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Viande et santé : les antibiotiques sont-ils à blâmer?

NPR.org rapporte des conclusions révélatrices dans le dossier de la viande et de ses effets sur la santé. Comme vous le savez probablement, les experts suggèrent de limiter la consommation de viandes rouges, et plusieurs maladies et problèmes de santé comme les troubles cardiovasculaires et le cancer sont associés à la viande.

Le hic, c’est qu’il est difficile pour les chercheurs et spécialistes d’expliquer les raisons précises qui rendent la viande si « dangereuse » pour la santé en cas de surconsommation. On sait qu’il y a des risques, mais on ignore véritablement pourquoi…

Voici une théorie inspirée en provenance des États-Unis, publiée dans une étude de la FDA. Pour ces chercheurs, il faudrait peut-être se tourner vers les antibiotiques administrés aux animaux de ferme pour comprendre le phénomène.

Lorsque les éleveurs utilisent massivement ces antibiotiques, cela aurait pour effet de rendre les bactéries comme l’E. coli ou la salmonelle résistante aux traitements éventuels sur les patients qui contractent ces maladies, en plus d’être bien évidemment des éléments inquiétants à retrouver dans son assiette.

Les antibiotiques pourraient-ils aussi expliquer les risques de cancer accrus chez les consommateurs de viandes diverses?

Plusieurs groupes de pression s’indignent du phénomène et accusent les éleveurs d’abuser de ces substances sans aucune considération pour les consommateurs humains.

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Le café et le thé remportent la bataille des boissons

Si le thé est unanimement cité comme boisson santé par excellence, le café soulève beaucoup plus la polémique, et les avis sur cette boisson matinale divergent selon les chercheurs et les études proposées.

Une nouvelle étude rapportée par Epicurious rassure les amateurs de café et pointe plutôt du doigt les boissons gazeuses. On observe notamment des risques de dépression beaucoup moins grands chez les buveurs de café que chez les amateurs de colas, une différence appréciable.

L’étude croit que l’eau, le café et le thé sont les trois choix de prédilection des gens en bonne santé, au détriment des autres boissons sucrées comme les jus et les boissons gazeuses diverses.

On réitère aussi les vertus du thé sur la santé, déjà bien connues.

On peut donc conclure que les deux boissons chaudes remportent la bataille, mais c’est la première fois qu’une étude établit de façon claire un risque accru de dépression ou de trouble psychologique chez les buveurs de cola, qui serait 30 % plus à risque de troubles dépressifs que les amateurs de thé et de café.

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Encore une percée majeure dans le traitement de l’Alzheimer

Les progrès de la recherche d’un traitement de la maladie d’Alzheimer sont nombreux depuis quelque temps, alors que les découvertes et avancées sur le sujet se multiplient.

Voici une autre percée qui sèmera sans doute un vent d’optimisme chez les personnes atteintes de la maladie ainsi que chez les proches de patients qui en souffrent.

En effet, Huffington Post rapporte que des chercheurs américains auraient réussi à inverser carrément le processus de la maladie chez des escargots, pavant la voie à un possible traitement chez l’homme.

Ce sont des chercheurs de l’Université du Texas basée à Houston qui annoncent la réalisation de cet exploit, après avoir constaté que leurs tests par stimulation nerveuse sur des mollusques avaient porté des fruits.

« Nos résultats suggèrent une nouvelle stratégie pour le traitement des déficiences cognitives. Les modèles mathématiques pourraient nous aider à mettre au point des thérapies combinant un protocole d’entraînement et des traitements médicaux traditionnels » conclut avec enthousiasme John Byrne, qui dirige ces essais innovateurs.

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La gloire pourrait augmenter les risques de mourir prématurément

Une étude originale se penche sur un dossier intéressant, celui de la célébrité et de ses impacts sur la santé des individus qui en font l’expérience.

Des chercheurs canadiens, qui dirigent l’étude ici rapportée par Santé Log, ont cherché à comprendre les conséquences de la gloire sur la santé et la longévité, en plus de trouver des pistes d’explication à plusieurs décès de stars au fil de l’histoire.

On n’a d’abord qu’à penser à Amy Winehouse, plus récemment, et Jimi Hendrix ou Kurt Cobain, tous membres de l’illustre club des 27 (ils sont tous morts à 27 ans, et la liste est longue).

On parle d’abord de « comportements à risque », du côté des chercheurs, notamment une mauvaise hygiène de vie et alimentaire ainsi que l’usage d’alcool, de tabac et de drogues diverses. On croit qu’il est possible d’associer ces comportements à une mauvaise gestion du stress face à une pression souvent trop forte.

Les sportifs semblent eux aussi mourir plus jeunes, en moyenne, que les politiciens ou les hommes d’affaires, explique-t-on.

Finalement, l’étude semble corroborer une précédente recherche qui abondait dans le même sens, en concluant que le stress, la pression et de mauvaises habitudes de vie sont responsables de la plupart des décès prématurés dans l’industrie du spectacle.

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Psycho : le modèle Barbie ne tient pas la route

Que les femmes se le tiennent pour dit : le modèle Barbie n’a aucune cohérence, et ce genre d’images envoyé par la société devrait être tout bonnement ignoré.

Pourquoi? Parce que si l’on prend l’exemple de la célèbre poupée Barbie, explique Top Santé, on se rend compte que de telles proportions sont non seulement impossibles, mais rendraient une femme aux mensurations similaires incapable de vivre… ou même de marcher!

Barbie, dans la vraie vie, aurait d’abord un cou trop long, ce qui ferait pencher sa tête. Sa taille, quant à elle, ne permettrait même pas à la demoiselle d’avoir tous ses organes, puisqu’ils ne pourraient pas tous entrer dans une telle cavité.

On note aussi la maigreur malsaine de ses jambes et, qui plus est, de ses chevilles. Ces dernières ne pourraient même pas soutenir le corps! Elle ne pourrait donc pas marcher, ce qui ajoute au problème.

Une étude sympathique, mais importante, alors que la société et les médias en général bombardent la gent féminine d’images irréelles, retouchées et illusoires.

Les femmes doivent comprendre le phénomène et apprendre à s’aimer comme elles sont, ou à tout le moins de se fixer des objectifs sains et réalistes.

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L’oeuf retrouve ses lettres de noblesse

Depuis longtemps, on suggère de limiter sa consommation d’œufs au minimum requis, notamment pour leur impact sur les taux de cholestérol dans le sang.

Voilà toutefois qu’une équipe de chercheurs chinois aborde la question sous un nouvel angle et redonne à l’œuf ses lettres de noblesse.

Selon eux, rapporte le Daily Mail (UK), commencer la journée avec un œuf, c’est la commencer du bon pied. Plus encore, lorsqu’on retire le jaune et que l’on conserve le blanc, l’œuf pourrait agir positivement en réduisant la haute pression chez les gens qui en souffrent.

De plus, on rappelle les apports des œufs en nutriments divers et en protéines, ce qui suffit à le qualifier « d’aliment santé », aux yeux des chercheurs de l’Université de Jilin.

Cette étude vient appuyer celle proposée récemment par des chercheurs canadiens qui abondaient dans le même sens et qui vantaient les mérites des œufs (surtout des blancs d’œufs) sur la santé et pour ses impacts sur la circulation sanguine.

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Le régime alimentaire « de l’Ouest » blâmé par des Britanniques

Des chercheurs britanniques viennent de publier une étude qui n’est pas tendre à l’endroit des Nord-Américains, rapporte The National Library of Medicine.

En fait, ces spécialistes y vont de salves à l’endroit de ce qu’ils baptisent « la diète de l’Ouest », qu’ils considèrent comme un excellent moyen de se retrouver six pieds sous terre avant son temps.

On considère comme faisant partie de ce régime alimentaire les viandes transformées (ou séparées mécaniquement), les aliments sucrés, les aliments frits (frites, poulet, etc.), les grains raffinés et les produits laitiers.

Les chercheurs, qui publient ces conclusions dans The American Journal of Medicine, ont étudié les cas de plus de 5000 personnes (deux fois plus d’hommes que de femmes) sur une période de 24 ans.

Analysant les différents types de régime alimentaire de chacun des sujets de l’étude, les chercheurs ont constaté aisément que les pourcentages de longévité étaient beaucoup moins impressionnants chez ceux qui se nourrissent « à l’américaine ».

De plus, on rappelle que ceux qui « survivront » à ce type de diète ont également beaucoup moins de chance de vieillir en santé et de pouvoir profiter de leurs vieux jours.

Ils croient qu’une véritable révolution alimentaire s’impose. Difficile de les contredire…

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Les étirements avant l’activité physique remis en question

C’est plutôt étonnant de voir les étirements être remis en question dans le cadre d’un programme d’activité physique, mais l’étude dévoilée ici semble pourtant très sérieuse.

Elle est de plus publiée par le New York Times, avant d’être rapportée par Top Santé, ce qui ajoute à l’intérêt de la chose.

Selon cette recherche en provenance de Croatie, donc, les étirements seraient à déconseiller avant le sport, car ils n’auraient que très peu (ou pas) d’impact sur la prévention des blessures et ne feraient qu’enlever de précieuses énergies aux sportifs et athlètes, en fin de compte.

On parle aussi d’une réduction de la force musculaire de 5 %, toujours selon l’étude publiée initialement dans The Journal of Strength and Conditioning Research.

Attention cependant, on tient à rappeler qu’il existe une différence entre étirement et réchauffement, le deuxième conservant l’appui des spécialistes en tête de la recherche.

Or, c’est justement l’une des causes de la confusion, beaucoup de sportifs croyant à tort qu’étirement et réchauffement sont une seule et même chose.

On suggère de garder les étirements pour la fin de l’activité physique, un moment qui serait beaucoup mieux choisi pour étirer ses muscles.

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L’attrait de la bière s’expliquerait par les hormones

Top Santé rapporte une étude qui avait pour but de démystifier l’attrait de la bière chez l’homme, un principe qui va beaucoup plus loin que le simple goût.

En fait, ce serait une véritable histoire d’amour hormonale qui se produit entre les gens et le houblon, notamment à cause de l’effet de la bière sur les récepteurs de dopamine.

Pour confirmer cette théorie, les chercheurs de l’Université d’Indiana en tête de l’étude ont regroupé 49 personnes et leur ont demandé de boire trois différentes boissons. D’abord de la bière, puis de l’eau plate et, enfin, une boisson destinée à désaltérer les sportifs, on devine de type Gatorade.

On a ensuite enregistré et analysé les réponses des sujets face à chacune de ces boissons, et on a remarqué immédiatement une vive réponse du cerveau pour la bière, qui libère immédiatement de la dopamine.

« C’est la première fois que les résultats d’une étude montrent que le goût d’une boisson alcoolisée sur l’être humain, sans l’effet de l’alcool sur le corps, peut déclencher la libération de dopamine dans les centres de récompense du cerveau », lance un certain Kareken, professeur et chercheur.

De plus, les scientifiques croient remarquer que certaines personnes produisent plus de dopamine que d’autres face à la bière, ce qui pourrait expliquer les variations de risque d’alcoolisme d’un individu à l’autre. Une percée fort intéressante.

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Le déclin de la mémoire avec l’âge démystifié

Des chercheurs se sont penchés sur la question de la perte ou du déclin de la mémoire lors du vieillissement, et ils proposent ici un nouveau modèle d’explication.

C’est ce que rapporte Santé Log, qui explique le processus utilisé par ces chercheurs de l’Université de Warwick. On a donc regroupé 185 sujets pour une étude dans laquelle ces derniers devaient se soumettre à différents tests cognitifs et de mémoire.

Rapidement, on a constaté au fil des tests que ce sont les mécanismes de la mémoire qui changent, et non la « vitesse » de réaction de celle-ci.

On parlerait donc moins de « déclin » que d’un problème de concentration, si vous voulez, qui se traduit par une plus grande difficulté à garder ses pensées et sa mémoire sur une catégorie ou un sujet précis.

La mémoire, en vieillissant, serait donc plus vagabonde et passerait d’un thème à l’autre, laissant ainsi des souvenirs enfouis.

On suggère de faire des exercices de mémoire par catégorie pour améliorer le recouvrement des souvenirs, comme l’indique le Dr Thomas Hills.

« Si, par exemple, vous oubliez votre liste de courses, essayez de vous concentrer sur les produits à acheter, catégorie par catégorie, et essayez d’utiliser ce dont vous vous souvenir pour retrouver ce que vous avez oublié. »