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Les framboises et la fertilité

Une nouvelle recherche rapportée par le Daily Mail (UK) fait état des propriétés bienfaitrices de la framboise en matière de fertilité, notamment chez les hommes.

On avance, du côté des auteurs de l’étude, que la consommation élevée de framboises permet de constater une hausse des capacités reproductrices chez l’homme, et une baisse des risques de fausse couche chez la femme.

Selon les chercheurs du département de l’énergie américain, le phénomène s’expliquerait en partie par les fortes teneurs du petit fruit en antioxydants ainsi qu’en vitamine C.

Juliet Wilson, une nutritionniste spécialisée en fertilité, abonde dans le même sens. « Les framboises procurent des nutriments essentiels qui sont reconnus pour améliorer la fertilité chez l’homme et chez la femme », lance-t-elle.

Une autre étude dévoilait récemment que les hommes âgés de plus de 44 ans possédant les plus hauts taux de vitamine C dans le corps voyaient les dommages causés à leurs capacités de reproduction diminuer de 20 %.

« En plus de leurs vertus santé, les framboises sont donc la collation parfaite pour les couples qui essaient de concevoir! », conclut Juliet Wilson. 

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Une nouvelle étude met en garde contre la cigarette électronique

Les avis sont partagés en ce qui concerne la fameuse cigarette électronique nouvellement arrivée sur le marché.

Cette méthode fait en effet pas mal jaser, puisque plusieurs personnes disent s’en méfier. D’autres, cependant, croient que peu importe ses effets à court et à long terme, rien ne peut être pire que la vraie cigarette.

Mais voilà, selon une étude rapportée par Top Santé, la cigarette électronique pourrait elle aussi s’avérer cancérigène, et plusieurs de ses composantes laissent les spécialistes perplexes.

Selon l’étude, initialement publiée par le magazine 60 Millions de Consommateurs, certaines marques seraient peu recommandables et contiendraient plusieurs agents nocifs, à l’image de la cigarette.

L’étude avance que « dans trois cas sur dix, pour des produits avec ou sans nicotine, les teneurs en formaldéhyde (couramment appelé formol) relevées flirtent avec celles observées dans certaines cigarettes traditionnelles ». Le problème, c’est qu’on ne mentionne pas lesquelles.

Déplorant le manque de transparence des fabricants, les enquêteurs et auteurs de l’étude croient que les consommateurs doivent demeurer vigilants.

On suggère notamment le timbre de nicotine pour arrêter de fumer, de plus en plus efficace, selon une majorité d’utilisateurs.

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Facebook, manifestement un ennemi du couple

Santé Log rapporte une étude sociopsychologique qui confirme ce que l’on savait déjà : Facebook n’est pas le meilleur ami d’un couple en bonne santé.

Véritable secret de polichinelle, l’impact de Facebook au sein des relations amoureuses est parfois sournois et même dévastateur. C’est ce que confirme cette étude en provenance de l’Université d’Ohio State, qui parle d’un phénomène de « surveillance interpersonnel ».

Ainsi, outre les occasions de faire des rencontres et de tricher virtuellement grâce au réseau social, on se rend compte qu’un grand nombre de gens espionnent leur tendre moitié ou encore leurs ex!

Et alors que les soupçons grandissent, la tension aussi. Rien pour améliorer des relations modernes déjà éphémères et souvent superficielles ni la capacité de patience et la traversée des épreuves, en somme.

Plusieurs études sociologiques et psychologiques commencent à paraître en matière de réseaux sociaux, et on constate plusieurs problèmes liés au phénomène. Une récente recherche dévoilait des pointes de troubles de l’humeur et de dépression chez une majorité d’usagers de Facebook.

Bien sûr, plusieurs avantages sont liés au site de réseautage, mais sommes-nous en mesure d’avouer que nous vivions avant son apparition et que les choses n’allaient somme toute pas si mal? 

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Loin du travail, loin du coeur?

Loin des yeux, loin du cœur, dit-on, mais cette maxime s’appliquerait également en ce qui concerne les longs et fastidieux voyages pour se rendre et revenir du boulot, selon une nouvelle étude.

Top Santé rapporte en effet que selon une équipe de chercheurs suédois, la distance entre le domicile et le lieu de travail peut avoir un impact majeur sur le succès ou l’échec d’une relation.

C’est la conclusion apportée par Erika Sandow, en tête de cette recherche, après avoir sondé un million de personnes dans son pays d’origine et avoir analysé les impacts de ces déplacements sur la santé de leurs couples.

Il semble que 45 minutes soit le maximum de temps à accorder aux transports pour se rendre au travail, car passé cette barre les relations commenceraient à en souffrir. On parle d’un risque de rupture de plus de 40 %!

On imagine que la fatigue, la distance et le manque de temps sont tous des facteurs qui peuvent expliquer ces séparations massives dans ledit contexte.

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Le bénévolat pourrait bien vous faire vivre plus longtemps

Une stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

stupéfiante nouvelle étude vante les mérites du bénévolat sur la santé, et même sur la longévité!

La recherche, rapportée par le Daily Mail (UK), parle d’un risque de mort prématurée réduit jusqu’à 20 %, chez les personnes qui se portent volontaires dans leur communauté.

Le bénévolat et l’aide communautaire auraient un effet appréciable sur la santé, croit l’équipe de chercheurs de l’Université d’Exeter, qui base ses conclusions sur l’analyse de 40 études internationales.

Aider les gens de sa communauté permettrait notamment une meilleure santé physique et mentale, un risque moindre de dépression, de même qu’un sentiment de plénitude et de satisfaction beaucoup plus élevé.

« Il n’est pas encore clair si les facteurs biologiques et culturels ainsi que les ressources sociales, qui sont souvent associées avec la bonne santé et la longévité, sont également reliés au désir de faire du volontariat au départ », précise Dre Suzanne Richards, leader de ces recherches.

L’étude va de pair avec une autre, parue récemment, qui traçait un lien entre l’altruisme et la longévité.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le vaccin contre la grippe ferait baisser le risque d’ACV chez l’homme

Les hommes âgés entre 50 et 64 ans pourraient bénéficier grandement du vaccin contre la grippe, croient plusieurs experts.

C’est ce que rapporte le Daily Mail (UK), alors qu’une équipe de chercheurs basés à l’Université New South Wales publie une étude qui suggère une baisse significative des risques d’accident cardiovasculaire chez les hommes de plus de 50 ans.

C’est que la grippe encourage l’épaississement du sang et l’inflammation des artères, déjà étroites chez les gens aux prises avec des problèmes cardiaques ou à risque d’en développer.

Étrangement, l’étude ne conclut pas à une cause à effet directe, c’est-à-dire que la grippe en tant que telle n’influe pas sur les risques de crise cardiaque. Cependant, le vaccin contre l’influenza, lui, permet de réduire les risques d’un ACV de près de la moitié!

Les chercheurs croient donc que les organisations de la santé et les médecins devraient songer à proposer systématiquement le vaccin aux hommes de plus de 50 ans.

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La danse et la lecture pourraient bien mener au bonheur

Top Santé rapporte une étude qui révèle les impacts de certaines activités sur le bonheur, un palmarès qui place la danse en tête de liste.

En effet, selon l’étude-sondage écossaise, les répondants les plus heureux ont admis aimer danser, et démontrent un taux de bonheur jusqu’à 60 % plus élevé que ceux qui ne dansent pas!

La lecture aurait également un impact majeur sur la santé psychologique, puisque les répondants qui avouent lire souvent ou encore fréquenter des bibliothèques et des librairies seraient 30 % plus heureux que ceux qui ne lisent pas.

De plus, il semble que ces activités permettent non seulement un taux de bonheur plus élevé, mais aussi une meilleure santé en général.

L’enquête, menée dans le cadre du Scottish Household Survey en 2011, semble légère, mais se base en fait sur les réponses de près de 15 000 répondants. Plusieurs facteurs ont également été pris en compte, dont l’âge, la santé, l’emploi et l’éducation.

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Compter les calories serait inutile, selon une étude

Se pourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

ourrait-il que la manie, voire l’obsession du calcul des calories que nous ingérons soit tout bonnement une pratique inutile?

C’est ce qu’avance une étude rapportée par le Daily Mail (UK), selon laquelle plusieurs facteurs devraient plutôt être pris en compte dans notre façon de manger, au lieu de simplement sortir la calculette lors de chaque repas et chaque achat.

Selon Rob Dunn, biologiste à l’Université de Caroline du Nord, les tableaux caloriques retrouvés sur les aliments peuvent s’avérer trompeurs, d’abord parce que chaque individu assimile et digère sa nourriture de façon différente.

Ainsi, donne-t-il en exemple, une portion d’amandes de « 170 calories » pourrait bien en fait en être une de 129!

De plus, la façon de cuire et d’apprêter les aliments ferait grandement varier les apports caloriques, ce qui change carrément la donne par rapport aux renseignements offerts sur les emballages.

M. Dunn termine en mettant en garde contre la nourriture mécaniquement transformée et emballée, et il croit que l’on devrait prioriser les aliments entiers ou crus.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des apports alimentaires en cuivre pourraient contribuer au développement de l’Alzheimer

Santé Log rapporte des conclusions tirées d’une étude américaine à l’effet qu’une diète riche en cuivre pourrait contribuer à l’apparition de la maladie d’Alzheimer.

Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

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Le cuivre, moins souvent mentionné que d’autres éléments en alimentation, se retrouve dans plusieurs produits jugés bons pour la santé, dont les noix, les lentilles, les fruits et légumes ainsi que les fruits de mer.

On en retrouve également dans la viande rouge, et les chercheurs en tête de ces nouvelles recherches croient que des apports élevés en cuivre pourraient contribuer à la formation et à l’accumulation de plaques bêta-amyloïdes au cerveau.

Ces dernières sont désormais reconnues comme une cause du développement de la maladie d’Alzheimer et sont majoritairement bloquées par des procédés cellulaires naturels.

Le problème, c’est que le cuivre circule dans les vaisseaux sanguins du cerveau et vient en diminuer ou en abolir la protection naturelle, dans certains cas.

C’est ce que révèlent les tests effectués sur des souris, des conclusions publiées dans PNAS (Proceedings of the National Academy of Sciences).

D’autres tests doivent être effectués, pour confirmer le modèle chez l’homme.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La consommation de fruits liée à la baisse de risque d’anévrisme aortique

L’anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

quo;anévrisme abdominal de l’aorte est une condition qui s’avère somme toute assez rare, selon les spécialistes, mais malheureusement souvent mortelle.

Le problème se caractérise par un ballonnement de la partie inférieure de l’aorte, explique l’American Heart Association, qui rapporte également la nouvelle suivante.

Des chercheurs ont publié leurs conclusions dans le magazine Circulation, selon lesquelles une consommation quotidienne de fruits (au moins deux portions par jour) aurait un impact direct sur la réduction des risques d’anévrisme vasculaire de ce genre.

On parle même de 25 % moins de chances de subir ce terrible accident, selon l’étude publiée par des chercheurs suédois.

« Une forte consommation de fruits peu aider à prévenir plusieurs maladies vasculaires, et notre étude suggère qu’un risque réduit d’anévrisme abdominal de l’aorte serait parmi ces bénéfices », résume le Dr Otto Stackelberg, auteur en chef de l’étude.

Les légumes, tout aussi importants pour la bonne santé, ne semblent cependant pas avoir ce même genre d’impact sur la santé cardio-vasculaire.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net