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Guérir la dépression par la thérapie sonore

De nouvelles recherches tendent à démontrer l’avenir prometteur de la thérapie sonore pour le traitement des troubles de l’humeur et de la dépression, selon le Daily Mail (UK).

Des chercheurs de l’Université d’Arizona, notamment, ont tenté l’expérience des ultrasons sur 14 étudiants volontaires, dont la moitié seulement ont reçu véritablement une « dose » d’ultrasons.

Les sujets croyaient participer à une étude sur la maîtrise de la douleur et n’y ont vu que du feu. Les chercheurs ont donc pu surveiller les variations de l’humeur de leurs sujets volontaires, quelque 10 minutes après l’expérience.

Les résultats, basés sur des échelles exhaustives de calcul des différentes émotions humaines possibles, révèlent des pointes de « bonne humeur » évidentes à la suite du traitement.

« Il est intéressant de constater que les ultrasons à la tête ont des effets sur le fonctionnement du cerveau et qu’ils peuvent influencer l’humeur. Il y a un potentiel d’aide contre la dépression clinique et l’anxiété. Toutefois, il faudra encore plus de travail et d’essais cliniques bien menés avant de pouvoir emmener ça en clinique », résume le professeur Nick Craddock, du Collège royal des psychiatres.

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La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

op Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’alimentation au service de la procréation chez l’homme

Voici une étude qui s’adresse aux hommes, et plus particulièrement à ceux qui sont concernés par la question de la paternité.

Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

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Selon le Daily Mail (UK), bien manger n’aurait pas qu’une incidence sur la bonne santé, mais aussi sur la capacité à procréer chez l’homme.

En effet, selon cette plus récente étude californienne sur le sujet, les hommes qui mangent mieux que la moyenne ou qui décident de changer leur alimentation en prenant de l’âge ont plus de chances de conserver leur capacité à se reproduire.

On vante particulièrement les noix, les fruits et légumes, et les poissons, notamment, qui procurent de forts apports en vitamines C et E, ainsi qu’en zinc.

Les spécialistes, dirigés par le professeur Simon Fishel, croient que les hommes qui ont du mal à réaliser leur rêve de faire un enfant devraient d’abord se tourner vers leur alimentation.

« Ce que l’on mange peut avoir une incidence positive ou dommageable. Les composantes associées à l’œstrogène qui passent dans la chaîne alimentaire, par exemple par la viande, peuvent avoir un effet dommageable sur le développement du sperme », résume le professeur Fishel.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La prise d’aspirine permettrait la réduction de certaines tumeurs

Plusieurs spécialistes ont déjà suggéré les bienfaits d’une prise régulière d’aspirine dans la lutte contre le cancer, mais voilà qu’une nouvelle étude vient étayer la théorie.

Selon The National Library of Medicine, une étude suédoise vient en effet de confirmer l’impact de la prise d’aspirine sur la réduction de certaines tumeurs, notamment celles observables dans des cas de cancer du côlon et des poumons.

« Nous avons fait la preuve qu’elle [l’aspirine] est aussi efficace contre le cancer du poumon et qu’elle a des effets préventifs autant aux stades précoces qu’avancés », lance l’auteur en chef de l’étude, Yudi Pawitan.

L’équipe de Pawitan a en effet remarqué, après avoir analysé les dossiers de plus de 80 000 patients, une incidence entre la grosseur des tumeurs et la prise d’aspirine de façon régulière, mais à petites doses.

Les chercheurs se demandent également pourquoi l’aspirine semble efficace dans la lutte à ces deux formes de cancer, et non contre d’autres, comme le cancer du sein, par exemple.

De plus, ces conclusions demeurent au stade de la théorie, puisque de futures recherches doivent analyser d’autres aspects de la question avant de pouvoir officiellement conseiller aux gens de se tourner vers l’aspirine.

« Le mécanisme n’est pas entièrement compris », lance Pawitan en conclusion.

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Le travail et l’argent auraient une incidence directe sur l’amour et la procréation

L’argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

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Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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La fréquence des relations sexuelles pourrait influencer le salaire

Un chercheur de l’Université Anglia Ruskin et son équipe se sont amusés à analyser les courbes de salaire et celles… des fréquences des rapports sexuels.

Fait étonnant, le Dr Nick Drydakis et ses collègues sont parvenus à démontrer une certaine cause à effet entre le nombre de relations sexuelles recensées hebdomadairement et le salaire moyen de sujets, rapporte le Daily Mail (UK).

Ainsi, après avoir analysé près de 8 000 dossiers de sujets âgés de 26 à 50 ans, les chercheurs ont conclu que ceux qui 4 relations sexuelles et plus par semaine gagnent en moyenne 5 % de plus que les autres.

De plus, ceux qui n’ont aucune vie sexuelle gagneraient en moyenne 3 % de moins que ceux qui ont des activités intimes, même sporadiques.

Attention, cependant, il existe deux lignes de pensée découlant de ces conclusions.

Soit les personnes plus épanouies sexuellement atteignent plus facilement le succès, soit les personnes qui ont plus de succès réussissent davantage à charmer!

Une chose est sûre, l’absence de rapports sexuels peut mener à des troubles de l’humeur comme l’anxiété ou la dépression, selon le Dr Drydakis, qui résume :

« Les gens ont besoin d’aimer et d’être aimés. L’absence de ces éléments peut mener à vivre de l’anxiété ou à la dépression, ce qui peut affecter leur vie professionnelle. »

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En route vers une régénération du coeur?

La médecine et la science font souvent de véritables petits miracles en cette ère moderne, et il existe encore plusieurs domaines dans lesquels on peut s’attendre à voir d’incroyables percées au cours des prochaines années.

C’est le cas de la cardiologie, qui, même si elle s’avère l’une des spécialités les plus émérites de la profession, ne peut compter sur une régénération de l’organe visé, contrairement à d’autres.

Cela pourrait être sur le point de changer, rapporte Top Santé, alors que des recherches sur les cellules souches laissent croire à plusieurs spécialistes qu’il serait possible d’aider le cœur à se régénérer, et donc à réparer des torts et des lésions jugés jusqu’ici irréversibles.

Cette récente étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pittsburgh et publiée par Nature confirme la transformation avec succès de certaines cellules souches en cellules cardiaques.

« Nous apportons une nouvelle ressource de cellules – les MCPs dérivées d’iPS – pour l’avenir de l’ingénierie tissulaire cardiaque », s’enflamme l’un des chercheurs basés en Pennsylvanie.

On peut donc croire qu’il sera possible de contribuer à la régénération du corps dans un avenir rapproché, ce qui s’avère une nouvelle absolument renversante.

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C’est le cas de la cardiologie, qui, même si elle s’avère l’une des spécialités les plus émérites de la profession, ne peut compter sur une régénération de l’organe visé, contrairement à d’autres.

Cela pourrait être sur le point de changer, rapporte Top Santé, alors que des recherches sur les cellules souches laissent croire à plusieurs spécialistes qu’il serait possible d’aider le cœur à se régénérer, et donc à réparer des torts et des lésions jugés jusqu’ici irréversibles.

Cette récente étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pittsburgh et publiée par Nature confirme la transformation avec succès de certaines cellules souches en cellules cardiaques.

« Nous apportons une nouvelle ressource de cellules – les MCPs dérivées d’iPS – pour l’avenir de l’ingénierie tissulaire cardiaque », s’enflamme l’un des chercheurs basés en Pennsylvanie.

On peut donc croire qu’il sera possible de contribuer à la régénération du corps dans un avenir rapproché, ce qui s’avère une nouvelle absolument renversante.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Percée majeure dans la compréhension du cancer et de son développement

Plusieurs spécialistes croient qu’il est possible d’améliorer les statistiques de guérison et de rémission de cancer grâce à des méthodes de traitements personnalisées et adaptées à chaque cas.

Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

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Une nouvelle recherche, rapportée par Santé Log, dévoile des découvertes fascinantes en matière de fonctionnement et de développement du cancer, lesquelles mènent à des conclusions qui abondent dans le même sens.

L’étude d’envergure mondiale produite par le Wellcome Trust analyse les mutations et les comportements génétiques de plus de 30 cancers dits « communs ». Cela permet de constater que ces mutations sont non seulement complexes, mais qu’elles peuvent aussi s’expliquer par plusieurs facteurs différents.

On comprend maintenant mieux que le cancer est une véritable mutation du bagage génétique, pavant ainsi la voie à de meilleures avenues de traitement.

C’est du moins ce que croient plusieurs experts, qui dévoilent leurs théories et leurs trouvailles dans ce long rapporté publié par le magazine Nature.

On se rend compte, malgré une compréhension bien plus grande du phénomène, que le cancer est un mal énigmatique et qu’il s’explique par plusieurs raisons. La découverte de 21 signatures génétiques, mentionnées dans le rapport permet d’élargir les horizons et de croire en des traitements plus efficaces d’ici peu.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Le prof Warwick récidive : vivre seulement avec son cerveau

Le Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

e Daily Mail (UK) rapporte les plus récentes recherches du fameux professeur Kevin Warwick, de l’Université de Reading, qui s’entament sur un sujet crucial : pourrait-on survivre uniquement en tant que cerveau, et envoyer ce dernier sur une autre planète?

Si la prémisse de cette recherche semble d’abord farfelue, il ne faut surtout pas tenir M. Warwick pour battu! En effet, il est le créateur de certaines innovations technologiques incroyables, à commencer par cette puce qu’il s’est implantée dans le bras afin de diriger les lumières, le chauffage et plusieurs autres aspects de sa propre maison.  Il est même parvenu à s’implanter un appareil qui agit de concert avec son système nerveux et qui lui a permis de se brancher lui-même au système Internet de l’Université Columbia, basée à New York.

En se basant sur ces prouesses, la réalité technologique et les possibilités que propose le futur, on peut se demander si le professeur est en avance de son temps… et s’il a raison.

Il croit que la pertinence du corps humain, trop faible, touche à sa fin, et qu’il est temps de commencer à penser à créer une meilleure enveloppe. De plus, il croit que nous devons également penser à créer une enveloppe corporelle qui nous permettra de voyager vers d’autres planètes.

Ainsi, seul le cerveau serait véritablement utile à notre « continuation ».

Plusieurs autres spécialistes abondent dans ce sens.

Folie ou pur génie?

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Le double impact de l’alcool sur le poids et la santé

L’alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

quo;alcool est reconnu pour ses nombreux effets retour et pervers, à commencer par sa propension à favoriser la prise de poids.

Encore là, selon Santé Log, ce simple facteur possède deux volets, c’est-à-dire que la consommation d’alcool mène à un gain de poids en soi, mais aussi à de plus mauvais choix alimentaires.

Donc, selon l’étude rapportée et publiée par la NIAAA dans l’American Journal of Clinical Nutrition, une consommation trop élevée ou quotidienne d’alcool  présente deux problèmes majeurs pour la santé.

D’abord par des apports caloriques élevés, puisque la moyenne calorique d’un verre d’alcool (vin, bière, spiritueux) se situe autour de 200 calories par consommation.

Mais aussi parce que prendre un verre inciterait davantage vers de mauvais choix alimentaires, croient les experts de la NIAAA.

C’est après avoir analysé les comportements de milliers de sujets, hommes et femmes, que ceux-ci ont constaté des consommations accrues de produits gras, sucrés et salés, mais aussi en viandes et en grignotines (croustilles, etc.).

Ainsi donc, réduire ou cesser la consommation d’alcool permettrait de perdre du poids beaucoup plus facilement, et ce, en gagnant sur deux tableaux simultanément.

Cela dit, il est important de mentionner que le vin et la bière, lorsque consommés avec extrême modération, sont vantés par plusieurs spécialistes qui leur accordent certaines vertus santé.

Saurez-vous trouver le juste équilibre?

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net