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Les filles sont moins bonnes en mathématiques : un mythe

Il existe un mythe tenace concernant la gent féminine et les mathématiques, soit celui que les filles soient moins bonnes dans cette matière que les garçons.

Selon une étude américaine rapportée par Santé Log, les filles peuvent se démarquer tout autant que leurs camarades masculins en maths, et les raisons qui expliquent les succès ou les échecs relèveraient plutôt d’autres facteurs que le simple sexe de la personne.

On parle entre autres de l’estime de soi, qui serait primordiale pour exceller dans les chiffres et les nombres. Cette qualité est par ailleurs utile pour une multitude d’autres sujets dans la vie en général, mais particulièrement dans les matières comme les mathématiques, apprend-on. L’envie de réussir est aussi un facteur important, selon les chercheurs.

Publiées dans la prochaine édition du Psychology of Women Quarterly, ces recherches confirment donc que les filles de ce monde n’ont aucune crainte ni aucun complexe à avoir, et qu’elles peuvent envisager des carrières en mathématiques et en sciences, à l’égal des garçons.

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Le stress chez les parents d’enfants qui ont le cancer

Des chercheurs ont analysé le taux de stress et de détresse psychologique de 104 parents qui avaient tous un enfant atteint d’un cancer à un stade avancé.

Ces parents remplissaient des questionnaires qui permettaient d’évaluer ce taux de difficultés émotionnelles : un résultat supérieur à 7 indiquait « une détresse élevée », tandis qu’un résultat plus haut que 13 signalait « une détresse psychologique sérieuse ».

Le résultat moyen de ces parents était de 7,9, ce qui, on le comprend, est beaucoup plus élevé que le 2,5 des adultes américains moyens. La moitié des parents ayant participé à l’étude avaient un résultat supérieur à 8, et 16 % d’entre eux étaient en état de détresse psychologique sérieuse.

Ceux qui avaient espoir que leur enfant guérisse et ceux qui comprenaient bien que le pronostic était bien aligné avec les buts du traitement éprouvaient moins de stress que les autres. Les parents en détresse psychologique étaient plutôt ceux qui savaient que leur enfant souffrait à cause du traitement, et qui avaient des problèmes financiers reliés au cancer, selon ce que rapporte MedPageToday.

Les résultats ont été publiés dans le journal JAMA Pediatrics.

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Est-ce que les enfants obèses peuvent perdre du poids par eux-mêmes?

Le journal médical Pediatrics a publié les résultats d’une nouvelle étude portant sur 50 enfants en surpoids ou obèses de 8 à 12 ans, ainsi que leur famille.

Le traitement durait 5 mois, et la famille était presque autosuffisante; c’est-à-dire que les suivis avec des professionnels de la santé étaient minimaux.

Après cette période, les enfants ont réussi à réduire leur indice de masse corporelle de façon significative, et cette perte de poids s’est même maintenue pendant 6 mois.

Les chercheurs ont été enchantés des résultats, puisque ceux-ci prouvent que ce programme peut fonctionner même pour les familles qui n’ont pas beaucoup de moyens ou de temps.

« Ce programme offre aux familles une structure qui les aidait à le suivre. Les parents et les enfants reçoivent un manuel, lisent ensemble un chapitre par semaine et tentent d’appliquer leurs connaissances à la maison. Deux fois par mois, ils viennent dans notre clinique pour une rencontre qui dure vingt minutes; il s’agit d’une énorme différence par rapport aux programmes de perte de poids traditionnels, où il y a un rendez-vous d’une heure et demie par semaine », a expliqué l’auteure, la Dre Kerri Boutelle, selon Science Daily.

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Retour sur le lien entre la longévité et la reproduction chez l’homme

On apprend via Santé Log qu’un lien peut être tracé entre la longévité chez l’homme et ses comportements reproducteurs, un lien qui viendrait d’être aussi observé chez les oiseaux.

D’abord, revenons sur celui du mâle humain. Plusieurs études auraient démontré un lien direct entre les hormones sexuelles et la longévité chez l’homme. Ainsi, plus un sujet possède de ces hormones, moins il vivrait longtemps.

On comprend de ces études plus ou moins bien expliquées que l’homme qui « conserve » ces cellules risque de vivre moins vieux!

Or, on vient de tirer des conclusions en ce qui concerne les oiseaux qui tendent à prouver celles concernant l’homme.

Cette toute nouvelle étude, en provenance de la Suède, explique que ce sont les télomères qui influenceraient ce processus de longévité. Les télomères sont des « couvercles » de protection des chromosomes. Ils sont définis par une longueur, et cette dernière serait gage d’une longévité accrue ou moindre.

Même si le débat est lancé depuis fort longtemps, et que ce lien observé n’est pas récent, il est clair qu’il faudra encore plus de recherches et de patience pour arriver à des conclusions précises et plus faciles à expliquer.

Pour l’instant, ces récentes recherches ont été publiées dans le magazine BioMed Central Evolutionary Biology.

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Le hockey responsable de près de la moitié des traumatismes crâniens chez les enfants canadiens

Le soccer était quant à lui responsable de 19 % des traumatismes crâniens causés par la pratique d’un sport, affectant surtout les enfants et jeunes de 10 ans et plus. Le baseball était en 3e position, avec 15,3 % des blessures. Venait ensuite le football, avec 12,9 %, suivi du basketball avec 11,6 % et du rugby avec 5,6 %.

Les blessures à la tête subies durant la pratique d’un sport peuvent avoir des conséquences à moyen et à long terme chez les enfants. Par exemple, des études précédentes ont révélé que des athlètes qui avaient subi un traumatisme crânien avaient toujours de la misère à se concentrer ou à passer d’une tâche à l’autre plusieurs mois après l’accident.

L’étude montre que « les contacts physiques dans les sports sont toujours un aspect où nous devons faire des efforts majeurs afin de prévenir les traumatismes crâniens. Nous devons par exemple nous assurer que les règlements en place sont appliqués, et que des mesures supplémentaires incitatives — et dissuasives face aux contrevenants — sont aussi bien claires », a dit l’auteur, le Dr Michael Cusimano, neurochirurgien à l’hôpital St Michael à Toronto, selon Medical News Today.

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Une croissance linéaire chez les enfants associée à une meilleure santé plus tard

Une étude portant sur 8362 enfants nés dans 5 pays émergents (Brésil, Guatemala, Inde, Philippines et Afrique du Sud) a tenté d’évaluer la manière dont la santé générale était liée à leur croissance durant différentes périodes cruciales du développement.

Les bébés qui avaient un poids de naissance plus élevé et qui avaient suivi une courbe de croissance linéaire jusqu’à deux ans étaient nettement avantagés. Ils couraient moins de risques d’avoir des problèmes de glycémie, d’être de petite taille à l’âge adulte et de ne pas avoir complété leur éducation secondaire.

En contraste, ceux qui avaient connu une prise de poids rapide après l’âge de deux ans avaient plus de chances de souffrir d’embonpoint et de pression artérielle élevée, et ce, même si leur poids était considéré comme insuffisant au départ.

« Les pays qui font face au double défi de la malnutrition et de l’émergence de l’obésité ont besoin de bien connaître les effets de la croissance au début de la vie, particulièrement durant les 1000 premiers jours », a noté l’auteure de l’étude, la Dre Linda Adair, selon Medscape.

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Déficit de l’attention : il vaut mieux former les parents que donner des médicaments aux enfants

Afin d’établir la meilleure méthode de traitement pour ce qui est du TDAH, des chercheurs ont analysé des dizaines d’études portant sur les enfants d’âge préscolaire (moins de 6 ans) qui avaient reçu un diagnostic et présentaient des problèmes jugés « significatifs ».

Parmi les méthodes étudiées, on trouvait l’utilisation de psychostimulants, la formation des parents, ainsi que des interventions ciblées en milieu préscolaire ou de garderie.

La formation des parents, afin que ceux-ci soient mieux capables d’aider leur enfant, était de loin la méthode la plus fiable, avec au moins 8 études qui prouvaient son efficacité hors de tout doute.

Une seule étude soutenait les bénéfices des médicaments, ce que les médecins ont qualifié « de preuve très mince ». Les interventions dans le milieu de l’enfant donnaient quant à elles des résultats manquant de constance.

Les auteurs ont conclu que « les preuves montrent que la formation comportementale des parents améliore les capacités de ceux-ci à gérer les problèmes de leur enfant, et améliorent également les comportements dérangeants de ceux-ci, incluant les symptômes de base du TDAH », selon MedPageToday.

Les résultats de l’analyse ont été publiés dans le Pediatrics.

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Le risque d’autisme n’est pas lié aux vaccins

Des chercheurs ont analysé les données provenant de 256 enfants avec un trouble dans le spectre de l’autisme (TSA), et 752 enfants qui n’avaient pas reçu ce diagnostic.

En particulier, les vaccins reçus par chaque enfant ont été examinés, ainsi que leur exposition à des antigènes (la substance contenue dans les vaccins qui permet au corps de développer une réponse immunitaire) sur le plan cumulatif et dans une même journée.

Cette exposition était la même entre les deux groupes d’enfants. L’exposition à des antigènes était similaire, même lorsque des sous-catégories de TSA ont été considérées.

Les chercheurs affirment que même si le nombre de vaccins que reçoivent les enfants de 2 ans et moins est plus grand qu’à la fin des années 90, le niveau d’antigènes d’aujourd’hui est infime comparé à celui de l’époque.

Les causes de l’autisme sont donc autres, disent les chercheurs, expliquant que « la possibilité que la stimulation immunologique due aux vaccins durant les deux premières années de vie soit reliée au développement d’un TSA n’est pas vraiment supportée par ce que l’on sait sur la neurobiologie de ce trouble », selon ce que rapporte ScienceDaily.

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Les enfants qui font de l’apnée du sommeil sont plus à risque d’avoir des problèmes de comportement

Le journal médical SLEEP a publié les résultats d’une étude ayant porté sur 263 enfants, qui ont subi des tests dans un laboratoire de sommeil, ainsi qu’une évaluation neurocomportementale complète.

Parmi ceux-ci, 23 ont développé de l’apnée du sommeil pendant l’évaluation, tandis que 21 avaient ce problème persistant au départ. Finalement, 41 enfants qui faisaient au départ de l’apnée du sommeil ont vu ce problème disparaître durant les 5 ans de suivi après l’étude.

Les enfants qui ont développé l’apnée du sommeil durant l’étude avaient de 4 à 5 fois plus de chance que les autres d’avoir des problèmes de comportement, tandis que ceux qui avaient la forme persistante étaient 6 fois plus à risque. Ces enfants risquaient plus d’éprouver des problèmes d’hyperactivité, d’attention, de communication, d’habiletés sociales et de comportements perturbants.

« Cette étude procure de l’information importante aux professionnels de la santé, montrant que même si l’apnée du sommeil peut éventuellement disparaître, celle-ci est associée à des risques considérables de comportement. Les enseignants devraient aussi considérer que les problèmes de sommeil pourraient être la cause de problèmes survenant en milieu scolaire », a expliqué l’auteure de l’étude, Michelle Perfect, selon ScienceDaily.

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Une meilleure santé pourrait signifier un meilleur salaire

Une enquête sur la santé et les revenus surprend en affirmant que les travailleurs en excellente santé pourraient gagner plus que les autres, révèle Top Santé.
 
Menée par l’Institut de recherche et documentation en économie de la santé (Irdes), l’investigation se penche sur le cas des travailleurs français, pour qui la théorie semble s’appliquer grandement.
 
Ainsi, on avance que les travailleurs avouant être en mauvaise santé gagnent, en moyenne, jusqu’à 14 % de moins que leurs collègues ayant une santé de fer.
 
On parle donc ici de discrimination, de l’aveu même des auteurs de cette enquête plutôt légère, avouons-le. Les conclusions permettent tout de même de comprendre que les patrons et dirigeants de ce monde préfèrent donner les augmentations, bonus et promotions à ceux qui se disent en excellente santé, ou qui semblent l’être, à tout le moins.
 
Donc, si vous souhaitez battre vos collègues pour un poste ouvert ou simplement assurer votre avenir au bureau, mieux vaut ne pas trop se plaindre et masquer certains problèmes de santé.
 
En revanche, il est peut-être préférable de se vanter de sa bonne santé, le cas échéant, car il semble que ce genre de discours attire l’oreille attentive des patrons.