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Les neurones survivraient à leur propriétaire

C’est une découverte aussi intéressante que troublante que rapporte Top Santé, alors que des chercheurs ont établi que les neurones du cerveau peuvent vivre, et survivre, souvent bien plus longtemps que l’humain lui-même.

Après avoir tenté diverses expériences sur des rats, les scientifiques de l’Université de Pavie, en Italie, ont découvert que non seulement les neurones ont une capacité de survie après la mort de l’hôte, mais qu’ils pouvaient aussi être « transférés » dans un autre cerveau!

En effet, il appert que ce qu’il serait convenu d’appeler une transplantation neuronale ne relève pas de la fiction, mais qu’il s’agit d’un concept tout à fait réalisable.

« Vous pouvez étendre la durée de vie maximum d’un animal sans vous inquiéter que ses neurones meurent avant la mort de l’animal… (si vous viviez très vieux), vous ne perdriez pas vos neurones, parce que vos neurones n’ont pas une durée de vie limitée », lance le neurochirurgien Lorenzo Magrassi, co-auteur de l’étude en question.

Les applications possibles de ce processus sont pour ainsi dire infinies. Reste à savoir si ces découvertes s’appliquent chez l’Homme, ce que croient les spécialistes.

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Les enseignants doivent prêcher par l’exemple en matière de nutrition

Une nouvelle étude, rapportée par The National Library of Medicine, constate que les enseignants se nourrissent souvent très mal, ce qui ne cadre pas avec le message envoyé aux jeunes qu’ils guident.

Prêcher par l’exemple, voilà ce que conseille l’Association américaine de la santé, alors que les sondages effectués dans le cadre de cette nouvelle étude démontrent des habitudes alimentaires désastreuses chez plusieurs membres de corps professoraux.

C’est notamment le cas chez les enseignants préscolaires, qui ne donneraient pas le bon exemple en matière de nutrition. Comment convaincre de jeunes enfants d’adopter de saines habitudes de vie si leur environnement n’en contient pas? Voilà la question que posent les chercheurs.

Appelés à répondre à certaines questions d’ordre général concernant l’alimentation, près de 97 % des enseignants n’ont pu répondre correctement qu’à trois questions ou moins, ce qui trouble les auteurs de l’étude.

Ces derniers, qui publiaient ces révélations dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics, croient qu’il faut sensibiliser les professeurs à la cause, pour le bien des enfants… et le leur.

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Les antibiotiques augmentent le risque d’allergies alimentaires chez les tout-petits

Les chercheurs ont analysé les données provenant de 1100 enfants qui avaient reçu un diagnostic d’allergies alimentaires avant l’âge de 3 ans, ainsi que de 6400 autres enfants formant un groupe de contrôle. L’ensemble de ces enfants avait reçu des antibiotiques 8046 fois avant l’âge de 1 an.

Avoir reçu des antibiotiques une ou deux fois n’était pas associé à un risque accru d’allergies alimentaires, mais passé ce nombre, il y avait un effet direct. Le risque était presque deux fois plus élevé. Le lien serait dû au fait que les antibiotiques détruisent la flore intestinale normale.

« Nous comprenons que ce type d’étude n’établit pas d’effet de causalité directe, mais nous croyons que ce lien devrait être examiné plus en profondeur à l’aide d’études subséquentes. Cela pourrait expliquer en partie la hausse marquée des allergies alimentaires », a suggéré l’auteur de l’étude, le pharmacien Bryan Love, selon Medscape.

Les résultats ont été présentés au récent congrès de l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology.

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Un fumeur américain sur cinq a déjà essayé la cigarette électronique

On apprend par les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) qu’un Américain fumeur sur cinq aurait déjà tenté l’expérience de la cigarette électronique.

Les chiffres compilés sont ceux de l’année 2011 et révèlent que près de 21 % des fumeurs américains ont tenté de cesser de fumer par cette nouvelle méthode.

C’est la première fois que l’on note une hausse aussi radicale de l’utilisation de la cigarette électronique chez les fumeurs américains, ce qui dévoile une certaine volonté de la part de la population à changer certaines habitudes.

« L’utilisation de la cigarette électronique croît rapidement. Il y a encore beaucoup de choses que nous ignorons à l’égard de ces produits, à commencer par savoir si ceux-ci vont contribuer à faire baisser le nombre de cigarettes traditionnelles consommées ou non », résume Tom Frieden, directeur aux CDC.

On rappelle par ailleurs que même s’il est clair que la cigarette électronique, aussi appelée e-cigarette, est moins nocive que les « vraies », il reste beaucoup de travail à faire afin de connaître ses effets sur l’organisme à long terme.

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Les jeux vidéo peuvent aider les enfants dyslexiques

L’étude a été publiée dans le journal scientifique Current Biology et correspond à la deuxième phase d’une recherche d’une même équipe italienne, qui a déjà établi que la dyslexie serait due à des problèmes d’attention visuelle, plutôt qu’à des problèmes d’apprentissage du langage.

Ces chercheurs ont testé les habiletés de lecture, de phonologie et d’attention de deux groupes d’enfants dyslexiques, avant et après que ceux-ci aient joué à des jeux vidéo durant 9 périodes de 80 minutes.

Ceux qui avaient joué aux jeux vidéo basés sur l’action étaient capables de lire plus vite, sans pourtant perdre de l’exactitude, et ils ont également fait des gains au niveau de l’attention.

« Les jeux vidéo d’action peuvent accroitre plusieurs aspects de l’attention visuelle, en particulier l’amélioration de l’extraction d’information dans l’environnement. Les enfants dyslexiques de notre étude ont appris à orienter et à concentrer leur attention de manière plus efficace, pour ainsi extraire l’information pertinente d’un mot plus rapidement », a noté le professeur Andrea Facoetti, selon ce que rapporte Science Daily.

Jusqu’à un enfant sur 10 aurait une forme de dyslexie, qui rend la lecture difficile.

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Faire des compliments aux enfants sur leurs qualités pourrait avoir l’effet contraire

Des chercheurs néerlandais ont demandé à 357 parents de décrire les compliments qu’ils feraient à un enfant qui a une estime de soi élevée, et un autre qui a peu d’estime de lui.

Les parents ont majoritairement choisi de faire deux fois plus de compliments axés sur les qualités personnelles (« Tu es un excellent artiste! ») pour les enfants avec peu d’estime de soi, tandis que leurs compliments dirigés vers les enfants sûrs d’eux-mêmes concernaient plutôt leurs efforts (« Tu t’es bien appliqué pour faire ce dessin! »).

Selon les auteurs, cette tendance naturelle est pourtant contre-productive. « Les adultes tendent à croire que faire des compliments sur les qualités inhérentes aide les enfants à améliorer leur estime d’eux-mêmes, mais ceci pourrait laisser croire aux enfants qu’ils sont uniquement valorisés comme personne lorsqu’ils réussissent. »

Les auteurs de l’étude ont ajouté « qu’en général, c’est mieux de faire des compliments aux enfants sur leurs comportements, plutôt que sur l’individu. Si vous complimentez l’individu et que celui-ci ne réussit pas, cela pourrait causer de la honte, et lui envoyer le message qu’il est une mauvaise personne », selon Science Daily.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Experimental Psychology.

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Les pessimistes pourraient vivre plus longtemps

Une nouvelle étude avance que le pessimisme pourrait être synonyme de longévité, rapporte Top Santé.

Aussi improbable que cela puisse paraître, ce comportement négatif permettrait de vivre plus vieux, ce qui contredit toutes les théories qui parlent de l’importance des bonnes énergies pour vivre plus longtemps.

Ainsi, on apprend que les gens qui sont pessimistes et qui n’affichent pas une grande confiance en l’avenir, ou qui en ont carrément peur, seraient plus enclins à la prudence.

Plus prudent, moins d’accidents. C’est un peu le constat que révèlent les chercheurs de l’Université d’Erlang-Nuremberg.

Les pessimistes, attendant la mort et la maladie à chaque détour, développeraient de meilleurs réflexes santé et prendraient ainsi mieux soin d’eux que les personnes qui croient que tout ira bien, peu importe la situation donnée.

Pour étayer cette théorie, les chercheurs ont suivi des patients, divisés en trois groupes selon leur mode de pensées, durant une décennie.

« Contre toute attente, nous avons remarqué qu’une santé stable et bonne ainsi que de bons revenus étaient liés à des attentes plus négatives », conclut le Dr Frieder Lang.

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Nouveau traitement expérimental prometteur contre le vitiligo

The National Library of Medicine annonce qu’un nouveau traitement expérimental contre le vitiligo donne de l’espoir aux chercheurs impliqués, qui croient que l’on pourrait bientôt enrayer le problème.

Cette maladie de l’épiderme se caractérise par des taches blanches sur les mains, le visage ou d’autres parties du corps. Une dépigmentation qui cause bien des problèmes chez les patients qui en souffrent.

Il y a toutefois de l’espoir, apprend-on de la bouche des spécialistes de la Loyola University Chicago Stritch School of Medicine, qui croient être dans la bonne direction.

Il n’est pas étonnant d’apprendre également que ce traitement se base sur des avancées génétiques récentes. Presque tous les traitements étudiés en laboratoire en ce moment se basent sur les théories et la promesse de la génétique, tous domaines confondus.

Les chercheurs ont donc créé une protéine modifiée qui permettrait d’inverser carrément le processus de la maladie, un effet déjà confirmé chez les souris.

Bien que ces essais ne se matérialisent pas à tous les coups de façon positive chez les humains, on croit que les essais cliniques qui s’entament bientôt seront concluants.

Les conclusions des chercheurs concernant ce traitement sont publiées dans l’édition actuelle du journal Science Translational Medicine.

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Le niveau de pression artérielle des enfants fluctue avec le taux de poussière

Le journal Environmental Science & Technology publie les résultats d’une étude d’une durée de 9 ans, incluant plus de 367 000 enfants vivant dans la région de Detroit, aux États-Unis.

Les chercheurs ont constaté que la pression artérielle des enfants pouvait augmenter de plus de 10 % durant les mois de juillet, août et septembre.

L’explication? Les scientifiques lient cet effet physique à la présence dans l’air, de manière particulièrement accrue durant ces mois, de poussière contenant des résidus de plomb. Ceux-ci se retrouvent dans le sang, et causent des fluctuations saisonnières de la pression, auxquelles les enfants sont très vulnérables. Le niveau de pression artérielle redescend ensuite durant l’hiver et le printemps.

Les auteurs de l’étude ont noté que le niveau de plomb dans le sang de la population américaine, mais aussi mondiale, a diminué avec les années à la suite de l’abolition de ce contaminant dans certaines substances comme l’essence, la peinture, les tuyaux de plomberie et le matériel à souder.

Des particules de plomb sont toutefois toujours présentes dans l’air des grands centres urbains nord-américains, accumulées dans le sol depuis des décennies et libérées chaque année durant les mois d’été.

L’auteur, Shawn McElmurry, a réaffirmé l’importance pour le gouvernement de continuer et d’accroître ses efforts pour contrôler l’exposition au plomb chez les enfants, selon Medical News Today.

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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.