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L’anesthésie dentaire locale pourrait empêcher les dents de sagesse de se développer chez les enfants

Une équipe de chercheurs en dentisterie a étudié les dossiers de 220 jeunes patients qui avaient subi des traitements entre l’âge de 2 et de 6 ans, puis avaient passé des radiographies de leur dentition au moins trois ans après.

Les enfants ont été séparés en deux groupes : ceux qui avaient subi une anesthésie locale à un endroit où une dent de sagesse pouvait se développer, et ceux qui n’en avaient pas eu (le groupe de contrôle).

Dans le groupe de contrôle, seuls 1,9 % des jeunes n’avaient pas de signe qu’une dent de sagesse était en train de se former, comparativement à 7,9 % dans le groupe de l’anesthésie. Les enfants de ce dernier groupe étaient même 4,35 fois plus susceptibles d’avoir des dents de sagesse manquantes.

« L’incidence des dents de sagesse manquantes est beaucoup plus élevée dans le groupe qui avait reçu un anesthésiant dentaire, et les preuves statistiques suggèrent que ce n’est pas uniquement lié au hasard. Les dentistes injectent un agent anesthésiant aux enfants depuis presque 100 ans, et ils ont peut-être contribué à la disparition de certaines dents de sagesse sans s’en rendre compte », a noté l’auteur de l’étude, le dentiste Anthony Silvestri, selon MedicalNewsToday.

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Le débat sur les ondes électromagnétiques se poursuit

Une nouvelle étude viendrait confirmer certains effets des ondes électromagnétiques sur l’organisme, selon Top Santé. À tout le moins sur celui des rongeurs, car l’effet démontré ne l’a été que sur des rats, et non sur des humains.

Si la France parle des antennes-relais, il en va de même au Québec, avec nos fameux nouveaux compteurs d’électricité, en plus de tous les appareils émetteurs d’ondes retrouvés dans nos maisons.

Donc, ces appareils producteurs d’ondes dans notre environnement peuvent-ils avoir un effet sur notre santé? Oui, répond l’équipe de chercheurs de l’Université d’Amiens et de l’INERIS.

Les chercheurs, dont les conclusions sont publiées dans le magazine Environnement Science and Pollution Research, croient qu’on peut parler d’effet sur l’équilibre énergétique, ce qui pourrait mener à certains problèmes de santé.

Perte de sommeil ou insomnie et prise de poids feraient partie des « symptômes », des phénomènes observés chez les rongeurs-tests.

Plus précisément, certains rats ont démontré des baisses de température, une faim supérieure, un sommeil fractionné et une certaine anxiété. Plus encore, la queue de certains rats a carrément été modifiée!

Les chercheurs tiennent mordicus à ce que d’autres études sur le sujet soient produites, afin de voir si cette corrélation peut s’étendre et s’appliquer à l’humain.

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De petits robots pour aider les enfants malades

Dans le cadre d’une étude publiée dans le journal Cyberpsychology, Behavior and Social Networking, de petits compagnons domestiques robots ont tenté de prendre la place de véritables animaux auprès d’enfants malades et de leur famille.

Les résultats ont été étonnants : lorsque les parents des enfants étaient présents à la séance de thérapie, les jeunes malades ont rapporté que leur niveau de douleur avait baissé de manière significative. Mais lorsque l’enfant était en interaction avec le robot sans la présence d’un parent, il n’y avait pas vraiment de différence.

Les chercheurs ont attribué ce fait à un phénomène appelé « le modelage parental ». Les enfants apprennent à gérer leurs émotions comme la peur et l’anxiété en observant comment un adulte de confiance répond à la situation, puis en se comportant de manière similaire.

« Il sera intéressant d’explorer si les bénéfices du modelage parental que nous avons observés durant les interactions avec les animaux robots continuent à long terme », a expliqué l’auteure de l’étude, Sandra Okita, selon PsychCentral.

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Les enfants obèses risquent d’avoir des problèmes rénaux plus tard

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 5000 personnes nées en Angleterre en 1946, qui avaient été suivies depuis l’enfance.

Plus celles-ci étaient devenues obèses jeunes, plus elles avaient de chances d’avoir une maladie rénale à 60 ans. Le risque était deux fois plus élevé que chez les personnes qui n’avaient jamais souffert d’embonpoint, ou même celles qui avaient développé un surpoids entre 60 et 64 ans.

« Les preuves s’accumulent pour signifier que l’obésité en bas âge est un facteur clair de diabète. Ce que cette étude signifie est que les patients obèses, diabétiques ou pas, devraient passer des tests de dépistage des maladies rénales », a noté la néphrologue Janice Lea, selon MedPageToday.

L’auteure de l’étude, la Dre Dorothea Nitsch, a expliqué : « Nous avons estimé que 36 % des maladies rénales pourraient être prévenues dans la population américaine si personne ne souffrait de surpoids avant l’âge de 60 ans ».

Les résultats ont été publiés dans le Journal of the American Society of Nephrology.

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Les aptitudes spatiales entre les enfants des deux sexes

Même si les garçons et les filles ont une intelligence générale similaire, la recherche des 35 dernières années a montré de manière constante que les garçons réussissent mieux dans les tests liés aux aptitudes spatiales. Ceci pourrait expliquer pourquoi il y a encore beaucoup moins de femmes dans les champs d’étude et de travail qui mettent à profit ces compétences.

Des chercheurs australiens ont analysé des données provenant de plusieurs études et ont avancé que la différence observée entre les deux sexes pourrait bien être liée à l’identification sexuée des enfants. En effet, même si les enfants naissent fille ou garçon, il peut y avoir de grandes variantes dans leur degré d’identification et de cautionnement des rôles masculins et féminins.

Ainsi, le fait de posséder de bonnes aptitudes spatiales était fortement lié chez les enfants à l’identification sexuée envers le genre masculin, peu importe s’il s’agissait de garçons ou de filles.

Puisque le développement des aptitudes spatiales ainsi que de l’identification sexuée passent beaucoup par le jeu, les parents, les éducateurs et les enseignants auraient intérêt à effectuer « une inclusion délibérée des activités considérées comme typiquement masculines dans la vie de tous les jours, plutôt que d’encourager la ségrégation des activités selon le sexe des enfants », ont expliqué les auteurs, selon Science Daily.

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Le tabagisme influence aussi le taux de survie du cancer du côlon

On apprend par The National Library of Medicine que les taux de survie à la suite d’une opération pour un cancer du côlon sont grandement influencés à la baisse chez les fumeurs.

Sur une période donnée de trois ans, les statistiques de survie et de rémission complète après une ablation partielle du côlon se chiffreraient à 74 % chez les non-fumeurs, contre 70 % pour les fumeurs.

Une autre bonne raison pour arrêter de fumer, croit Amanda Phipps, auteure de l’étude et spécialiste au Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle.

« Il y a une différence. Les pronostics chez les fumeurs sont plus sombres. Les effets du tabagisme peuvent s’étendre au-delà du risque accru de cancer du côlon, mais aussi sur la suite des choses après un diagnostic. C’est bien lorsque les recherches dressent un portrait constant concernant la santé publique », déclare Phipps, en faisant référence aux nombreuses campagnes anti-tabac et à la lutte constante au tabagisme dans nos sociétés.

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La fin des hommes dans cinq millions d’années?

Top Santé rapporte des conclusions d’une chercheuse qui prévoit l’extinction de la race masculine d’ici cinq millions d’années!

La chercheuse australienne Jenny Graves propose cette théorie en expliquant que le chromosome Y est trop faible pour assurer sa propre survie.

On rapporte que le chromosome Y est déjà en perte de vitesse, n’affichant plus qu’une centaine de gènes dans son bagage, contrairement à un millier pour le chromosome X (le chromosome féminin).

Cette théorie controversée et inquiétante pour les hommes est cependant contredite par un homologue de la professeure Graves, le professeur Robin Lovell-Badge, qui croit plutôt que le déclin du chromosome Y est arrêté depuis bien longtemps (25 millions d’années).

Pour Jenny Graves, qui va plus loin dans son raisonnement, le chromosome Y disparaitra… pour faire place à un nouveau! Elle croit donc que l’histoire de l’humanité verra apparaitre une nouvelle espèce…

Qui a raison? Rendez-vous dans cinq millions d’années…

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Une nouvelle thérapie pour les enfants hémiplégiques

L’hémiplégie, c’est la paralysie partielle ou totale d’un seul côté du corps. L’organisme Breathe Arts Health Research, qui s’applique à concevoir des approches créatives et différentes pour régler des problèmes de santé, s’est associé à une équipe de professionnels de la santé et de la magie pour améliorer la santé et le bien-être des enfants atteints d’hémiplégie.

L’association offre ainsi des camps destinés à ces enfants, où ceux-ci apprennent des tours de magie spécialement adaptés pour eux. Ces tours ont tous été conçus pour encourager les mouvements requis dans l’entraînement physique des membres affectés, ce qui permet de restaurer une partie de leur motricité.

Avant le camp de magie, ces enfants n’utilisaient par exemple leur main « faible » que dans environ 25 % de leurs activités quotidiennes qui demandent les deux mains. Après le camp, ce pourcentage a grimpé jusqu’à 93 %, et les enfants accomplissaient ces tâches de façon plus indépendante.

50 enfants ont déjà bénéficié de ces camps spéciaux en Grande-Bretagne et en Israël, et l’organisme espère pouvoir élargir ce service, selon MedicalNewsToday.

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La calvitie liée aux problèmes cardiovasculaires

Des chercheurs japonais viennent confirmer une théorie lancée il y a quelque temps, à savoir qu’un lien est observable entre la calvitie chez l’homme et d’éventuels problèmes cardiovasculaires.

C’est The National Library of Medicine qui rapporte cette nouvelle, dans laquelle les chercheurs en tête de l’étude précisent toutefois que ce lien serait vérifiable seulement chez les hommes qui perdent leurs cheveux sur le sommet du crâne.

Une précision étonnante, mais la recherche se base sur l’analyse de six autres études, impliquant au total 37 000 hommes. On peut donc parler de profondeur pour l’étude publiée notamment dans le journal BMJ Open.

Le Dr Tomohide Yamada, de l’Université de Tokyo, rappelle qu’il est difficile d’expliquer ce lien, mais que la résistance à l’insuline, les infections chroniques et une sensibilité à la testostérone peuvent expliquer le phénomène. Ces facteurs sont d’ailleurs tous reliés aux maladies cardiovasculaires.

D’autres études sont à prévoir sur le sujet, mais les hommes inquiets par ces révélations ne sont toutefois pas sans recours.

On suggère notamment de prendre la chose au sérieux et de se mettre à l’exercice physique, de surveiller son alimentation et de limiter le stress en général.

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Les hommes seraient plus malheureux que les femmes de ne pas avoir d’enfant

Des chercheurs ont mené une étude auprès de 27 hommes et de 81 femmes qui n’avaient pas d’enfants. Parmi ceux-ci, 63 % des femmes et 59 % des hommes auraient voulu en avoir.

De plus, 50 % des hommes avaient ressenti de l’isolement parce qu’ils n’avaient pas d’enfants, comparativement à seulement 27 % des femmes.

38 % des hommes avaient eu des épisodes dépressifs, comparativement à 18 % des femmes, et 56 % étaient jaloux des gens qui avaient des enfants, contre 47 % des femmes.

Le seul point où les femmes dépassaient les hommes était la culpabilité de ne pas avoir d’enfants (16 % des femmes, mais aucun homme).

« Il existe très peu de données sur le désir de paternité chez les hommes. Cette étude montre que non seulement le désir d’enfant est similaire entre les deux sexes, mais que les hommes ont même un niveau plus élevé de sentiments négatifs par rapport à leur absence d’enfants », a indiqué l’auteur de l’étude, Robin Hadley, selon PsychCentral.

Les résultats de l’étude ont été présentés lors du récent congrès de la British Sociological Association.