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Les dossiers médicaux numériques pour réduire les coûts

Une nouvelle étude confirme une réduction de coûts possible pour les systèmes de santé grâce à la numérisation des dossiers médicaux.

C’est la conclusion proposée par les chercheurs de l’Université du Michigan et rapportée par The National Library of Medicine. Julia Adler-Milstein était en tête de ce projet.

La première analyse parle d’une réduction des frais de l’ordre de 5 $ par patient, par mois, après l’instauration d’un système électronique des dossiers médicaux.

« Je crois qu’il y a plusieurs raisons de croire que nos analyses vont s’avérer exactes », lance Adler-Milstein.

Le gouvernement américain s’était déjà engagé à offrir 30 milliards de dollars pour la numérisation des dossiers médicaux, une décision qui serait excellente si on se base sur les résultats de la présente recherche.

Le Québec voulait également emprunter cette voie, ce qui n’est toujours pas écarté, mais il a connu des problèmes majeurs depuis la première tentative.

nouvelle étude confirme une réduction de coûts possible pour les systèmes de santé grâce à la numérisation des dossiers médicaux.

C’est la conclusion proposée par les chercheurs de l’Université du Michigan et rapportée par The National Library of Medicine. Julia Adler-Milstein était en tête de ce projet.

La première analyse parle d’une réduction des frais de l’ordre de 5 $ par patient, par mois, après l’instauration d’un système électronique des dossiers médicaux.

« Je crois qu’il y a plusieurs raisons de croire que nos analyses vont s’avérer exactes », lance Adler-Milstein.

Le gouvernement américain s’était déjà engagé à offrir 30 milliards de dollars pour la numérisation des dossiers médicaux, une décision qui serait excellente si on se base sur les résultats de la présente recherche.

Le Québec voulait également emprunter cette voie, ce qui n’est toujours pas écarté, mais il a connu des problèmes majeurs depuis la première tentative.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Perdre du poids par la satiété

Science Daily propose une recherche présentée lors de la réunion annuelle de l’Institute of Food Technologists (IFT), à Chicago, qui prône l’importance de bien choisir ses collations afin de ne pas prendre du poids, mais aussi d’en perdre.

Le raisonnement est fort simple : en choisissant des collations qui comblent plus rapidement votre faim, vous n’aurez pas à manger surabondamment pour arriver au même résultat.

Ce constat peut en effet sembler simpliste. Avouons toutefois que nous ne choisissons que rarement nos collations et récompenses alimentaires en nous demandant quelle option présente la meilleure chance de nous faire atteindre un rapide état de satiété.

On préfère souvent les chocolats, craquelins salés et croustilles de ce monde sans aucune considération pour notre faim et la résolution du problème réel (ne plus avoir faim).

Pourtant, en choisissant une collation qui nourrit vraiment l’organisme, il est permis de croire que l’on peut perdre du poids… sans avoir faim de nouveau!

« La maîtrise de l’appétit est un domaine qui reçoit de plus en plus d’attention de la part de l’industrie alimentaire, qui cherche à proposer aux consommateurs des produits qui les gardent remplis plus longtemps », affirme Dr Roberta Re, une nutritionniste britannique.

cience Daily propose une recherche présentée lors de la réunion annuelle de l’Institute of Food Technologists (IFT), à Chicago, qui prône l’importance de bien choisir ses collations afin de ne pas prendre du poids, mais aussi d’en perdre.

Le raisonnement est fort simple : en choisissant des collations qui comblent plus rapidement votre faim, vous n’aurez pas à manger surabondamment pour arriver au même résultat.

Ce constat peut en effet sembler simpliste. Avouons toutefois que nous ne choisissons que rarement nos collations et récompenses alimentaires en nous demandant quelle option présente la meilleure chance de nous faire atteindre un rapide état de satiété.

On préfère souvent les chocolats, craquelins salés et croustilles de ce monde sans aucune considération pour notre faim et la résolution du problème réel (ne plus avoir faim).

Pourtant, en choisissant une collation qui nourrit vraiment l’organisme, il est permis de croire que l’on peut perdre du poids… sans avoir faim de nouveau!

« La maîtrise de l’appétit est un domaine qui reçoit de plus en plus d’attention de la part de l’industrie alimentaire, qui cherche à proposer aux consommateurs des produits qui les gardent remplis plus longtemps », affirme Dr Roberta Re, une nutritionniste britannique.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Boire de l’eau pour une bonne santé mentale et cognitive

On le sait, et spécialement par ces périodes de chaleur estivale intense, le meilleur moyen de s’hydrater est de boire de l’eau.

Or, selon une étude rapportée par le Telegraph (G.-B.), des chercheurs ont découvert que boire de l’eau pouvait également améliorer substantiellement les performances cognitives d’un individu.

En fait, si une personne boit une pinte d’eau avant de s’atteler à une tâche qui requiert une bonne concentration mentale (comme l’écriture ou le calcul), il appert qu’elle serait 14 % plus efficace qu’en temps normal.

Selon l’étude, elle serait en effet « 14 % plus rapide à exécuter une action cognitive. »

Il semble que la moindre parcelle de déshydratation du corps pourrait créer un ralentissement des facultés, et ce, presque instantanément.

« Ce pourrait être parce que lorsque vous avez soif, ça diverge votre attention de la tâche à accomplir. Le temps de réaction semble être le plus influencé par l’eau, et spécialement lorsque les gens ont soif », résume Dr Caroline Edmonds, psychologue et auteure de l’étude.

L’étude en question a été effectuée à l’University of East London.

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Une étude confirme les dangers… de la retraite!

Une vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’insuline et l’allaitement

Un article paru sur Psychoenfants.fr explique comment l’insuline, qui régule notre taux de sucre, pourrait nuire au bon fonctionnement de la lactation si elle présente des anomalies.

La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

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La molécule jouerait le rôle de déclencheur de la lactation dès l’arrivée de bébé. Ceci expliquerait pourquoi les mères souffrant de diabète auraient du mal à produire du lait en quantité nécessaire.

Jusqu’à tout récemment, il n’y avait jamais eu de lien établi entre l’insuline et cette difficulté, mais une récente étude menée par la Pre Laurie Nommsen-Rivieres, chercheuse à Cincinnati, révèle qu’elles seraient intimement liées.

En effet, l’insuline enverrait des signaux déclencheurs à notre centre de bioproduction de protéines, de lipides et de glucides, tous des nutriments indispensables à l’alimentation du bébé et à la mise en route de la lactation.

En cas d’insulino-résistance, la transmission des signaux est affectée, voire manquante, et nuirait à tout le processus d’enclenchement. Aux États-Unis, environ 20 % des femmes diagnostiquées comme pré-diabétiques subiraient ces conséquences.

Un second essai clinique est en cours avec l’utilisation d’un médicament contre le diabète de type 2, afin de déterminer si une telle mesure permettrait de raviver la production de lait chez les patientes.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Des casques moins chers et tout aussi efficaces

La santé et la sécurité dans le sport constituent une donnée fort importante, et elle prend de plus en plus de place dans notre conscience collective et dans les médias.

Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

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Les commotions cérébrales, notamment, constituent le sujet le plus chaud depuis plusieurs mois, après qu’un nombre considérable de sportifs soient tombés au combat à la suite de cette blessure, que ce soit des joueurs professionnels ou des athlètes amateurs.

C’est vrai au hockey, mais aussi au football, un sport de plus en plus populaire au Québec. Il est donc tentant de se procurer des articles de sport plus chers afin d’assurer sa sécurité. Toutefois, ce n’est pas ce que suggère nécessairement une équipe de chercheurs du Wisconsin qui s’est penchée sur la question.

The National Library of Medicine rapporte en effet les conclusions de l’étude en question, selon lesquelles plusieurs casques moins chers et moins récents sont tous aussi efficaces et sécuritaires.

« La technologie des casques est aussi avancée qu’elle peut l’être. Ils ont fait un travail formidable. Nous n’avons plus de fracture du crâne au football », explique notamment l’auteur en chef de l’étude, Timothy McGuine.

On suggère donc de bien s’informer avant l’achat, mais de ne pas se ruiner sans raison.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les canneberges en prévention des infections

Santé Log rapporte une étude publiée par des chercheurs basés à l’Université McGill, à Montréal, qui traite d’un possible effet préventif des canneberges sur plusieurs types d’infection.

On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

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On parle notamment des infections urinaires et de type nosocomial, qui apparaissent notamment dans les centres hospitaliers à la suite de l’utilisation d’appareils médicaux.

L’équipe de chercheurs de McGill, qui publie ses conclusions dans le Canadian Journal of Microbiology, croit que la consommation de canneberges devrait être mise de l’avant chez plusieurs patients hospitalisés, car elles permettent véritablement une prévention efficace.

C’est d’ailleurs la même équipe de McGill qui avançait des propriétés concernant l’E. coli récemment. Cette recherche confirmerait donc leurs hypothèses et pourrait s’avérer une excellente nouvelle.

Encore faudra-t-il que l’on puisse créer une méthode efficace de traitement préventif à base de canneberges et de distribution pour tous les patients. 

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Traitement possible de l’ostéoporose grâce à la pravastatine?

Radio-Canada rapporte une percée intéressante annoncée par des chercheurs de la Faculté de médecine Pierre et Marie Curie en ce qui concerne un traitement de l’ostéoporose découlant d’un traitement contre le VIH.

On le sait, les « traitements » par trithérapie sont de plus en plus puissants et efficaces. Ils permettent aux patient atteints du SIDA (ou VIH) de vivre mieux et plus longtemps dans une bonne proportion des cas.

Malheureusement, le traitement par trithérapie comprend aussi son lot d’effets indésirables, selon ce que l’on comprend, à commencer par un vieillissement prématuré des cellules souches de la moelle osseuse et de celles responsables de la formation et du développement des os.

Ainsi, on parle donc d’ostéoporose précoce chez plusieurs patients, mais Claire Laghatu croit qu’elle et son équipe pourraient ni plus ni moins régler le problème grâce à la pravastatine.

Oui, une autre de ces statines dont on parle beaucoup ces temps-ci, puisqu’elles soulèvent une petite polémique concernant les effets secondaires possibles des gens qui en consomment pour prévenir les risques de maladies et d’accidents cardiovasculaires.

Cependant, leur efficacité est quant à elle fortement démontrée, et la pravastatine pourrait également servir la cause des patients atteints d’ostéoporose.

Plusieurs autres tests et recherches doivent être effectués, mais la piste semble prometteuse.

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La dent sucrée, liée à l’abus d’alcool?

The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude qui trace un lien étonnant – même tiré par les cheveux, diront certains.

Sauf que pour les chercheurs basés dans l’État de l’Indiana, aux États-Unis, il existe bel et bien un lien entre l’amour des friandises et du sucre, aussi appelé la « dent sucrée », et l’abus éventuel d’alcool au cours de la vie d’un individu.

« Précisément, la tendance était que ceux qui consommaient plus d’alcool que les autres […] avaient des réponses du lobe orbitofrontal gauche plus intenses face à une eau intensément sucrée », résume David Kareken, de l’Indiana University School of Medicine.

M. Kereken fait ici référence aux essais effectués sur des groupes tests, formés notamment de jeunes adultes, et qui ont révélé l’existence d’un lien entre l’attirance pour le sucre et celle pour l’alcool.

Ce genre d’étude et d’essai a pour but de tenter de prévenir les risques d’alcoolisme et de dépendance à l’alcool dès le plus jeune âge.

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La pollution de l’air serait liée à des millions de décès dans le monde

Le débat sur l’environnement et le réchauffement climatique fait rage depuis un bon moment déjà, et les avis divergents sont nombreux.

Deux camps s’affrontent, soit celui des environnementalistes et celui des sceptiques, ce dernier trouvant dans ses rangs ceux qui croient que la panique proposée et les catastrophes projetées sont plus exagérées que ce que la réalité propose.

Mais s’il existe un point qui semble rassembler un peu plus les idées, c’est celui de la pollution de l’air. À tout le moins, pour l’Institute of Physics de Londres (IOP), il n’existe aucun débat possible : la réduction de la qualité de l’air est un fléau qui tue.

Plus de deux millions de décès dans le monde annuellement : voilà le bilan de l’IOP en matière de qualité de l’air. Tous ces décès sont attribuables à la pollution, selon les chercheurs.

C’est par le biais d’une étude publiée dans le magazine Environmental Research Letters que l’IOP a fait connaître ses inquiétudes.

Des inquiétudes qui seront sans aucun doute partagées par une bonne partie de la population à la suite de ce bilan.

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Deux camps s’affrontent, soit celui des environnementalistes et celui des sceptiques, ce dernier trouvant dans ses rangs ceux qui croient que la panique proposée et les catastrophes projetées sont plus exagérées que ce que la réalité propose.

Mais s’il existe un point qui semble rassembler un peu plus les idées, c’est celui de la pollution de l’air. À tout le moins, pour l’Institute of Physics de Londres (IOP), il n’existe aucun débat possible : la réduction de la qualité de l’air est un fléau qui tue.

Plus de deux millions de décès dans le monde annuellement : voilà le bilan de l’IOP en matière de qualité de l’air. Tous ces décès sont attribuables à la pollution, selon les chercheurs.

C’est par le biais d’une étude publiée dans le magazine Environmental Research Letters que l’IOP a fait connaître ses inquiétudes.

Des inquiétudes qui seront sans aucun doute partagées par une bonne partie de la population à la suite de ce bilan.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net