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Ne comptez pas sur le calendrier lunaire chinois pour prédire le sexe de votre enfant

Connaissez-vous le calendrier lunaire chinois? Celui-ci, qui a prétendument été enfermé dans un tombeau pendant près de 700 ans, serait capable de deviner le sexe d’un bébé à naître, avec une exactitude pouvant aller jusqu’à 93 %!

Ça semble trop beau pour être vrai et, évidemment, ça l’est. Des chercheurs ont décidé de tester ce calendrier, en l’utilisant pour réviser 2,8 millions de véritables naissances, qui ont eu lieu entre 1973 et 2006.

Même si les chercheurs savaient qu’il n’y avait aucune raison rationnelle pouvant expliquer les prétentions du calendrier, ils affirment qu’ils ont « amorcé l’étude avec l’esprit ouvert », étant prêts à se laisser surprendre, selon Parenting Squad.

Mais la surprise ne s’est pas produite. En effet, selon les conclusions de cette étude publiée dans le journal Pediatric and Perinatal Epidemiology, le calendrier était exactement aussi efficace que… le fait de tirer à pile ou face!

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Les commotions cérébrales liées aux sports chez les enfants peuvent avoir des complications

Dans le cadre d’une nouvelle étude, des chercheurs ont analysé les données provenant de 17 patients (12 garçons et 5 filles) qui avaient eu une commotion cérébrale en pratiquant un sport (le soccer pour 23 % d’entre eux, et le football pour 17 %).

Ces enfants avaient beaucoup plus de chances, après l’incident, d’éprouver des problèmes comme des maux de tête et de ventre, des étourdissements, ainsi qu’un repli sur eux-mêmes et de la dépression.

Les chercheurs ont remarqué que ces symptômes suggèrent que la commotion pourrait avoir un effet sur les domaines d’internalisation du cerveau, ce qui pourrait facilement passer inaperçu pour les parents et les professionnels de la santé.

La Dre Ivet Hartonian, qui a mené l’étude, a expliqué à Medscape Medical News : « Nos résultats suggèrent qu’il peut y avoir des séquelles à long terme chez les enfants qui ont des traumatismes crâniens pendant qu’ils pratiquent un sport. Les médecins doivent être conscients de cette possibilité. Nous devons aussi mettre l’accent sur le fait de faire du sport de manière la plus sécuritaire possible, et de toujours porter un casque s’il y a un risque de blessure à la tête ».

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Les antidépresseurs durant la grossesse n’auraient pas d’impact sur la croissance des bébés

L’American Journal of Psychiatry a publié les résultats d’une étude portant sur les femmes qui avaient pris des antidépresseurs de la classe des inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRI).

Lorsque leurs bébés ont eu un an, ceux-ci avaient un poids, une taille et une circonférence de la tête similaires aux enfants dont les mères n’avaient pas pris ces médicaments.

Les chercheurs ont noté qu’à la naissance, les bébés dont les mères avaient pris des antidépresseurs SSRI étaient un petit peu plus petits, mais cette différence s’est estompée en seulement deux semaines.

Les mesures des bébés dont les mères étaient dépressives, mais n’avaient pas pris de médicaments, se comparaient également avec ceux de la population générale.

« La plupart des femmes veulent connaître les effets de leur dépression et de leur médication sur leur bébé à naître, mais aussi sur la croissance et le développement de leur enfant à long terme. Cette information pourrait aider les femmes à faire le point entre les risques et les avantages des antidépresseurs durant la grossesse », a dit l’auteure de l’étude, la Dre Katherine Wisner, selon PsychCentral.

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Ces médecins qui prescrivent des placebos

Une étude surprenante en provenance de l’Angleterre dévoile des statistiques concernant les prescriptions de placebos. En fait, on parle de 97 % des médecins britanniques qui auraient déjà prescrit des placebos en guise de médication, un phénomène qui ne se limiterait pas qu’à la Grande-Bretagne.

Ces statistiques sont plutôt révélatrices d’un comportement qui semble fréquent partout dans le monde, ce qui surprend les chercheurs d’Oxford en tête de l’étude.

Les praticiens interrogés croient d’ailleurs que dans plusieurs cas, les placebos peuvent réellement « fonctionner », même s’ils ne contiennent aucun agent actif.

Cependant, plusieurs crient au scandale et au manque d’éthique de la part des professionnels de la santé, puisqu’un patient en quête d’aide veut recevoir un traitement viable, et non une illusion.

Les autres études sur le sujet démontrent cependant que ce comportement est basé sur de la bonne foi, puisque les médecins utilisent le stratagème rarement, et dans le but réel d’aider les patients.

L’effet placebo est de plus reconnu comme un principe psychologique réel. Par contre, il ne fonctionne que dans l’ignorance du patient. Les études répétées sur le sujet pourraient bien mettre un terme à ce stratagème médical…

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Les parents devraient effectuer les tâches ménagères ensemble

Une nouvelle étude s’est attardée sur les taches ménagères et les soins portés aux enfants, chez 160 familles qui avaient au moins un enfant de moins de 5 ans. Le but des chercheurs était d’essayer de trouver une recette qui assurerait la qualité de la relation entre les parents.

Ceux-ci ont noté que les couples qui divisaient les tâches de façon égale (exemple, maman change une couche, papa change une couche) n’étaient pas très satisfaits de leur relation et de leur dynamique familiale.

La solution gagnante était plutôt la suivante : les parents s’arrangeaient pour faire au moins une partie des tâches ensemble (faire la vaisselle, le lavage, la routine du dodo avec les enfants), et papa s’assurait de passer du temps de qualité avec les enfants.

Selon les chercheurs, « pour les femmes, le fait que papa ait une bonne relation avec ses enfants signifiait directement que les parents auraient probablement aussi une meilleure relation entre eux », a noté l’auteure, Erin Holmes, qui est professeure de psychologie.

« Nous avons remarqué que le “qui fait quoi” n’avait pas d’importance, mais la satisfaction des parents envers la division des tâches en avait beaucoup! Lorsque les parents partagent des tâches, les femmes sont plus satisfaites », rapporte Science Daily.

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Les gènes auraient un rôle important à jouer dans l’autisme

Selon une nouvelle étude, une régulation fautive de deux gènes spécifiques, NHE6 et NHE, serait présente chez les enfants avec un trouble dans le spectre de l’autisme (TSA), alors qu’elle est absente des autres.

Les chercheurs ont été surpris de cette découverte, puisqu’au départ, l’étude portait uniquement sur des formes d’autisme très rares et très sévères, mais ils ont réalisé que ce problème de régulation semblait commun à tous les TSA.

« Ces gènes jouent un rôle, pas seulement dans les formes d’autisme rares, mais aussi dans la pathologie générale du trouble. Pour ce qui est du TSA, les gens tendent à se sentir dépassés, parce qu’il y a des centaines de gènes différents qui sont peut-être en cause. Mais l’important reste de trouver des points de convergence, où il existe des points de rencontre entre les différentes formes », a expliqué l’auteur, Dr Eric Morrow, cité par Science Daily.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Molecular Psychiatry.

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Moins de risque d’obésité lorsque l’on retarde les aliments solides chez les bébés

Des chercheurs ont donné à des rats nouveau-nés du lait dont la composition était plus similaire à celui de leur mère (avec une majorité de calories dérivées des graisses), ou encore du lait enrichi de glucides (qui était donc la source première des calories).

Après 3 semaines, les ratons ont été sevrés et ont reçu de la moulée en portions contrôlées. Pendant ce temps, ils ont grossi normalement, de manière similaire aux ratons qui étaient nourris par leur mère. Lorsque l’accès à la nourriture est devenu libre, les ratons ont développé de l’obésité.

« Plusieurs aliments et jus donnés aux bébés humains ont une haute teneur en glucides, en particulier des sucres simples », a expliqué l’auteur de l’étude, Mulchand Patel, selon Medical News Today.

« Notre hypothèse était donc que l’introduction trop rapide des aliments solides augmente l’apport en glucides, ce qui fait grimper la production d’insuline et cause une sorte de “programmation métabolique” qui prédispose l’enfant à devenir obèse. »

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Le norovirus est la cause la plus importante de gastroentérite chez les enfants

Des chercheurs américains ont analysé les données provenant de 1295 enfants de 5 ans et moins, qui avaient reçu un traitement pour une gastroentérite sévère en 2009 et 2010. La cause de leur infection dans 21 % des cas était le norovirus, comparativement à 12 % des cas pour le rotavirus.

Le taux de rotavirus a beaucoup diminué durant la période étudiée, passant de 19 % au début de 2009 à 2 % à la fin de 2010. Cette baisse est attribuable à un nouveau vaccin contre ce virus, que reçoivent de plus en plus d’enfants.

Pour leur analyse publiée dans le New England Journal of Medicine, les chercheurs ont estimé que ces infections au norovirus ont été responsables de 14 000 hospitalisations d’enfants et de 281 000 visites à l’urgence, générant des coûts de 273 millions $ chaque année aux États-Unis.

« Étant donné le déclin substantiel des gastroentérites liées au rotavirus, et étant donné les avancées scientifiques récentes pour la recherche sur un vaccin potentiel pour le norovirus, il est primordial de mesurer le fardeau relié à la gastroentérite causée par le norovirus sur le système de santé », ont remarqué les auteurs, cités par Med Page Today.

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Un robot humanoïde peut aider les enfants autistes

Une équipe de chercheurs composée d’experts du TSA et d’ingénieurs mécaniques a élaboré un système de caméras, de senseurs et d’ordinateurs pour animer un robot humanoïde visant à améliorer les habiletés sociales des enfants autistes.

Le robot servait d’intermédiaire pour attirer l’attention des enfants et diriger leur regard vers des personnes ou des objets. L’expérience a été concluante, puisque les enfants ont porté plus d’attention au robot qu’aux gens, et ont suivi ses instructions presque aussi bien que celles formulées par un thérapeute.

Les enfants avec un TSA ont souvent un intérêt particulier pour la technologie en général et pour les robots spécifiquement, ce qui a initié la recherche, en poussant les auteurs à émettre l’hypothèse que cela pourrait être « une porte d’entrée » privilégiée dans leur monde.

Le robot était « adaptatif », c’est-à-dire qu’il modulait ses interventions et ses réponses en fonction de l’enfant, ce qui serait une clé du succès.

Les auteurs de l’étude croient que ce type d’intervention pourrait être un moyen de choix pour aider les enfants avec un TSA à développer « les habiletés sociales et de communication fondamentales dont ils ont besoin pour devenir des adultes fonctionnels », selon Science Daily.

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Les enfants avec un déficit d’attention pourraient bénéficier d’un supplément dérivé du soya

Des chercheurs japonais ont effectué une étude auprès de 36 enfants avec un trouble du déficit de l’attention et d’hyperactivité (TDAH), âgés de 4 à 14 ans. Pendant deux mois, ceux-ci ont reçu un supplément de 200 mg de phosphatidylsérine chaque jour ou encore un placebo.

La phosphatidylsérine est un supplément phospholipide produit par le corps et contenant deux acides gras, comme les oméga-3 qui sont souvent donnés aux enfants avec un TDAH.

Les experts croient que des carences en différents nutriments pourraient en partie expliquer les problèmes neurologiques comme le TDAH.

Après deux mois, les enfants qui avaient pris le supplément démontraient des améliorations significatives de la mémoire auditive de courte durée, de l’inattention et de l’impulsivité.

« Les suppléments de phosphatidylsérine dérivés du soya semblent sécuritaires et sont une stratégie nutritionnelle naturelle pour améliorer la performance mentale d’enfants qui souffrent d’un TDAH », ont conclu les chercheurs, selon ce que rapporte NutraIngredients.

Les résultats ont été publiés dans le Journal of Nutrition and Dietetics.