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Les femmes en symbiose avec leur corps seraient en meilleure santé mentale

Une étude britannique, rapportée par Santé Log, dévoile des statistiques intéressantes concernant les femmes et la relation qu’elles entretiennent avec leur corps.

On apprend donc que celles qui sont le plus en phase et en symbiose avec leur corps affichent également une plus grande confiance et une meilleure santé mentale.

Effectuées à l’Université de Londres par une équipe de spécialistes, ces recherches démontrent que de connaitre, comprendre et écouter ses réactions corporelles permet de se sentir mieux sans sa peau.

On parle notamment du rythme cardiaque, qui est d’une importance capitale et qui s’avère ignoré par bon nombre de femmes. En écoutant et en analysant son rythme cardiaque, les chercheurs affirment que l’on devient alors « à l’écoute de son corps ».

Ensuite, ces mêmes chercheurs ont tenté d’établir une corrélation entre la capacité des sujets à écouter leur corps et celle de déterminer des « réalités » de celui-ci, comme des mensurations, des symptômes de maladie, etc.

Manifestement, celles qui voient leur corps comme un « objet », et non comme un organisme vivant qui nécessite non seulement des retouches cosmétiques, mais aussi des soins de santé physique et mentale, ont plus de chances de développer des problèmes comme l’anorexie et d’autres désordres.

Celles en phase avec leur corps (et leur cœur) seraient donc plus à même de bien s’occuper d’elles-mêmes, et par conséquent d’afficher une meilleure santé mentale.

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Le thé serait aussi bénéfique pour le cerveau

Top Santé rapporte une étude en provenance de Singapour, effectuée en collaboration avec des chercheurs américains, qui donne une nouvelle raison de se mettre au thé.

Et spécialement si vous commencez à prendre de l’âge, puisque ces recherches démontrent l’impact significatif du thé sur le cerveau et la prévention du déclin cognitif.

Par déduction, on peut donc prétendre que le thé permet de contrer partiellement le développement de la maladie d’Alzheimer. Après tout, on rapporte que des 1500 hommes et femmes aux prises avec des problèmes cognitifs ou de la mémoire soumis à l’étude, plusieurs ont retrouvé des capacités cognitives étonnantes.

Du lot, ceux qui avaient bu plus de quatre tasses de thé par jour durant une période donnée ont vu leurs troubles de mémoire baisser de 75 %. Le chiffre tombe à près de 50 % pour ceux qui en consommaient trois par jour.

Publiée dans la plus récente édition d’Advances in Nutrition, l’étude confirme que tous les sujets ont démontré de meilleures réactions ou performances lors des tests cognitifs effectués.

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Réduire le sel dans l’alimentation collective pourrait sauver 500 000 vies

Si l’on réduisait l’apport en sel dans le régime alimentaire collectif des citoyens, on pourrait sauver jusqu’à 500 000 vies sur une période de dix ans, rapporte The National Library of Medicine.

Comme ces chiffres sont basés sur la population des États-Unis, on pourrait même s’attendre à ce qu’il soit sérieusement bonifié si on incluait le Canada à ces prévisions.

Ce constat est le fruit d’une étude américaine, dont les résultats ont été publiés dans la plus récente édition du journal Hypertension. Pour les chercheurs de San Francisco en tête de l’étude, réduire la quantité de sel consommée par les Nord-Américains est une quête primordiale et prioritaire.

Si on regarde les statistiques de mortalité, on se rend compte que le principal tueur en Amérique prend maintenant la forme des maladies cardiaques, cardiovasculaires et de la haute pression. Or, l’un des grands contributeurs à ces problèmes de santé est le sel.

Les chercheurs rappellent que le citoyen moyen consomme trop de sel par rapport à l’apport quotidien suggéré, et ce serait particulièrement vérifiable chez la gent masculine.

On recommande d’abord d’éviter la malbouffe (restauration rapide, burgers, etc.), les restaurants à outrance et les repas-minutes congelés.

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Le brocoli et les épinards à la rescousse des os

On connaissait bien les impacts positifs du calcium, notamment contenu dans les produits laitiers, pour la santé des os et dans la lutte à l’ostéoporose, mais on apprend maintenant la pertinence de consommer aussi des épinards et du brocoli, selon Santé Log.

Ces légumes renferment de la vitamine K qui, jumelée à l’ostéocalcine (une importante protéine osseuse), permet le renforcement des os.

C’est donc cette vitamine K qui est ciblée dans le rapport de recherche publié dans le magazine Proceedings of the National Academy of Sciences, et qui explique son fonctionnement.

On apprend notamment que l’ostéocalcine détermine la capacité du corps, et des os, à réagir à différentes fractures. Avec de bons apports en vitamine K, on donne à l’organisme tous les outils pour lutter efficacement contre ce genre de blessures.

Oui, encore une fois, il s’avère de plus en plus difficile d’éviter les fameux légumes verts comme le brocoli et les épinards, puisqu’on leur découvre de nouvelles propriétés presque chaque semaine!

Il existe plusieurs façons d’apprêter ces légumes pour de succulents petits repas. Si on veut augmenter la solidité de ses os, par exemple, le fromage est tout désigné comme partenaire des légumes verts.

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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Découvrez la molécule TIC 10

Santé Log nous apprend l’existence d’une molécule qui s’avère une alliée de taille dans la lutte au cancer, selon des recherches publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

Appelée TIC 10, cette molécule « pousserait les cellules cancéreuses au suicide », une image dramatique qui explique bien ses méthodes de fonctionnement. Cette molécule TIC 10 favoriserait la création de la protéine baptisée Trail, qui lutte contre les cellules cancéreuses.

Le problème, c’est que la protéine Trailperd de son efficacité lorsque le cancer gagne du terrain. Il est donc primordial de lui redonner les outils afin qu’elle poursuive son combat tout au long de la terrible maladie.

C’est là qu’intervient la fameuseTIC 10, qui stimule les facultés et le rôle joué par la protéine. D’ailleurs, l’appellation « TIC » signifie « TRAIL-Inducing Compound ».

Le processus a été étudié sur des souris, et dans plusieurs cas, celui-ci s’est avéré efficace pour contrer les cellules cancéreuses, et ce, en moins de trois semaines.

D’autres recherches sur des rongeurs sont prévues avant de commencer les essais, cliniques, mais il s’agit d’une autre percée porteuse d’espoir.

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Les cours de musique en bas âge aident au développement du cerveau

Des chercheurs de l’Université Concordia et McGill ont fait passer des tests à 36 musiciens, consistant en une tâche axée sur le mouvement, et ont effectué des numérisations de leur cerveau pendant ce temps.

La moitié de ces musiciens avaient commencé à apprendre leur art avant l’âge de 7 ans, tandis que l’autre moitié avait commencé plus tard, mais tous avaient le même nombre d’années d’apprentissage de la musique et d’expérience. Ces musiciens ont également été comparés avec des individus autodidactes.

Les musiciens qui avaient débuté avant l’âge de 7 ans avaient un meilleur sens du rythme et de la fréquence que les autres, même après deux jours de répétition avant d’exécuter la tâche. Les musiciens qui avaient commencé tôt avaient également plus de « matière blanche » dans la partie du cerveau appelé corps calleux.

Le coauteur, Dr Robert Zatorre, a expliqué que « cette étude est significative, car elle montre que l’apprentissage est plus efficace en bas âge, parce que certains aspects de l’anatomie du cerveau sont plus sensibles aux changements durant ce temps », selon ce que rapporte EurekAlert!.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of Neuroscience.

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La césarienne et l’allaitement influencent la flore intestinale des bébés

Une nouvelle étude canadienne a analysé l’ADN de 24 bébés en santé nés à terme, à partir d’échantillons fécaux prélevés à l’âge de 4 mois. Six d’entre eux étaient nés par césarienne, et 10 étaient nourris exclusivement de lait maternel.

Les bébés qui étaient nourris de lait maternisé avaient un taux beaucoup plus élevé de « mauvaises » bactéries, incluant la bactérie C. difficile. Cependant, les chercheurs ont noté que la flore intestinale est extrêmement complexe et pas encore bien comprise, puisque dans certains cas, la corrélation était positive, et dans d’autres, négative.

Les enfants nés par césarienne avaient aussi un taux de bactéries intestinales différent de celui des enfants nés par voie naturelle. Les césariennes « par choix » étaient ainsi associées à « la richesse et la diversité les moins élevées », tandis que les césariennes d’urgence étaient associées à la richesse et la diversité les « plus élevées ».

Le passage par le « canal de naissance » donne une inoculation naturelle par des bactéries présentes chez la mère. C’est pourquoi certaines bactéries n’étaient tout simplement pas présentes chez les bébés issus d’une césarienne, peu importe si la mère allaitait ou non, selon Med Page Today.

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La contamination au plomb chez les enfants est alarmante

Les chercheurs ne s’entendent pas sur la quantité nécessaire dans les échantillons sanguins pour signifier un empoisonnement au plomb.

Certaines études affirment que 10 microgrammes de plomb par décilitre de sang sont suffisants pour engendrer des effets toxiques, tandis que d’autres études suggèrent plutôt une concentration de 45 microgrammes.

L’auteure d’une nouvelle étude publiée dans le Journal of Liability and Scientific Liability, Summer Miller, croit qu’il existe un lien entre la contamination au plomb et la délinquance juvénile.

« La recherche montre que ce lien serait lié à une intelligence moindre, des habiletés de communication réduites et des problèmes de comportement, par exemple le vandalisme et l’intimidation, tous des traits attribuables à un empoisonnement au plomb », a-t-elle noté, selon Science Daily.

Le plomb peut se trouver dans la peinture (incluant celle utilisée sur les jouets), le sol, une vieille tuyauterie, l’eau et certains accessoires de cuisine, de même qu’on le retrouve dans la pollution atmosphérique émise par les véhicules.

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Les traitements contre le déficit d’attention et l’hyperactivité ne fonctionnent habituellement pas

Dans le cadre de l’étude menée aux États-Unis, 186 enfants âgés de 3 à 5 ans qui venaient de recevoir un diagnostic de TDAH ont été suivis pendant 6 ans.

Leur comportement, leur performance scolaire et la fréquence ainsi que la sévérité de leurs trois symptômes principaux, c’est-à-dire l’inattention, l’hyperactivité et l’impulsivité, ont été évalués tout au long de cette période.

Il n’y avait pas vraiment de différence entre les enfants qui avaient pris des médicaments, habituellement des stimulants, et ceux qui n’en prenaient pas. Le taux d’hyperactivité et d’impulsivité sévère était de 62 % chez les enfants qui prenaient des médicaments, et de 58 % pour ceux qui n’en prenaient pas. Le taux d’inattention sévère était quant à lui de 65 % dans le premier groupe, et de 62 % dans le second.

« Le diagnostic de TDAH chez les jeunes enfants est de plus en plus fréquent, alors c’est extrêmement important de comprendre comment ce problème progresse. Nous avons constaté que le TDAH chez cette population est chronique et persistant, et que nous devons trouver de meilleurs moyens comportementaux et pharmacologiques pour gérer cette condition », a expliqué l’auteur de l’étude, le pédopsychiatre Mark Riddle, selon Science Daily.