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Le rire serait similaire à la méditation

Le processus du rire serait similaire à celui de la méditation au niveau du cerveau, et aurait par conséquent des impacts du même ordre, selon une nouvelle étude rapportée par The National Library of Medicine.

L’étude en question, proposée par des chercheurs californiens, estime que le rire et l’humour stimulent largement et de façon bénéfique le cerveau et ses ondes gamma, qui se retrouve dans toute la région cérébrale.

« Ce que cela signifie est que l’humour engage en fait tout le cerveau. C’est une expérience cérébrale complète, similaire à la méditation. On appelle ça “être dans la zone” », explique le directeur de la recherche, le professeur Lee Berk.

L’étude a été effectuée avec l’aide de 31 sujets volontaires, à qui l’on a demandé de visionner différents types de vidéos, dont certaines humoristiques, bien entendu. Les résultats démontrent des niveaux élevés d’activité des ondes gamma en situation de rire, les mêmes observables lors de périodes de méditation.

Comparant le rire à un « véritable entraînement du cerveau », M. Berk croit que l’humour cache des vertus insoupçonnées pour le cerveau et la santé psychologique.

Les résultats de l’étude seront présentés dans lors de la réunion annuelle Experimental Biology  qui se tient à San Diego.

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Le stress pourrait être une condition contagieuse

Une nouvelle étude allemande vient donner raison aux plus réceptifs aux énergies d’autrui, rapporte Top Santé, et constate que certaines émotions comme le stress seraient littéralement contagieuses.

Se concentrant sur le stress et l’anxiété, l’étude produite par les chercheurs du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences, à Leipzig en Allemagne, propose une expérience plus que concluante.

Simple mais efficace, l’expérience en question constituait à demander à 211 sujets volontaires d’observer attentivement une personne en situation de stress intense. Les chercheurs évaluaient alors les réactions des sujets, notamment en analysant leurs niveaux de cortisol (aussi appelé l’hormone du stress).

Résultat? Une personne sur quatre a vu son niveau de stress monter en flèche à la suite de l’observation, ce qui pourrait signifier également qu’une personne sur quatre possède une plus grande sensibilité aux émotions et énergies de son environnement.

Une étude des plus intéressantes, en somme, qui tend à démontrer l’importance de s’entourer de personnes et de situations positives au cours de sa vie.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le magazine Psychoneuroendocrinology.

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L’impuissance est souvent traitable sans médication

Alors que les statistiques concernant l’impuissance et la dysfonction érectile surprennent souvent, The National Library of Medicine rapporte de son côté une nouvelle étude qui encourage.

L’étude australienne révèle qu’un grand nombre des cas d’impuissance recensés serait traitable de façon naturelle et sans médication, une donnée qui n’est pas nécessairement véhiculée en cette ère des traitements miracles sous forme de pilules.

L’auteur principal de l’étude, le Dr Gary Wittert, constate que des changements d’habitude dans la vie de tous les jours peuvent contribuer largement à un retour à une vie sexuelle normale. La mauvaise alimentation, l’absence d’activité physique, le tabagisme et le stress sont tous des facteurs qui peuvent mener à des problèmes en la matière.

De plus, ces changements contribuent du même coup à améliorer la santé générale d’un individu, rappelle le Dr Wittert.

« Ça vaut toujours la peine de réduire l’obésité, d’améliorer son alimentation et de faire plus d’exercice. D’abord parce que la santé générale s’améliore et que les risques de problèmes cardiovasculaires s’amenuisent », explique l’auteur de l’étude.

Ces nouvelles conclusions ont été publiées dans le Journal of Sexual Medicine.

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L’explication des bienfaits du chocolat noir

Le chocolat, particulièrement le noir, est de plus en plus apprécié par les spécialistes en santé et au sein des études qui sont publiées en nutrition.

Notamment vanté pour ses capacités à protéger le cœur et de certaines maladies, le chocolat noir possède plusieurs qualités indéniables, s’accordent pour dire une majorité d’observateurs.

Entre autres, le chocolat noir possède une part importante de flavonoïdes, une substance naturelle qui permet la prévention de certaines maladies. D’accord, mais comment expliquer en clair ces bienfaits sur la santé?

Parce que le système digestif est incapable de le tolérer, répond le New York Times, qui rapporte de nouvelles études sur le sujet.

Des études en provenance des universités de Louisiane et Virginia Tech démontrent qu’une grande portion du cacao ingéré n’est tout bonnement pas digéré, et qu’il se disperse ensuite sous la forme de minuscules métabolites capables de s’intégrer au sang, notamment.

L’effet du cacao et de ses flavonoïdes est alors optimal, puisque non digéré de la même façon que plusieurs autres aliments par l’organisme.

Les chercheurs de Virginia Tech, qui publient ces résultats dans le The Journal of Agricultural and Food Chemistry, rappellent toutefois que le « cacao » n’est pas une « barre de chocolat », et qu’il est préférable de se le procurer dans ses formes les plus pures avant de l’intégrer à son alimentation.

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Un grand nombre de Québécois ignorent leur état de santé

Les moments difficiles que vit le système de santé au Québec n’a pas que des impacts sur les patients à l’intérieur des murs des urgences et des centres hospitaliers du Québec, selon ce que rapporte Le Devoir.

L’impact des problèmes en santé frappe aussi un grand nombre de Québécois qui ignorent leur état de santé, croient des spécialistes.

C’est une étude-sondage menée auprès de 20 000 Québécois qui permet de tracer un tel constat, alors que plusieurs statistiques ont de quoi inquiéter largement.

Voici quelques exemples. De toutes les personnes sondées, 8 % présentaient des symptômes d’insuffisance rénale sans le savoir. 73 % seulement des personnes diabétiques connaissaient leur état, alors que seulement la moitié des sujets aux prises avec des niveaux de cholestérol trop élevés étaient au courant.

En clair, des centaines de personnes au Québec souffrent d’un trouble de santé important sans le savoir, conclut le Dr François Madore, qui commente l’étude. « Il y a des lacunes, visiblement on ne traite pas ces problèmes adéquatement et il faut comprendre pourquoi. »

L’étude confirme une nouvelle fois l’urgence d’agir en matière de santé au Québec, alors que le système semble ne plus proposer de solutions efficaces à son engorgement.

Les données de l’étude-sondage ont été publiées dans le Clinical Journal of the American Society of Nephrology et recueillies dans le cadre du projet CARTaGENE.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Un peu de vin serait bon pour les reins

Une nouvelle étude vante les mérites d’une consommation modérée de vin sur la santé des reins, rapporte MedicalNewsToday.

Ce sont des chercheurs basés au Colorado qui ont proposé ces conclusions en faveur d’une consommation de vin quotidienne modérée lors des National Kidney Foundation’s 2014 Spring Clinical Meetings.

L’étude estime que les gens qui consomment un verre ou moins de vin par jour auront 37 % moins de chances de développer une maladie rénale chronique, notamment.

La même chose s’appliquerait également au cœur, alors que l’on estime que cette même posologie permettrait aux consommateurs de vin de réduire de 29 % les chances de développer une maladie cardiovasculaire.

L’étude abonde dans le même sens que plusieurs autres précédemment publiées, rappelle notamment l’un des directeurs de la National Kidney Foundation, M. Thomas Manley.

Malgré cet argument de taille pour les amateurs de bons vins, rappelons que la surconsommation de vin aura un effet inverse sur la santé, et qu’il est primordial d’aborder l’alcool avec modération.

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Nouvelle percée dans le traitement de la cécité liée au glaucome

Une nouvelle étude vient contredire les certitudes entourant la cécité découlant du glaucome, rapporte The National Library of Medicine, et ouvre la porte sur une possibilité de traitement.

L’étude en question rapporte la création d’un nouveau système technologique d’entraînement de l’œil, qui pourrait permettre aux patients souffrant de cécité due au glaucome d’espérer recouvrer la vue.

Fonctionnant grâce aux nouvelles technologies et par le principe fort simple d’entraînement progressif quotidien, un peu comme des séances de gym pour les yeux, le système semble prometteur.

« Le glaucome est une maladie qui, tranquillement et sur une période de plusieurs années, endommage la rétine et le nerf optique de l’œil. Quand le tissu est endommagé, les troubles de vision sont la conséquence. Jusqu’ici, la perte de vision était considérée comme permanente », explique l’auteur de l’étude, Bernhard Sabel, également directeur du Medical Psychology de l’Université Otto-von-Guericke de Magdebourg, en Allemagne.

Une donnée qui pourrait maintenant changer, à la suite des résultats encourageants obtenus sur deux groupes de patients lors d’essais.

M. Sabel rappelle toutefois l’importance de la prévention et de la détection précoce du glaucome afin d’éviter les problèmes de vision ou la perte totale de celle-ci.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le journal JAMA Ophthalmology.

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L’activité physique repousse aussi l’apparition des rides

Intégrer l’activité physique à son rythme de vie à d’innombrables avantages, on le sait, dont ceux de lutter contre la prise de poids et d’espérer une plus grande longévité.

Selon Top Santé, d’autres avantages marginaux et parfois non négligeables sont aussi associés à une vie sportive active. L’un de ceux-là serait le retardement de l’apparition des rides lors du vieillissement, selon une nouvelle étude rapportée par le site spécialisé.

Ce sont des chercheurs ontariens basés à l’Université McMaster qui ont constaté ce nouveau bénéfice, d’abord sur des souris, puis sur des humains.

Lors des essais, les rongeurs à qui l’on avait confisqué leur roue d’exercice ont démontré des signes prématurés de vieillissement, contrairement à ceux qui poursuivaient leur « programme » d’exercice à roulette.

On a donc voulu pousser la logique à l’homme, en analysant les effets du sport sur 29 sujets volontaires de 20 à 84 ans.

Les résultats seraient particulièrement probants sur les personnes à l’aube de la quarantaine, qui affichent des mines clairement plus jeunes grâce à une vie active.

« Je ne veux pas être excessif, mais les résultats sur la peau sont vraiment remarquables à voir », mentionne d’ailleurs le Dr Mark Tarnopolsky, qui dirige l’étude.

D’autres recherches seront effectuées sur des groupes de sujets plus nombreux, mais les spécialistes n’ont plus besoin d’être convaincus concernant les effets du sport sur la prévention des signes du vieillissement.

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Le blocage de la carotide pourrait expliquer certains problèmes cognitifs

Si les spécialistes s’inquiètent davantage du risque d’attaque due au blocage de la carotide, cette artère située au niveau du cou, il semble que ce problème puisse également occasionner certains problèmes cognitifs.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude qui sera officiellement présentée mercredi (23 avril) lors du congrès annuel de l’American Academy of Neurology (AAN) organisé à Philadelphie, rapporte The National Library of Medicine.

« À ce jour, l’accent du diagnostic et de la prise en charge des blocages de la carotide a été mis sur la prévention des attaques, puisqu’il semblait s’agir du seul problème lié à ces blocages. Ces résultats parlent d’une minimisation des problèmes causés à la mémoire et à la pensée chez les patients aux prises avec une artère de la carotide rétrécie », explique le Dr Brajesh Lal, du Baltimore VA Medical Center.

C’est après avoir analysé le dossier de 67 patients aux prises avec le problème que les chercheurs américains ont pu constater un lien entre le blocage de la carotide et certains troubles cognitifs liés à la pensée et à la mémoire.

Le Dr Lal souhaite maintenant que d’autres recherches se penchent sur ce dossier afin d’en arriver à de nouvelles pistes de traitements.