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Une juste portion de protéines à chaque repas serait bénéfique pour la santé

Une nouvelle étude américaine vient ajouter de l’information concernant les protéines et leurs bienfaits sur la santé, mais vient surtout proposer une posologie à respecter pour des effets bienfaiteurs maximisés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’aile médicale de l’Université du Texas à Galveston, les habitudes des Nord-Américains en matière de repas ne permettraient pas d’optimiser le vieillissement en bonne santé.

Trop de protéines au souper, croient les chercheurs, qui estiment à 30 grammes la portion nécessaire (et maximale) par repas, au lieu d’une surabondance de protéines dans un seul repas au cours de la journée. On donne en exemple le déjeuner, qui bénéficierait davantage de la présence d’un œuf ou d’un verre de lait que de celle d’un bol de céréales très sucrées ou d’une pâtisserie.

Le fait d’étirer ses portions de protéines tout au long de la journée favoriserait la santé des muscles et permettrait de vieillir en meilleure santé, explique également Leslie Beck, une spécialiste américaine qui rapporte les conclusions de l’étude.

L’étude texane a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Enfin un diagnostic de fatigue chronique?

Les personnes souffrant de ce qu’il est convenu d’appeler le « syndrome de la fatigue chronique » ne trouvent souvent pas beaucoup de soutien ou de compréhension auprès de leurs proches, leurs collègues ou même certains spécialistes en santé.

La raison de cette marginalisation est simple : il n’existe pour ainsi dire aucune manière de diagnostiquer le trouble. Cette absence de verdict clair empêche grandement la reconnaissance de ce mal qui touche pourtant plusieurs personnes.

« À ce jour, aucun marqueur biologique ou organique ne permet d’identifier ce syndrome. C’est un diagnostic difficile qui requiert l’exclusion des autres maladies responsables de fatigue chronique (cancer, maladies endocrines, maladies inflammatoires systémiques, psychiatriques, auto-immunes, etc.), explique d’ailleurs l’Association Française du Syndrome de Fatigue chronique.

Voilà qu’une nouvelle découverte permettrait de faire avancer la cause, alors que des chercheurs ont observé des différences physiques chez les patients atteints du syndrome grâce à des tests par résonnance magnétique, rapporte Top Santé.

Un dérèglement des ganglions cervicaux ou des noyaux gris seraient observables chez plusieurs patients de l’étude, ce qui permet aux spécialistes d’être optimistes quant à un possible diagnostic plus officiel du syndrome de fatigue chronique dans le futur.

Cette nouvelle percée et les conclusions de l’étude ont été publiées dans la revue PLoS One.

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Quand le lieu de travail devient moins stressant que la maison

Est-ce que votre lieu de travail est devenu votre endroit de prédilection et votre sanctuaire, au détriment de la maison devenue trop stressante? Voilà la question posée par le New York Times, qui rapporte une nouvelle étude intéressante en la matière.

Le quotidien propose les résultats d’une étude, effectuée par des chercheurs de l’Université Penn State, qui analysait les taux de cortisol de 122 travailleurs durant leurs heures de travail, puis durant le week-end.

Les chercheurs ont été étonnés de constater que les niveaux de stress des sujets, évalués à l’aide des taux de cortisol, étaient souvent moins élevés au travail qu’à la maison.

Ces résultats intéressants tendent à démontrer que le travail demeure un exutoire de choix contre les tracas et le stress de la vie familiale et quotidienne.

« Le fait que les niveaux de stress des gens descendent lorsqu’ils sont au travail ne signifie pas pour autant qu’ils n’aiment pas leur maison ou leurs enfants. Je crois que ça suggère plutôt qu’il y a quelque chose de bon pour vous dans le travail », croit la professeure Sarah Damaske, auteure de l’étude.

De plus, les femmes semblent particulièrement moins stressées au travail qu’au domicile que les hommes, un autre indicateur des difficultés à conjuguer la vie familiale, amoureuse et professionnelle.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Social Science & Medicine.

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Doit-on vraiment dépenser 2000 calories par semaine?

Le New York Times répond à une question que plusieurs se posent, proposée par un lecteur du journal new-yorkais, à savoir si le mythe qui veut que l’on doive brûler 2000 calories par semaine pour être en bonne santé est véridique ou non.

Selon le New York Times, l’idée que l’on doive dépenser 2000 calories de façon hebdomadaire découle d’une fameuse étude en provenance de Harvard, il y a plusieurs années.

L’étude en question est l’Harvard Alumni Study, qui suivait durant plusieurs décennies des sujets types et qui analysait leurs habitudes, dont celles concernant l’activité physique sur une base hebdomadaire.

Les chercheurs qui ont décortiqué les données recueillies au fil de 50 ans d’observation ont alors bel et bien estimé que les sujets qui dépensaient 2000 calories par semaine avaient moins de risque que les autres de subir une crise cardiaque, notamment.

Mais pour les experts, de nombreuses activités banales du quotidien permettent d’en arriver rapidement au compte, par exemple le simple fait de monter un escalier ou encore les pas effectués pour se rendre d’un endroit à l’autre.

En somme, les spécialistes croient qu’il est bon de se fixer 1000 calories à brûler par semaine comme objectif, et le reste des activités routinières devraient permettre d’atteindre ou de frôler les 2000 calories éliminées hebdomadairement.

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Les enfants moins enclins à manger ce qui est bon pour la santé

Voilà une nouvelle qui ne surprendra personne, encore moins les parents, mais qui propose un fondement scientifique à une évidence.

En effet, selon une nouvelle recherche de l’Université de Chicago, il appert que les enfants seraient moins enclins à manger ce qui est présenté comme « bon pour la santé ». Surpris?

L’étude démontre que les enfants présentent une tendance évidente à rejeter toute nourriture qui présente des bienfaits pour la santé, rapporte MedicalNewsToday, notamment parce qu’ils appréhendent un goût moins intéressant que celui des produits qui leur sont interdits ou moins recommandés.

« Les enfants d’âge préscolaires semblent croire que la nourriture ne sert qu’à deux choses, et qu’il est impossible que quelque chose les rende plus en santé tout en étant délicieux à manger », lance le professeur Ayelet Fishbach, qui dirige la recherche.

Mieux vaut donc rester discret sur les propriétés alimentaires des aliments sains, et utiliser la psychologie inversée dans bien des cas, si l’on se fie aux résultats de l’étude.

Ces derniers seront publiés dans une prochaine édition du Journal of Consumer Research.

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Des ITS pourraient causer le cancer de la prostate

Le développement du cancer de la prostate pourrait être encouragé dans certains cas par une ITS, une infection transmissible sexuellement, selon ce que rapporte Top Santé.

La nouvelle découle d’une découverte effectuée par des chercheurs californiens, qui auraient trouvé un lien entre le développement du cancer de la prostate et la présence dans l’organisme d’un parasite appelé trichomonas.

Comme la présence de ce dernier n’est souvent assortie d’aucun symptôme, il est facile pour les hommes de ne pas s’en soucier, et ainsi laisser la porte grande ouverte aux risques de développer un cancer de la prostate.

Les conclusions de la recherche en provenance de l’Université de Californie rappellent un peu celles observées en ce qui concerne le VPH chez la femme, qui peut mener au cancer du col de l’utérus.

Les chercheurs américains estiment donc que les hommes devraient se faire dépister même sans symptômes apparents, afin d’avoir le cœur net quant à leur état de santé et ainsi prévenir toute détérioration de leur état.

Un homme sur dix développerait un cancer de la prostate d’ici l’âge de 80 ans, selon plusieurs spécialistes.

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Les cellules souches au secours de la viande?

MedicalNewsToday rapporte une nouvelle en matière de science et d’alimentation qui risque de choquer les puristes et d’en rendre plusieurs stupéfaits.

On rapporte en effet que des scientifiques des Pays-Bas suggèrent un avenir des plus prometteurs aux cellules souches en matière de culture de la viande, ce qui permettrait d’assurer une qualité et une irréprochabilité de la viande, chose que l’on ne peut véritablement assurer de nos jours, semble-t-il.

« Nous croyons que la culture de viande fait partie de l’avenir. D’autres avenues du futur permettent de remplacer partiellement la viande par des produits végétariens, permettant de garder moins d’animaux dans de meilleures circonstances », lance sans broncher et non sans raison Cor van der Weele, de l’Université des Pays-Bas.

Le chercheur souligne également une demande grandissante de viande par les populations dans le monde, une demande impossible à remplir au cours des prochaines décennies, à tout le moins sans perdre grandement de la qualité.

Tout de même ironique que de penser que les cellules souches, si décriées par les environnementalistes, pourraient en fin de compte venir régler un autre problème décrié par ces derniers, soit la production massive de viande.

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Des chiens capables de détecter un cancer de la prostate

Alors que la quête des meilleurs tests possible de dépistage du cancer se poursuit, une équipe de chercheurs italiens annonce qu’elle est parvenue à entraîner deux chiens dépisteurs capables de détecter la maladie.

Il s’agit de deux femelles nommées Zoé et Liu, rapporte Top Santé, qui seraient maintenant capables de détecter la présence du cancer de la prostate en reniflant simplement des échantillons d’urine prélevés des patients.

Il s’agit d’une toute nouvelle utilisation, aussi brillante qu’intrigante, de l’odorat développé des canidés, qui a déjà fait ses preuves dans un grand nombre d’autres situations.

C’est l’équipe du Dr Luigi Taverna, de l’hôpital Humanitas Research de Milan, qui a annoncé cette découverte pour le moins étonnante.

Plus étonnant encore, les résultats de ces deux chiens pisteurs frôlent la perfection. Sur une base de 902 échantillons, dont 362 étaient positifs, les chiens Zoé et Liu auraient reniflé la présence de la maladie avec une précision de 100 % et 99 %, respectivement.

« Ce type de diagnostic est reproductible, peu coûteux et non invasif », se réjouit le Dr Taverna, qui devra maintenant convaincre le reste du monde de la pertinence et de l’efficacité de son idée.

Cette recherche, par ailleurs présentée au Congrès annuel de l’Association américaine d’urologie d’Orlando, abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui indiquaient de telles possibilités pour les canidés, notamment en matière de dépistage du cancer du poumon.

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Des doubles mastectomies souvent inutiles

Il y a déjà un an, l’actrice Angelina Jolie annonçait sa décision de subir une double mastectomie pour contrer de sombres statistiques en matière de cancer du sein. Voilà qu’une nouvelle étude vient jeter une douche froide aux partisans de la manœuvre.

Angelina Jolie avait non seulement stupéfait l’industrie et ses fans avec une telle annonce (ses médecins estimaient ses chances de développer un cancer du sein à près de 90 %), mais avait aussi par le fait même lancé un profond débat sur le sujet.

Beaucoup de femmes ont suivi son exemple, et l’opération a gagné en visibilité.

Or, selon une étude de l’Université du Michigan, plusieurs doubles mastectomies seraient pratiquées inutilement. Le problème, c’est que 70 % des femmes qui prennent cette décision n’auraient pas besoin de le faire, même après un diagnostic de cancer du sein qui n’en touche qu’un seul, rapporte Radio-Canada.

« Chez les femmes, c’est apparemment la crainte d’une résurgence de leur cancer qui les conduites à décider d’une mastectomie prophylactique, ce qui est absurde, car le fait d’enlever le sein non malade ne réduit en rien le risque de réapparition de la tumeur dans le sein touché », explique la Dre Sarah Hawley, qui dirige l’étude.

Cette dernière a analysé les dossiers de près de 1500 femmes.

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Encore une victoire pour la cigarette électronique

Le dossier des cigarettes électronique prend de plus en plus des allures de guerre théorique sans pitié, alors que les études contradictoires sur le sujet se multiplient au fil des semaines, depuis l’arrivée de ces produits sur le marché.

Il semble que la cigarette remporte une autre bataille cependant, alors qu’une nouvelle étude vantant ses mérites en ce qui concerne l’arrêt du tabagisme vient d’être publiée et rapportée par le New York Times.

L’étude britannique en question s’est intéressée aux méthodes utilisées par les fumeurs pour cesser de fumer, et aux taux de réussite de celles-ci.

Après avoir sondé près de 6000 répondants, qui ont tous tenté de cesser de fumer sans aide professionnelle, il appert que la cigarette électronique se classe dans une position avantageuse dans certaines catégories.

Un fumeur sur cinq avait cessé de fumer grâce à la cigarette électronique lors du sondage, alors que seulement un sur dix y était parvenu en utilisant les timbres et les gommes de nicotine.

« Ceci ne va pas régler le problème de la cigarette électronique d’aucune façon, mais c’est une nouvelle preuve de son efficacité dans le contexte du monde réel », déclare notamment le chercheur Thomas J. Glynn, de l’American Cancer Society.

Les résultats de cette étude-sondage effectuée par l’University College London seront publiés cette semaine dans le journal Addiction.