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Se priver de sommeil pourrait déranger vos gènes

Manquer d’un sommeil adéquat n’aurait pas que pour effet de vous fatiguer, mais pourrait aussi nuire et déranger vos gènes, lance une étude britannique sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces conclusions sont pour l’instant primaires et ne répondent pas à toutes les interrogations.

On ne sait par exemple toujours pas comment le fait de manquer de sommeil pourrait jouer sur la génétique de votre organisme, mais les chercheurs de l’Université du Surrey croient néanmoins pouvoir observer le phénomène.

Pour y parvenir, les chercheurs ont recruté 26 volontaires qui ont d’abord passé une semaine en cycle de sommeil « normal », pour ensuite diminuer le nombre d’heures de sommeil alloué.

On a ensuite prélevé des échantillons sanguins sur les sujets, qui ont révélé que plusieurs gènes et éléments du métabolisme s’en trouvaient ralentis.

On aura encore besoin de plus de tests pour mieux comprendre le phénomène et ses impacts concrets sur la santé, mais il s’agit d’un pas.

L’étude a été publiée dans l’édition du 25 février des Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Des experts déconseillent les suppléments de calcium aux femmes plus âgées

The National Library of Medicine rapporte qu’un groupe de spécialistes américains vient de publier une déclaration qui déconseille aux femmes plus âgées, spécialement celles en parfaite santé, de consommer systématiquement des suppléments de calcium.

Il s’agit d’un comportement populaire encouragé, puisqu’on accorde aux compléments alimentaires de calcium (ainsi qu’à la vitamine D, aussi retrouvée dans le lait) des effets protecteurs sur les os. On pourrait ainsi prévenir les fractures lorsqu’on prend de l’âge, croient plusieurs.

Rien n’est plus faux, martèlent maintenant les autorités américaines en la matière, qui y vont d’une dernière recommandation dans le cadre de ces études.

Pour les personnes en santé, un apport supplémentaire minime ou moyen en calcium n’aurait aucun effet, et les vertus d’un apport supplémentaire fort restent à démontrer.

Pour l’équipe de chercheurs, qui publie ces résultats dans l’édition du 26 février des Annals of Internal Medicine, aucune preuve concluante ne permet de prescrire ou d’encourager la prise de calcium en supplément chez les femmes de plus de 50 ans et en bonne santé.

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Les femmes sont-elles vraiment plus loquaces que les hommes?

Santé Log répond à une question qui semble de prime abord sexiste : les femmes parlent-elles plus que les hommes?

L’étude rapportée par le site répond non seulement à cette question par l’affirmative, mais elle explique également l’une des raisons qui pourrait expliquer ce phénomène.

On avance d’abord que la femme prononcera en moyenne 20 000 mots par jour, pour 7000 pour un homme. Mais attention, si on comprend bien les résultats de cette étude en provenance de l’Université du Maryland, ce phénomène cacherait un beau compliment pour la gent féminine.

En fait, il appert que si les femmes parlent plus, c’est qu’elles auraient une meilleure capacité d’apprentissage et de maîtrise du langage, une capacité démontrée et expliquée par la présence de la protéine FOXP2.

Cette dernière jouerait un rôle dans la capacité et la volonté de s’exprimer, et de le faire adéquatement.

Fait étrange, on retrouve davantage cette protéine chez les rongeurs mâles, comme les rats, mais moins chez leurs homologues humains.

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Les enfants n’ont pas leur place dans les salons de bronzage

L’Organisation mondiale de la santé est claire : elle affirme que les personnes de moins de 18 ans ne devraient pas fréquenter les salons de bronzage, étant donné leurs risques.

En effet, selon une recherche récente, les lits de bronzage seraient responsables de 170 000 cas de cancers de la peau aux États-Unis, et ce, chaque année.

Des experts américains se sont attardés à la situation dans ce pays, où des lois existent dans certains États, comme New York et la Californie, pour empêcher les jeunes de fréquenter ces établissements.

Il reste toujours 17 États qui n’ont aucune restriction reliée à l’âge. Parmi les 243 salons de bronzage interrogés, la majorité d’entre eux ont admis qu’ils accepteraient de recevoir comme clients des enfants âgés de 10 à 12 ans.

La dermatologue Dre Lynn Cornelius a affirmé que « l’absence de restrictions basées sur l’âge signifie que nous échouons dans la tâche importante, celle de protéger nos enfants, qui sont beaucoup plus à risque de développer un cancer de la peau lorsqu’ils sont exposés à une haute intensité de rayons ultraviolets, comme ceux que l’on retrouve dans les lits de bronzage », rapporte Medical News Today.

Selon cette experte, les salons de bronzage peuvent tripler le risque de développer un mélanome, un cancer de la peau particulièrement virulent.

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Une autre étude confirme les effets de la diète méditerranéenne sur la santé

Une nouvelle étude en provenance d’Espagne vient cristalliser ce que plusieurs précédentes avançaient également : la diète méditerranéenne est une puissante alliée dans la prévention des attaques cérébrales et cardiaques, notamment.

Ce sont les conclusions proposées par ces chercheurs de l’Université de Barcelone, qui tendent à prouver les effets bienfaiteurs de ce type de régime, composé entre autres de légumes, de fruits, de poissons, de vin et d’huiles végétales.

Ajoutez à cela les huiles d’olive et de noix, et vous vous retrouvez avec des risques de problèmes cardiovasculaires grandement diminués, même parfois jusqu’à 30 %, rapporte Santé Log.

Même son de cloche en ce qui concerne les AVC, qui seraient également moins enclins à se produire en adoptant la diète méditerranéenne.

Cette récente étude a été commandée et publiée dans le cadre de l’effort PREDIMED, qui tente de définir les impacts réels de ce régime sur la santé, depuis 2003.

De plus en plus, donc, les vertus de la diète méditerranéenne semblent incontestables.

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Les programmes de soccer après l’école n’ont pas d’effet sur l’obésité infantile

Le journal JAMA Pediatrics publie les résultats de l’analyse d’un programme appelé SCORES, qui a lieu dans une douzaine de villes américaines, plus précisément dans des milieux défavorisés associés à un fort taux d’obésité infantile.

La recherche en question a inclus 156 enfants de 4e et de 5e année qui participaient à ce programme consistant en 2 à 3 pratiques de soccer hebdomadaires après l’école, ainsi qu’une partie le samedi.

Les chercheurs ont noté que la participation des enfants était sur une base volontaire, ce qui fait qu’ils n’assistaient pas nécessairement à toutes les pratiques et faisaient en moyenne 1,4 heure de soccer par semaine.

Les enfants ont augmenté leur activité physique d’intensité modérée à vigoureuse de 3,4 minutes durant la semaine, ainsi que de 18,5 minutes durant le match. Ces résultats ont été jugés « modestes, mais tout de même significatifs ».

Par contre, les enfants souffrant d’embonpoint ou d’obésité n’ont malheureusement pas vraiment perdu de poids ou augmenté leur niveau de forme physique, ont fait remarquer les chercheurs, selon MedPageToday.

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Les probiotiques durant la grossesse diminuent les allergies chez les tout-petits

Des chercheurs norvégiens ont analysé les données provenant de 41 000 mères et leur enfant, qui ont rempli des questionnaires sur leurs habitudes alimentaires lors de leur 22e semaine de grossesse. Ces mères ont également fourni des renseignements sur les allergies de leur enfant à 6, 18 et 36 mois.

Environ 37 % des mères consommaient des produits laitiers contenant des probiotiques, tandis que 0,4 % en prenaient sous forme de suppléments. De plus, 18 % de ces mères donnaient également des probiotiques à leur enfant à partir de l’âge de 6 mois.

À l’âge de 6 mois, les enfants dont les mères avaient pris des antibiotiques avaient 7 % moins de risques d’eczéma et 12 % moins de risques de problèmes d’allergies.

Une autre constatation surprenante : le risque était encore beaucoup moins élevé chez les enfants dont la mère prenait des probiotiques, mais qui étaient nés par voie naturelle, comparativement aux petits nés par césarienne, rapporte MedPageToday.

Les résultats de cette étude ont été présentés au récent congrès de l’American Academy of Allergy, Asthma and Immunology.

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La stimulation cérébrale profonde : solution aux désordres obsessifs compulsifs?

The National Library of Medicine rapporte les conclusions obtenues à la suite des recherches sur les désordres obsessifs compulsifs et de la réaction des patients à des traitements par stimulation cérébrale profonde.

On parlait déjà beaucoup de cette façon de faire pour enrayer, ou à tout le moins prévenir, des troubles cognitifs ou dégénératifs, mais c’est la première fois que des spécialistes tentent vraiment le coup en ce qui a trait aux désordres obsessifs compulsifs.

Publiées dans l’édition du 24 février du journal Nature Neuroscience, ces recherches confirmeraient l’idée que ces désordres sont l’œuvre d’un dérèglement cérébral, et qu’ils sont donc réversibles.

À tout le moins de moitié, puisque les chercheurs hollandais en tête de l’étude révèlent avoir réglé 50 % du problème chez certains patients, grâce à la stimulation cérébrale profonde.

On définit un désordre obsessif compulsif par un comportement répété de la part d’un individu, qui ne peut y mettre un terme volontairement. On parle bien sûr notamment de certaines dépendances, mais ce trouble peut aussi se traduire par des gestes simples, comme placer les choses dans un ordre précis ou encore constamment s’inquiéter d’un geste que l’on a pourtant bien accompli, comme verrouiller une porte.

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Les enfants autistes auraient plus de métaux lourds dans leur organisme

Des chercheurs ont analysé le taux de métaux lourds présents dans le sang et l’urine chez 55 enfants et jeunes avec un trouble du spectre de l’autisme (TSA), ainsi que chez 44 autres enfants formant un groupe de contrôle, qui correspondaient aux autres du point de vue de l’âge et du sexe.

Les enfants du groupe de TSA avaient un taux significativement plus élevé de plomb (+41 %) dans le sang que les enfants qui n’avaient pas le trouble.

Les analyses d’urine ont quant à elles révélé des taux beaucoup plus élevés de plomb (+74 %), de thallium (+77 %), d’étain (+115 %) et de tungstène (+44 %).

Tous ces métaux sont reconnus pour avoir un effet négatif sur le fonctionnement du cerveau et d’autres organes.

De plus, les chercheurs ont constaté que la sévérité des symptômes du TSA était influencée par le taux de différents métaux. En particulier, plus le taux de mercure et le taux de cadmium étaient élevés chez ces enfants, plus leur trouble était sévère.

« Nous émettons l’hypothèse que réduire l’exposition aux métaux lourds durant la grossesse et en début de vie pourrait diminuer les symptômes du TSA, et que les traitements pour éliminer les métaux toxiques pourraient améliorer le trouble », ont noté les chercheurs, selon Science Daily.

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Près d’un Américain sur cinq boit trop

Trop d’Américains boivent encore trop. C’est la conclusion qui ressort d’une nouvelle étude sur les habitudes de consommation d’alcool chez nos voisins du sud, un constat qui pourrait tout aussi bien s’appliquer à nous…

Heureusement, l’étude rapportée par The National Library of Medicine ne vise cette fois que la population américaine et fait état d’une moyenne d’un citoyen sur cinq aux habitudes de consommation au-dessus de la limite prescrite.

18 % des hommes et 11 % des femmes, pour être plus précis, des chiffres qui ne semblent pas démesurés, mais qui inquiètent les autorités de la santé.

« En fait, la plupart des adultes ne boivent carrément pas chaque jour. Mais le fait demeure que la consommation d’alcool est un souci de santé publique significatif, et que beaucoup de gens boivent beaucoup trop », résume Patricia Guenther, l’auteure en chef de l’étude publiée dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics.

Fait étonnant, on remarque des bonds dans le recensement des personnes qui consomment plus d’alcool que la normale chez les hommes âgés de 31 à 50 ans (22 %), et chez les femmes âgées de 51 à 70 ans (12 %).