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Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

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Le lait entier est déconseillé aux femmes en rémission du cancer du sein

Top Santé rapporte une étude américaine qui met en garde les survivantes du cancer du sein contre les produits faits à base de lait entier.

Pour l’équipe de chercheurs basés en Californie (Oakland), le lait entier renferme des propriétés qui augmentent les risques de rechute. On parle entre autres du fromage, de la crème glacée et autres dérivés des produits laitiers, qui sont à déconseiller pour les femmes en rémission.

« Les femmes qui ont eu un cancer du sein et qui doivent donc limiter leur exposition aux oestrogènes ont tout intérêt à cesser de consommer des produits laitiers à base de lait entier et leur préférer les produits laitiers allégés en matière grasse », résume la Dre Candyce Kroenke, auteure principale de l’étude.

Cette dernière s’est par ailleurs étendue sur le sujet durant 15 ans, ce qui rend ces conclusions difficiles à réfuter. Plusieurs centaines de femmes ont été observées durant cette période, et la Dre Kroenke croit qu’un autre avertissement s’impose.

« Il faut noter également que certaines femmes de ce groupe sont décédées, non des suites de leur cancer, mais d’une maladie cardiovasculaire. Or, une alimentation riche en matières grasses et toujours un facteur de risque supplémentaire pour les maladies cardiovasculaires. »

On suggère donc d’opter pour des produits laitiers allégés et une consommation modérée.

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Les parents ont du mal à aider les enfants avec les mathématiques

La chaine de télévision publique américaine PBS a mené une étude sur les parents et leur rôle dans les devoirs et l’apprentissage scolaire de leurs enfants.

Celle-ci a révélé que les parents mettent beaucoup plus l’accent sur des activités qui aidaient à la lecture et à la capacité d’attention que sur les mathématiques.

En effet, presque 30 % des parents disaient être anxieux à l’idée de devoir apprendre les mathématiques à leurs enfants. Les mères étaient plus anxieuses que les pères, ainsi que les parents qui n’avaient pas fait d’études postsecondaires.

Les parents tendent à mettre moins de temps sur les mathématiques, parce qu’ils ne considèrent pas qu’il s’agit d’un facteur important de réussite dans la vie.

Les parents placent plutôt « la capacité de porter attention et de travailler fort » (47 %) ainsi que la lecture et l’écriture (26 %) avant les mathématiques, qui ne sont une priorité pour le succès que pour 14 % des parents.

Pourtant, la science a déjà établi que les aptitudes en mathématiques à la maternelle étaient le facteur le plus déterminant de la réussite scolaire des enfants, rapporte Parents Magazine.

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L’autisme pourrait être causé par un signal permanent de danger dans certaines cellules cérébrales

Le journal médical PLoS ONE a publié les résultats d’une étude très attendue dans le monde de la recherche sur le trouble du spectre de l’autisme (TSA). On y dit que celui-ci serait causé par des signaux de danger chroniques présents dans les mitochondries, des structures cellulaires qui alimentent les cellules cérébrales. Cela produirait une interférence avec le développement et le fonctionnement du cerveau.

En effectuant des tests sur des souris, un chercheur a réussi à bloquer ce signal de danger en utilisant un agent chimique. Les souris « autistes » ont vu leurs symptômes et leurs signes diminuer, à la fois au cerveau et dans leur comportement. Une fois qu’elles ont reçu une injection de suramine, la socialisation et la coordination de celles-ci sont revenues à la normale.

Lorsque les mitochondries sont stressées, elles envoient un signal de danger aux cellules environnantes. Ceci permet à l’ensemble des cellules de se protéger, par exemple contre une infection. Habituellement, lorsque l’infection est passée, le signal de danger cesse.

Ce mécanisme de retour à la normale serait absent chez les enfants avec un TSA, ce qui pourrait mener à des problèmes de communication entre les cellules, selon l’organisme Autism Speaks.

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De nouveaux tests pourraient améliorer la vie des enfants trisomiques

Environ 75 % des bébés trisomiques vont souffrir d’un problème appelé apnée obstructive du sommeil (AOS). Dans sa forme sévère, ce trouble peut mener à des retards de croissance et d’apprentissage chez les enfants, ainsi qu’à des problèmes de comportement.

La condition peut également aggraver les problèmes cardiaques, dont souffrent également 50 % des enfants trisomiques.

Des chercheurs britanniques sont en train d’évaluer deux tests de dépistage qui pourraient être menés seuls ou ensemble, afin d’identifier les enfants trisomiques qui font de l’AOS.

Le premier test consiste en un questionnaire sur le sommeil, et le second en une oxymétrie de pouls, avec un petit appareil qui peut être attaché à l’orteil d’un enfant pendant sont sommeil, mesurant le taux d’oxygène dans le sang.

L’AOS cause une baisse soudaine d’oxygène sanguin chaque fois qu’une personne cesse de respirer pendant quelques secondes durant son sommeil.

L’AOS peut être traitée, par exemple en enlevant les amygdales et les adénoïdes de l’enfant. Cependant, cette condition n’est toujours pas bien reconnue chez les parents ni chez les médecins de famille qui suivent des enfants trisomiques, selon Medical News Today.

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Une femme sur 7 souffrirait de dépression post-partum

Une nouvelle étude portant sur 10 000 nouvelles mères a révélé que 14 % d’entre elles souffraient de dépression post-partum. De ce nombre, 826 ont subi une évaluation psychiatrique complète.

Près de 20 % d’entre elles avaient déjà pensé à se faire du mal. Ce nombre est très préoccupant quand on sait qu’un décès post-partum sur 5 est lié au suicide, et que cette cause de mort est la 2e plus importante chez les nouvelles mères, après les complications liées à l’accouchement.

De plus, 30 % des femmes qui souffraient de dépression ont affirmé qu’elles étaient déjà dépressives avant leur grossesse, et le même nombre souffrait de dépression durant celle-ci. Près de deux tiers de ces femmes souffraient également d’anxiété. 22 % avaient un trouble bipolaire, qui n’avait jamais été diagnostiqué par leur médecin.

« La majorité des nouvelles mères qui souffrent de dépression post-partum ne sont jamais identifiées ni traitées, même si elles sont à haut risque de développer des problèmes psychiatriques. Il s’agit d’un problème de santé publique énorme. La santé mentale d’une mère a un impact énorme sur le développement du foetus, ainsi que sur le développement physique et mental du bébé », a expliqué la Dre Katherine Wisner, selon PscyhCentral.

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Une nouvelle manière d’évaluer le développement cérébrovasculaire des bébés

Quatre millions de bébés naissent chaque année aux États-Unis. Parmi ceux-ci, il y a 12 % de prématurés, 8 % qui ont un petit poids, et 1 à 2 % qui souffrent de détresse respiratoire.

Ceci mène à un taux de décès de 6 nouveau-nés par 1000 naissances. Même si ce nombre est beaucoup moins élevé qu’auparavant, il reste catastrophique.

Des médecins ont donc mis au point une manière efficace d’évaluer s’il y a présence de lésions cérébrales, et s’il y a une progression de celles-ci. Il s’agit d’un test effectué avec un outil de mesure optique qui est appliqué directement sur la tête du nouveau-né, mais qui ne cause aucun danger pour lui.

Jusqu’à présent, il n’était pas possible de bien surveiller le développement du cerveau chez ces bébés à risque.

« Nous voulons mesure le développement cérébrovasculaire et l’état du cerveau chez les nouveau-nés », a expliqué la Dre Maria Franceschini, citée par Science Daily.

« Cette technologie va nous permettre de mieux suivre les bébés qui pourraient avoir des convulsions, des hémorragies cérébrales et d’autres problèmes du cerveau qui demandent une attention immédiate », a ajouté la chercheuse.

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L’épuisement professionnel augmente aussi les risques de crise cardiaque

Santé Log rapporte une étude qui dévoile les risques pour la santé reliés à un épuisement professionnel, mieux connu sous le nom de burnout.

Le stress et l’épuisement dus au travail ou à des raisons professionnelles sont un fléau de plus en plus grandissant, notamment à cause de la course incessante à l’argent qui prévaut en Amérique, et du marché économique instable que l’on connait depuis maintenant plus de cinq ans.

Tous ces facteurs, et bien d’autres, contribuent à l’épuisement professionnel, qui n’a pas que des impacts sur la santé psychologique. En effet, selon l’étude israélienne en provenance de l’Université de Tel-Aviv, les risques de faire une crise cardiaque ou de développer une maladie cardiovasculaire se verraient augmentés de 40 % lorsqu’une personne se retrouve en burnout.

Des chiffres inquiétants, qui découlent d’une analyse intensive des cas de près de 10 000 personnes, des hommes et des femmes, sur leurs habitudes professionnelles et leur santé psychologique.

Du nombre, ceux qui ont vécu un épuisement professionnel ont aussi démontré des symptômes et des réactions qui ont mené aisément à la conclusion rapportée ici.

Cette étude a été publiée dans la plus récente édition du magazine Psychosomatic Medicine.

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Le téléphone intelligent pourrait-il vous rendre plus… intelligent?

Il n’y a pas que votre téléphone qui soit plus intelligent, avance une étude, mais vous aussi à force de l’utiliser! Cet audacieux constat est celui du Dr Michael Patterson, de la Nanyang Technological University de Singapour, qui croit que l’utilisation quotidienne de ce type d’appareil peut s’avérer bénéfique pour les capacités cognitives.

Le téléphone intelligent pourrait-il vous rendre plus intelligent, donc? Pas vraiment, mais il pourrait bien améliorer la qualité et la rapidité de certaines réponses du cerveau dans une situation donnée, rapporte Top Santé.

Le Dr Patterson cite en exemple les populaires mini-jeux vidéo proposés sur les téléphones intelligents, qui permettraient de développer plusieurs aspects cognitifs.

Ainsi, les jeux de mémoire augmenteraient les capacités de recherche visuelle, alors que les jeux d’action permettraient d’améliorer sa « conscience spatiale », une notion relativement nouvelle.

« C’est la première étude qui montre que de multiples jeux peuvent améliorer les capacités cognitives et non plus les seuls jeux d’action », lance avec fierté l’auteur de l’étude, qui est publiée dans l’édition récente du magazine PLoS One.

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Le vaccin contre la varicelle sauve des vies

L’Australie a introduit la vaccination de masse des enfants contre la varicelle en 2006. Avant cette date, le pays faisait face à 240 000 cas de la maladie chaque année, ainsi qu’à 1500 hospitalisations et jusqu’à 16 décès.

Depuis que les enfants sont vaccinés, le nombre d’hospitalisations dues à la maladie a diminué de 68 %, et aucun décès n’a été rapporté. De plus, les chercheurs ont remarqué que 80 % des enfants qui doivent toujours être hospitalisés pour la varicelle n’avaient pas reçu le vaccin.

« Ces résultats supportent fortement l’impact du vaccin contre la varicelle, et l’importance de vacciner tous les enfants. Un niveau d’immunisation encore plus grande contre la maladie aurait prévenu la plupart des cas sévères, dont certains nécessitent un séjour hospitalier en soins intensifs. Nous pouvons maintenant affirmer que ceci peut être prévenu », a écrit l’auteure de l’étude, la professeure Helen Marshall, selon ce que rapporte EurekAlert!.

Elle a même ajouté que « non seulement une seule dose de vaccin sauve des vies, mais elle a également le potentiel de mener à des économies se chiffrant dans les millions pour le système de santé ».

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Pediatric Infectious Disease Journal.