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L’effet préventif de la vitamine E sur le cancer

Plusieurs études laissaient penser que la vitamine E pouvait avoir des vertus préventives contre le cancer, mais cette récente recherche rapportée par Medical News Today tend à le démontrer de façon claire.

Si les résultats semblaient probants sur les animaux, les essais cliniques subséquents sur les humains n’ont malheureusement pas été couronnés d’autant de succès jusqu’ici.

Voilà toutefois que des chercheurs new-yorkais ont réussi à établir un lien entre les effets de la vitamine E sur le cancer de la prostate, plus particulièrement sur l’activation d’une enzyme responsable du développement des tumeurs. En coupant le processus d’activation, la vitamine E permet de « tuer » les cellules cancéreuses, ni plus ni moins.

« C’est la première démonstration d’un mécanisme unique qui permet à la vitamine E d’offrir des bénéfices en terme de prévention et de traitement du cancer », explique l’auteur principal de ces recherches, Ching-Shih Chen.

Chen poursuit en rappelant que les suppléments de vitamine E vendus en magasin ne permettent pas de reproduire ce phénomène, et que son équipe et lui aimeraient créer une pilule qui, en dose quotidienne, préviendrait le cancer.

Plusieurs tests et expérimentations sont encore à prévoir, mais il s’agit d’une autre belle nouvelle en matière de traitement et de prévention du cancer.

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La recherche avance sur le virus responsable de nombreuses anomalies congénitales

Le cytomégalovirus est peu connu de la population générale et pourtant, il est très répandu parmi celle-ci. De 30 à 70 % des gens vivant dans les pays industrialisés en seraient porteurs.

Il s’agit d’un virus de la même famille que l’herpès, celui de la varicelle et du zona. Une fois qu’une personne est infectée, elle le demeure toute sa vie.

La plupart des personnes atteintes n’auront jamais de signes de leur infection, mais celle-ci est particulièrement problématique chez les femmes enceintes.

Les scientifiques estiment que jusqu’à 2,4 % des femmes enceintes vont contracter la maladie durant leur grossesse. Ceci affectera la moitié des foetus, en causant des lésions qui provoqueront une série de problèmes comme des atteintes neurologiques, de la surdité, des problèmes hépatiques ou digestifs, ou une microcéphalie.

« Plus d’enfants ont des anomalies à cause de cette maladie qu’à cause de n’importe quel autre problème congénital, par exemple la trisomie ou le syndrome d’alcoolisme foetal », a expliqué Gavin Wilkinson, selon EurekAlert!.

« Mais nous venons de trouver une nouvelle manière dont ce virus se cache de la détection immunitaire. En découvrant ce mécanisme, nous nous rapprochons de mettre sur pied un vaccin qui permettrait d’éliminer les cellules infectées », a-t-il ajouté.

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Les cas de gonorrhées en hausse au Québec

Depuis un peu plus d’un an, les cas de gonorrhées diagnostiquées sont en hausse au Québec, ce qui inquiète grandement les autorités de la santé du Québec.

C’est le constat alarmant que rapporte La Presse, alors que des experts croient qu’il est temps d’agir. Surtout que si la tendance se maintient, on pourrait voir apparaître sur notre territoire une souche de la maladie qui s’avère incurable.

« On voit apparaître des souches de gonorrhée qui ont une sensibilité réduite aux céphalosporines… On s’approche du seuil où ce sera préoccupant. Il n’y a pas beaucoup d’autres options », lance Brigitte Lefebvre, du Laboratoire de santé publique du Québec (LSPQ).

En chiffre, la hausse des cas de gonorrhées se traduirait par une augmentation de 407 % depuis 1997!

« C’est clair que le nombre est sous-estimé, parce qu’on ne teste pas tout le monde », déclare quant à lui le Dr Côté.

La maladie touche beaucoup les 20-29 ans, et les autorités rappellent l’importance de se protéger lors des rapports sexuels. Il reste manifestement encore beaucoup de travail en prévention et en sensibilisation au Québec…

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Des programmes structurés aident les enfants de familles défavorisées à perdre du poids

Une nouvelle étude a porté sur 280 enfants et jeunes âgés de 10 à 17 ans, qui étaient en surpoids ou encore obèses.

Ces jeunes avaient été référés par leur médecin pour participer à un programme de perte de poids structuré, dans ce cas-ci Weight Watchers.

À la fin du programme, 53 % des participants avaient atteint ou même surpassé les recommandations de poids officielles.

Ceux qui avaient pris part au programme pendant plus de 12 semaines et qui avaient assisté à au moins 10 rencontres avaient vu leur indice de masse corporelle baisser de plus de 5 %, en moyenne, selon Medical News Today.

Les problèmes de poids chez les jeunes touchent particulièrement les familles défavorisées, à cause d’une mauvaise alimentation et d’un manque d’exercice.

« Notre analyse suggère que ces programmes ont permis à la majorité des participants d’atteindre les recommandations. Les professionnels de la santé devraient donc considérer de recommander leurs patients à des programmes similaires », ont noté les auteurs.

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Les enfants de parents divorcés sont plus à risque de commencer à fumer

Le journal médical Public Health publie les résultats d’une étude canadienne qui s’est attardée sur 19 000 personnes. Parmi celles-ci, 1551 garçons et 2382 filles avaient vécu la séparation ou le divorce de leurs parents alors qu’ils étaient jeunes.

Les garçons du divorce étaient 48 % plus à risque d’être devenus des fumeurs, ainsi que 39 % des filles du divorce, comparativement à ceux dont les parents étaient restés ensemble.

« Établir ce parallèle entre le divorce des parents et le tabagisme est très dérangeant », a affirmé l’auteure de l’étude, Esme Fuller-Thomson, selon ce que rapporte Medical News Today.

« Nous croyions que cette association s’expliquerait par un ou plusieurs des trois facteurs suivants : un niveau d’éducation plus bas, un taux plus élevé de dépression ou d’anxiété, des traumatismes coexistants survenus durant l’enfance, comme les sévices physiques ou psychologiques. Cependant, même en tenant compte de ces facteurs, une association très forte entre le divorce et le tabagisme est demeurée. »

Les chercheurs n’ont pas réussi à comprendre pourquoi ce lien existe. Le tabagisme est l’une des plus grandes causes de problèmes de santé qui peuvent être prévenus.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Les enfants dépressifs risquent plus de développer des problèmes de santé

Des chercheurs américains ont étudié les données provenant de 201 enfants dépressifs avec un âge moyen de 9 ans, ainsi que 195 de leurs frères et sœurs qui n’avaient jamais souffert de dépression.

Pour former un 3e groupe de contrôle, 161 enfants du même âge et du même sexe, qui n’avaient pas d’historique de dépression, ont également été inclus.

À l’âge de 16 ans, ces jeunes ont été évalués à nouveau, s’attardant entre autres aux taux de tabagisme, d’obésité et d’activité physique au sein des trois groupes.

22 % des enfants qui avaient souffert de dépression étaient obèses, comparativement à 17 % de leurs frères et sœurs, et 11 % des enfants du groupe de contrôle.

Un tiers des enfants dépressifs fumaient quotidiennement, comparativement à 13 % de leurs frères et sœurs, et seulement 2 % des autres.

Les données étaient similaires pour ce qui est de l’activité physique : les jeunes dépressifs étaient les moins actifs, et ceux appartenant au groupe de contrôle l’étaient le plus.

Les chercheurs ont également remarqué qu’un historique de dépression était associé à un risque accru de développer des problèmes cardiaques, peu importe si les jeunes de 16 ans souffraient toujours de dépression ou pas, selon Science Daily.

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Le thé vert et le café préviendraient la crise cardiaque

On vante maintenant les mérites du thé et du café comme moyen de prévention des troubles et crises cardiaques, rapporte The National Library of Medicine.

On le savait pour le thé, notamment le thé vert, mais les spécialistes s’entendaient moins en ce qui concerne le café.

Selon l’étude en provenance du National Cerebral and Cardiovascular Center à Osaka, les deux boissons sont effectivement excellentes pour le cœur et sa protection.

« L’action régulière et quotidienne de boire du café ou du thé vert serait un bénéfice en prévention des crises cardiaques. Si vous ne pouvez améliorer votre style de vie, essayez de prévenir les crises cardiaques avec du thé vert chaque jour », résume le Dr Yoshihiro Kokubo, chef du département de cardiologie préventive du centre.

Cependant, le Dr Kokubo et son équipe tiennent à spécifier que la cause à effet n’a toujours pas été établie, bien qu’ils soient convaincus de ce qu’ils avancent.

C’est d’ailleurs ce que souligne le spécialiste américain Ralph Sacco, l’ancien président de l’American Heart Association, qui croit qu’il est impossible de prouver la véracité de cette théorie.

Les résultats de l’étude japonaise ont été publiés dans l’édition du 14 mars du magazine Stroke.

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De plus en plus de gens veulent se débarrasser de leur tatouage

Les tatouages sont omniprésents dans la culture moderne, mais cette hausse de la demande fait aussi augmenter les statistiques du nombre de gens qui veulent s’en débarrasser, rapporte HealthLine.

Soirée trop arrosée, mauvaise décision, rupture, évolution personnelle, bref, plusieurs raisons peuvent pousser une personne à faire retirer son tatouage.

Les statistiques compilées par la U.S. Food and Drug Administration en 2012 ne mentent pas : 14 % des 21 % d’Américains tatoués regrettent leur décision.

Le problème, c’est que la manœuvre nécessaire pour « effacer » une œuvre corporelle est plus difficile à dire qu’à faire et peut s’avérer douloureuse.

Bien que l’on tente d’améliorer les techniques (au laser en ce moment), il n’en demeure pas moins que les différentes autorités de la santé demandent à la population d’y penser à deux fois avant de passer chez un tatoueur.

On rappelle également qu’il est primordial de faire affaire avec un dermatologiste spécialisé dans le domaine pour l’opération inverse.

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Les célébrités donnent le mauvais exemple en matière de nutrition

Une étude en provenance de Liverpool, rapportée par Medical News Today, accuse les célébrités qui s’associent à des compagnies productrices de malbouffe ou à des chaînes de restauration rapide.

Pour les chercheurs de l’Université de Liverpool, il s’agit d’un bien mauvais exemple à donner aux millions de gens, notamment aux jeunes, qui les adulent et imitent leurs moindres gestes.

Et c’est bien ce que recherchent les multinationales alimentaires lorsqu’elles s’associent avec une vedette de la chanson, de la télé ou du cinéma. On connait, en publicité, l’impact d’une telle collaboration sur les ventes des produits…

Un stratagème honteux, pense la Dre Emma Boyland, qui déclare : « C’est la première étude qui démontre les effets puissants d’une commandite de célébrité. L’étude démontre que l’influence des célébrités s’étend encore plus loin qu’on le croyait et mène des enfants à manger et consommer les produits d’une compagnie lorsqu’ils aperçoivent de nouveau la vedette en question, même hors du contexte de la publicité ».

Un effet pervers et étonnant, qui pourrait être légiféré, croient plusieurs spécialistes.