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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Des chercheurs communiquent avec un patient dans un état végétatif

Un patient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

atient considéré comme végétatif serait parvenu à communiquer avec des chercheurs qui tentaient une expérience visant exactement ce genre de résultats, rapporte le Daily Mail (UK).

L’équipe de chercheurs canadiens, basée à la Western University de London, en Ontario, a voulu démontrer la possibilité de communiquer avec des patients plongés dans un état végétatif grâce à un système par résonnance magnétique.

S’adressant ainsi au patient, lequel demeurait dans cet état depuis les 12 dernières années, et en mesurant les réponses cérébrales de celui-ci face aux questions données, les chercheurs ont démontré la capacité du patient à comprendre son environnement.

Appelé à répondre simplement par « oui » ou par « non » à des questions du type « Êtes-vous dans un hôpital? », le patient en question aurait suggéré qu’il comprenait en effet se trouver dans un tel lieu.

« Cette nouvelle technique mène les communications avec certains patients présumés végétatifs à un autre niveau », lance le chercheur Adrian Owen.

Lorina Naci, leader des recherches, croit quant à elle que cette recherche permet de mieux comprendre les capacités de ces patients et qu’elle démontre que plusieurs demeurent en fait « conscients ».

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Des apports en poisson réduiraient les risques d’arthrite

Plusieurs bienfaits du poisson et des huiles de poisson ont maintes fois été démontrés, mais de récentes études ajoutent une nouvelle corde à leur arc.

Selon les renseignements rapportés par Medical News Today, des apports hebdomadaires en poisson (une portion de poisson gras par semaine, ou encore quatre de poisson maigre) permettraient de réduire de façon significative les risques de développer des problèmes d’arthrite.

C’est une étude publiée dans le magazine Annals of the Rheumatic Diseases qui soulève cette hypothèse, notamment en ce qui concerne l’arthrite rhumatoïde.

Réalisée par des chercheurs suédois basés à la Karolinska Institute, l’étude parle de risques réduits de l’ordre de 30 % à 50 % chez les personnes qui consomment régulièrement du poisson depuis une période d’environ 10 ans.

Ces conclusions se basent sur les observations effectuées auprès de 32 000 femmes de 2003 à 2010, des femmes qui avaient auparavant déjà participé à ce genre d’étude dans les années 1990. 

En ajoutant les habitudes alimentaires, notamment en matière de poisson, aux données précédemment obtenues, les chercheurs concluent à la véracité de la théorie. 

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La surqualification pourrait mener à la dépression

Êtes-vous trop qualifié pour le poste que vous occupez actuellement?

Votre niveau d’études est-il beaucoup plus impressionnant que votre feuille de route? Attention, ce genre de constat pourrait vous mener tout droit vers une dépression…

C’est du moins la conclusion à laquelle arrivent des chercheurs belges, notamment après avoir analysé les dossiers de plus de 16 000 employés à travers l’Europe.

Présentées devant l’American Sociological Association, ces conclusions parlent d’un risque accru de troubles de l’humeur et de dépression chez les gens trop qualifiés pour leur emploi actuel, entre autres explicable par un manque de motivation et de stimulation.

« La raison pour laquelle les gens surqualifiés présentent un risque élevé de détresse psychologique pourrait être parce que, par définition, ils ne sont pas stimulés dans leur emploi et ne peuvent pas utiliser toutes les compétences qu’ils ont acquises au cours de leurs études », explique Piet Bracke, une professeure belge, à Live Science.

Ces propos, repris par Top Santé, sont accompagnés d’une mise en garde voulant que si le marché du travail ne connaît pas la même croissance que la popularité des hautes études, les sociétés modernes pourraient se retrouver avec de plus en plus de travailleurs dépressifs.

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Coup de soleil et cancer : nouvelle protection

La nouvelle découverte pourrait mener à une amélioration des lotions de protection de la peau contre le soleil et éventuellement réduire les chances d’attraper un cancer.

La molécule appelée TRPV4 est présente en grande quantité dans la couche externe de la peau.

Les chercheurs de l’Université Duke en Caroline du Nord ont pu démontrer, à l’aide de souris et d’échantillons de peau humaine, que cette molécule est responsable de la douleur et des dommages causés par les coups de soleil.

Un traitement a alors été conçu pour bloquer la TRPV4. Appliqué sur les animaux, il a démontré une efficacité contre les agressions en protégeant la peau des rayons UV.

Selon ce que rapporte le journal Proceedings of the National Academy of Sciences, les résultats sur la peau humaine se sont également montrés fort prometteurs.

Les chercheurs disent que des études plus poussées sont nécessaires, mais qu’ils envisagent des écrans solaires contenant des bloqueurs de la molécule en question pour protéger contre l’exposition aux rayons UV.

Wolfgang Liedtke, l’un des principaux auteurs de l’étude, a déclaré : « Je pense que nous devrions être prudents parce que nous voulons voir comment l’inhibition de la TRPV4 réagira lors d’autres processus en cours. Je peux toutefois l’imaginer être mélangé avec des écrans solaires traditionnels pour fournir des protections renforcées contre l’exposition aux UVB ».

 

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Tous les goûts sont dans la nature… et dans l’âge!

Si vous remarquez certains changements dans vos habitudes alimentaires, vos désirs et vos goûts, il semble que cela soit tout à fait normal.

Il appert que les goûts et les préférences alimentaires se bonifient et varient à mesure que l’on prend de l’âge, selon une recherche rapportée par Top Santé.

Ce sont des chercheurs japonais qui proposent cette étude faisant état d’expériences et d’observations effectuées sur des rongeurs, des rats, et leurs préférences au fil de leur vie.

L’équipe de l’Université d’Osaka remarque que les rats plus âgés préfèrent un goût amer au goût sucré, contrairement aux jeunes rats qui démontrent l’inverse.

« Les jeunes rats préfèrent les aliments sucrés et montrent une forte aversion pour les aliments amers, contrairement aux rats plus âgés. Ces travaux ont montré que le vieillissement ne provoque aucun changement dans la transmission des informations du goût de la langue au système nerveux central », explique l’équipe de chercheurs, Chizuko Inui-Yamamoto en tête.

Ces derniers souhaitent donc effectuer des recherches plus poussées afin de déterminer pourquoi les goûts changent lors du vieillissement, un fait maintenant établi clairement.

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Un climat chaud serait propice aux conflits

Santé Log rapporte une étude qui trace un parallèle entre le niveau de la température, la météo et les explosions de violence et de conflits.

Selon l’équipe de chercheurs de l’Université de Berkeley, en Californie, les pointes de températures élevées seraient effectivement propices aux conflits.

Que ce soit au Québec lors de la période estivale ou encore dans des pays chauds à longueur d’année, on enregistre plus de cas de violence ou d’agressivité dans ces périodes et lieux plus chauds.

L’équipe de chercheurs remarque une corrélation directe, des conclusions obtenues à la suite de l’analyse d’une soixantaine d’études sur le sujet.

En superposant les statistiques météo à celles des cas rapportés de violence, que ce soit de la violence de rue, conjugale ou encore des conflits sociaux comme les guerres civiles, les chercheurs sont clairs : la moindre variation d’un degré, lorsqu’il fait chaud, peut avoir une incidence directe sur l’éclatement d’un conflit.

On s’inquiète notamment du rôle des changements climatiques et du réchauffement de la planète, qui aurait par conséquent un impact majeur sur l’équilibre mondial et la paix dans le monde, selon ces statistiques.

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Une autre étude accorde une plus grande longévité aux végétariens

Une autre bataille de la guerre opposant les amateurs de viande et les végétariens vient d’être gagnée par ces derniers, selon Nutrition News, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet accorde encore une fois plus de chances à ceux-ci de vivre plus longtemps.

C’est ce qui ressort, et de façon éclatante, d’une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université Loma Linda en Californie.

Les chercheurs américains ont suivi les cas de plus de 70 000 personnes, tous membres d’un regroupement qui prône le végétarisme, sur une période de près de six ans.

Après avoir compilé les données, incluant les types de repas ingérés par les participants, l’équipe de spécialistes conclut que le groupe des végétariens a subi 12 % moins de décès que celui des carnivores.

On parle notamment de 19 % moins de chance de mourir d’un problème cardiovasculaire et d’une réduction des risques de mort par une dysfonction des reins, par exemple, ou encore du diabète. Voilà quelques exemples qui ont semblé tous pencher en faveur des végétariens.

Les risques de développer un cancer, cependant, ont semblé être les mêmes chez les deux groupes.

Pour terminer, l’incidence de la viande et du végétarisme semble affecter davantage les hommes que les femmes!

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L’altruisme serait meilleur pour la santé et les gènes que l’égocentrisme

Voici une recherche plus qu’intéressante proposée par The National Library of Medicine, initialement publiée par un groupe de chercheurs américains.

L’équipe californienne a en effet tenté de déterminer les effets de nos actions sur la santé et la génétique, en analysant les comportements de 80 personnes, divisées en deux groupes.

Le premier groupe comprenait les individus en quête d’une vie remplie de sens, d’altruisme et de générosité. Le deuxième groupe, on le devine, comprenait plutôt des gens plus égocentriques, à la recherche d’un plaisir et d’une gloire bien plus personnelle.

Les résultats, publiés dans la version web du magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, sont étonnants.

Les sujets du premier groupe ont démontré une réponse des gènes qui se caractérise par une action des cellules immunitaires! On note moins de gènes « inflammatoires », et une exubérance des gènes antiviraux et protecteurs de l’organisme. Le contraire a aussi été observé chez le deuxième groupe.

« Les deux groupes semblaient profiter des mêmes niveaux d’émotions positives. Par contre, les génomes répondaient de façon très différente, malgré des états émotionnels relativement semblables et positifs. Le génome humain est beaucoup plus sensible aux différentes façons d’atteindre le bonheur que nos esprits conscients », résume Steven Cole, professeur à l’Université de Californie.

Incroyable!

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Manger à son poste de travail rendrait plus performant

Si vous êtes du genre à manger au restaurant chaque midi ou encore sur l’heure du souper pour certains, vous n’êtes probablement pas l’employé le plus performant, selon un article publié par le Daily Mail (UK).

Ce dernier se base sur des conclusions obtenues à la suite d’une étude effectuée sur des travailleurs, par des chercheurs de l’Université Humboldt de Berlin.

L’équipe allemande, menée par le Dr Werner Sommer, constate que les travailleurs qui mangent à leur bureau sur l’heure de dîner sont plus éveillés, alertes et performants que ceux qui profitent des joies extérieures comme les restaurants et les pubs.

En contrepartie, le Dr Sommer admet que les personnes dînant à l’extérieur sont plus détendues, ce qui explique justement la baisse de performance. Il s’agit donc d’une bonne chose si l’objectif est de « décrocher » et de lutter contre le stress!

Aussi, on note que la différence observable de comportement entre ceux qui demeurent à leur poste et les autres devient plus ou moins appréciable selon le type d’emploi.

Les gens qui doivent faire preuve de créativité, par exemple, pourraient bénéficier d’un repas à l’extérieur. Ceux qui utilisent leurs facultés de concentration, d’analyse et leur sens cognitif devraient demeurer à leur poste.

Quoi qu’il en soit, ne montrez pas cette publication à votre patron!