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique. Deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche, les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives », explique Levenson, dans des propos également rapportés par Top Santé.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la plus récente édition du magazine Emotion.

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Le cerveau d’Einstein partiellement démystifié

Une tentative de la part de deux chercheurs qui cherchaient à mieux comprendre le cerveau et l’intelligence ahurissante d’Albert Einstein aurait porté certains fruits, selon ce que rapporte Top Santé.

Weiwei Men, un chercheur chinois, et Dean Falk, de l’Université de la Floride, ont uni leurs forces pour tenter de percer le mystère. Ils révèlent leurs conclusions dans la plus récente édition du magazine Brain.

Les deux chercheurs prétendent qu’une partie du secret d’Albert Einstein réside dans le système qui relie les deux hémisphères du cerveau l’un à l’autre, particulièrement efficace dans le cas du père de la théorie de la relativité.

En parvenant à créer des photos haute résolution du cerveau d’Einstein et en les comparant à celles de sujets jugés pertinents à l’étude, par exemple des jeunes adultes de 26 ans (âge prolifique d’Albert Einstein), Men et Falk affirment que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau sont plus sophistiquées ou nombreuses chez Albert Einstein.

« Cette étude, plus que toutes celles qui ont été réalisées jusqu’à aujourd’hui, est la seule qui a véritablement exploré l’intérieur du cerveau d’Einstein », s’enorgueillit Dean Falk, avec raison.

Cela dit, malgré la volonté féroce des scientifiques à vouloir démontrer ce qui a fait d’Einstein un personnage historique éternel, parions que nul ne pourra jamais réduire la personnalité et le charisme unique d’Einstein, ainsi que tout ce qui faisait de lui ce qu’il a été, à une équation mathématique.

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Médias sociaux : Les photos de nourriture ruinent votre appétit

Selon une nouvelle étude alimentaire qui analyse certains comportements sur les médias sociaux en lien avec la nourriture, les fameuses photographies de repas pourraient bien créer un phénomène inverse à celui que l’on croit.

Des chercheurs de la Brigham Young University (BYU) et de l’Université du Minnesota ont analysé le comportement de 232 participants volontaires dans le cadre d’une étude comportementale sur l’appétit et l’alimentation. Ils constatent que le simple fait de voir la nourriture des autres sur internet coupe l’appétit.

« En un sens, vous devenez fatigué de ce goût sans même avoir goûté le plat. C’est de l’ennui sensoriel. Vous êtes passé à autre chose. Vous ne voulez plus cette expérience désormais », explique Ryan Elder, professeur à la BYU et coauteur de l’étude.

La recherche, rapportée par MedicalNewsToday, a été publiée dans The Journal of Consumer Psychology et démontre pour la toute première fois l’impact des médias sociaux sur nos comportements et sur nos désirs.

Par exemple, les participants qui voient défiler des mets sucrés seront plus attirés par le salé, et vice versa. L’un des avantages de ce constat avancé par les chercheurs impliqués dans cette recherche est qu’il serait peut-être souhaitable pour quelqu’un qui veut éviter certains types de nourriture de regarder plusieurs photographies du plat interdit, et ainsi d’arrêter son choix sur autre chose.

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Les agrumes en prévention des kystes

On apprend via Santé Log que les agrumes et ses produits dérivés seraient de puissants ennemis des kystes, et préviendraient notamment de la formation de kystes rénaux, un problème de santé grave.

Ce serait une composante spécifique des agrumes qui serait particulièrement efficace contre la formation de kystes, soit la naringénine.

Cette dernière serait en fait un antioxydant, on l’aurait deviné, et permettrait de lutter efficacement contre la polykystose rénale, selon cette nouvelle étude publiée dans le British Journal of Pharmacology.

La polykystose rénale touche pas moins d’un million de personnes à travers le monde et peut mener à l’insuffisance rénale, et donc à la mort prématurée.

Alors que les traitements de la maladie se font rares, une équipe de scientifiques de l’Université Royal Holloway et de l’Université de Londres croient qu’une partie de la solution se trouve peut-être dans la naringénine.

Après avoir injecté l’antioxydant compris dans les agrumes à une lignée cellulaire, sur laquelle on a déclenché la formation de kystes, les chercheurs ont constaté que la naringénine bloquait le processus kystique, tout simplement.

D’autres études sont à prévoir pour confirmer la cause à effet, mais on suggère déjà aux patients à risque de développer ce genre de problèmes de consommer régulièrement des produits aux agrumes, et on avance même que ces derniers pourraient également venir en aide au métabolisme de personnes diabétiques.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Les hommes cinquantenaires toujours aussi insouciants de leur santé

Les hommes qui atteignent la cinquantaine ou âgés de cinquante ans et plus semblent ne pas se soucier davantage de leur santé qu’auparavant, selon le Daily Mail (UK).

Ce serait à tout le moins vrai chez les Britanniques, alors qu’une nouvelle étude en provenance de l’Angleterre trace un portrait inquiétant de l’attention et de l’importance qu’accordent ces hommes à leur propre santé.

Des 12 000 hommes sondés, près de la moitié ne sauraient même pas reconnaître ou ne connaissent tout simplement pas les signes et symptômes du cancer de la prostate ou de l’intestin, pourtant plus fréquents chez les hommes de cette tranche d’âge.

Une aussi grande proportion, soit près de 50 %, ne consulte toujours pas de médecin lorsqu’ils éprouvent des ennuis de santé ou encore par souci de prévention. L’orgueil masculin semble encore prédominer chez cette génération, alors qu’un suivi et un bilan médical peuvent pourtant sauver des vies.

En comparaison, 82 % des femmes sauraient reconnaître les signes du cancer du sein, comme quoi les campagnes d’information et de prévention ne fonctionneraient pour le moment que du côté de la gent féminine.

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Dormir trop ou dormir trop peu, du pareil au même

« Trop, c’est comme pas assez » est une expression quasi folklorique qui s’applique parfaitement au sommeil, si l’on se fie à cette nouvelle recherche proposée par le CDC.

Rapportée par Santé Log, l’étude en question affirme qu’une trop grande quantité de sommeil est aussi dommageable pour la santé que le manque de sommeil, et pourrait même s’avérer encore pire.

Alors qu’on établit la durée « normale » recommandée de sommeil à 8 heures par nuit en moyenne, des nuits de dix heures et plus feraient augmenter les risques de développer plusieurs troubles de santé.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne les maladies chroniques comme le diabète, l’obésité et les maladies cardiovasculaires. Là où le bât blesse, c’est que ces maladies sont souvent justement des moteurs de troubles du sommeil. Mieux vaut donc agir rapidement avant d’être prisonnier d’un cercle vicieux, et mettre tous les efforts pour s’assurer de nuits de sommeil suffisantes et de qualité.

Ces liens entre les maladies chroniques et la durée du sommeil, particulièrement trop accrue dans ce cas-ci, sont réalisables grâce à des analyses effectuées sur plus de 50 000 patients et leurs habitudes de sommeil.

Les résultats et conclusions ont par la suite été publiés dans la plus récente édition du magazine Sleep.