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Les friandises ne sont pas systématiquement mauvaises pour la santé

Le Daily Mail (UK) rapporte des conclusions tirées d’une étude en nutrition qui révèlent que le fait de manger des friandises, du chocolat et autres sucreries n’est pas toujours nécessairement déconseillé.

En fait, selon la National Confectioners Association, les gens qui consomment de façon modérée ce genre de plaisirs sucrés n’ont pas réellement de risques de maladies cardiovasculaires plus accrus que les autres, et ne doivent pas non plus s’attendre à prendre du poids de façon systématique.

Ce constat survient à la suite de l’analyse de 5000 Américains, dont les habitudes de consommations de friandises variaient en quantité et en intensité.

On a vite compris que les sujets qui mangeaient quelques sucreries presque quotidiennement n’avaient pas plus de risque de développer des problèmes de santé que ceux qui n’en mangeaient qu’une fois par semaine, par exemple.

Bien entendu, les spécialistes rappellent qu’il ne s’agit pas d’un feu vert vers l’excès, bien que les bonbons et chocolats de ce monde ne mèneraient pas directement à un gain de poids important.

Il est assurément rafraîchissant de lire de tels propos, dans une époque où la paranoïa alimentaire nous prive de tous les plaisirs ou nous fait à tout le moins ressentir une culpabilité quasi permanente.

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Les propriétés anti-cancer de la tisane de camomille confirmées

Amateurs de thé et tisane, particulièrement celle à la camomille, vous pouvez vous réjouir! Depuis le temps que vous vantez les mérites de cette boisson et de cette plante, voici une nouvelle étude qui vous offre des arguments béton afin de consolider votre position.

Selon le Daily Mail (UK), des chercheurs basés en Ohio ont reconnu la propriété anti-cancer de l’apigénine, un ingrédient retrouvé dans la tisane de camomille.

L’apigénine permettrait de bloquer les pouvoirs, souvent très puissants, des cellules cancéreuses. Ce serait particulièrement vrai pour les cellules du cancer du sein, qui sont résistantes et jouissent d’une plus longue durée de vie, en moyenne.

Les ingrédients actifs de la tisane de camomille, à commencer par l’apigénine, permettraient ainsi de sinon tuer ces cellules maudites, à tout le moins en freiner la puissance et l’impact. Le corps serait aussi dans une meilleure prédisposition pour recevoir les différents traitements requis dans la lutte au cancer.

On note également la présence d’apigénine dans les fruits et les légumes, de quoi confirmer du même coup les vertus de la diète méditerranéenne…

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Le vaccin contre la fièvre jaune serait efficace dès la première dose

Les voyageurs, qu’ils soient hommes d’affaires ou touristes en tous genres, connaissent bien les aléas des vaccins et des nombreuses maladies qui parcourent le globe.

De nombreux voyageurs doivent donc se soumettre chaque année à différents tests médicaux et séances de vaccination, à commencer par celui contre la fièvre jaune.

Depuis longtemps, on administrait sporadiquement des doses de ce vaccin, afin de maintenir une protection complète.

Mais voilà, selon le Telegraph (UK), qui rapporte des conclusions obtenues de la part d’une équipe de l’OMS, on croit maintenant qu’une seule dose du vaccin contre la fièvre jaune serait suffisante pour assurer une protection à un patient jusqu’à la fin de ses jours.

Les changements des normes en la matière pourraient prendre du temps avant d’être instaurés, puisque la fièvre jaune inquiète encore plusieurs dirigeants et spécialistes à travers le monde. C’est d’ailleurs pourquoi cette maladie est la seule qui requiert encore aux voyageurs un certificat officiel de vaccination.

Cela pourrait prendre deux ou trois ans, mais si on se fie sur l’exemple du choléra, qui a nécessité 17 ans avant que des changements soient appliqués, les voyageurs devront probablement s’armer de patience.  

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Le déclin de fertilité dû à l’âge chez la femme démystifié

Des chercheurs, supportés par les NIH, résument avec brio les raisons qui expliquent le déclin de fertilité chez la femme, alors que celle-ci atteint la quarantaine.

La perte graduelle de la capacité à procréer s’amorce vers la mi-trentaine, selon ce que l’on comprend des conclusions rapportées par les National Institutes of Health, et s’explique en partie par le déclin de certains mécanismes de défense comme le BRCA1.

Ce système de défense génétique, comme les autres, finit par s’user et perdre de son efficacité avec l’âge, ce qui est aussi vrai chez l’homme, et on peut en constater les effets chez les personnes âgées.

Ainsi, les femmes voient leurs ovules être moins forts qu’à l’époque et n’ont pas la chance de les « réparer » par les mécanismes de défense génétiques, et ils finissent par mourir. Une rationalisation du phénomène qui pourrait permettre de ralentir le procédé…

« Nous savons tous que la fertilité d’une femme baisse dans la quarantaine. Cette étude propose une explication moléculaire à ce qui arrive. Éventuellement, de telles informations pourraient nous aider à allonger la durée de la période reproductrice de la femme », explique avec enthousiasme la Dre Susan Taymans.

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La vitamine B peut-elle prévenir de la maladie d’Alzheimer?

Plusieurs témoignages et résultats d’essais cliniques faisant état d’un possible effet préventif de la vitamine B contre certaines maladies dégénératives et cognitives comme la maladie d’Alzheimer ont été rapportés depuis quelque temps.

Ces théories se voient maintenant confirmées dans une nouvelle étude, publiée par le réputé journal Proceedings of the National Academy of Sciences, qui en arrive au même constat après avoir mené plusieurs essais sur des groupes de patients.

Selon cette plus récente étude, rapporte le Daily Mail (UK), les sujets du groupe test ayant reçu des apports en vitamine B se seraient vus presque entièrement protégés des effets observables au cerveau lors du développement de la maladie d’Alzheimer.

Des résultats d’autant plus concrets lorsqu’on les compare aux sujets du groupe ayant reçu un simple placebo. Ceux-ci n’ont été nullement protégés des symptômes comme le rétrécissement du cerveau, un signe alarmant d’Alzheimer.

Ce phénomène serait même réduit jusqu’à 90 % chez les consommateurs de vitamine B, ce qui surprend certains spécialistes. C’est le cas de Paul Thompson, professeur de neurologie à UCLA, qui déclare : « Je n’ai jamais vu de résultats de numérisations au cerveau qui démontraient ce genre de niveau de protection ».

On peut donc considérer qu’il s’agit d’un grand pas dans la quête de traitement de l’Alzheimer, ou à tout le moins dans sa prévention. D’autres études sont à prévoir afin de confirmer les effets de la vitamine B, les chercheurs étant maintenant en attente de financement dans le but de poursuivre leurs travaux. 

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La dépression chez les femmes de plus de 40 ans pourrait mener à l’infarctus

Top Santé rapporte une étude exhaustive concernant les troubles dépressifs chez les femmes de plus de quarante ans, qui laisse croire qu’un lien de cause à effet est possible entre la dépression et certains problèmes cardiaques.

Après avoir suivi plusieurs femmes de 47 à 52 ans sur une période de 12 ans, les chercheurs de l’Université du Queensland, menés par le Dr Jackson, concluent que les femmes victimes de dépression une fois dans la quarantaine voient leurs risques de subir un infarctus augmenter d’un peu plus du double (2,4 fois).

L’étude corrobore donc les résultats de recherches précédentes effectuées sur des femmes de 60 ans et plus qui faisaient état d’un risque trois fois plus important de crise cardiaque à la suite d’un diagnostic de dépression.

Cette nouvelle étude est importante, car elle permet de souligner un autre facteur de risque d’AVC et de maladies cardiovasculaires, première cause de mortalité chez la femme. Les antidépresseurs seraient également risqués pour le cœur, ce qui fait alors bondir les statistiques!

Les chercheurs veulent sensibiliser les femmes de 40 ans et plus à se mettre au sport, qui permet non seulement de garder un cœur en santé, mais aussi de tenir à l’écart plusieurs problèmes psychologiques et troubles de l’humeur. 

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Les stéroïdes ne seraient pas dangereux que pour la santé physique

Bien que les stéroïdes anabolisants permettent des prouesses athlétiques et des gains musculaires spectaculaires, il est bien reconnu que d’en faire l’utilisation comporte sa part de risques pour la santé.

Mais pas uniquement pour la santé physique, apprend-on des informations rapportées par Santé Log, alors qu’une nouvelle étude en provenance de Suède fait état d’importants risques pour la santé mentale, à moyen et long terme.

Selon l’étude parue dans le British Journal of Sports Medicine, des recherches effectuées sur des athlètes suédois démontrent un lien direct entre l’utilisation des stéroïdes et le développement de certains troubles mentaux et psychologiques.

On parle notamment de problèmes de dépression, de concentration et de troubles comportementaux divers, qui peuvent survenir des années plus tard.

Le Dr Fahlke, auteur principal de l’étude, parle d’un « cercle vicieux » dont seraient victimes plusieurs athlètes au cours de leur vie, voyant certains problèmes de santé mentale être renforcés par l’utilisation de stéroïdes, et pouvant ensuite mener à des abus d’autres drogues ou d’alcool.

Un cercle vicieux que les chercheurs souhaitent éviter pour la nouvelle génération de sportifs, qui se doivent d’être sensibilisés à la cause et au phénomène.

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Le café à la rescousse du foie

Santé Log rapporte une nouvelle étude sur le café, qui dévoile un autre bienfait de la boisson réconfortante. Manifestement, les années noires de la caféine sont révolues, et le café est presque unanimement conseillé par les divers spécialistes dans le domaine.

Cette fois, on vante les mérites du café pour ses effets protecteurs sur le foie, qui bénéficierait d’une baisse des risques de maladie grave chez les consommateurs de la boisson chaude.

En provenance de la fameuse clinique Mayo, l’étude a été présentée à la Semaine des maladies digestives, qui se déroulait cette fois à Orlando.

Elle fait état de réduction des risques de maladies reliées à la cirrhose, à l’insuffisance hépatique ainsi qu’au cancer.

Les spécialistes en tête de l’étude, à commencer par le Dr Craig Lambert, croient qu’il s’agit d’une découverte importante, puisqu’ils sont constamment à la recherche d’outils pour prévenir les maladies du foie.

La découverte des bienfaits d’un geste aussi simple et répandu que boire du café est donc une bénédiction pour ces chercheurs.

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Les troubles du sommeil hausseraient les risques de cancer

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Islande trace un lien entre les troubles du sommeil et des risques accrus de développer un cancer.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne le cancer de la prostate chez les hommes, et le cancer du sein chez les femmes.

Selon Santé Log, on définit ici les troubles du sommeil par une difficulté persistante à s’endormir ou à rester endormi, ou encore une incapacité complète (insomnie).

On sait depuis longtemps que les problèmes de sommeil peuvent mener à différents problèmes de santé, mais la corrélation entre l’insomnie et le cancer est relativement une première.

Ces conclusions, publiées dans le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, ne font pas véritablement état des causes qui expliquent le phénomène, mais relatent les mesures prises pour mesurer la cause à effet.

Les chercheurs islandais ont analysé et suivi plus de 2000 hommes âgés de 67 à 96 ans, sur une période de cinq ans, qui devaient répondre à des questionnaires concernant leurs habitudes de sommeil.

On a ainsi pu tracer un lien entre le sommeil et certains diagnostics de cancer.

On doit cependant noter que l’augmentation des risques demeure relativement faible, et que l’âge des patients doit être pris en compte dans le calcul. 

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Le système immunitaire des femmes vieillit moins rapidement que celui des hommes

Le Daily Mail rapporte une nouvelle étude qui explique partiellement la longévité des femmes, qui vivent plus longtemps que leurs congénères masculins.

On estime, en moyenne, l’espérance de vie des femmes à environ 82 ans, pour seulement 79 ans chez les hommes.

Cette différence de quelques années s’expliquerait notamment par le système immunitaire, plus résistant au temps chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, les maladies mortelles sont plus à risque de frapper les hommes qui prennent de l’âge que les femmes, ou à tout le moins plus tôt, croient les chercheurs japonais auteurs de l’étude.

D’autre part, il existe des cellules défensives qui se bonifient avec l’âge pour assurer le maintien de la protection de l’organisme, mais encore une fois, le phénomène serait plus efficace chez la femme.

De bonnes nouvelles pour la gent féminine, qui doit subir au cours de la vie sa part d’ennuis que les hommes n’ont pas à craindre.