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Des chercheurs traitent des souris souffrant de nanisme

Top Santé rapporte une spectaculaire percée de la part des spécialistes et chercheurs de l’INSERM, alors que ces derniers seraient parvenus à contrer une forme de nanisme chez des rongeurs.

Les résultats obtenus laissent croire aux chercheurs qu’il est réaliste d’espérer un traitement éventuel de certaines formes de nanisme chez les enfants, maintenant qu’on a établi le fonctionnement de ce type de traitement chez des souris.

Et quel est-il ce traitement? Prenant le nom de FGFR3, pour Fibroblast Growth Factor 3, il prend la forme d’une injection qui favorise la croissance des os et qui permet de contrer les effets de la maladie. À un tel point, en fait, que les souris ont recommencé à grandir normalement, et ce, sans aucune conséquence subséquente!

« Le produit que nous avons testé dispose d’un atout majeur par rapport à ceux testés dans d’autres études en cours : sa durée de vie dans l’organisme est suffisamment longue pour ne pas nécessiter d’injections quotidiennes. On pourrait penser, de ce fait, que le traitement permettrait par une simple injection d’éviter la chirurgie chez des enfants atteints d’achondroplasie ou d’autres formes de nanisme », résume Elvire Gouze, de l’INSERM, en conclusion.

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La thérapie thermale serait une bonne alternative aux médicaments

Des spécialistes français confirment et vantent les mérites de ce qu’on appelle « la thérapie thermale », qui consiste en une série de traitements par des bains d’eau bien chaude, selon ce qu’on comprend des informations proposées par Top Santé.

Le Dr Olivier Dubois est celui qui dépose ses conclusions en lien avec ses recherches sur ce type de traitement alternatif, après avoir mis sur pied le programme SPECth. Son but était d’analyser les impacts de la thermalisation sur la santé de patients donnés, et de voir si cette méthode pouvait bel et bien venir en aide aux personnes souffrant de problème de sommeil et de dépendance.

Comme les troubles du sommeil sont malheureusement trop souvent réglés à coup de prescription, un problème de dépendance aux psychotropes peut finir par se développer. Même chose en ce qui concerne l’anxiété et les problèmes d’angoisse chronique.

Les résultats proposés par Olivier Dubois semblent étonnants, et celui-ci est ravi de pouvoir confirmer les effets de la thérapie thermale sur ce type de patient.

« Dans le trouble anxio-dépressif, le résultat est spectaculaire », lance Dubois, qui croit que la thermalisation doit devenir un outil privilégié dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, afin de non seulement améliorer le sort des patients, mais aussi éviter une surconsommation de médicaments.

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Le manque de sommeil directement lié à une prise de poids

Des chercheurs de la recherche scientifique canadienne confirment ce que plusieurs spécialistes avançaient déjà depuis un bon moment, en affirmant qu’il existe une cause à effet directe entre le sommeil et la prise de poids.

Le manque de sommeil pour être exact, puisqu’il semble que les gens qui ne jouissent pas de nuits de sommeil de qualité stables sont plus enclins à prendre du poids, selon les informations rapportées par Radio-Canada.

Alors que le nombre d’heures de sommeil suggéré oscille autour de huit heures par nuit, les gens qui en dorment moins que six seraient prédisposés à grossir, ce qui expliquerait en partie la hausse massive du poids moyen des Canadiens, selon les chercheurs.

Attention, cette règle s’appliquerait également à ceux qui dorment trop! On mentionne en effet que les gens qui dorment dix heures et plus par nuit (ou par jour) sont sujets aux mêmes risques que ceux qui dorment trop peu.

Les fameux mouvements circadiens, ou l’horloge biologique interne, seraient responsables de l’impact du sommeil sur le poids et la santé. De plus en plus de recherches confirment cette cause et permettent d’en savoir davantage sur ce phénomène interne du corps, dont l’impact semble largement sous-estimé par la population.

 

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Les jus de mûre et d’hibiscus préviendraient des maladies cardiovasculaires

Si ces produits sont connus des experts en nutrition, les néophytes et consommateurs moyens n’ont probablement jamais entendu parler du jus de mûre andine, et encore moins du jus d’hibiscus.

Pourtant, selon Top Santé et le Centre de recherche agronomique pour le développement (CIRAD) de Montpellier, ces deux types de jus possèderaient d’incroyables vertus préventives contre les problèmes cardiovasculaires.

Le jus d’hibiscus est une boisson traditionnelle africaine fabriquée à partir de fleurs d’hibiscus rouge. Le jus de mûre andine, quant à lui, provient du petit fruit du même nom, qui s’avère plus rare et plus acide que la mûre dite « traditionnelle ».

Cette dernière « contient des antioxydants et des polyphénols, dont des anthocyanes et des tannins, qui colorent le jus et, surtout, lui confèrent de très bons effets santé », lance Fabrice Vaillant, du CIRAD.

Particulièrement celle d’améliorer la santé cardiaque et de protéger des maladies cardiovasculaires, concluent Vaillant et son équipe, qui signent une étude sur le sujet.

Ces révélations risquent de mettre ces deux produits en évidence dans les pays comme la France, qui commence à commercialiser le produit et à le rendre plus accessible à tous.

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Prévenir l’E. coli directement à la source

Des chercheurs britanniques affirment qu’il serait possible d’abaisser les statistiques de cas d’éclosion de la bactérie E. coli de près de 85 %, rapporte The National Library of Medicine.

Pour y parvenir, l’équipe du spécialiste Stuart Reid,  basée à l’Université de Londres, croit qu’il faudrait enrayer le problème directement à la source, c’est-à-dire en vaccinant les animaux potentiellement porteurs de la maladie.

« Autant que l’on sache, le risque le plus élevé pour les humains provient de ces animaux qui portent la bactérie. Si le vaccin a un impact sur ces animaux, le risque pour les humains est proportionnellement réduit », explique Reid, qui parle bien sûr des bovins et des animaux destinés à finir dans nos assiettes.

Reid et son équipe poursuivent leurs explications en affirmant qu’il existe une période faste de prolifération de l’E. coli chez les bovins, et que c’est précisément lors de cette période qu’il faudrait agir massivement.

Si les vaccins permettent de réduire les risques de transmission de la bactérie de 50 %, Stuart Reid croit que le moment de l’opération peut faire grimper cette statistique à 85 %.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition du journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Des carences en vitamine D beaucoup trop communes

La plupart des patients hospitalisés pour des fractures présentent des carences évidentes en vitamine D, selon les spécialistes, ce qui fait dire à ces derniers que ce problème en est un largement généralisé.

Et peu importe l’âge, peut-on déduire des statistiques publiées par l’Université du Missouri et rapportées par The National Library of Medicine, alors que même des patients âgés de 18 à 25 ans présentent cette carence.

« Une découverte intéressante de cette étude est que la déficience en vitamine D est observable chez des patients de tous âges. Plus de recherches sont nécessaires pour démontrer clairement si la vitamine D peut réduire le risque de fracture, mais nous savons qu’elle est nécessaire pour réparer les dommages aux os », résume Brett Crist, un professeur de l’Université du Missouri qui n’hésite pas à suggérer du même souffle la prescription de vitamine D à titre préventif chez la plupart des patients.

Seul bémol : des problèmes de santé sont associés à une trop forte teneur en vitamine D dans l’organisme, par exemple des maladies rénales ou encore le cancer.

On suggère donc fortement d’avoir une discussion ouverte avec son médecin praticien avant de se lancer dans la consommation de suppléments de vitamine D.

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Des lendemains de veille moins difficiles en vieillissant?

Top Santé rapporte une étude qui propose des conclusions inusitées, alors que des chercheurs britanniques constatent une meilleure capacité à gérer l’alcool en vieillissant.

Alors qu’on serait pourtant porté à croire que les lendemains de veille s’aggravent en prenant de l’âge, il semble que le vieillissement permette de mieux composer avec les effets retours de l’alcool, à commencer par la bonne vieille gueule de bois.

Appelés à répondre à un sondage exhaustif, des groupes de sujets de tous les âges ont vu leurs habitudes de consommation et leurs lendemains de veille respectifs être scrutés à la loupe par Richard Stephens et son équipe.

Stephens constate que les répondants âgés de plus de 60 ans semblent boire plus que leurs jeunes homologues et qu’ils subissent nettement moins les effets de la gueule de bois, le lendemain d’une soirée arrosée.

« Les chercheurs ne savent pas réellement pourquoi les personnes âgées souffrent moins des symptômes de la gueule de bois. Ils sont peut-être plus avertis sur la façon de les éviter ou sont tout simplement plus tolérants à la consommation d’alcool. Peut-être que la combinaison de ces deux facteurs pourrait également être en jeu », résume Richard Stephens.

Finalement, on apprend également qu’un quart de la population serait « immunisé » contre la gueule de bois! Un super-pouvoir inusité, mais franchement pratique!

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L’impact du sommeil sur la beauté démontré

Une étude en provenance de l’Université du Michigan confirme les effets positifs d’une bonne nuit de sommeil sur la beauté physique, rapporte Santé Log.

En effet, selon les chercheurs américains, la qualité du sommeil d’un individu transparait bel et bien sur sa beauté, notamment celle du visage. C’est ce qui ressort de l’étude complétée sur une poignée de sujets âgés dans la vingtaine et atteints d’apnée du sommeil.

Il est démontré que l’apnée du sommeil a plusieurs effets néfastes sur la santé, augmentant entre autres les risques de développer des problèmes cardiaques. C’est cependant la première fois que l’on confirme un effet négatif sur la santé du visage et sa beauté, des conclusions publiées dans le Journal of Clinical Sleep Medicine.

Placés sous traitement, les patients de l’étude ont été analysés par les chercheurs avant d’être soumis au jugement d’un deuxième groupe d’observateurs. Ces derniers devaient analyser et donner leurs appréciations des visages, avant et après le traitement.

Les résultats sont clairs : des visages plus jeunes, plus invitants, moins ridés et bouffis, mais surtout moins tendus et plus alertes, tout comme le regard.

Le fameux beauty rest, ou repos de beauté, n’est donc pas qu’une légende!

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Le mélange de vodka et de Red Bull serait plus dommageable qu’on le croit

Un professeur spécialiste australien s’inquiète de la banalisation du phénomène vodka-Red Bull, qui consiste à mélanger les deux produits lors de fêtes bien arrosées afin d’obtenir une plus grande capacité de consommation.

Selon le professeur Peter Miller, explique le Daily Mail (UK), plusieurs études récentes ont banalisé les impacts potentiels sur la santé de ce genre de comportement, et se basent surtout sur des données de faible consommation (comme consommer un seul Red Bull et quelques verres).

Or, il croit que ceci ne reflète en rien la réalité, et qu’une nouvelle génération de fêtards empile plutôt verre après verre, encouragés par leur insouciance et le dépôt de ces études.

De plus, Miller souligne aussi qu’une portion non négligeable de ces recherches ont été financées… par Red Bull!

Avec la montée en flèche de la popularité des verres comme la vodka-Red Bull, Peter Miller s’indigne de cette désinformation et du manque d’études exhaustives sur le sujet. Il rappelle en terminant que ces boissons ne sont pas faites pour être mélangées, d’autant plus qu’on en sait très peu sur les réels impacts des boissons énergisantes à la base et en soi.

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Les Américains gagnent deux ans à leur espérance de vie

Une nouvelle étude américaine trace un bilan de santé positif des citoyens, une recherche que l’on peut facilement appliquer au Canada, alors que les Américains auraient gagné deux ans à leur moyenne d’espérance de vie.

C’est ce qui ressort de l’étude publiée dans l’American Journal of Public Health et rapportée par The National Library of Medicine, qui laisse également entendre que les Nord-Américains sont en santé plus longtemps qu’il y a vingt ans et peuvent aspirer à vivre plus vieux sans troubles graves de la santé.

Il s’agit d’un gain spectaculaire effectué au cours d’une seule génération, et les experts qui commentent l’étude s’en réjouissent.

« Ce dont nous parlons ici n’est pas simplement en termes de longévité et d’espérance de vie, mais aussi en termes de qualité de vie. Plusieurs études ont mesuré ceci de plusieurs façons, mais c’est vraiment la première fois que nous sommes en mesure de le mesurer sur l’entière population des États-Unis, en utilisant des données complètes sur une longue période », résume Susan Stewart, dans un communiqué de Harvard.