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Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

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Le vin rouge et l’ouïe

Une étude américaine rapportée par Top Santé révèle que le vin rouge pourrait posséder des vertus cachées qui protègeraient l’ouïe.

En effet, les chercheurs de l’hôpital Henry Ford, à Detroit, constatent que certaines composantes du vin rouge seraient bénéfiques à l’audition chez l’homme, notamment le resvératrol, un antioxydant.

Ces conclusions étonnantes sont le fruit d’un travail en laboratoire de sept semaines, période au cours de laquelle les chercheurs ont observé les réponses auditives de rats, dont certains recevaient des doses de resvératrol.

Ceux qui étaient au contraire placés sous une simple solution saline voyaient leurs capacités auditives baisser de façon plus évidente que ceux qui recevaient l’antioxydant.

Le Dr Michael Seidman, de l’équipe en tête de l’étude, résume : « Notre dernière étude met l’accent sur le resvératrol et ses effets sur les réactions du corps à la suite d’un traumatisme. On pense que ces réactions sont la cause de nombreux problèmes de santé comme la maladie d’Alzheimer, le cancer, le vieillissement et la perte d’audition ».

Le constat va donc plus loin que l’impact du vin sur l’ouïe, car on ouvre la porte à un possible effet préventif des maladies dégénératives et cognitives.

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Un vaccin contre la grippe moins efficace en 2013

Selon une étude rapportée par Radio-Canada, on remarque chez les spécialistes que le vaccin contre la grippe serait moins efficace cette année.

Ceci expliquerait en partie pourquoi le virus frappe si fort et semble impossible à freiner depuis le début de l’hiver.

C’est du moins ce qui ressort de l’étude américaine en question, un état de fait que commentent des spécialistes de la région de Gatineau, au Québec.

« On recommande le vaccin parce que l’on sait que même si les gens sont malades, il y a moins de complications reliées à l’influenza, s’ils attrapent la maladie malgré leur vaccin », mentionne Carole McConnery, de l’organisme de la santé publique de Gatineau, malgré les résultats de l’étude.

Elle poursuit en expliquant : « Le vaccin est fabriqué presque un an d’avance en regardant ce qui circule dans l’hémisphère sud quand eux sont en hiver, et des fois, on se trompe. Cette année, on ne s’est pas trompé, c’est juste que c’est une souche à laquelle les gens n’avaient pas été exposés, et les gens non vaccinés, les jeunes adultes entre autres, ont été malades ».

On estime qu’une personne sur deux est touchée par l’influenza durant une année, et que près de 90 % des gens vaccinés sont protégés du virus.

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15 mois dans la vie d’une femme… à se maquiller!

Une nouvelle étude aussi légère qu’intéressante révèle que les femmes passeraient, en moyenne, 15 mois de leur vie à se maquiller! C’est du moins ce qui ressort des habitudes de vie des femmes britanniques qui font l’objet de l’étude, explique Top Santé.

747 jours donc, ou un an et trois mois, voilà le constat qui ressort de cette étude toute féminine.

Si on fractionne cette durée encore un peu plus, on parle alors de trois heures et dix-neuf minutes par semaine, ou encore de plus de 15 minutes par jour.

Il semble que le weekend permet aux dames d’accorder encore plus de temps par jour à leur beauté, puisque celles-ci passeraient alors 24 minutes (en moyenne) par jour à se faire belles.

Les yeux semblent être le principal point d’intérêt des femmes, eux qui sollicitent plus de temps que les autres parties du visage.

Il semble par ailleurs que ce comportement ne soit pas un fardeau pour la majorité des répondantes, qui affirment éprouver du plaisir à se maquiller.

« Les femmes mènent une vie si remplie de nos jours que la moindre astuce qui peut permettre d’économiser du temps est bonne à prendre », révèle la directrice du Harley Street Beauty Clinic – Specialist Make-up Services, qui menait cette enquête afin de mieux cibler les besoins de la femme moderne.

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Les enfants américains mangent moins de calories, mais trop de gras saturés

Contrairement à la croyance générale, les petits Américains mangent moins de calories maintenant qu’en 1999. Chez les garçons, l’alimentation quotidienne est passée de 2258 à 2100 calories en moyenne, tandis que chez les filles, le nombre est passé de 1831 à 1755 calories.

Les jeunes mangent maintenant un peu plus de protéines qu’avant (de 13,5 % à 14,7 % chez les garçons et de 13,4 % à 14,3 % chez les filles), tandis que la consommation de glucides a légèrement diminué (passant de 55 à 54 % chez les deux sexes).

Depuis 1999, la proportion de jeunes garçons obèses a augmenté, mais pas celle des filles. Dans les dernières années, le taux d’obésité s’est stabilisé chez les jeunes.

La proportion de gras saturés, qui se chiffre entre 11 et 12 %, est particulièrement inquiétante chez les enfants, ont fait remarquer les experts.

« Les pourcentages de calories provenant des protéines, des glucides et des graisses sont dans les fourchettes recommandées, mais le pourcentage de gras saturés était au-dessus des 10 % établis dans les guides alimentaires », ont-ils noté, selon Medscape.

Les statistiques ont été compilées par le National Center for Health Statistics, un organisme paragouvernemental américain.

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Les allergies alimentaires sont fortement liées à l’origine ethnique des enfants

Une nouvelle étude américaine a effectué des tests d’allergies chez 543 enfants de 2 ans, incluant 388 petits d’origine africaine. Leurs parents ont aussi répondu à des questions sur leurs propres allergies environnementales.

Les tests d’allergies ont inclus de nombreux allergènes environnementaux et alimentaires communs, par exemple la poussière, l’herbe à poux, les animaux domestiques ou encore les œufs, les arachides ou le lait.

Parmi les enfants testés, 71 ont eu une réaction à un allergène environnemental, et 88 ont eu une réaction à un allergène alimentaire.

Les petits Afro-Américains étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir une allergie alimentaire que les autres, particulièrement si leurs parents n’avaient pas eux-mêmes d’allergie, et si les enfants n’étaient pas les premiers-nés dans la famille.

La proportion était toutefois similaire chez tous les groupes ethniques pour ce qui est des allergies environnementales (14 % des Afro-Américains et 11 % des Caucasiens), rapporte MedPageToday.

Ces résultats ont été présentés lors du récent congrès de l’American Academy of Allergy, Asthma, and Immunology.

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Les parents ne devraient pas parler de leurs propres expériences avec la drogue

Le journal Human Communication Research a interrogé 561 jeunes de 11 à 14 ans sur les conversations qu’ils avaient eues avec leurs parents à propos des substances illicites comme l’alcool, les cigarettes et les drogues.

Les chercheurs souhaitaient surtout noter quels types de messages véhiculés par les parents étaient associés à une plus grande attitude antidrogue chez les jeunes.

Les chercheurs s’attendaient à ce que les jeunes soient moins portés à prendre de la drogue si les parents leur avaient parlé de leurs propres expériences avec celles-ci et de leurs regrets. En fait, les enfants à qui les parents avaient confié leurs expériences négatives n’avaient pas une attitude antidrogue très marquée.

Selon les chercheurs, la meilleure attitude que les parents peuvent adopter pour susciter une forte réponse antidrogue chez leurs jeunes adolescents est de leur donner un message très clair, mais sans mentionner leur propre expérience.

Par exemple, les parents peuvent expliquer les conséquences négatives reliées à la consommation de drogue, les manières d’éviter ces substances, en plus d’affirmer qu’ils n’approuvent pas leur utilisation et de rappeler les consignes de la famille à cet effet.

Il peut également être utile de raconter des histoires de drogue qui ont mal tourné, mais qui concernent d’autres personnes, selon Science Daily.

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

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Impact positif des oméga-3 sur le cancer du sein

Plusieurs spécialistes avançaient que les oméga-3 ont un impact sur la prévention et sur la progression du cancer du sein, mais personne ne l’avait officiellement démontré.

Selon Santé Log, une nouvelle étude sur le sujet prouverait finalement cette théorie, qui parle même de la capacité de ces acides gras à réduire du tiers la croissance de ces tumeurs.

Les femmes gagneraient donc à adopter un régime alimentaire qui comprend des oméga-3, croient fermement les chercheurs de l’Université Guelph, en Ontario.

« Nous montrons qu’une exposition à vie aux oméga-3 joue un rôle bénéfique dans la prévention du cancer du sein. Nous prouvons que les oméga-3 sont le facteur moteur de cet effet bénéfique. », se réjouit le Dr David Ma, professeur et co-auteur de l’étude.

Pour arriver à ce constat, l’équipe du Dr Ma a littéralement créé un type de souris qui développe des tumeurs mammaires, un fait qui semble relever de la fiction. D’autres souris similaires ont ensuite été créées, avec en prime une autre capacité, celle de produire simultanément des oméga-3.

Les rongeurs du deuxième groupe ont développé trois fois moins de tumeurs que les autres, et ces dernières étaient 30 % moins grosses en se développant.

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Trois tasses de café par jour pour les cinquantenaires

Top Santé rapporte une étude qui a de quoi surprendre. En effet, celle-ci suggère aux gens qui franchissent le cap de la cinquantaine de penser sérieusement à commencer à boire trois tasses de café par jour.

Ce comportement pourrait bien prévenir le cancer et rallonger l’espérance de vie de ces cinquantenaires, un constat qui soulève des interrogations.

C’est pourtant la recommandation publiée par l’Institut National du Cancer, aux États-Unis, telle que décrite par le Dr Neal Freedman :

« Comme nous avons pu suivre plus de 400 000 personnes, nous avions forcément des groupes où boire du café était aussi associé à des facteurs de risques comme fumer, boire de l’alcool ou avoir une vie sédentaire. Et nous avons noté que chez les fumeurs, le café n’avait aucun effet protecteur. Il est sans doute important de noter que les effets négatifs du tabac sur la santé sont tels qu’il est difficile d’en inverser la tendance ».

Du café, alors, et du café seulement, suivant une posologie d’environ trois tasses par jour, conseille vivement l’Institut.