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Quel est le meilleur traitement pour l’hyperactivité?

Selon une récente analyse de l’autorité américaine en matière de santé, les Centers for Disease Control (CDC), environ 11 % des enfants d’âge scolaire reçoivent aujourd’hui un diagnostic de trouble du déficit de l’attention et d’hyperactivité (TDAH).

L’analyse a porté sur 55 études complétées entre 1980 et 2011, ayant pour objet différents traitements contre le TDAH. Parmi celles-ci, les chercheurs ont trouvé 8 « bonnes » études prouvant les avantages de la formation comportementale menée auprès des parents, consistant à 10 à 12 séances qui permettent aux parents de mieux comprendre leur enfant, et d’agir en conséquence.

En contraste, seulement une « bonne » étude portait sur l’utilisation de médicaments comme le Ritalin. Selon celle-ci, ces médicaments auraient un effet similaire sur le comportement, mais présenteraient également des risques pour l’enfant, comme l’irritabilité et les troubles de l’humeur, ainsi que le ralentissement de la croissance.

« Même si une approche comportementale est manifestement l’intervention de première ligne la plus appropriée, il est souvent difficile pour les familles d’avoir accès à des thérapies comportementales de qualité », a toutefois fait remarquer un expert du TDAH, le Dr William Barbaresi, selon MedlinePlus.

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Les enfants américains n’ont pas assez accès aux services en santé mentale

La fondation W.K. Kellogg, qui vient en aide aux enfants vulnérables, a lancé un grand projet d’une durée de 5 ans appelé The National Voices Project.

Dans le cadre de ce projet qui vise à établir un portrait réaliste des ressources offertes aux enfants et aux jeunes Américains, la fondation a mené un sondage auprès de nombreux intervenants adultes.

« Les répondants à ce questionnaire travaillent ou font du bénévolat auprès des enfants. Ce sont probablement ces personnes qui sont les mieux placées pour référer ceux-ci aux services de santé dont ils ont besoin », a expliqué le directeur du projet, le Dr Matthew Davis, selon Science Daily.

La majorité de ces intervenants a répondu qu’il y avait « beaucoup de disponibilité » pour les enfants et les jeunes en ce qui a trait aux soins hospitaliers (55 %) et aux services offerts en clinique (56 %). Par contre, seuls 30 % des répondants considéraient que la disponibilité était bonne pour les services en santé mentale.

« Ces données indiquent que ces services sont peu accessibles aux enfants et aux jeunes, et ce, dans la plupart des villes et des communautés à travers le pays », a ajouté le Dr Davis.

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Un traitement pour contrôler le cholestérol pourrait aussi prévenir de la DMLA

La DMLA, ou dégénérescence maculaire, est l’un des problèmes les plus communs à survenir chez les gens qui prennent de l’âge. Plusieurs solutions sont envisagées, mais certaines pourraient provenir de traitements ou de médications déjà existants.

Ce serait notamment le cas des traitements de contrôle du cholestérol, rapporte Top Santé. C’est du moins ce que croient certains chercheurs américains, qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, selon les spécialistes de la Washington University School of Medicine, un taux de cholestérol élevé a des effets non seulement sur le système immunitaire, mais aussi sur les risques de développer un trouble de dégénérescence maculaire.

Avec un taux élevé de cholestérol, les cellules immunitaires s’en prendraient même directement à la rétine. On veut donc créer un nouveau traitement qui permet non seulement de contrôler les taux de cholestérol, mais aussi de prévenir la DMLA.

On croit que la meilleure formule de traitement se matérialiserait sous la forme de gouttes pour les yeux.

« Ces traitements anti-cholestérol pourraient prévenir l’accumulation de lipides dans la rétine », confirment et résument les chercheurs basés à Washington.

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Méditer rendrait aussi plus enclin à la compassion

La méditation possède de multiples vertus bien connues des spécialistes et des gens qui pratique cette discipline, mais Santé Log rapporte une étude fort intéressante sur le sujet, qui dévoile un nouvel avantage de la méditation.

Selon des chercheurs américains, deux groupes associés de la Northeastern University et à Harvard, le fait de méditer apporte une telle paix intérieure qu’elle aurait aussi un impact sur nos relations et réactions envers autrui.

Des hausses de compassion ont été observées chez les sujets de l’étude, comme l’explique l’auteur principal de cette recherche, David DeSteno : « Nous savons que la méditation améliore le bien-être physique et psychologique, nous montrons qu’elle favorise aussi un comportement de compassion ».

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont simulé une scène se déroulant dans une salle d’attente, qui place le sujet dans une situation où il devra choisir de céder son siège ou non à un patient plus mal en point que lui, qui n’a nulle part où s’assoir.

Les résultats sont éloquents : seuls 15 % des sujets étudiés vont tenter d’aider la tierce personne ou de lui offrir leur place. Cependant, après une formation de huit semaines en méditation, ce chiffre bondit à 50 %.

On peut donc conclure qu’une personne en meilleure santé mentale, bien dans sa peau et calme à souhait sera également une meilleure personne sur le plan moral.

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Les enfants autistes auraient plus de changements génétiques au cerveau

Selon une nouvelle étude, les enfants qui ont reçu un diagnostic de trouble dans le spectre de l’autisme (TSA) présenteraient plus de modifications génétiques dans une région du cerveau que les chercheurs décrivent comme « un point névralgique ».

Ces mutations prennent souvent la forme d’un excès de segments du code génétique dupliqué dans cette région du cerveau, qui pourrait augmenter les chances qu’un enfant développe un TSA.

Les mutations trouvées ne sont pas uniques aux enfants autistes, mais se retrouvent par contre beaucoup plus souvent chez les enfants qui ont ce trouble que chez ceux qui se développent de manière typique.

De plus, les enfants qui avaient le plus de difficulté à accomplir les tâches de la vie quotidienne montraient le plus grand nombre de ces changements génétiques, ce qui a poussé les auteurs à affirmer que l’étude révèle « les effets de ces mutations de manière très claire et graduée », selon EurekAlert!

Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Human Molecular Genetics.

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Les protocoles d’intervention fonctionnent pour promouvoir l’allaitement exclusif

Le journal médical Pediatrics publie les résultats d’une étude ayant porté sur 757 nouvelles mères et de leur bébé. L’étude a été menée à partir de deux cliniques pédiatriques d’importance, qui servaient des populations multiculturelles, tant urbaines que rurales.

Le protocole mis en place, qui était basé sur les recommandations de l’Organisation mondiale de la santé et des Nations Unies, incluait la formation du personnel, des politiques écrites, de l’aide d’une consultante en lactation, un effort de rejoindre les gens et la prise de statistiques.

La moitié des paires mère-bébé a été analysée avant la mise en place du protocole, et l’autre moitié, après. Le taux d’allaitement exclusif a été beaucoup plus élevé dans le groupe « d’après », et ce, autant peu après la naissance qu’à différents moments jusqu’à 6 mois.

« Les résultats de cette étude suggèrent que la mise en place d’un protocole d’intervention dans une clinique de soins primaires peut augmenter l’allaitement exclusif pendant les premiers mois de la vie », ont conclu les auteurs, selon Medscape.

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Les bébés nés de mères adolescentes ont souvent des frères et soeurs

L’autorité en santé américaine, les Centers for Disease Control(CDC), a compilé des données portant sur le taux de naissance chez les mères adolescentes.

En 2010, près de 367 000 naissances ont eu lieu chez cette population, incluant près d’une sur 5 qui n’était pas la première grossesse. 13 % de ces naissances répétées étaient même pour un 3e enfant.

Ces taux variaient considérablement entre les groupes ethniques. Les jeunes amérindiennes étaient les plus susceptibles d’avoir des naissances répétées, avec 21,6 %, suivies des adolescentes d’origine hispanique (20,9 %), puis des Afro-Américaines (20,4 %). Les adolescentes caucasiennes avaient quant à elle un taux de 14,8 %.

Les différents États pouvaient aussi montrer des différences marquées. Les naissances répétées chez les mères adolescentes étaient ainsi beaucoup plus fréquentes au Texas (22 %) qu’au New Hampshire (10 %), par exemple.

« Les taux de naissances de mères adolescentes ont beaucoup diminué aux États-Unis, ce qui est une bonne nouvelle. Mais ces taux sont encore vraiment trop hauts! Les naissances répétées peuvent avoir un impact négatif sur l’éducation de la mère et ses occasions d’emploi, ainsi que sur la santé de la prochaine génération », affirme le directeur des CDC, le Dr Tom Frieden, selon Med Page Today.

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La première cigarette de la journée pourrait bien être la plus dangereuse

Chers fumeurs, quand dégustez-vous votre premier bâtonnet de nicotine de la journée? Sachez que si vous le consommez trop tôt, ceci pourrait avoir une incidence marquée sur les risques de développer un cancer.

Selon des recherches rapportées par Top Santé, le moment de la première cigarette serait un facteur important en matière de cancer. Ainsi, les chercheurs américains qui se sont penchés sur le sujet estiment qu’un fumeur qui allume sa première cigarette de la journée dans les 30 minutes suivant le réveil augmenterait ses chances de développer un cancer de… 31 %!

On conseille d’attendre au moins 60 minutes, car les statistiques baissent drastiquement une fois ce laps de temps écoulé.

D’autres résultats font état d’un risque accru qui frôle les 80 % pour ceux qui en « grillent une » dès le saut du lit.

Les chercheurs sont eux-mêmes surpris de ces résultats, car ils ont bien du mal à en expliquer les raisons.

Quoi qu’il en soit, ils sont convaincus que si vous ne pouvez arrêter de fumer dans l’immédiat, il est au moins préférable de faire preuve de patience au réveil!

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Nouvelle percée intéressante dans le traitement de la presbytie

Les gens qui souffrent de presbytie seront heureux d’apprendre qu’une nouvelle technique est maintenant à l’essai afin de tenter d’enrayer le problème.

Selon Santé Log, il s’agit d’une technique non invasive, qui ne nécessiterait aucune intervention chirurgicale, pas plus que le port de lunettes ou d’un appareil spécialisé encombrant.

Ce sont des chercheurs de l’Université de New South Wales, à Sydney en Australie, qui proposent cette nouvelle façon de faire. Celle-ci fait appel à des lentilles cornéennes spécialement créées pour corriger les problèmes de vision dus à la presbytie.

Portées seulement la nuit, ces lentilles permettraient ni plus ni moins de remodeler carrément la cornée, ce qui a de quoi surprendre. Les traitements de la cornée sont rares, et cette nouvelle technique théorique permet aux patients qui souffrent de ce trouble d’être optimistes.

Après avoir testé ces fameuses lentilles sur un groupe de 16 patients, les chercheurs rapportent que le taux de réussite observé dans ce groupe est de 100 %.

D’autres études sont à prévoir, mais il semble que cette avancée pourrait être commercialisée incessamment.

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Le vaccin contre la varicelle offre une protection à long terme

Le vaccin contre la varicelle est apparu pour la 1re fois en 1995 aux États-Unis. Ce vaccin a presque éradiqué la maladie; auparavant, plus de 90 % des enfants et jeunes l’attrapaient avant l’âge de 20 ans.

Dans le cadre de l’étude, des chercheurs ont effectué un suivi pendant 14 ans auprès de 7585 enfants qui avaient reçu le vaccin durant leur 2e année de vie.

Pendant toute la durée de cette période, les enfants vaccinés étaient de 9 à 10 fois moins à risque d’attraper la varicelle ou encore le zona, une autre infection provenant du même virus.

14 ans après la vaccination, seulement 1505 cas ont été rapportés, mais la majorité de ceux-ci étaient légers, comparativement à une infection sévère pour la plupart des enfants avant la vaccination.

Les chercheurs rapportent qu’en 2006, une deuxième dose du vaccin a été offerte, ce qui a mené à une réduction encore plus grande du nombre de cas par la suite. Cette 2e dose, habituellement administrée entre l’âge de 4 et de 6 ans, rendrait ainsi l’immunisation encore plus efficace, selon MedicalNewsToday.