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Le ménage du printemps cérébral

On apprend, par l’entremise de Top Santé, qu’il n’y a pas que nous qui avons l’habitude de faire un grand ménage du printemps… notre cerveau aussi!

C’est du moins ce que révèle une étude publiée dans la revue spécialisée Nature Neuroscience, qui dévoile un phénomène fascinant se déroulant au niveau cérébral à l’arrivée du printemps.

Ainsi, notre cerveau « effacerait » des cellules endommagées et préparerait les cellules souches capables de les remplacer à entrer en action. Le procédé est maintenant connu sous le terme d’autophagie.

C’est ce qu’ont constaté les chercheurs de l’Université du Michigan, aux États-Unis, qui sont en tête de cette étude étonnante. Ils ont même trouvé que le phénomène de ménage printanier cérébral observé serait dû à la protéine FIP200, qui permet de procéder à cette véritable mise à jour centrale.

On note par ailleurs que ce processus semble ralentir avec l’âge, ce qui expliquerait en partie pourquoi les gens plus âgés sont enclins à développer des problèmes cognitifs ou de démence.

« Grâce à l’autophagie, les cellules souches neurales peuvent réguler les niveaux des espèces réactives de l’oxygène (ROS) ou radicaux libres qui peuvent s’accumuler dans certaines régions du cerveau et dont des niveaux anormalement élevés peuvent déclencher leur différentiation », résume le professeur Jun-Lin Guan, de l’Université du Michigan.

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Le bonheur sexuel se mesure-t-il en quantité?

Santé Log rapporte une étude sur la sexualité qui indique l’importance potentielle de la quantité de rapports sexuels sur la notion de « bonheur sexuel ».

Bien que l’on ne sous-estime pas l’importance de la qualité, les chercheurs croient aussi que la quantité est importante, tout comme pour l’argent.

Ainsi, après avoir mené des essais sur plus de 15 000 personnes volontaires, ils ont pu conclure non seulement à l’importance de la fréquence des rapprochements amoureux, mais aussi à l’importance d’en avoir plus que ses amis ou ses voisins.

Le fait d’avoir des relations sexuelles fréquentes, et surtout plus que les gens autour, ferait en sorte que la plupart des individus dans cette situation ressentiraient un bonheur décuplé face à leur vie sexuelle.

Les répondants de l’étude ont presque tous répondu qu’ils étaient heureux au plan physique lorsqu’ils croyaient faire l’amour plus souvent que le voisin, et tout autant lorsque la fréquence des relations intimes est supérieure à la « moyenne ».

L’auteur de l’étude rappelle cependant qu’il est important de faire ses choix en fonction de nos désirs et besoins, et non en fonction de l’image envoyée par les autres ou par la société.

Une excellente morale à tirer!

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La saveur des aliments s’avère parfois une supercherie du cerveau

Voici une étude et des révélations surprenantes et fascinantes sur les réactions de l’humain face à ses plats favoris.

En effet, Science Daily rapporte des propos du chercheur et docteur Terry E. Acree, qui décrit le rôle du cerveau sur la façon dont on perçoit, sent et goûte les aliments.

Selon le spécialiste, le cerveau peut y aller d’une supercherie monstre lorsque vous êtes placé devant divers aliments, des réactions qui peuvent être influencées par vos propres appréhensions et expériences.

Ainsi, on pourrait « créer » des saveurs et des odeurs, en fonction de nos attentes.

« Il y a des années, le goût était constitué de deux facteurs : la saveur et l’odeur. Maintenant, on commence à comprendre que la saveur dépend des parties du cerveau qui impliquent le goût, l’odorat, le toucher et la vue. La somme de tous ces signaux, en plus de nos expériences passées et de nos émotions, peut faire varier la perception des saveurs, et déterminer si on va aimer ou détester un aliment », explique Acree, convaincu.

Il explique aussi que l’on peut donc « voir » les odeurs, et que notre perception de ce qu’un aliment ou un vin, par exemple, « devrait goûter » change carrément la façon de le percevoir ensuite.

Fascinant!

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La cigarette électronique de plus en plus prisée pour arrêter de fumer

Il semble que la fameuse cigarette électronique fasse de plus en plus ses preuves, et que de plus en plus de gens font l’expérience de cette nouvelle méthode pour cesser de fumer.

C’est du moins ce qui ressort des statistiques présentées par des chercheurs de l’Université d’East London et rapportées par Top Santé.

En effet, sur une période d’environ sept mois, les chercheurs ont sondé près de 1500 fumeurs de 33 pays d’Europe. On s’est rapidement rendu compte que la cigarette électronique avait gagné en popularité, mais aussi en efficacité.

En fait, 75 % des répondants ayant tenté l’expérience de la cigarette électronique disent ne pas avoir fumé des semaines durant, alors que la grande majorité déclare, d’une façon ou d’une autre, que cette nouvelle technologie permet de réduire l’envie de fumer.

On peut donc affirmer qu’après avoir traversé quelques tempêtes et survécu à plusieurs débats sur sa crédibilité et son utilité, la cigarette électronique pourrait être en voie de s’inscrire comme l’une des solutions les plus viables pour cesser de fumer.

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Le Botox associé à un risque accru de dépression

Si vous pensiez avoir recours au fameux Botox pour conserver votre mine des beaux jours, vous voudrez peut-être jeter un coup d’œil à cet article avant de passer à l’acte.

Selon une étude rapportée par Top Santé, les injections de Botox n’ont pas toujours l’effet escompté par le patient ou la patiente. Si le fait d’améliorer son image procure en soi un effet de joie, les chercheurs de l’Université de Cardiff croient qu’il existe également un effet retour.

En fait, les chercheurs pensent fermement qu’en « bloquant » ainsi les expressions du visage, le corps envoie des messages mixtes au cerveau. Lorsqu’une personne sourit, l’expression faciale affichée envoie un message au cerveau qui indique que nous sommes heureux, content.

Mais lorsque le sourire ne change plus notre expression, et que celle-ci est « figée », le cerveau ne reçoit jamais ces messages de bonheur et croit finalement, à long terme, que son propriétaire est dépressif.

« … les expressions de notre visage affectent aussi notre moral. Nous sourions parce que nous sommes heureux, mais c’est aussi le fait de sourire qui nous rend heureux », explique le Dr Lewis, en tête de l’étude.

Il faut noter que cette cause à effet est notable selon le type et l’endroit de l’intervention. Si l’on « fige » des parties du visage qui s’activent lorsque nous sommes fâchés ou déprimés, on pourrait alors être témoin de l’effet inverse, soit de moins ressentir les émotions négatives.

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La pensée magique au service du vieillissement en bonne santé

Ceux qui croient que la pensée n’a aucun pouvoir sur la matérialisation des choses risquent d’être abasourdis par cette nouvelle étude sur le vieillissement.

Rapportée par Santé Log, cette nouvelle recherche parle de l’importance de ne pas « s’imaginer vieux et fragile », puisque le corps pourrait bien transposer ces pensées en une triste réalité.

Ainsi, les chercheurs de l’Exeter Medical School, qui présentaient ces conclusions au début du mois lors de la conférence de la British Psychological Society, croient qu’il faut plutôt voir l’avenir avec optimisme et chasser les idées préconçues voulant que vieillir se fait inévitablement dans la douleur et la maladie.

C’est après avoir analysé les comportements et les réactions subséquentes de 29 personnes âgées que les chercheurs ont pu tester et confirmer leur théorie.

« En se voyant vieux et fragile, on agit comme si l’on est vieux et fragile. », croit l’un des sujets de l’étude en question.

Cette étude est révélatrice en ce qui concerne la force de la pensée sur le corps, et montre à quel point un comportement enthousiaste et optimiste peut soulever des montagnes. Tout porte à croire que cette façon de voir la vie est payante à tout âge!

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Des cerveaux de souris « transparents » au service de l’homme?

Des chercheurs de Stanford auraient réussi à rendre des cerveaux de souris transparents, une technique inédite qui permettrait d’en savoir plus sur le cerveau de l’homme, selon The National Library of Medicine.

En parvenant à rendre le cerveau de ces rongeurs transparent, les chercheurs peuvent maintenant en étudier les composantes et observer les réactions face à divers traitements, sans devoir procéder à des techniques invasives complexes ou à la dissection de l’organe.

Décrite dans une publication par la revue Nature, la procédure s’effectue sur le cerveau d’un animal mort. On remplace les lipides du cerveau par un liquide, l’hydrogel, ce qui permet de le rendre translucide.

« Étudier des systèmes intacts avec ce genre de résolution moléculaire et être capable de voir les petits détails et le portrait global en même temps a toujours été un but ultime en biologie. Un but que nous commençons maintenant à aborder », explique avec enthousiasme le directeur de cette recherche, Karl Deisseroth.

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Les effets des hormones de croissance sur les enfants qui subissent une dialyse

Des chercheurs ont fait subir une biopsie osseuse à 33 enfants, incluant 45 % de garçons et 55 % qui étaient prépubères, avec un âge moyen de 11 ans. Ces enfants étaient sous dialyse depuis plusieurs mois à cause de problèmes rénaux et avaient reçu des hormones de croissance.

L’administration d’hormones de croissance fait habituellement partie des thérapies données aux enfants sous dialyse, afin d’augmenter leur taille à l’âge adulte. Cependant, certains experts ont soulevé des doutes sur ces hormones ainsi que sur leur effet sur la masse osseuse.

L’auteur de l’étude, le Dr Isidro Salusky, a indiqué que chez certains de ces patients, l’administration d’hormones de croissance était associée à des anomalies dans le renouvellement des cellules osseuses.

« Les hormones les ont aidés à grandir, mais leurs os ne se sont pas améliorés. L’amélioration de leurs cellules osseuses serait extrêmement importante, et pour moi, ceci soulève de nombreuses questions », a-t-il expliqué, selon Medscape.

« Un taux de formation des os constamment élevé n’est pas une bonne chose pour le squelette. Certains patients peuvent développer des difformités osseuses ainsi que des fractures. Ceci ne se produit pas du jour au lendemain, mais si ces patients sont traités à long terme, le potentiel de développer ces complications est bien réel », a ajouté le chercheur.

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Les antibiotiques aident les enfants avec un syndrome du X fragile

Le syndrome du X fragile est une maladie génétique reliée à une mutation du chromosome X. Les enfants atteints ont des caractéristiques physiques particulières, un retard mental, des symptômes proches de l’autisme et des problèmes de comportement, d’attention et d’agression.

Dans le cadre d’une nouvelle étude, 55 enfants atteints du syndrome du X fragile avec un âge moyen de 9 ans ont reçu de la minocycline pendant 3 mois, puis un placébo pendant 3 mois. Cet antibiotique est normalement utilisé pour traiter les infections bactériennes ainsi que l’acné. Depuis peu, il est aussi testé de manière expérimentale pour des troubles neurologiques.

Les chercheurs rapportent qu’après le traitement, les enfants ont rapporté des améliorations « modestes » en ce qui a trait à l’anxiété, l’humeur, la capacité de se calmer, la défiance et l’automutilation. Par contre, il n’y avait pas d’amélioration pour ce qui est du langage et de l’agression.

81 % des participants de l’étude ont subi des effets secondaires, mais ceux-ci étaient pour la plupart mineurs et reliés au système gastro-intestinal, rapporte MedPageToday.

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La génétique permettrait d’améliorer le traitement contre le neuroblastome chez les enfants

Des chercheurs ont analysé 600 échantillons de cellules de neuroblastome, un cancer pédiatrique du système nerveux très difficile à traiter. Tous ces échantillons contenaient des anomalies génétiques, et les chercheurs souhaitaient découvrir celles qui seraient le plus susceptibles de répondre à un nouveau type de traitement, appelé inhibiteur de bromodomaine BET.

Les cellules qui répondaient le mieux au traitement étaient celles qui avaient une amplification d’un gène appelé MYCN. Cette découverte pourrait mener à des études où les jeunes patients atteints de neuroblastome passeraient des tests génétiques pour détecter s’ils possèdent cette amplification.

« Le neuroblastome est un cancer pédiatrique dévastateur, et seulement une minorité d’enfants qui souffrent de la forme agressive peuvent être traités avec les médicaments habituels. Des recherches précédentes ont déjà prouvé que l’amplification du gène MYCN est commune dans le neuroblastome », a expliqué l’auteure de l’étude, la clinicienne Kimberly Stegmaier, selon Science Daily.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans la revue médicale Cancer Discovery.