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Perte de poids : Deux repas ou six, telle est la question

Plusieurs spécialistes avancent depuis un bon moment qu’il serait plus favorable de manger six petits repas au lieu de trois gros au cours d’une journée.

C’est même devenu une « norme » en termes de conseils nutritionnels, en grande majorité, mais voilà que le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle recherche qui ose défier le concept.

Cette dernière provient de l’Institute for Clinical and Experimental Medicine de Prague et est menée par Hana Kahleova.

La chercheuse a demandé à 54 sujets de suivre deux types de régime à tour de rôle, et ce, sur une période d’étude de 12 semaines (par type de régime).

Les deux diètes comprenaient bien sûr le même nombre de calories et d’éléments nutritionnels, et celle qui ne comprenait que deux repas par jour aurait mené à une perte de poids plus importante, par quelques points.

Cependant, tous ne sont pas convaincus, à commencer par Toby Smithson, porte-parole de l’U.S. Academy of Nutrition and Dietetics. Ce dernier croit qu’il s’agit d’une mesure irréaliste, parfois même impossible selon les individus.

Madelyn Fernstrom, spécialiste en nutrition chez NBC, croit que l’étude démontre qu’il est favorable de manger le moins souvent possible au cours d’une journée, tout en conservant les repas et calories nécessaires, car cela permet de manger moins.

Qui a raison?
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Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

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La « démence numérique » : un nouveau phénomène à prévoir?

Des spécialistes sud-coréens avancent une nouvelle théorie, rapporte le Daily Mail (UK), qui fait état d’un mal contemporain qui serait appelé à prendre de l’ampleur.

Il s’agit d’un phénomène baptisé « démence numérique » par les chercheurs, qui se définit par une perte des performances cognitives due à la surutilisation des technologies modernes.

C’est après avoir conduit des recherches préliminaires sur des groupes d’adolescents que les spécialistes sud-coréens ont constaté que la démence numérique n’était probablement pas qu’une théorie.

Ils ont en effet constaté que les sujets de l’étude les plus dépendants des technologies actuelles (les téléphones intelligents, les ordinateurs, les jeux vidéo et les médias sociaux, par exemple) souffrent d’une détérioration de leurs capacités cognitives.

En clair, plus on compte sur des objets et des technologies pour penser et se souvenir, moins on est capable de le faire par nous-mêmes.

Plusieurs sujets se sont révélés incapables de se souvenir de détails simples sans avoir recours à leur téléphone ou à un autre appareil.

Les chercheurs s’inquiètent particulièrement de la surutilisation de ces appareils par les enfants de 10 à 19 ans, dont le cerveau est en pleine formation et progression.

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Les habitudes alimentaires seraient influencées par les opinions sur l’obésité

Une nouvelle étude vient tracer un lien pour la toute première fois entre ce que les gens pensent de l’obésité et des raisons qui provoquent un gain de poids, et leur poids actuel.

En clair, selon The National Library of Medicine, les opinions et les idées préconçues sur l’obésité et le surpoids influenceraient les habitudes alimentaires de la plupart des consommateurs.

Des chercheurs ont mis sur pied un vaste sondage impliquant des répondants de partout dans le monde. Ils ont rapidement découvert qu’un fort pourcentage de ceux-ci associaient la prise de poids à une mauvaise alimentation ou à l’absence d’activité physique, mais rarement aux deux en même temps.

L’ADN et le bagage génétique semblent aussi des raisons complètement oubliées.

Ainsi, les répondants qui croient que le manque d’exercice physique est uniquement à blâmer pour le surpoids auraient tendance à manger plus, notamment de chocolat!

Par contre, ceux qui accusent la mauvaise alimentation afficheraient, quant à eux, une masse corporelle moins importante que les autres.

Ces derniers n’ont cependant pas plus raison que les autres répondants, le gain de poids s’expliquant très souvent par les deux facteurs combinés, et non pas un seul.

Les auteurs de l’étude croient qu’il s’agit de la preuve qu’une meilleure sensibilisation et information de la population est possible dans le dossier. 

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Les raisons qui poussent les fumeurs à arrêter ne sont pas celles que l’on croit

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions et des statistiques surprenantes et fort intéressantes en ce qui concerne l’arrêt du tabagisme, particulièrement en ce qui a trait aux véritables raisons qui poussent les fumeurs à arrêter.

Selon l’étude publiée dans le Health Education Journal, la santé et les risques de cancer ou de maladies cardiovasculaires ne sont étrangement pas en tête de liste des raisons qui poussent les gens à cesser de fumer.

Ce serait davantage la peur reliée à tout ce qui touche à l’apparence et aux performances sexuelles, selon l’étude britannique, qui frappe l’imaginaire des fumeurs.

Les femmes, par exemple, réagiraient plus fortement aux données qui font état de vieillissement prématuré, de problèmes cutanés, de rides et d’autres problèmes physiques et apparents. Même son de cloche du côté des hommes, mais avec en prime la peur de perdre de la puissance sexuelle ou de devenir carrément impuissant.

Voilà qui peut surprendre, compte tenu de la gravité des maladies connexes au tabagisme comme le cancer, mais en cette ère de superficialité, on comprend rapidement le phénomène.

Par ailleurs, les femmes de plus de 50 ans réagissent davantage à la peur du cancer et des maladies cardiovasculaires que leurs homologues plus jeunes.

Les chercheurs croient que l’étude permettra de mieux diriger les campagnes et les outils de prévention en fonction du public cible.

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Des objectifs moins précis pour une perte de poids plus efficace

Il est plus facile de gagner du poids que d’en perdre, une autre ironie de la vie, c’est bien connu.

Cependant, perdre quelques kilos pourrait s’avérer moins ardu ou en tout cas moins stressant, en se fixant des objectifs plus larges. C’est ce que croient plusieurs chercheurs américains, notamment un groupe formé de spécialistes de la Floride et de Saint-Louis.

Mené par Maura L. Scott et Stephen M. Nowlis, le conseil de chercheurs propose des conclusions en matière d’alimentation et de perte de poids dans une étude rapportée ici par Top Santé.

Pour une fois, les spécialistes ne font pas la morale et n’y vont pas de grands sermons, mais prônent plutôt une approche calme et réaliste de la perte de poids. Ils avancent qu’il serait plus facile de maigrir lorsqu’on se fixe des objectifs variables, en plus de permettre une plus grande satisfaction et une meilleure estime de soi.

Ainsi, au lieu de se dire « Je dois perdre 10 livres », il faudrait plutôt se dire « Je vais essayer de perdre de 5 à 15 livres ».

En coupant quelques sucreries et en améliorant nos habitudes d’exercice physique progressivement, sans se stresser davantage, il est fort probable qu’un palier sera atteint.

Par contre, avec un objectif trop rigide, il est plus difficile d’y parvenir et plus facile de se décourager, puis d’abandonner!

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Découverte sur l’anticipation des nourrissons

Un article paru sur le site de MedicalXpress parle de cette habileté des bébés à reconnaître quand ils seront soulevés par leurs parents.

Il s’agit d’une surprise pour les chercheurs, alors que l’on ne croyait pas que le développement nécessaire se produisait en si bas âge.

Les recherches du professeur Vasu Reddy de l’Université de Portsmouth ont révélé que les bébés aussi jeunes que 2 mois savent déterminer quand ils seront pris. Ils s’ajustent donc en raidissant leur corps et en cessant de bouger afin de faciliter la tâche.

Le professeur Reddy explique : « Nous ne nous attendions pas à obtenir des résultats aussi clairs. À la suite de ceux-ci, nous nous permettons de croire que cette aptitude pourrait même être observée encore plus tôt, possiblement peu après la naissance ».

« Les nouvelles données suggèrent qu’il faudrait revoir notre façon d’évaluer le développement des jeunes enfants, car ils démontrent une capacité de compréhension des actions des autres envers eux bien avant ce que l’on croyait jusqu’à maintenant. »

Autre bonne nouvelle, il est suggéré que ces révélations pourraient aussi être utilisées à type d’indicateur hâtif pour déterminer des troubles du développement chez les nourrissons, incluant l’autisme.

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

Bonne nouvelle dans le dossier du VPH (virus du papillome humain), qui prend de plus en plus de place dans l’actualité depuis l’an dernier.

Surtout après que des spécialistes aient établi que le virus transmissible sexuellement pouvait aussi contribuer fortement au développement du cancer, un fait propulsé aux quatre coins du monde par l’histoire contradictoire de l’acteur Michael Douglas, récemment.

Les nouvelles sombres concernant le VPH font maintenant place à de l’optimisme, alors que Santé Log rapporte une étude publiée dans le Journal of Infectious Diseases qui confirme l’efficacité du vaccin.

Ce dernier avait passé les phases d’essais cliniques traditionnels il y a quelques années, mais encore faillait-il que la population adopte le vaccin, ce qui semble chose faite.

En effet, on rapporte une réduction du VPH chez les jeunes Américaines, après des hausses constantes enregistrées année après année.

On constate que les campagnes de sensibilisation et le bouche-à-oreille pourraient finalement avoir porté des fruits, et ainsi permettre de sauver des milliers de vies à moyen et long terme.

Même s’il reste encore beaucoup de travail à faire, les spécialistes des Centers for Disease Control and Prevention se réjouissent de ce pas dans la bonne direction. 

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Un nouveau test pourrait mieux définir le traitement de la dépression

Les antidépresseurs demeurent une bonne avenue pour soigner certains cas de dépression, mais on constate de plus en plus que certains abus pourraient être évités.

De plus, beaucoup d’études commencent à démontrer, voire prouver, que la solution la plus efficace à long terme pour permettre une véritable rémission s’avère la bonne vieille psychothérapie.

Bien entendu, chaque situation commande une action différente, et c’est justement ce principe qui a mené des chercheurs d’Atlanta, en Géorgie, à mettre au point un test qui permet de mieux comprendre chaque situation et d’offrir le bon traitement qui s’y rattache, explique le Daily Mail (UK)

Le test, sous forme de numérisation, analyse différents taux et différentes fonctions du cerveau qui, sans entrer dans les détails complexes, permettent de poser un bien meilleur diagnostic que celui d’une simple dépression.

Un diagnostic plus précis signifie inéluctablement un traitement plus efficace.

« Ces nouvelles données suggèrent que si vous traitez un patient selon le type de cerveau (et de ces résultats d’analyse), vous augmentez les chances de rémission de celui-ci », confirme la Dre Helen Mayberg, professeure de psychiatrie et auteure principale de cette étude fort intéressante.

De plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que la hausse des prescriptions d’antidépresseurs représente un problème de société relativement inquiétant.  

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La vitamine D en contre-interrogatoire

La vitamine D passe sous la loupe des sceptiques, rapporte Santé Log, alors que plusieurs observateurs commencent à s’interroger sur la véracité de certains bienfaits constamment proposés par divers spécialistes et certaines sources.

Ces sceptiques ne sont pas les moindres, puisqu’il s’agit d’un groupe de spécialistes du National Health Service (UK)!

Le groupe propose maintenant un bilan qui comprend ses observations et conclusions. On constate d’abord que la vitamine D possède un tantinet trop de « superpouvoirs » dans plusieurs études, notamment ceux d’améliorer la santé pulmonaire, de réduire les risques de dégénérescence maculaire et d’Alzheimer, de solidifier des muscles et même d’offrir de meilleures chances de procréation.  

Or, outre une détérioration des os lorsque le corps présente une carence importante en vitamine D, très peu de problèmes liés à celle-ci sont confirmés et prouvés, tout comme les avantages énoncés demeurent également à être prouvés hors de doute, selon les membres du NHS.

Même chose concernant le fameux lien entre le manque de vitamine D et l’obésité, qui ne serait pas si évident à tracer.

On suggère donc de penser fortement à simplement profiter de quelques sources de lumière et de manger de façon équilibrée, ce qui serait amplement suffisant pour éviter toute notion de carence.

Par ailleurs, les spécialistes du NHS en tête de cette étude affirment qu’une prise de suppléments de vitamine D inutile peut s’avérer très dangereuse…