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Mercure : manger du poisson serait moins dangereux que prévu

De nouvelles recherches sur les taux de mercure retrouvés dans les différents poissons consommés par la population en général tendent à démontrer que la situation pourrait être moins dramatique et inquiétante que prévu, selon MedicalNewsToday.

Particulièrement en ce qui concerne les femmes enceintes, principalement visées par les avis de prévention en matière de mercure dans le poisson.

Ces conclusions sont celles d’un groupe d’étude appelé les Children of 90’s, basé à l’Université de Bristol, qui a analysé 103 aliments et boissons couramment consommés par un groupe de près de 5000 femmes durant leur grossesse.

Tous ces produits n’auraient compté que pour 17 % du taux total de mercure dans le corps, ce qui mène l’équipe de spécialistes à croire qu’il faut possiblement revoir les avertissements liés aux poissons et aux produits de la mer.

D’autant plus que ces derniers possèdent plusieurs vertus santé et comprennent de nombreuses vitamines et minéraux essentiels et fort utiles au développement et au maintien de l’organisme.

Plusieurs autres facteurs ont semblé plutôt influencer les taux de mercure observés chez ces femmes, par exemple l’âge, l’environnement et le nombre de grossesses.

D’autres études seront nécessaires afin de valider cette plus récente recherche, publiée dans le magazine Environmental Health Perspectives.

Certaines recherches ont démontré dans le passé que des apports réguliers en poisson dans l’alimentation d’une femme enceinte pourraient influencer positivement le QI de l’enfant à naître.

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Le divorce serait particulièrement dangereux pour la santé des hommes

Top Santé rapporte une étude qui confirme certaines théories précédemment avancées par des spécialistes, à savoir que les hommes qui traverseront un divorce risquent d’éprouver des problèmes de santé.

À tout le moins plus que les femmes, comprend-on des informations révélées dans cette étude en provenance de l’Université Cornell, aux États-Unis. On y apprend que les hommes divorcés voient les risques de mort prématurée, de suicide, de dépression et d’AVC augmenter considérablement.

Même chose en ce qui concerne l’abus d’alcool ou la toxicomanie, des comportements qui peuvent justement mener à certains autres problèmes de santé comme ceux énumérés précédemment.

Le professeur Ridwan comment l’étude : « La perception populaire de nombreuses cultures et les médias véhiculent l’idée que les hommes sont solides, résistants et moins vulnérables aux traumatismes psychologiques que les femmes. Il me semble que cette vision humaine est fausse. Les hommes ayant subi un traumatisme psychologique, comme le divorce, la faillite, la guerre et le deuil sont plus vulnérables que les femmes et perdent plus facilement et rapidement leurs points de repère ».

De plus, comme les hommes eux-mêmes vivent convaincus de ce stéréotype, ils seront moins enclins à demander et quérir de l’aide pour les aider à traverser le deuil et l’épreuve, croit Ridwan, à juste titre.

Deux autres études récentes ont par ailleurs indiqué de meilleures chances de survie au cancer (20 %) chez les hommes mariés, ainsi qu’une longévité accrue, en moyenne. Il semble que l’état civil d’un homme influence beaucoup plus sa destinée qu’on aurait pu le croire.

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Le beurre d’arachides ferait baisser les risques de développer un cancer du sein

Stupéfiante étude que celle rapportée par MedicalNewsToday, qui fait état d’une baisse significative des risques de développement du cancer du sein grâce… au beurre d’arachides.

L’étude américaine constate en effet que les filles et adolescentes qui consomment du beurre d’arachides entre l’âge de 9 et 15 ans voient les risques de cancer du sein diminuer de près de 40 %! Une statistique éloquente, qui ne peut être expliquée que par le facteur chance ou diminuée par un pourcentage d’erreur.

« Ces résultats suggèrent que le beurre d’arachides peut contribuer à abaisser les risques de cancer du sein chez la femme », confirme le Dr Graham Colditz, de la Washington University School Medicine basée à St. Louis.

Dr Colditz et son équipe croient par ailleurs que les données ne s’arrêtent pas là et prétendent que la consommation de protéines végétales, de noix et de beurre d’arachides pourrait aussi aider les femmes de tous âges.

Ce n’est pas la première étude qui vante les mérites des noix en prévention du cancer et des maladies cardiovasculaires, mais c’est la première du genre à établir un lien direct de prévention du cancer du sein chez la femme, à tout le moins grâce au beurre d’arachides de façon spécifique.

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Des Québécois prêts à payer pour améliorer le système de soins à domicile

Signe que les mentalités évoluent ou que la situation a finalement atteint un certain point de non-retour, Radio-Canada rapporte qu’une proportion considérable de Québécois accepterait maintenant de débourser pour améliorer certains services au sein du système de santé.

C’est ce qui ressort d’un sondage Léger effectué en août dernier auprès de 810 répondants, et qui traduit peut-être le début d’une nouvelle mentalité québécoise.

44 % des répondants se disent en effet prêts à débourser davantage afin d’assurer le financement et l’amélioration de services à domicile, contre 33 % qui se positionnent contre l’idée.

22 % n’ont pas jugé bon répondre ou n’avaient tout simplement pas les informations nécessaires pour faire un choix éclairé. Quoi qu’il en soit, qu’une majorité de personnes soient pour une hausse des contributions étonne déjà en soi.

« Nous sommes à l’heure où la société québécoise devra faire le choix de contribuer davantage pour les services de santé et de maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie », lance Lise Denis, porte-parole de la Semaine des droits des usagers, pour qui le sondage avait justement été commandé.

Avec près de la moitié du budget provincial englouti en santé et un vieillissement de la population fulgurant à prévoir au cours des prochaines décennies, plusieurs croient maintenant qu’il est temps d’agir.

Le débat ne fait bien entendu que commencer.

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Le rat-taupe nu continue d’émerveiller la communauté scientifique

On rapportait récemment une étude fascinante effectuée sur le compte du rat-taupe nu et de son incroyable invulnérabilité au cancer, une recherche qui avait fait le tour du monde.

Voilà que le dossier se poursuit, explique Top Santé, alors qu’une nouvelle étude se penche maintenant sur la longévité stupéfiante de l’animal, qui peut vivre jusqu’à 35 ans!

Incroyable, si l’on considère que les animaux de la même famille vivent en moyenne deux petites années…

Une équipe de chercheurs menée par le professeur en biologie Andrei Seluanov a donc effectué des recherches plus poussées sur le rat-taupe nu, pour découvrir un système cellulaire et de création de protéines qui frisent la perfection.

« C’est important, car des protéines sans altération permettent au corps de fonctionner plus efficacement… Bien qu’il s’agisse de recherches fondamentales, nous espérons que notre découverte encouragera d’autres travaux sur des moyens d’améliorer la synthèse des protéines », explique Seluanov, visiblement enthousiaste. 

En clair, les recherches sur le rongeur africain pourraient un jour permettre de contrer certains effets retour du vieillissement, prévenir certaines maladies et peut-être protéger du cancer, comme on le mentionnait dans cette précédente étude publiée dans le magazine Nature récemment.

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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Le taux de survie au cancer directement lié au PIB?

C’est une constatation aussi horrible que triste à laquelle arrive une équipe de chercheurs belges, alors que le PIB d’un pays aurait une incidence directe sur les chances de survie à un cancer de ses citoyens.

Une inégalité scandaleuse, mais qui s’avère malheureusement vérifiable, selon le Dr Ades qui commente l’étude dans un communiqué. Il s’agirait d’une réalité encore plus grave en ce qui a trait au cancer du sein.

« Le cancer du sein est le meilleur exemple des avantages du dépistage du cancer. Ainsi, il a été prouvé que le dépistage réduit la mortalité. Nous avons vu que le lien entre le niveau de vie et les dépenses de santé avec le taux de mortalité du cancer du sein était bien plus élevé que pour les autres cancers (…) Par ailleurs le ratio décès sur cas diagnostiqués de cancers du sein reste plus faible dans les pays d’Europe de l’Ouest que dans les pays d’Europe de l’Est », résume le Dr Ades.

Top Santé dévoile d’autres chiffres qui reflètent cette triste cause à effet partout dans le monde, et on constate l’impact direct de l’argent investi en santé par habitant sur les chances de survie de celui-ci, à la suite d’un diagnostic de cancer.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente parution du Annals of Oncology.

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La consommation d’alcool serait influencée par le choix du verre

Santé Log rapporte des conclusions intéressantes en matière de consommation d’alcool, parues dans une étude que publie le magazine PLoS ONE.

Cette dernière parle des impacts de facteurs, qui semblent pourtant anodins, sur la quantité d’alcool consommée par un individu dans une situation donnée. Par exemple, il semble que le choix du verre soit une donnée très importante.

La largeur, la couleur et la position du verre ont un impact sur la quantité ingérée par un individu, comme le démontre cette étude menée sur un groupe de 73 étudiants.

On a proposé aux sujets, tous amateurs de vin, différents types de verres. Ils devaient ensuite y verser leur boisson préférée, tout simplement.

Les étudiants qui avaient reçu un verre plus large ont versé instinctivement 11,9 % plus de vin qu’à l’habitude, alors que ceux qui ont utilisé un verre de la même couleur que la boisson ont augmenté leur consommation de 9,2 %.

Outre le contenant, la façon de placer le verre au moment de verser le vin aurait aussi une incidence. Ainsi, c’est en gardant son verre à la main qu’on risque le plus de surconsommer, avec une moyenne de 12,2 % plus de vin versé dans cette position, contrairement à laisser son verre sur la table.

Des données intéressantes, qui peuvent aider les gens souhaitant faire baisser légèrement leur consommation d’alcool à y parvenir. 

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Une étude trace un lien entre la foi et la dépression

Une nouvelle étude sur les impacts de la spiritualité et la religion dans la vie des croyants trace un parallèle entre la foi et un risque accru de dépression, révèle Top Santé.

Cette étude britannique vient pourtant contredire presque toutes les recherches et études similaires effectuées sur le sujet, qui concluaient massivement plutôt l’inverse.

Or, selon le professeur Michael King, qui signe cette nouvelle étude et la publie dans le magazine Psychological Medicine, les sujets qui se disent croyants et spirituels ont jusqu’à trois fois plus de chances de développer un trouble de l’humeur comme la dépression.

« … la religion, et davantage encore la spiritualité sans lien avec une religion formelle, se révèle impuissante à aider qui que ce soit à se sortir d’un moment de déprime. Pire, elles pourraient même constituer des facteurs aggravants », conclut l’équipe de King.

Il admet cependant que nombre d’études précédentes sur le sujet ont démontré le contraire, et croit que d’autres analyses restent à faire.

Le professeur King a-t-il raison ou ferait-il plutôt preuve… de mauvaise foi?

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Sept portions de fruits et légumes par jour pourraient vous faire gagner une année

Pourquoi manger cinq portions de fruits et légumes quand vous pouvez en manger sept? C’est un peu la logique qui se cache derrière cette nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), et qui propose des conclusions étonnantes.

Plus qu’une simple théorie basée sur la quantité, la constatation présentée par les chercheurs espagnols en tête de l’étude parle plutôt d’impacts vérifiables sur la santé et la longévité chez ceux qui passent de cinq portions de fruits et légumes par jour (déjà recommandées) à sept.

L’équipe de l’Andalusian School of Public Health s’est penchée sur les données de plusieurs milliers de personnes et constate que les gens qui consomment plus de 570 grammes de fruits et légumes quotidiennement, soit sept portions par jour, gagnent en longévité.

Jusqu’à une année de plus même, sans parler de la réduction évidente du risque de cancer, des effets préventifs sur la santé cardiaque et d’une hausse d’énergie notable, croient les chercheurs.

« Il y a maintenant assez de preuves qui démontrent l’effet bénéfique des fruits et légumes en prévention du cancer et des maladies chroniques. Pour cette raison, l’une des meilleures techniques de prévention est de simplement promouvoir sa consommation auprès de la population », lance en conclusion Maria José Sanchez Perez, auteure de l’étude.