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Une super-étude vilipende les oeufs

Il y a de ces aliments qui semblent ne jamais cesser d’attiser la polémique. Les œufs font manifestement partie de cette catégorie, les spécialistes et nutritionnistes de ce monde y allant constamment d’opinions divergentes sur le sujet.

Cette fois, c’est une super-étude publiée dans le magazine Atherosclerosis, et rapportée par Nutrition News, qui risque de faire jaser. La recherche étoffée, qui compilait les données de plusieurs autres études précédentes sur le sujet, accuse les œufs de faire grimper les risques de diabète et de maladies cardiovasculaires.

Ceux qui mangent le plus d’œufs hebdomadairement verraient leurs risques de développer ce genre de problème de santé bondir de plus de 60 %!

Pire encore, les gens déjà aux prises avec des problèmes liés au diabète auraient, quant à eux, 83 % plus de chances de développer un problème cardiaque dans l’avenir.

D’autres études ont cependant vanté plusieurs propriétés des œufs dans le passé, ce qui témoigne de l’absence de consensus en la matière.

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Quand le stress ramène aux bonnes habitudes

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le stress qui dévoile des informations pertinentes concernant la gestion du stress et des habitudes qui en découlent.

On apprend que le fait d’être stressé ne mène pas toujours à de vilaines habitudes, mais parfois aussi à de bonnes. Encore faut-il en avoir déjà eu, explique notamment Wendy Bois, qui dirige l’étude en compagnie de David Neal.

Selon ces chercheurs, qui ont analysé les cas de plusieurs sujets au cours de cette étude, l’humain aurait tendance à se cacher derrière les habitudes du passé en situation accrue de stress.

Ainsi, quelqu’un qui a un passé de mauvaise alimentation pourrait se remettre à manger de façon malsaine, mais un ancien sportif pourrait tout aussi bien se remettre à la course…

Les chercheurs croient donc, en conclusion, que la meilleure arme en gestion de stress ne serait pas tant de tenter de contrôler cette émotion, mais plutôt de voir à ce que les habitudes adoptées soient bonnes pour la santé.

Lorsque vous êtes trop fatigué pour expérimenter de nouvelles méthodes, la prochaine situation stressante vous donnerait donc l’envie de reprendre d’anciennes habitudes. D’en adopter de nouvelles pourrait donc être bénéfique pour l’avenir!

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Les bruits de fond nuisibles

La télévision serait la plus grande coupable. Une étude publiée dans le journal Pediatrics démontre que les jeunes Américains de 8 mois à 8 ans sont exposés à plus de 4 heures de bruit de fond de télévision chaque jour, sans compter les heures passées à vraiment regarder la télé.

Le résultat : plusieurs enfants risquent un développement cognitif et social défaillant. Les enfants d’âge préscolaire avaient de moins bons liens avec leurs parents et étaient moins concentrés lors des activités. Pour les jeunes étudiants, c’est plutôt leurs devoirs et leur mémoire qui en ont souffert.

Bien que peu de recherches aient été effectuées auprès des adultes, ils n’en seraient pas moins affectés. En fait, un test en particulier a été conduit auprès de cégépiens. Le bruit de fond d’un téléviseur était perceptible pour un groupe, alors qu’il leur était demandé de lire un journal scientifique. L’autre groupe avait la même tâche, mais dans le silence.

La conclusion a clairement démontré une plus grande capacité de mémorisation lors d’une lecture dans le silence qu’avec le son d’une télé.

Heureusement, le problème est facilement évitable en éteignant simplement les sources de distraction lorsque personne ne s’en sert.

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L’apport calorique du fast-food encore sous-estimé par la population

« Manger du fast-food, ce n’est pas pire que ça. » Voilà ce que pense fondamentalement une majorité de citoyens des pays largement industrialisés, où pullulent les chaînes de restauration rapide.

Selon une étude rapportée par The National Library of Medicine, une grande partie de la population en général sous-estime encore grandement les apports caloriques des repas-minute, banalisant ainsi le phénomène.

D’abord les adolescents, qui sous-estiment le nombre de calories ingérées dans leur repas minute préféré dans une proportion de 34 %. Les adultes ne font pas beaucoup mieux, la proportion d’ignorance s’établissant à 20 %, et 24 % chez les parents de jeunes enfants.

Les gens se trompent donc souvent, les chercheurs en tête de l’étude estimant que la différence entre le nombre de calories réelles ingérées et celui présumé par les amateurs de fast-food peut parfois dépasser les 300 calories.

« Plusieurs personnes qui mangent du fast-food ne sont pas bien informées… Obtenir les bonnes informations est une étape importante pour quiconque veut effectuer des changements », s’indigne le Dr Jason Block, qui dirige l’étude.

Il rappelle également que les apports caloriques varient en fonction des chaînes de restaurant, et que toutes les informations concernant ces repas sont disponibles sur demande du consommateur.

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La régénération des membres chez l’humain : science ou science-fiction?

C’est une nouvelle stupéfiante que nous rapporte le Daily Mail (UK), alors que des scientifiques croient avoir identifié les cellules vitales à la régénération des membres!

Les recherches, basées sur le comportement des salamandres et le phénomène de régénération qui les caractérise, concluent que la clé du mystère réside dans le système immunitaire de l’animal. Ce dernier permet non seulement à la bête de retrouver des membres externes, mais aussi de « réparer » sa colonne vertébrale, son tissu cérébral et même certaines parties du cœur.

Les cellules immunitaires capables d’offrir une telle protection seraient les macrophages, et les chercheurs australiens qui dirigent cette recherche fondent beaucoup d’espoir d’être un jour capable de reproduire le processus chez l’humain.

Les propriétés d’une telle avancée sont facilement imaginables, et même si on ne parvient pas à créer l’homme-salamandre, une simple percée dans le domaine permettrait probablement de soigner et traiter plusieurs patients.

Publiée dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, la recherche n’a rien d’un film de science-fiction, à la surprise générale.

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Une longévité accrue grâce au calcium est observée chez la femme

Les femmes peuvent-elles vivre plus longtemps en consommant quotidiennement du calcium? C’est la question posée dans une nouvelle étude québécoise, réalisée à l’Université McGill auprès de près de 10 000 participants.

Après avoir suivi pendant 12 ans 9033 sujets canadiens, tous issus de villes différentes, les chercheurs concluent que la prise de suppléments de calcium peut avoir un réel impact sur la longévité, mais seulement chez la femme.

Les suppléments alimentaires sont très controversés depuis quelque temps, alors qu’on se rend compte qu’ils profitent souvent plus aux comptes de banque des compagnies pharmaceutiques qu’aux consommateurs en général.

Cependant, l’étude proposée ici, et rapportée par Radio-Canada, semble exhaustive et indépendante.

« Nous avons découvert que la prise quotidienne de suppléments de calcium est associée à un risque moins élevé de décès chez la femme, et ce, indépendamment de la cause », déclare le professeur David Goltzman, chercheur et coauteur de l’étude.

Goltzman et son équipe publient maintenant les résultats de leur étude dans le Journal of Clinical Endocrinology & Metabolism, qui s’ajoutera aux précédentes sur le sujet. Plusieurs autres études ont déjà avancé certains dangers liés à une prise supplémentaire de calcium. Le débat demeure donc bien ouvert.

 

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L’apigénine encore vantée par des spécialistes en nutrition

On vous parlait récemment des bienfaits du thé de camomille, explicables par la forte teneur en apigénine qu’il contient.

Voilà que l’ingrédient est de nouveau nommé et vanté par des spécialistes en nutrition qui publient une énième étude sur le régime méditerranéen, rapporte Medical News Today.

Cette fois, les chercheurs américains en tête de cette récente étude croient avoir mis le doigt sur la composante spécifique et commune aux aliments retrouvés dans la diète méditerranéenne, et qui pourrait expliquer pourquoi ce type de régime semble prévenir davantage du cancer et de certaines maladies graves et chroniques.

L’apigénine est donc mentionnée deux fois dans la même semaine par deux études différentes, ce qui semble valider ses bienfaits.

On reconnait à cette composante une propriété capable de rendre les cellules cancéreuses « mortelles », c’est-à-dire moins résistantes et plus faciles à contrer.

Ce genre d’étude est très pertinente dans le contexte actuel, puisque plusieurs aliments et types de régimes sont souvent vantés, mais sans que l’on comprenne véritablement la provenance ou la logique des bienfaits qui s’y rattachent.

L’apigénine semble apporter un début de réponse en ce qui concerne la diète méditerranéenne, notamment.

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Moins de calories en prévention des maladies neuro-dégénératives

Des chercheurs du MIT et de l’Institut Howard Hugues publient une étude sur la restriction calorique et ses impacts sur la préservation des cellules et en prévention des maladies neurodégénératives comme l’Alzheimer, par exemple.

Les conclusions, rapportées par Santé Log et publiées dans l’édition du Journal of Neuroscience du mois de mai, font état de tests concluants effectués sur des animaux, qui confirment qu’un apport calorique moindre peut permettre une meilleure protection contre les changements dus au vieillissement.

On note particulièrement la production d’une enzyme, appelée SIRT1, lorsqu’un animal est placé en situation de restriction calorique. Un phénomène que l’on croit tout aussi vérifiable chez l’être humain.

Mais voilà, la découverte de cette enzyme et de ses effets sur la défense de l’organisme pourrait permettre aux chercheurs de créer un traitement permettant une simulation d’une baisse calorique, sans les effets néfastes liés à une alimentation trop faible.

Il s’agit d’une percée très intéressante, qui ouvre la porte à de nouvelles possibilités dans le domaine neurologique et en recherche de traitement des maladies neurodégénératives.

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Les jolies femmes seraient plus fertiles et moins stressées

Difficile de parler de stéréotype lorsque l’information provient d’une étude scientifique, et pourtant, le sujet de celle-ci a de quoi surprendre.

C’est le Daily Mail (UK) qui rapporte les conclusions issues d’une étude traitant d’un possible lien entre la beauté physique d’une femme et sa fertilité, ainsi que son niveau de stress moyen.

Ainsi, on apprend qu’une femme plus jolie que la moyenne serait moins anxieuse et susceptible d’être stressée, en plus de bénéficier d’une fertilité plus accrue!

Cependant, à l’inverse des hommes, la beauté féminine ne serait pas gage d’un système immunitaire plus fort, toujours selon les chercheurs en tête de l’étude.

On peut également associer les deux faits ensemble, puisque le stress trop important nuirait à la fertilité chez la femme. On peut donc dire que la beauté engendre moins de stress, ce qui favorise conséquemment la procréation.

D’autres recherches sur le sujet sont à prévoir, mais il semble que les liens proposés ici soient bien réels. La beauté ne serait donc pas toujours que superficielle, semble-t-il.

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Manger sainement ne veut pas dire manger plus

The National Library of Medicine rapporte une constatation frappante qui ressort d’une étude en nutrition, effectuée par des chercheurs français du centre de recherches scientifiques.

L’étude fait état d’un phénomène remarqué chez plusieurs personnes qui décident de manger plus sainement, ces dernières croyant à tort que le fait de choisir des aliments santé permet d’en manger plus. Manger mieux, donc, mais manger plus n’est pas une bonne approche en alimentation, selon les spécialistes impliqués dans l’étude.

Car souvent, si les aliments choisis sont effectivement meilleurs pour la santé de l’organisme, ils ne sont que très rarement moins caloriques. La même prise de poids est donc à prévoir si on double les portions, un phénomène que semble ignorer une bonne partie de la population.

« Les gens croient que les aliments santé sont moins caloriques. Ils ont donc tendance à en consommer plus », résume le professeur Pierre Chandon.

La Dre Cliodhna Foley Nolan va plus dans sa réflexion, affirmant : « La nourriture est vendue comme étant plus santé pour une raison, parce que les producteurs croient, avec raison, que ces étiquettes vont nous influencer à acheter le produit et à en manger plus ».

Un mythe qu’il faut absolument renverser, s’accordent pour dire tous les spécialistes impliqués dans cette recherche.