Catégories
Uncategorized

Un traitement expérimental du cancer ovarien qui donne de l’espoir

On rapporte, notamment du côté de The National Library of Medicine, qu’un nouveau traitement expérimental du cancer des ovaires donne de l’espoir aux spécialistes qui s’y affairent.

Sous la forme d’un simple vaccin, le traitement aurait permis à une patiente en stade avancé d’atteindre une rémission complète, sans l’aide d’aucune autre forme de traitement ou de médication.

Ce succès viendrait donc clore la première phase d’essais cliniques du nouveau vaccin, et ces conclusions seront déposées lors de la rencontre annuelle des spécialistes de l’American Association for Cancer Research, samedi prochain (13 avril).

Bien que le cancer ovarien ne fasse pas énormément de victimes, selon ce que l’on apprend, il n’en demeure pas moins qu’il est plus difficile à détecter. Trop de femmes, parmi le 1,8 % qui seront diagnostiquées d’un cancer des ovaires, le sauront très, ou trop, tard…

Encore une fois, le traitement se base sur des théories similaires retrouvées dans d’autres essais effectués par d’autres spécialistes, à savoir que chaque tumeur possède sa propre empreinte, et qu’elle doit donc être ciblée par un traitement qui la vise « personnellement ».

Bien que le cancer soit encore une source d’inquiétudes et trône parmi plusieurs palmarès peu enviables, il faut avouer que plusieurs nouvelles récentes permettent d’être optimiste et d’entrevoir des traitements viables d’ici peu.

Catégories
Uncategorized

La journée idéale serait loin de la réalité du quotidien

Deux chercheurs, un Allemand et un Américain, se sont penchés sur la question du bonheur, et plus particulièrement sur la journée idéale, rapporte Top Santé.

Le premier constat issu de cette recherche originale est que les clés et les éléments d’une journée parfaite ne sont pas si complexes qu’on pourrait le croire, et qu’ils vont un peu à l’encontre de nos principes modernes et de notre obsession de la performance et de l’aspect financier.

Les deux chercheurs, Sebastian Pokutta et Christian Kroll, ont donc fractionné en détail cette fameuse journée parfaite, dans une théorie qu’ils ont baptisée « méthode de reconstruction de journée ».

À la minute près, donc, la journée parfaite moyenne serait constituée de 106 minutes de sexualité pour seulement 36 minutes de travail! 82 minutes seraient octroyées à la pure socialisation, soit du temps pour prendre soin de ses proches et amis et échanger avec eux.

On prendrait ensuite près de 70 minutes pour manger et méditer, et moins de 50 minutes pour les tâches ménagères. 48 minutes seulement devraient être allouées à l’ordinateur, le même nombre que pour la sieste.

Puis, comme si ce n’était pas assez, on ajoute du temps consacré à la relaxation… On peut donc dire que si ces conclusions sont le reflet des besoins humains, nous sommes dans une direction qui va à l’encontre de notre nature même.

Catégories
Uncategorized

Les Japonais s’attaquent à nos rêves

Top Santé rapporte que des scientifiques japonais se sont penchés sur les rêves humains et auraient mis au point une nouvelle méthode de décryptage et d’analyse pour mieux les comprendre.

Les chercheurs asiatiques ont décidé d’utiliser une technique d’essais et erreurs afin d’en venir à un système de décodage fonctionnel des rêves. En effet, l’équipe japonaise a analysé les phases de sommeil de trois sujets, et a dû les réveiller à chacune d’elles afin que ceux-ci racontent leurs histoires.

En associant chacun de ces rêves à des thématiques et des descriptions, les chercheurs ont pu en venir à un genre de « dictionnaire » des rêves ultrasophistiqué.

« Les rêves sont représentés par des schémas d’activité cérébrale qui fournissent un moyen de découvrir leur contenu », résume l’un des chercheurs de l’équipe en tête de l’étude.

Puis, afin de vérifier l’efficacité de la méthode, ils ont ensuite essayé de deviner les rêves des sujets, en analysant ces fameux signaux cérébraux précédemment déterminés.

S’ils n’en sont qu’à un taux de succès de 60 à 70 %, ce qui n’est pas mauvais, les chercheurs croient qu’ils sont sur la bonne voie et qu’ils pourront bientôt analyser et « archiver » les rêves, ce qui permettra aux gens qui le désirent de savoir, se souvenir et mieux comprendre les rêves qui hantent leurs nuits.

Catégories
Uncategorized

Mercure et diabète : les poissons et fruits de mer blâmés

Il existerait un lien entre l’exposition au mercure et les risques élevés de développement du diabète, selon une étude rapportée par Santé Log.

Ce sont des chercheurs de l’Indiana University, plus précisément des épidémiologistes, qui tirent ces conclusions après avoir analysé le cas de milliers de patients.

3875 sujets, pour être précis, âgés de 28 à 32 ans, qui ne présentaient pas de signe de diabète avant le début de l’étude. On a suivi ces individus sur une période de 18 ans, en prenant bien soin de surveiller leurs taux de mercure et de glucose.

Les résultats démontrent un lien direct entre les taux de mercure retrouvés dans l’organisme et le développement du diabète, des conclusions tirées après avoir écarté de l’équation les autres facteurs connus.

Présents dans plusieurs poissons et fruits de mer, pourtant conseillés vivement par les nutritionnistes dans le cadre d’un régime alimentaire sain et pour leurs apports en oméga-3, le mercure et ses dangers doivent donc être pris au sérieux. On conseille vivement de manger ces produits de façon responsable.

« L’association entre l’exposition au mercure et l’incidence du diabète a été considérablement renforcée après contrôle de l’apport en oméga-3 et en magnésium », concluent les auteurs de l’étude.

Catégories
Uncategorized

Nourrir les bébés prématurés

Souvent, l’incapacité d’un bébé à se nourrir adéquatement est le seul facteur qui empêche son transfert de l’hôpital à la maison. Donner le biberon à un bébé prématuré est même associé à des risques potentiellement graves, comme l’aspiration de lait ou des problèmes cardiorespiratoires.

À cause de cela, les infirmières ont donc souvent recours à des trucs, comme essayer différentes positions pendant le biberon. Mais jusqu’à maintenant, aucune étude n’avait analysé l’efficacité de celles-ci.

Des chercheurs ont mené une étude auprès de 41 bébés prématurés, qui étaient nés entre 24 et 33 semaines de grossesse. Ces nouveau-nés ont été séparés en 3 groupes : ceux qui ont été nourris au biberon dans une position plus verticale, avec la tête relevée, ceux qui ont été nourris couchés sur le côté, et ceux qui ont été nourris dans une position semi-couchée.

Les bébés étaient considérés comme « capables de se nourrir indépendamment » lorsqu’ils pouvaient recevoir 8 boires en 24 heures pendant 2 jours de suite sans complications.

Les bébés des 3 groupes ont atteint cette « indépendance » dans des temps similaires et à des âges gestationnels semblables. La position ne serait donc qu’une question de préférence individuelle, rapporte Medscape.

Catégories
Uncategorized

Des repas fréquents donnent-ils des enfants plus minces?

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 18 849 enfants et jeunes âgés de 2 ans et plus, provenant de nombreux pays très différents.

Les enfants qui mangeaient 4 ou 5 fois par jour avaient 22 % moins de chance d’être obèses que les enfants qui ne prenaient que 3 repas.

Les garçons répondaient mieux à cette façon de manger que les filles, par contre, puisque les chercheurs ont conclu qu’il y avait peu de différence observée chez les filles.

Les chercheurs croient que manger plus fréquemment pourrait mieux réguler l’appétit et la compensation énergétique, accroître le ratio entre les glucides et les graisses, déplacer la majorité des calories plus tôt dans la journée, et faire la promotion d’un mode de vie plus sain.

« Les écoles ont peut-être un rôle important à jouer pour améliorer les préférences et les habitudes alimentaires des enfants, et selon cette perspective, intégrer des repas plus petits, mais plus fréquents dans l’environnement scolaire pourrait être une bonne manière de contrer l’obésité infantile », a noté l’auteure de l’étude, Mary Yannakoulia, selon Med Page Today.

Catégories
Uncategorized

Une étude troublante sur les parents qui commettent l’infanticide

Le journal PLoS ONE a publié les résultats de la plus grande étude menée à date sur les parents qui commettent l’impensable : tuer leurs enfants. Cette étude voulait tenter de comprendre le contexte derrière ces actes ignobles.

Des chercheurs ont analysé un total de 342 cas de parents ayant tué leurs enfants, incluant 45 cas où le parent s’est aussi suicidé.

Les chercheurs ont découvert que les problèmes de santé mentale étaient surreprésentés chez cette population : 40 % de ces parents avaient déjà reçu un diagnostic de maladie mentale, et 12 % d’entre eux avaient reçu des traitements pour cette maladie dans l’année précédant le drame.

Ce qui a surpris les chercheurs, c’est que le problème le plus commun était les troubles de l’humeur et de personnalité, généralement considérés comme plus « légers », et non pas des troubles sévères comme la psychose ou la schizophrénie.

Il y avait quand même 15 % des parents qui étaient en psychose, ce qui est beaucoup plus élevé que pour la proportion d’homicides dans la population générale (6 % des meurtres seraient reliés à une psychose).

Les pères étaient beaucoup plus susceptibles que les mères de tuer leurs enfants, selon Science Daily.

Catégories
Uncategorized

Le stress excessif durant la grossesse est lié à des problèmes d’humeur chez les enfants

Selon les chercheurs, cette enzyme, appelée 11ß-HSD2, protègerait normalement le foetus du stress vécu par la mère en neutralisant le cortisol, aussi appelée « l’hormone du stress ».

Pour tester leur hypothèse, ils ont modifié la génétique de souris qui ne possédaient plus cette enzyme protectrice. Les bébés nés de ces souris ont eu une croissance réduite et ont développé des troubles de l’humeur à l’âge adulte.

Les chercheurs, qui poursuivent leur recherche et espèrent bientôt effectuer des tests sur des humains, souhaitent que les professionnels de la santé tirent des leçons de ces données.

En effet, les bébés exposés à un environnement difficile, que ce soit la maltraitance, la malnutrition, le deuil, etc., seront plus à risque de développer des problèmes de l’humeur tels que la dépression, et ces enfants devraient être suivis et aidés si ces problèmes se développent, selon Science Daily.

Les résultats ont été présentés lors du récent congrès de la British Neuroscience Association.

Catégories
Uncategorized

L’effet « Biggest Loser » fonctionne vraiment

Une étude en provenance des États-Unis pose la question suivante : « Devrait-on créer des incitatifs aux personnes qui doivent perdre du poids? », afin de lutter plus efficacement contre l’obésité.

C’est que d’après les observations effectuées par les chercheurs du Michigan en tête de cette étude, les chiffres démontrent que des incitatifs à la perte de poids sont efficaces, tout autant que l’effet de compétition.

Un effet que l’on pourrait qualifier « d’effet Biggest Loser », en lien avec la populaire émission de téléréalité qui met en vedette des gens aux prises avec des problèmes de poids extrêmes et qui doivent compétitionner entre eux.

Les chercheurs américains ont donc créé un système de récompense financière pour un groupe donné, en le sous-divisant pour tester les effets à court et à long terme. Un autre groupe devait également tenter de perdre du poids, mais sans incitatif financier.

Résultat? Le groupe qui devait s’affronter en plus d’avoir la chance de gagner de l’argent a perdu jusqu’à près de dix livres de plus que les autres!

Catégories
Uncategorized

La thérapie hormonale intermittente peu efficace contre le cancer de la prostate

La thérapie hormonale intermittente s’avèrerait peu efficace chez les patients en stade avancé de cancer de la prostate, rapporte The National Library of Medicine.

Le traitement, qui vise à faire baisser les taux de testostérone et ainsi ralentir la progression des tumeurs, ne semble pas obtenir les résultats escomptés lorsqu’il est administré de façon intermittente, selon une vaste étude.

Pire encore, selon plusieurs chercheurs, dont l’auteure principale de l’étude, Maha Hussain, ce genre de traitement peut même nuire au patient et à ses chances de rémission.

« Les bienfaits de la thérapie hormonale intermittente ne sont pas clairs. En termes de taux de survie, ce n’est pas meilleur », déclare Dre Hussain.

De plus, ce genre de traitement est très difficile à supporter et entraîne de nombreux effets secondaires graves chez les patients.

« Les patients ressentent des symptômes troublants comme des bouffées de chaleur, un gain de poids, une masse musculaire amoindrie et une perte de libido », explique en conclusion Maha Hussain.

Il y a cependant de l’espoir, car d’autres observateurs et chercheurs croient que les spécialistes sont sur le point de rendre le cancer de la prostate aussi traitable que la haute pression ou le diabète.