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Les bébés de mères en surpoids sont plus à risque de faire de l’athérosclérose

Des chercheurs australiens ont étudié le cas de 23 femmes enceintes, âgées de 35 ans en moyenne, qui en étaient à plus ou moins 16 semaines de grossesse. Leur indice de masse corporelle a été calculé. Celui-ci était de 26 en moyenne, ce qui correspond à un embonpoint léger.

Tous les bébés sont nés à terme, et leur poids moyen à la naissance était de 3,3 kilos (7,3 livres). Les bébés ont subi une échographie durant la première semaine de leur vie, ce qui a permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de leur aorte, l’artère la plus importante du corps humain.

Dans les pays industrialisés, environ 60 % des femmes en âge d’enfanter ont un surplus de poids ou sont obèses, et les chercheurs avaient émis l’hypothèse que ceci pouvait avoir un impact sur le développement éventuel de maladies cardiaques chez leurs enfants.

Les bébés nés de mères avec un surplus de poids avaient une aorte plus épaisse de 7 mm par rapport aux bébés nés de mères de poids normal. Ce chiffre semble minuscule, mais a été considéré comme très significatif pour les chercheurs.

Ceux-ci ont expliqué que l’épaisseur de cette artère était le signe avant-coureur le plus important d’athérosclérose, rapporte Med Page Today.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal médical Archives of Disease in Childhood Fetal & Neonatal Edition.

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Les enfants qui avaient reçu le vaccin contre la grippe H1N1 sont plus susceptibles de faire de la narcolepsie

La pandémie de grippe H1N1 a donné lieu au développement d’un vaccin particulier, qui a été administré en masse aux populations occidentales. En Grande-Bretagne particulièrement, 37 % des enfants âgés de 2 à 15 ans avaient reçu ce vaccin en mars 2010.

Dès août 2010 toutefois, les autorités en santé publique de Finlande et de Suède ont rapporté que chez les enfants, le vaccin semblait augmenter le risque de faire de la narcolepsie, un trouble de sommeil neurologique où le corps n’est pas capable de réguler correctement les cycles de sommeil et de veille, menant souvent à l’endormissement à des endroits ou des moments inopportuns.

Une étude finlandaise publiée en 2012 a confirmé que ces enfants avaient un risque 13 fois plus élevé de développer le trouble que ceux qui n’avaient pas reçu le vaccin.

Dans le cadre de l’étude présente, des chercheurs britanniques ont analysé les données provenant de 245 enfants présentant des troubles de sommeil apparus à partir de 2008, incluant 75 petits souffrant de narcolepsie.

Même après avoir ajusté les données pour tenir compte de différents facteurs, ils ont fait le même constat que celui avancé par les études scandinaves. Avoir reçu le vaccin était associé à un risque 14 fois plus élevé de développer de la narcolepsie, selon ce que rapporte Science Daily.

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Les enfants autistes bénéficient de la présence des animaux

Des chercheurs ont observé le comportement d’enfants de 5 à 13 ans avec un trouble dans le spectre de l’autisme (TSA), pour voir comment ils réagissaient face à des adultes ou d’autres enfants, en présence de deux cochons d’Inde et de jouets.

En présence des animaux, les enfants avec un TSA parlaient plus, regardaient les visages et initiaient plus de contacts physiques avec les autres. Ils étaient également plus réceptifs aux demandes sociales de leurs pairs en présence des animaux que lorsqu’ils étaient occupés avec les jouets.

De plus, avec les animaux, ils souriaient plus, riaient plus, fronçaient moins les sourcils, se plaignaient moins et pleuraient moins qu’avec les jouets.

Les auteurs avancent que cet effet social positif apporté par les animaux sur les comportements humains peut être particulièrement important chez les individus qui ont des défis sur les plans social et émotionnel. Les animaux pourraient ainsi être utilisés pour créer des interactions avec des enseignants ou d’autres intervenants.

« Pour les enfants avec un TSA, la classe peut être un environnement stressant et insécurisant, à cause des défis sociaux et de la victimisation. Si un animal peut réduire ce stress ou modifier la perception de la classe et de ses occupants chez l’enfant, ce dernier peut devenir plus à l’aise et plus réceptif aux approches des autres », ont-ils expliqué, selon Science Daily.

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Les livres de croissance personnelle au secours des gens dépressifs

On apprend par l’entremise de The National Library of Medicine qu’une nouvelle étude redonne ses lettres de noblesse aux livres de croissance personnelle retrouvés sur le marché.

Ceux-ci sont souvent victimes de préjugés, à tort ou à raison, mais il appert qu’ils pourraient bien s’avérer bénéfiques dans certaines situations données.

Ce serait le cas notamment en ce qui concerne les gens aux prises avec des troubles liés à la dépression, croient les chercheurs britanniques qui publient leurs conclusions dans l’édition du 26 février du BMJ.

C’est après avoir analysé le cas de plusieurs patients dépressifs et leurs réactions face à ce type de traitement « doux », comme les livres de croissance personnelle, qu’ils se sont rendu compte que la méthode pouvait porter des fruits.

Peter Bowers, de l’Université de Manchester, croit donc que les thérapeutes et praticiens devraient songer à utiliser ces outils dans le cadre de la thérapie offerte aux patients.

On souligne également le coût très bas de ces livres, par rapport à celui de thérapies extensives et onéreuses.

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Plus de partenaires sexuels pourraient signifier plus d’alcool

Si vous êtes célibataire, que vous cumulez les conquêtes et que votre consommation d’alcool dépasse les posologies prescrites, sachez qu’il y a peut-être un lien à tracer entre les deux comportements.

C’est du moins ce que rapporte Top Santé, alors qu’une nouvelle étude néo-zélandaise sur le sujet fait son apparition. On y apprend que le nombre de partenaires sexuels aurait une incidence sur la consommation d’alcool, un fait qui serait vérifiable même chez la femme.

Surtout chez la femme même, si l’on croit les statistiques offertes par l’étude. Ainsi, les femmes seraient plus à risque de développer un problème de consommation d’alcool si elles vivent des relations sexuelles avec plus de trois partenaires entre l’âge de 18 et 20 ans.

Les chiffres explosent, se multipliant par sept, lorsqu’on analyse les données concernant les femmes de 21 à 25 ans. La courbe devient exponentielle chez les femmes de 32 ans, à tout le moins chez celles qui ont eu beaucoup de partenaires sexuels durant la deuxième moitié de la vingtaine.

L’étude croit que les deux comportements sont similaires à bien des égards, affirmant que « les personnes impulsives ont plus de chances de s’engager dans plusieurs activités et d’être dépendantes à certaines substances ».

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Les bébés qui ne grossissent pas assez n’ont pas besoin de calories supplémentaires

Des chercheurs ont étudié 11 499 bébés nés à terme dans les années 90 en Grande-Bretagne.

Parmi ceux-ci, et lorsque comparés aux chartes de croissance, 507 n’ont pas pris assez de poids durant les 8 premières semaines de leur vie (groupe précoce). 480 ont suivi la courbe durant les deux premiers mois, mais leur prise de poids a été beaucoup plus lente par la suite, jusqu’à neuf mois (groupe tardif). 30 bébés appartenaient simultanément aux deux groupes.

Les tout-petits du groupe précoce se sont rattrapés rapidement et avaient presque repris le poids auquel on s’attendait à l’âge de 2 ans. Ceux du groupe tardif ont plutôt poursuivi leur prise de poids lente jusqu’à l’âge de 7 ans, puis ont eu une « poussée » entre 7 et 10 ans.

Dans les deux groupes, leur poids était la plupart du temps considéré comme « normal » à 13 ans, même si ces enfants tendaient toujours à être plus petits et plus légers que la moyenne.

« De façon générale, les parents peuvent être rassurés à propos de leur enfant qui grossit lentement, si celui-ci est en bonne santé », a noté l’auteur, Alan Edmond, qui est professeur à l’Université de Bristol, selon Medical News Today.

Il a ajouté qu’il n’y avait pas lieu de comptabiliser les calories pour ces enfants, de leur procurer de la nourriture supplémentaire ou de les forcer à manger.

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Les Américains se lasseraient-ils de la malbouffe?

Un rapport aussi encourageant qu’improbable, en provenance des États-Unis, fait état d’une baisse de popularité de la malbouffe chez nos voisins du sud.

Pourtant reconnus comme capitale de la restauration rapide et des repas malsains dans le monde, les États-Unis voient leurs statistiques de consommation de malbouffe diminuer pour la première fois.

C’est Top Santé qui rapporte cette nouvelle étonnante, alors que l’organisation du NHANES (National Center For Health Statistics) constate certaines modifications dans la relation des Américains avec leurs chaînes de restauration rapide préférées.

« La baisse est significative, mais beaucoup d’efforts restent à faire », mentionne Cheryl D. Fryar, coauteure de ces recherches.

Cette dernière croit que la baisse enregistrée est en partie due à la sensibilisation massive effectuée au cours des dernières années en Amérique concernant les dangers reliés à la consommation de malbouffe.

Malgré tout, si on regarde les chiffres d’une autre façon, on constate que la malbouffe en général compte encore pour 11 % des calories ingérées quotidiennement par le peuple américain.

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Plus d’allergies chez les enfants aux États-Unis?

Une nouvelle étude a analysé les cas de 78 853 enfants vivant aux États-Unis, incluant 1989 petits qui étaient nés dans d’autres pays.

Parmi ces jeunes immigrants, qui avaient un âge moyen de 11,5 ans, 53 % étaient d’origine hispanique, 17 % étaient caucasiens, et 12 % étaient d’origine africaine. 94 % d’entre eux vivaient dans des agglomérations urbaines.

Du point de vue des allergies, être né à l’extérieur des États-Unis présentait un avantage significatif, de même que le fait d’avoir au moins un parent qui provenait d’un autre pays. Plus les enfants avaient vécu longtemps aux États-Unis, plus leur risque de développer des allergies augmentait.

Par exemple, ceux qui étaient en sol américain depuis plus d’une décennie avaient trois fois plus de chances d’avoir une allergie de toute sorte que ceux qui n’y étaient que depuis deux ans ou moins, rapport Med Page Today.

Les résultats ont été présentés lors du récent congrès de l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology.

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Une échographie pourrait révéler le risque d’autisme à la naissance

Les chercheurs savent déjà que les bébés de petit poids sont particulièrement vulnérables à recevoir plus tard un diagnostic de trouble dans le spectre de l’autisme (TSA).

En analysant les données provenant de 1105 bébés de petit poids qui avaient subi une échographie intracrânienne peu après leur naissance, les chercheurs ont constaté des parallèles intéressants.

En effet, les bébés qui avaient des ventricules plus gonflés, c’est-à-dire des cavités du cerveau qui contiennent du liquide rachidien, couraient 7 fois plus de chance que les autres de développer plus tard un TSA.

« Pendant plusieurs années, il y a eu une controverse à propos de la vaccination ou des facteurs environnementaux et de leur lien potentiel avec l’autisme, et nous nous sommes demandé à quel âge les enfants commençaient à développer le trouble », a expliqué l’auteure de l’étude, Tammy Movsas, selon ce que rapporte Science Daily.

« Mais ce que notre étude montre, c’est que ce risque est probablement déjà présent à la naissance, et pourrait être lié à des anomalies du cerveau. »

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Les enfants apprennent durant leur sommeil

La revue Nature Neuroscience a publié les résultats d’une étude montrant une fois de plus à quel point il est important pour les enfants de dormir suffisamment.

Des recherches précédentes ont déjà démontré que chez les adultes, le sommeil sert à soutenir « l’entreposage » à long terme de ce qu’ils ont appris. Durant la nuit, la mémoire rend l’apprentissage futur plus facile et transforme les connaissances implicites en connaissances explicites, ce qui les rend plus faciles à transférer dans d’autres zones du cerveau.

Des chercheurs ont cette fois testé cette capacité chez des enfants âgés de 8 à 11 ans, ainsi que chez un groupe de contrôle formé de jeunes adultes. Les participants devaient essayer de deviner une série d’actions prédéterminées, sans savoir à l’avance qu’il existait une série à la base.

Après une nuit de sommeil, les participants des deux groupes ont été capables de se rappeler un plus grand nombre d’éléments que ceux qui ont été testés à nouveau à la fin de la journée. Et les enfants ont beaucoup mieux réussi cette tâche que les adultes.

« Les enfants génèrent des connaissances explicites de manière beaucoup plus efficace que les adultes pendant leur sommeil. Et leur capacité extraordinaire est liée à leurs cycles de sommeil profond, qui sont beaucoup plus longs que ceux des grands », a expliqué l’auteure de l’étude, la Dre Ines Wilhelm, selon Science Daily.