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Près du double du risque de cancer pour les amateurs de malbouffe

La malbouffe est au plus bas. Jamais sa réputation n’aura été aussi entachée que maintenant, et cette récente étude en provenance des Pays-Bas ne risque pas d’améliorer la situation.

Si on savait que la malbouffe était mauvaise pour la santé, il appert qu’elle augmenterait dramatiquement les risques de cancer, rapporte Santé Log.

Et pas de moindre façon, puisque selon les chercheurs de l’Université de Wageningen, on parle de risques de cancer qui se voient augmentés de 200 % chez ceux qui consomment régulièrement ce genre d’aliments et qui souffrent d’une condition héréditaire comme le syndrome de Lynch, par exemple.

Une bien mauvaise publicité pour les chaînes de restauration rapide, qui tentent par tous les moyens de redorer leur blason. Même chose en ce qui concerne les croustilles et autres grignotines, qui se retrouvent aussi au banc des accusés dans cette étude.

Les conclusions de cette dernière ont été publiées dans le magazine Cancer (American Cancer Society) et somment les gens aux prises avec des conditions héréditaires ou des problèmes de santé d’adopter sans attendre de nouvelles (et bonnes) habitudes alimentaires.

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Les adultes ne savent pas très bien décoder les pleurs des bébés

Des chercheurs espagnols ont analysé les pleurs de 20 bébés âgés de 3 à 18 mois, et ont publié l’étude dans la revue Spanish Journal of Psychology.

La plus grande différence entre les divers types de pleurs se trouvait surtout dans les yeux, ont affirmé les chercheurs. Les bébés gardent les yeux ouverts lorsqu’ils pleurent parce qu’ils ont peur ou qu’ils sont fâchés, mais les ferment lorsqu’ils ont mal.

La dynamique des pleurs est aussi importante : dans le cas de la colère, les gestes et l’intensité augmentent avec le temps, mais si le bébé a peur ou est fâché, l’intensité est présente dès le début et demeure.

Les adultes n’arrivent pas très bien à distinguer la cause des pleurs des bébés, ont ajouté les auteurs de l’étude, particulièrement dans le cas de la colère et de la peur.

Une chose est sûre cependant, « lorsque les bébés pleurent parce qu’ils éprouvent de la douleur, les adultes ont une réaction affective plus intense », a fait remarquer Mariano Choliz, selon Science Daily.

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Êtes-vous un petit ou un grand rêveur?

L’INSERM était chargé d’analyser l’activité cérébrale chez les dormeurs en tout genre, et l’institut y va de quelques révélations intéressantes, rapportées par Top Santé.

Notamment cette distinction entre « petit » et « grand » rêveur, qui se définit entre autres par la capacité à dormir paisiblement et à se souvenir de ses rêves.

Alors que les petits rêveurs seraient plus susceptibles de dormir paisiblement, on apprend que les grands rêveurs peuvent être victimes de nuits plus agitées et se réveiller plus souvent au cours de la nuit, mais ont aussi la faculté de se souvenir plus aisément de leurs rêves.

Baptiste Eichenlaub et Perrine Ruby, chercheurs de l’INSERM, qualifient ces phases de rêves de « micro-réveil », période au cours de laquelle les dormeurs seraient plus sensibles aux perturbations extérieures ainsi qu’aux distractions environnantes.

On parle donc d’une phase qui frôle le réveil, au sens où les grands rêveurs sont conscients de l’environnement tout en dormant.

Les petits rêveurs enregistrent aussi ces phases de micro-réveil, expliquent les deux chercheurs, elles sont simplement plus courtes. On parle de cinq minutes de ce phénomène par nuit pour les petits rêveurs, et de 15 minutes pour les grands.

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La caféine durant la grossesse donnerait des bébés de plus petit poids

Le journal BMC Medicine publie les résultats d’une étude norvégienne qui s’est attardée à près de 60 000 grossesses, et plus particulièrement à la caféine consommée par la mère.

Toutes les sources de caféine ont été calculées : le café, le thé, les boissons gazeuses et les aliments contenant du cacao.

Les chercheurs ont découvert que pour 100 mg de caféine quotidiens consommés par la mère, le bébé pesait de 21 à 28 grammes de moins à la naissance.

« Dans cette étude, nous n’avons pas trouvé d’association entre la caféine et l’accouchement prématuré, mais il y avait assurément une association entre la caféine et le faible poids à la naissance. Ce lien est demeuré même chez les mères non-fumeuses, ce qui sous-entend que c’est la caféine même qui a un effet sur le poids », a expliqué l’auteure, la Dre Verena Sengpiel, selon EurekAlert!.

L’Organisation mondiale de la santé recommande aujourd’hui une limite de 300 mg de caféine par jour durant la grossesse, mais certains pays prônent plutôt une limite de 200 mg, ce qui correspond à un seul café fort.

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Si tous les nouveau-nés étaient allaités, 830 000 vies pourraient être sauvées chaque année

Le système immunitaire des bébés obtient un bénéfice incroyable du colostrum, le « premier lait » que la mère transmet durant les premiers jours de vie du bébé.

Plus les mères commencent à allaiter tôt après la naissance, plus il y a de chances qu’elles allaitent encore après 6 mois, ce qui réduit de beaucoup le risque de malnutrition et de maladies mortelles pour les bébés, expliquent les auteurs du rapport.

Le taux d’allaitement à l’échelle mondiale est plutôt bas, autour de 40 %. Pourtant, il s’agit véritablement de l’outil le plus efficace pour réduire la mortalité infantile, a expliqué la présidente de Save the Children, Carolyn Miles, selon Medical News Today.

Selon les auteurs, il existe 4 barrières majeures à l’allaitement dans le monde : les pressions culturelles et de la communauté, une pénurie de travailleurs de la santé, des lois trop floues et les fabricants de lait maternisé et leur marketing extrêmement efficace.

Environ 20 % des décès chez les nouveau-nés pourraient être prévenus si chaque enfant était allaité durant sa première heure de vie, a rappelé l’organisme.

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Les jeunes qui regardent beaucoup la télé sont plus à risque de devenir antisociaux

Des chercheurs néo-zélandais ont suivi un groupe de 1000 enfants, entre l’âge de 5 ans et de 15 ans. Tous les deux ans, ceux-ci devaient évaluer le nombre d’heures passées devant la télévision.

L’ampleur des résultats a surpris les chercheurs : pour chaque heure supplémentaire passée devant la télévision un soir de semaine, les enfants augmentaient de 30 % leur risque d’être arrêté pour une offense criminelle au début de l’âge adulte.

Les enfants qui regardaient beaucoup la télé étaient aussi beaucoup plus susceptibles d’avoir des traits de personnalité agressifs, d’être négatifs et d’avoir un problème psychiatrique appelé « trouble de personnalité antisociale » à l’âge adulte.

Selon les chercheurs, ce n’est pas que les enfants antisociaux aiment plus regarder la télé, mais plutôt que « des enfants qui regardent énormément de télé en viennent à développer et à manifester ces comportements problématiques », selon ce que rapporte Science Daily.

L’auteur de l’étude, Bob Hancox, a ajouté que « les comportements antisociaux sont un problème majeur dans notre société. Même si nous ne pouvons pas affirmer hors de tout doute que la télé en est la cause, nos données suggèrent quand même que réduire le temps passé devant la télé pourrait aider ».

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Le traitement hormonal substitutif en prévention de l’Alzheimer

Santé Log rapporte que le traitement hormonal substitutif, aussi appelé simplement THS, pourrait s’avérer un outil de choix dans la lutte à la maladie d’Alzheimer, ainsi que pour sa prévention.

C’est ce qui ressort d’une étude américaine publiée dans la plus récente édition du magazine PLoS ONE, alors que des chercheurs croient que le THS pourrait contribuer à ralentir le vieillissement prématuré des cellules, et ainsi prévenir le déclin cognitif trop hâtif.

Si les réactions face à cette « découverte » sont pour l’instant partagées, les chercheurs de l’Université de Californie, eux, affichent un bel optimisme.

Ils ont pu constater ces effets lors de tests du THS sur un groupe de femmes ménopausées, plus particulièrement sur celles qui démontraient la variante génétique APOE-e4, un facteur de risque de l’Alzheimer.

Si les femmes ménopausées présentant cette variante génétique voient augmenter leurs risques de développer des problèmes cognitifs tels que ceux retrouvés dans les cas d’Alzheimer, le THS permettrait de les réduire considérablement.

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La consommation de fruits bénéfique pour la peau

Il existe plusieurs produits sur le marché afin de conserver la plus belle peau possible, mais une nouvelle étude qui nous arrive d’Écosse propose un nouveau truc beauté qui n’implique l’achat d’aucun produit particulier.

Sauf peut-être celui que vous ferez au rayon des fruits et légumes, rapporte Top Santé, puisque l’étude en question parle de l’impact de la consommation de fruits sur la peau.

Les chercheurs écossais s’avancent à parler de trois portions de fruits par jour pour une peau en santé, en plus de préciser l’impact des caroténoïdes. Ces derniers sont davantage retrouvés dans les légumes, dont les carottes et le chou.

Le kiwi et l’orange seraient également bénéfiques pour un teint éclatant, selon les résultats de cette étude. Celle-ci a analysé les impacts d’une prise quotidienne de fruits (et légumes) sur le teint de plusieurs sujets, sur une période de six semaines.

Photos à l’appui, le directeur de l’étude, Dr Ross Whitehead, croit fermement aux vertus des fruits sur la peau, affirmant même que d’en consommer trois portions par jour « constitue un moyen plus efficace de s’embellir ».

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Plus de détails sur les menus de restaurant, une méthode qui fonctionne

On parle de plus en plus de cette volonté à obliger les restaurateurs à inscrire précisément ce que contiennent les repas affichés sur leur menu, afin de permettre au consommateur de faire des choix plus éclairés.

Voilà que The National Library of Medicine rapporte une nouvelle étude américaine sur le sujet, qui vante les mérites de cette approche.

On avance même que cette façon de faire, notamment d’indiquer clairement les apports caloriques des mets sur le menu, permettrait non seulement aux gens soucieux de leur santé d’être mieux servis, mais également de conscientiser ceux qui ne se soucient guère de leur santé.

Plus facile de faire une prise de conscience lorsqu’on a tous les éléments en main, croient les chercheurs du Jean Mayer USDA Human Nutrition Research Center on Aging qui publient cette recherche.

« C’est encourageant, car l’information pourrait bien aider ceux qui en ont le plus besoin », conclut Lorien Urban, qui étudie justement les impacts d’ajouter de l’information sur les menus de restaurant.

Les sujets de l’étude ayant eu accès à un menu détaillé ont baissé leurs apports caloriques de façon hebdomadaire, et ces changements, même minimes, peuvent avoir un impact intéressant sur la santé physique.

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L’alcool serait aussi un facteur de développement du cancer du sein

La consommation d’alcool n’est pas assez reconnue pour ses propriétés cancérigènes, notamment en ce qui concerne le cancer du sein, croient des chercheurs américains.

Ces derniers, issus de l’École de médecine de Boston, viennent de publier une étude sur le sujet, qui parle du danger lié à la consommation d’alcool chez la femme, un danger qui serait vérifiable à partir de deux consommations par jour, rapporte Top Santé.

Si cela peut sembler peu, il appert que cela est suffisant pour placer les femmes à risque, croit l’équipe de spécialistes.

« Boire deux verres d’alcool par jour est suffisant pour augmenter le risque de développer un cancer. Même s’il s’agit d’une consommation qui peut sembler modérée, voire raisonnable, cela suffit à multiplier le risque de souffrir d’un cancer, et notamment de développer un cancer du sein », résume l’équipe de chercheurs bostonnais.

Classé comme substance cancérigène depuis 1988 par l’OMS, l’alcool doit donc être pris au sérieux en tant que facteur de risque du cancer du sein, selon l’étude en question.

Cette dernière avance également que plusieurs décès liés au cancer du sein et potentiellement développés par l’alcool sont « cachés » dans les statistiques de cancer, alors qu’ils découlent d’un problème d’alcool.