Catégories
Uncategorized

150 minutes d’activité physique par semaine : comment les diviser?

La plupart des organisations de la santé et des spécialistes vous confirmeront que le temps idéal qui devrait être accordé à l’exercice physique de façon hebdomadaire oscille autour de 150 minutes.

Malgré la bonne volonté et la conscientisation, le temps peut se faire rare pour plusieurs personnes en cette ère moderne et il peut devenir extrêmement difficile, voire impossible pour certains, de trouver une plage de temps de façon quotidienne.

Alors, peut-on transposer, par exemple, cinq séances quotidiennes de trente minutes par une seule longue séance de 150 minutes durant le week-end?

C’est la question qu’ont abordée des chercheurs canadiens, qui reprennent les conclusions publiées initialement dans le magazine Applied Physiology, Nutrition and Metabolism, ensuite rapportées par Santé Log.

Après moult analyses et études de dossiers précédents, les chercheurs basés à Kingston (Ontario) concluent que bien qu’il soit bénéfique de bouger tous les jours, il est bel et bien possible de retirer tout autant de bénéfices en effectuant ce fameux 150 minutes d’activité physique d’un seul coup!

Une excellente nouvelle, qui permettrait donc à chacun de choisir le moment qui lui convient le mieux dans la semaine pour une séance d’activité physique.

Catégories
Uncategorized

Petit ou moyen contenant? Ces étiquettes qui nous influencent

Le fait de prendre un petit, un moyen ou encore un grand format de votre repas favori influence-t-il votre façon de le manger? Serez-vous plus tenté de laisser quelques bouchées dans l’assiette en commandant le grand format?

C’est en tout cas la réaction humaine moyenne que rapportent des chercheurs de l’Université Cornell, après avoir effectué une étude révélatrice sur le sujet, explique le Daily Mail (UK).

Menée par les Drs Wansink et Just, la recherche avait pour but d’évaluer les habitudes et réflexes alimentaires des sujets, selon le type de format qui leur était présenté. Les conclusions de ce test ne semblent pas avoir été bien difficiles à définir…

Les sujets ont, en moyenne, mangé le double de la portion si celle-ci était qualifiée de « petite », et ce, même si elle semblait franchement démesurée à l’œil nu.

Par contre, ceux qui ont reçu l’exacte même quantité de nourriture dans un format qualifié de « large » ont laissé quelques bouchées.

L’étude, quoique légère et sympathique, en dit long sur notre façon de réagir aux étiquettes et aux informations qu’on nous donne, ce qui n’est guère une bonne chose dans la chasse aux kilos.

Les chercheurs croient qu’il serait préférable de songer à un système de quantification qui laisse moins place à l’interprétation du consommateur et à moins de confusion de la part du commerçant.

Catégories
Uncategorized

La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle façon de faire dans le traitement de l’AVC

Il serait possible de voir apparaître une nouvelle façon de faire en matière de traitement d’AVC (accident vasculaire cérébral), selon Santé Magazine.

Cette dernière source rapporte en effet que plusieurs études, dont une récente effectuée en Chine, concluent qu’un nouveau type de traitement pourrait s’avérer plus efficace que les méthodes utilisées en ce moment.

Pourtant, ce « nouveau » traitement utilise des éléments déjà bien connus par les patients et les professionnels de la santé. Il s’agit d’un mélange entre la bonne vieille aspirine et un anticoagulant.

Les chiffres avancés font état d’une baisse des risques de rechute après un accident vasculaire cérébral d’environ 30 %, un chiffre considérable.

Aujourd’hui, la plupart des prescriptions post-AVC se contentent d’aspirine et de suggestions alimentaires, mais la combinaison proposée ici permettrait de meilleurs résultats.

D’autres études du même genre sont en cours, notamment une aux États-Unis, dans le but de confirmer la théorie.

Catégories
Uncategorized

De l’ocytocine pour aider à l’intégration sociale et la confiance personnelle

Voici une nouvelle qui risque d’en faire bondir plus d’un, à tout le moins ceux qui considèrent que la médication est une réponse un peu trop commune et facile aux maux de la planète.

C’est Santé Log qui rapporte une étude de chercheurs canadiens basés à l’Université Concordia, faisant état de la possibilité d’utiliser de l’ocytocine pour soigner les gens aux prises avec des problèmes d’intégration sociale.

La molécule permettrait d’augmenter la confiance d’un individu, de mieux contrôler et réguler ses émotions, tout en minimisant le stress. Tous ces facteurs permettent bien entendu une intégration sociale plus facile, et peut-être même une réduction des risques et des effets de la dépression.

L’étude fait état de 100 jeunes sujets testés à l’ocytocine, administrée à l’aide d’un simple vaporisateur nasal. Placés ensuite en situation de conflit ou de rejet social, ces mêmes sujets auraient mieux réagi grâce à l’ocytocine, ce qui laisse présager des traitements possibles pour les personnes aux prises avec des problèmes d’anxiété, de détresse ou psychosociaux graves.

Catégories
Uncategorized

Obsession de la minceur : de précieuses minutes gaspillées chez les deux sexes

À moins que vous n’appréciiez vraiment vous en faire pour votre poids et culpabiliser dès que vous envoyez un aliment dans votre estomac, vous conviendrez que l’obsession de la minceur n’est pas le meilleur des passe-temps.

Pourtant, selon le Daily Mail (UK), cette obsession pour notre poids prendrait de plus en plus de temps dans une journée. Chez la femme, bien entendu, mais également chez l’homme, le phénomène n’étant plus du tout exclusif ou réservé à un genre.

Selon les statistiques rapportées par une équipe de chercheurs britanniques, une femme passerait jusqu’à 21 minutes par jour à penser à son poids, ce qui représente un nombre considérable. En fait, sur toute une vie d’une durée, disons, de 67 ans, cela signifie qu’une année entière aura été consacrée à l’obsession de la minceur.

Mais attention, les hommes ne sont pas loin derrière, avec une moyenne de 18 minutes par jour!

La pression devient de plus en plus forte, et même s’il s’agit d’une bonne chose de surveiller ce qu’on ingère, il faut aussi profiter de la vie et éviter de sombrer dans les troubles obsessifs. 

Catégories
Uncategorized

Le stress et le pouvoir de la pensée pourraient nuire à votre santé

Le cercle vicieux du stress peut s’avérer dommageable pour votre santé, c’est bien connu, mais la force de votre pensée peut aussi boucler la boucle de ce cycle fatal.

En effet, selon des statistiques démontrées par la NHS en Angleterre, ici rapportées par le Daily Mail (UK), la perception du stress et de ses impacts sur notre santé pourrait être suffisante pour nous causer du tort.

Donc, une personne qui se dit stressée, tendue, et qui croit fermement que cet état d’esprit va lui causer des problèmes de santé fait bondir ses chances de crise cardiaque, par exemple, de 50 %…

Un autre bel exemple du pouvoir de la pensée, donc, énoncé dans cette recherche britannique qui fait état, pour l’une des premières fois, d’un véritable lien entre la pensée humaine et un effet réel sur l’organisme.

Cette cause à effet a été avancée à la suite de recherches effectuées sur 7000 patients, et ce, sur une période de 18 ans.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

L’huile d’ail pourrait contribuer à réduire les effets des traitements contre le cancer

MedicalXpress rapporte une étude publiée dans le Journal of Food Science qui fait état de possibles effets bénéfiques de l’huile d’ail sur des patients qui reçoivent des traitements contre le cancer.

On le sait, plusieurs effets secondaires peuvent découler des traitements de chimiothérapie et de radiothérapie. L’un de ceux-là est la réduction du nombre de globules blancs dans le sang

C’est précisément cette réaction qui pourrait être inversée, contrée ou à tout le moins réduite par une consommation d’huile d’ail, toujours selon l’étude effectuée par l’Institute of Food Technologists.

Les amateurs de nutrition et de traitements alternatifs savent que l’ail et ses dérivés ont été utilisés depuis longtemps en santé dans de nombreuses situations, et cette étude viendrait valider la théorie concernant les bienfaits de l’huile d’ail sur les patients atteints de cancer.

Il pourrait s’agir d’un traitement complémentaire très utile et abordable, alors que d’autres études sur le sujet sont attendues pour tenter de voir toute l’étendue du potentiel de cet élément.

Catégories
Uncategorized

Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.