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La dépression frappe chez les personnes âgées

Depuis quelques années, les statistiques de cas de dépression chez les personnes âgées surprennent. Le Devoir rapporte une fois de plus quelques chiffres qui démontrent que le phénomène n’a probablement pas ralenti depuis l’an dernier.

Selon le quotidien, qui prend ses chiffres de l’Enquête québécoise sur les limitations, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV) et des analyses de l’Institut de la statistique du Québec, une personne âgée sur cinq souffrirait de troubles de l’humeur et/ou de dépression. 20 %, en somme, de nos aînés perdent le goût de vivre, alors qu’ils ont traversé tant d’épreuves.

La statistique grimpe à 60 % chez les personnes âgées déclarées invalides ou en incapacité grave. Passé l’âge de 85 ans, une personne âgée sur quatre serait touchée par la dépression.

Les femmes seraient davantage touchées, ainsi que les personnes seules ou sous le seuil de pauvreté.

« En identifiant ces personnes vulnérables, cela permet de faire de la prévention et d’éviter d’éventuels recours aux services de santé. Ces indicateurs peuvent aussi permettre de suivre l’évolution de la clientèle des personnes âgées, de voir comment le système de santé doit s’adapter à cette réalité et appliquer les interventions les plus utiles », explique Maxime Murphy, qui dirige l’étude.

Des conclusions bien tristes, surtout à une époque où le système de santé québécois démontre tant de signes de fatigue qu’il est devenu de plus en plus difficile d’aider les plus démunis et les personnes aux prises avec des troubles mentaux ou dépressifs.

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Blessures sportives : attention aux reins

Les blessures sportives seraient une véritable porte ouverte à des problèmes et dommages aux reins, rapporte The National Library of Medicine, un problème qui n’est par ailleurs pas toujours observé et diagnostiqué par les médecins.

Selon la nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de l’Utah, un seul coup à l’abdomen ou encore sur le côté du corps peut mener à des dommages aux reins, une conséquence qui peut s’avérer désastreuse.

Selon les chercheurs, cette possibilité n’est toutefois pas dans les premières pensées des médecins et répondants.

« Alors qu’il est commun de suspecter une blessure rénale à la suite d’un accident de voiture, ce type de blessure n’est pas toujours évident dans les cas de traumatismes liés au sport. L’étude démontre clairement qu’un traumatisme rénal de haut niveau peut survenir à la suite d’un seul coup reçu à l’abdomen ou sur les côtés », résume le Dr Jack McAninch.

Les sports de contact, mais aussi le ski, la planche et le vélo sont des sports qui peuvent engendrer ce type de blessure rénale, notamment.

Les conclusions de l’étude américaine doivent être présentées au congrès annuel de l’American Urological Association du côté d’Orlando, en Floride.

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La marche bénéfique en traitement de l’hypertension

À défaut de pratiquer un sport intense ou de s’entraîner en salle, les personnes moins motivées ou dans l’incapacité de fournir un tel effort peuvent se tourner vers une solution alternative qui n’est pas à sous-estimer : la marche.

Vantée depuis longtemps par bon nombre de spécialistes, la marche propose plusieurs bienfaits pour la santé lorsque pratiquée au moins 30 minutes, trois fois par semaine.

Le dernier avantage de la marche en date serait ses propriétés bienfaitrices contre les problèmes d’hypertension, rapporte Top Santé.

C’est une nouvelle étude sur le sujet en provenance de l’Université George Washington qui confirme les bienfaits de la marche dans le traitement de l’hypertension, après que les chercheurs en tête de l’étude aient analysé les dossiers de plus de 2000 patients.

2153 hommes de 70 ans et plus, en fait, ont été observés à la suite d’un diagnostic d’hypertension, et après avoir intégré la marche à leur style de vie. Les résultats plus que probants après neuf ans de recherche ont permis aux chercheurs américains d’évaluer la réduction des risques de mort prématurée à environ 40 % chez les plus actifs.

L’arrêt du tabagisme, la consommation de poisson, la relaxation et l’élimination du sel et du sucre sont des actions qui peuvent aussi permettre une plus grande longévité chez les personnes qui font de l’hypertension.

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Diabète : Deux repas pour freiner la maladie

Consommer deux repas bien construits quotidiennement pourrait s’avérer une meilleure stratégie que plusieurs petits repas étalés au cours de la journée pour les personnes souffrant de diabète de type II, selon une nouvelle étude.

C’est un groupe de spécialistes de République tchèque qui proposent cette conclusion, rapporte Top Santé, après avoir effectué des tests alimentaires sur deux groupes de sujets tests.

Le premier groupe consommait six repas divisés en petites portions par jour, alors que le second groupe avalait deux repas soutenus, le matin et le midi.

Après l’essai de trois mois, les sujets du deuxième groupe affichaient des taux de glycémie plus intéressants, en plus d’avoir perdu du poids. Ce groupe rapporte aussi ressentir une plus grande satiété que celui qui avait le « droit » de manger toute la journée.

Ce type de philosophie alimentaire semble par ailleurs s’appliquer à tout le monde, mais avec trois repas, alors que plusieurs études estiment qu’il est préférable de manger de « gros » repas à heure relativement fixe, mais sans collations quotidiennes.

D’autres études seront effectuées pour analyser les impacts de ce style de vie chez les personnes souffrant de diabète de type II.

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Une étude estime que certains antidépresseurs peuvent ralentir l’Alzheimer

La maladie d’Alzheimer pourrait-elle être freinée dans son développement par certains types d’antidépresseurs? Voilà la question qui se pose à la suite du dépôt d’une nouvelle étude sur le sujet.

L’étude en question, par ailleurs rapportée par The National Library of Medicine, constate que certains types de traitements contre la dépression semblent capables de limiter les niveaux de protéines responsables du blocage cérébral observable chez les patients souffrant de la maladie d’Alzheimer.

Le traitement mentionné dans cette étude préliminaire est le Celexa, qui possède plusieurs descendants du genre de la même famille. Quelques options sont possibles, donc, selon les chercheurs de l’Université de la Pennsylvanie à la tête de cette recherche.

« C’est le premier pas dans l’effort de se diriger vers un traitement préventif. Jusqu’à maintenant, les spécialistes ont concentré leurs efforts sur le traitement de l’Alzheimer en soi, mais il semble que ça se produit trop tard », explique la Dre Yvette Sheline, auteure de l’étude.

Des propos rassurants dans le dossier de l’une des maladies les plus terrifiantes, alors que la recherche se poursuit de plus belle.

Les conclusions de la Dre Yvette Sheline et son équipe ont été publiées dans le magazine Science Translational Medicine.

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L’ambition pourrait bien rallonger votre vie

Êtes-vous du type ambitieux? Il serait peut-être temps de s’y mettre, puisqu’une nouvelle étude vante les mérites de l’ambition sur la durée de vie moyenne.

L’étude en question, rapportée par Top Santé, estime que la qualité permettrait d’espérer une plus grande longévité, et que les personnes qui n’ont pas vraiment de but dans la vie sont possiblement désavantagées.

Créée par des chercheurs canadiens et américains, la recherche analysait 7000 adultes âgés de 20 à 75 ans. Ces derniers devaient répondre à des questions de profilage et se soumettre à des tests physiques. Ne restait plus qu’à attendre quatorze ans pour vérifier la théorie…

Près de quinze ans plus tard, donc, les chercheurs ont pu confirmer que les sujets se projetant dans l’avenir et aux buts et rêves bien arrêtés avaient vraisemblablement une durée de vie plus longue, ou pouvait à tout le moins l’espérer.

« C’est vraiment bénéfique de laisser ses objectifs diriger sa vie de tous les jours », tranche le Dr Patrick Hill de l’Université Carleton.

Les observations des chercheurs en tête de l’étude ont été publiées dans le magazine Psychological Science.

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Une nouvelle étude confirme le lien entre le stress et le risque cardiaque

On sait depuis un bon moment que les personnes stressées et anxieuses courent plus de risques cardiovasculaires à long terme, mais ce lien demeure toutefois souvent théorique et sans de réels fondements.

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus ce lien entre le stress et les problèmes cardiaques à long terme, et tente d’en expliquer les causes, rapporte The National Library of Medicine.

La recherche proposée par des chercheurs américains se base sur des analyses physiques de 150 sujets adultes, à qui l’on soumettait des images ou circonstances stressantes afin d’observer les réactions physiologiques inhérentes à cette émotion.

Les participants à l’étude ont démontré une série de réactions et de symptômes liés au développement et au risque de problème cardiovasculaire.

« Ces découvertes abondent dans le même sens que la croyance populaire qui veut que les émotions soient connectées au cœur humain », lance l’auteur de l’étude, Peter Gianaros.

D’autres études ont confirmé que le stress, la colère, l’anxiété et la dépression étaient des émotions capables d’augmenter le risque de maladie cardiaque.

Les résultats de cette plus récente recherche ont été publiés dans le journal Biological Psychiatry.

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Nouvelle recherche sur l’hypocondrie en Nouvelle-Écosse

L’hypocondrie est un mal bien connu de façon théorique, faisant même les frais de quelques blagues, mais la réalité peut s’avérer beaucoup plus sombre qu’on pourrait le croire pour ceux qui en souffrent.

Des spécialistes de la Nouvelle-Écosse se sont penchés sur le phénomène et proposent une nouvelle recherche sur l’hypocondrie, rapporte Radio-Canada.

Selon la chercheuse Chantal Gautreau, qui mène la recherche, l’hypocondrie mène rapidement à un sentiment de panique face à des problèmes pourtant bénins, et aurait même un impact sur les coûts de santé.

L’équipe de Mme Gautreau, basée à l’Université Dalhousie, estime que les deux problèmes précédemment proposés peuvent être réglés avec l’aide de psychologues et de spécialistes en santé mentale, plutôt que par des médecins praticiens.

Simon Sherry, justement psychologue, croit en effet que sa profession détient plusieurs clés, et rappelle qu’il est important de ne pas s’en faire pour de petites douleurs ou pour certains problèmes communs observables chez des pairs.

Plus facile à dire qu’à faire, sans doute, pour les personnes hypocondriaques.

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L’odorat et la santé

Le sens olfactif peut-il jouer un rôle ou être lié au développement de problèmes de santé? C’est l‘énigme que tente de résoudre un groupe de chercheurs qui publie une nouvelle étude sur le sujet, rapporte Top Santé.

Les chercheurs de l’INSERM ont créé une carte olfactive qui décrit les récepteurs se retrouvant dans les narines de l’humain, et tentent d’en apprendre davantage sur ce sens plus méconnu et ses impacts sur l’organisme.

« Nous savions que pour une odeur donnée, plusieurs individus évoquent des notes odorantes différentes, plus ou moins fruitées, agréables… Nous suspections donc qu’une molécule odorante pouvait se lier à plusieurs récepteurs olfactifs avec l’un d’entre eux majoritaire », explique d’abord le coauteur de l’étude, Olivier Taboureau.

L’équipe de l’INSERM pousse son raisonnement plus loin et souhaite confirmer un possible lien entre la modification de ce sens et certaines maladies, comme l’Alzheimer, possiblement.

« Ce travail, assez fondamental à ce stade, permet de mieux comprendre le fonctionnement du système olfactif et permettra, sans doute, dans un second temps de décrypter les mécanismes associant certaines maladies et l’odorat », résume M. Taboureau.

Bien que ces travaux ne proposent que des explications sommaires, il s’agit de belles avancées en la matière. Plusieurs spécialistes estiment que l’odorat cache des particularités et des capacités qui peuvent influencer la santé d’un individu.

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Certains bienfaits du vin remis en question

Une nouvelle étude remet en question certaines propriétés bienfaitrices du vin alléguées dans de précédentes recherches, rapporte MedicalNewsToday.

Ces nouvelles révélations contradictoires proviennent d’une étude menée par des chercheurs de la Johns Hopkins University School of Medicine, et mettent en doute les impacts du resvératrol, un antioxydant, sur la bonne santé des consommateurs de vin.

Le resvératrol est présumément capable de prévenir les risques de maladie cardiovasculaire, en plus de certains types de cancer. Or, selon le Dr Richard D. Semba qui dirige l’étude en question, rien ne serait certain.

« L’histoire du resvératrol s’annonce comme un autre cas de produit qui reçoit beaucoup d’attention pour des bienfaits sur la santé qui ne résistent pas à l’épreuve du temps », lance le Dr Semba, cinglant.

C’est après avoir observé et analysé 783 sujets féminins et masculins âgés de plus de 65 ans que les chercheurs ont pu constater les effets limités du vin et du resvératrol sur la santé.

L’étude propose donc une nouvelle réflexion et invalide toute « certitude » concernant le vin. D’autres recherches seront donc probablement conduites afin d’en savoir davantage sur le sujet.

Les conclusions du Dr Semba et de son équipe ont été publiées dans le JAMA Internal Medicine.