Une nouvelle étude américaine vient ajouter de l’information concernant les protéines et leurs bienfaits sur la santé, mais vient surtout proposer une posologie à respecter pour des effets bienfaiteurs maximisés.
Ainsi, selon les chercheurs de l’aile médicale de l’Université du Texas à Galveston, les habitudes des Nord-Américains en matière de repas ne permettraient pas d’optimiser le vieillissement en bonne santé.
Trop de protéines au souper, croient les chercheurs, qui estiment à 30 grammes la portion nécessaire (et maximale) par repas, au lieu d’une surabondance de protéines dans un seul repas au cours de la journée. On donne en exemple le déjeuner, qui bénéficierait davantage de la présence d’un œuf ou d’un verre de lait que de celle d’un bol de céréales très sucrées ou d’une pâtisserie.
Le fait d’étirer ses portions de protéines tout au long de la journée favoriserait la santé des muscles et permettrait de vieillir en meilleure santé, explique également Leslie Beck, une spécialiste américaine qui rapporte les conclusions de l’étude.
L’étude texane a été publiée dans le Journal of Nutrition.