Catégories
Uncategorized

Apaiser les brûlures… avec de l’eau chaude

Une nouvelle étude vient contredire la bonne vieille habitude de soulager une brûlure en plaçant la zone touchée sous un jet d’eau froide, alléguant qu’il faudrait plutôt se placer… sous de l’eau chaude.

C’est ce que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs suisses ont testé cette théorie surprenante. Après avoir analysé les réactions de rongeurs placés dans cette situation désagréable, ils en sont venus à cette conclusion.

On comprend des explications fournies que l’eau chaude permettrait notamment de réduire les dommages des tissus lors d’une brûlure, et de réguler plus rapidement la pression sanguine.

De plus, on constate que la peau prend moins de temps pour se régénérer ou guérir à la suite d’une brûlure lorsqu’elle est soignée avec de l’eau chaude plutôt que froide.

Les chercheurs suggèrent donc de placer la partie brûlée sous une compresse d’eau tiède ou chaude, après l’avoir passée sous l’eau froide durant une minute maximum.

Catégories
Uncategorized

Les bébés sont capables de montrer une préférence envers les gens comme eux

Des psychologues ont demandé à des bébés de 9 et de 14 mois de choisir leur aliment préféré entre des biscuits Graham et des haricots verts. Ensuite, les bébés ont regardé un spectacle de marionnettes où un des personnages aimait mieux les biscuits Graham, et l’autre aimait plutôt les fèves vertes.

Une des marionnettes échappait ensuite sa balle, et les bébés assistaient à deux scénarios différents : dans le premier, l’autre personnage aidait toujours la marionnette à retrouver sa balle, tandis que dans le second, l’autre volait toujours la balle.

Lorsque les chercheurs ont demandé aux bébés de choisir leur personnage préféré, les tout-petits ont presque toujours sélectionné la marionnette qui aidait celle qui était comme eux – c’est-à-dire qui préférait le même aliment qu’eux, rapporte Science Daily.

« Comme les adultes, les bébés assimilent de l’information non seulement sur ce que les autres font (agir de manière gentille ou méchante), mais également à qui ils le font (quelqu’un qu’ils aiment ou n’aiment pas) lorsqu’ils font des évaluations sociales », a suggéré l’auteure de l’étude, Kiley Hamlin, professeure à l’Université de Colombie-Britannique.

Catégories
Uncategorized

La prise d’aspirine pourrait prévenir du cancer de la peau chez la femme

La prise d’aspirine sur une base quotidienne est un comportement populaire, conseillé par certains spécialistes et décrié par d’autres. Si les théories sont mitigées à son propos, l’aspirine reçoit maintenant un autre appui, cette fois en ce qui concerne un certain type de cancer.

En effet, Top Santé rapporte que les femmes pourraient voir les risques de développer un cancer de la peau, ou un mélanome, diminuer grandement grâce à l’aspirine.

Ce sont des chercheurs de la prestigieuse Université Stanford qui avancent ces conclusions, en se basant sur leurs observations.

Ces dernières ont été effectuées sur près de 60 000 patientes, suivies sur une période de 12 ans. Ces femmes, âgées de 50 à 79 ans, ont vu leurs chances de développer un mélanome diminuer de 21 %, toujours selon les chercheurs de Stanford.

« Cette découverte suggère que l’aspirine pourrait avoir un effet préventif contre le développement du mélanome », termine le Dr Jean Tang, directeur de ces nouvelles recherches.

Catégories
Uncategorized

Les boissons sucrées liées aux calories superflues chez les enfants

La consommation de boissons sucrées (sodas, jus, boissons pour sportifs et boissons énergétiques) a considérablement augmenté aux États-Unis depuis les 20 dernières années, mais jusqu’à récemment, il n’y avait pas de preuve scientifique que celles-ci étaient responsables du fait que les enfants consomment trop de calories.

« Le but premier de cette étude était de déterminer à quel point les boissons sucrées contribuent à un nombre excessif de calories chez les enfants et de trouver les aliments et les liquides associés à une plus grande consommation de boissons sucrées », a expliqué le nutritionniste Kevin Mathias, selon ce que rapporte EurekAlert!.

Celui-ci a analysé les données provenant de 10 955 enfants et jeunes âgés de 2 à 18 ans. Les résultats montrent que plus les enfants buvaient de boissons sucrées, plus ils mangeaient, mais aussi moins ils buvaient d’autres liquides meilleurs pour leur santé, comme du lait, de l’eau ou du vrai jus.

Parmi les aliments associés à une plus grande consommation de boissons sucrées, on retrouvait différentes sortes de malbouffe : de la pizza, des frites, ainsi que des desserts comme les gâteaux, les tartes, les biscuits et les sucreries.

Catégories
Uncategorized

Conserver sa jeunesse grâce à une pilule ne relèverait plus de la fiction

C’est une nouvelle étonnante que celle rapportée par Top Santé, voulant que des chercheurs aient mis au point un nouveau traitement anti-âge qui semble sortir tout droit d’un livre de science-fiction.

En effet, la « pilule de jouvence » serait bel et bien sur le point d’être proposée par une équipe de chercheurs australiens, qui présentent leurs récentes découvertes dans une étude.

Cette dernière, publiée dans la revue Science, explique qu’une enzyme aux propriétés anti-âge, la SIRT1, a été testée et serait en mesure de ralentir les effets du vieillissement, mais aussi de prévenir certaines maladies et d’assurer une plus grande longévité.

On apprend aussi que cette enzyme est naturellement produite chez l’humain grâce, notamment, à l’exercice physique et un bon régime alimentaire.

« … le principe de ces médicaments n’est pas de traiter une maladie en particulier, mais de pouvoir en prévenir une vingtaine », lance avec optimisme le professeur David Sinclair de Harvard.

Une bien bonne nouvelle qui pourrait se traduire par l’apparition d’une pilule « magique » anti-âge sur le marché d’ici les cinq prochaines années.

Catégories
Uncategorized

La sensibilité des mères et le langage des enfants avec implants cochléaires

Une nouvelle étude publiée dans le Journal of Pediatrics s’est attardée à 188 enfants âgés de 5 mois à 5 ans souffrant d’une surdité allant de sévère à profonde, qui venaient de recevoir des implants cochléaires.

Les chercheurs ont examiné les interactions entre les enfants et leur mère, ainsi que l’impact de la stimulation langagière et cognitive. Les paires mère-enfant ont fait des jeux libres, ont résolu des casse-tête et ont réalisé une tâche de « galerie d’art » ensemble.

Après un suivi allant jusqu’à huit ans, les enfants qui ont connu la plus importante progression du langage étaient ceux dont les mères démontraient une grande sensibilité. La stimulation langagière était également efficace, mais particulièrement si celle-ci était effectuée d’une manière sensible.

Les enfants avec des parents sensibles ne présentaient ainsi en moyenne qu’un an de retard dans la communication orale comparativement à des enfants sans surdité. Ceux dont les parents étaient les moins sensibles accusaient plutôt 2,5 ans de retard.

« Ces données indiquent que les programmes d’implants cochléaires pédiatriques devraient offrir aux parents une formation qui facilite une relation parent-enfant plus positive et aide l’enfant à se développer d’une manière autonome et positive », a expliqué l’auteure, Alexandra Quittner, selon Medical News Today.

Catégories
Uncategorized

Les enfants qui évitent les situations stressantes font souvent de l’anxiété

Des chercheurs américains ont évalué 800 enfants à partir de l’âge de 7 ans, par le biais de questionnaires portant sur les tendances d’évitement et destinés aux jeunes ainsi qu’à leurs parents.

Les chercheurs ont été surpris de constater à quel point l’évitement des situations faisant peur aux enfants était lié au développement de l’anxiété.

La plupart des jeunes participants ont maintenu un niveau d’anxiété stable un an après l’étude, mais ceux qui avaient des comportements d’évitement étaient plus anxieux après cette période.

Il y a de l’espoir toutefois : 25 de ces enfants anxieux ont suivi une thérapie cognitivo-comportementale qui les a lentement exposés aux situations qui leur faisaient peur. Après un an, le taux d’évitement rapporté par leurs parents avait diminué de moitié.

« Cette approche pourrait nous permettre d’identifier les enfants qui sont à risque de développer un trouble anxieux. Les enfants qui évitent les situations stressantes ne peuvent pas faire face à leurs peurs, et par conséquent, ne peuvent apprendre que leurs peurs sont gérables et peuvent être contrôlées », a fait remarquer l’auteur de l’étude, le Dr Stephen Whiteside, selon Science Daily.

Catégories
Uncategorized

La vitamine B pourrait aider certains patients atteints de schizophrénie

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude qui laissent croire à la possibilité que la vitamine B puisse venir en aide à certains types de patients schizophrènes.

Malheureusement, ce ne serait pas un constat qui s’applique à tous et toutes. Le patient qui pourrait bénéficier de suppléments de vitamine B dans le cadre de son traitement est celui qui démontre des prédispositions génétiques préalables.

Car ne réagit pas qui veut à la vitamine B, révèlent les chercheurs du Massachusetts General Hospital.

« Il s’agit d’un gène qui contrôle la digestion de l’acide folique dans le sang », déclare le Dr Joshua Roffman, auteur principal de l’étude.

Il précise également que les changements observés chez les patients après avoir reçu des doses de vitamines B sont minimes, mais bien perceptibles, donc réels.

Roffman termine en indiquant que même si la publication est une recherche partielle, elle n’en demeure pas moins fort importante dans la quête de soins pour les patients atteints de schizophrénie.

Catégories
Uncategorized

Les infections au C. difficile sont en hausse chez les enfants

Entre 1991 et 2009, les cas d’infection à la bactérie C. difficile sont devenus 12 fois plus fréquents, avec la hausse la plus marquée à partir de 2006, ont indiqué des chercheurs américains.

Ceux-ci ont effectué la première étude axée sur l’incidence du C. difficile chez les enfants durant ces deux décennies. Ils ont étudié un total de 92 cas, avec un âge médian des patients de 2,3 ans.

75 % des cas n’avaient pas été contractés à l’hôpital, qui reste le plus grand foyer de transmission de la bactérie, particulièrement chez les personnes âgées, la strate de population la plus vulnérable. 54 % de ces enfants étaient des garçons.

« Au contraire des adultes, les enfants réagissent habituellement bien à un traitement antibiotique initial, parce que leurs intestins sont encore moins exposés à des agents qui peuvent endommager la flore intestinale normale », a expliqué le Dr Markus Agito, selon Medscape.

Le Dr Mark Wilcox a quant à lui noté que « l’étude renforce le besoin de mener des recherches robustes qui permettraient d’examiner plusieurs causes de diarrhée chez les enfants, et d’utiliser des méthodes de tests pour mieux évaluer la portée de cette infection chez les enfants ».

Catégories
Uncategorized

L’immunité du vaccin contre la coqueluche s’estompe avec le temps

La revue Pediatrics publie les résultats d’une étude démontrant que l’immunité des enfants qui ont reçu le vaccin contre la coqueluche diminue chaque année suivant l’administration de la dernière des cinq doses.

Des chercheurs américains ont analysé les cas d’incidence de la coqueluche chez un peu plus de 200 000 enfants qui avaient reçu toutes les doses prescrites. Parmi ceux-ci, 547 ont tout de même développé la maladie.

Les chercheurs ont constaté que malgré le fait que le vaccin est administré à la grande majorité des enfants, les cas de coqueluche continuent d’augmenter d’année en année. La proportion des enfants touchés âgés de 7 à 10 ans a presque doublé entre 2007 et 2009, passant de 13 % de l’ensemble des cas à 23 %.

Parmi une sous-population d’enfants faisant partie de l’étude, le risque absolu de contracter la coqueluche passait de 15,6 cas par 100 000 enfants durant l’année suivant l’administration de la dernière dose, à 138,4 cas par 100 000 enfants durant la sixième année, selon Med Page Today.