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Comprendre l’impact du zinc sur la santé

De plus en plus de Nord-Américains consomment du zinc, que ce soit dans leur alimentation quotidienne ou par la prise de suppléments, apprend-on via le site de la National Library of Medicine.

Les spécialistes se penchent maintenant sur la question des impacts du zinc sur la santé, et une nouvelle étude qui vient de paraitre traite des effets potentiels du zinc sur les infections.

Plusieurs personnes en consomment d’ailleurs pour contrer les grippes et autres problèmes similaires, et l’étude menée par Daren Knoell de l’Université d’État d’Ohio semble approuver ce comportement. Pour l’équipe de Knoell, le zinc permet en effet d’améliorer le système immunitaire et, par conséquent, ses réponses.

« Nous croyons que nos découvertes vont aider à améliorer la compréhension des effets de ce métal plutôt banal sur notre système de défense, notamment face aux infections », déclare le chercheur.

Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de constater que le zinc se retrouve entre autres dans la viande rouge et la volaille, pourtant décriées par plusieurs nutritionnistes.

D’autres études sur le sujet sont à prévoir, puisque le zinc semble prometteur à bien des égards.

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Le stress au boulot n’augmenterait pas les risques de cancer

C’est une nouvelle étonnante que nous rapporte The National Library of Medicine, alors que l’on apprend que le stress au travail n’augmenterait pas nécessairement les risques de développer un cancer.

Par contre, le stress peut agir sur un individu d’une telle façon qu’il peut le porter à poser des gestes ou à développer des comportements qui peuvent le mener vers la maladie.

On pense notamment aux abus de nourriture et d’alcool, ou encore à divers autres comportements, mais l’étude rapportée ici laisse croire que le stress en tant que tel n’est pas un facteur en soi.

« Nous savons déjà par d’autres études que le stress au travail n’est pas vraiment un facteur de risque de cancer. Même si réduire ce stress permet une amélioration de la santé mentale et physique, cela n’a pas d’impact sur le cancer à proprement parler », résume Katriina Heikkila, chercheuse en chef duFinnish Institute of Occupational Health d’Helsinki.

Ses collègues et elle croient néanmoins qu’il est important de parler du problème du stress chez les individus et de tenter de le réduire au maximum.

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La vérité sur les statines

Les statines font de nouveau l’actualité, mais pour plusieurs, elles sont encore tout bonnement inconnues. Alors, que sont les statines? Selon ce qu’on comprend des éléments rapportés par Top Santé, il s’agit d’un traitement contre le mauvais cholestérol.

Plusieurs types et dérivés des statines sont donc offerts sur le marché afin de venir en aide aux gens qui ont des problèmes avec leur taux de cholestérol et ainsi abaisser les risques de développer des problèmes cardiovasculaires subséquents.

Le hic, c’est que plusieurs études et constats effectués sur des patients qui utilisent ce genre de traitement tendent à démontrer des effets pervers à cette solution.

C’est notamment ce que croit le professeur Philippe Even, qui vient tout juste de publier un livre sur le sujet (La Vérité sur le Cholestérol). Pour lui et plusieurs de ses collègues à travers le monde, la prescription de statines n’est pas justifiée lorsque les risques de problèmes cardiovasculaires sont faibles.

Pourquoi? Parce que les effets secondaires sont nombreux, parait-il. Plusieurs cas de décès ont aussi été liés à un traitement dérivé des statines.

Une polémique qui ne fait que grandir.

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Les bébés ayant survécu à un AVC ont plus de risque d’avoir des convulsions ou de l’épilepsie

Chaque année aux États-Unis, 6,4 nouveau-nés et très jeunes enfants sur 100 000 auront un accident vasculaire cérébral, incluant environ la moitié qui sont causés par une hémorragie.

Des chercheurs ont étudié le cas de 73 enfants et jeunes ainsi que de 20 nouveau-nés qui avaient survécu à un AVC. Parmi ceux-ci, 60 % des nouveau-nés ainsi que 43 % des enfants un peu plus vieux avaient eu des signes de convulsions, soit durant l’AVC, soit jusqu’à une semaine après l’événement, selon Medical News Today.

28 % des patients qui ont été suivis à l’aide d’un électroencéphalogramme ont eu des convulsions qui n’auraient pas été détectées autrement. 13 % de tous les patients ont développé l’épilepsie dans les deux années subséquentes. Les bébés et les enfants qui avaient subi une pression élevée au cerveau étaient plus susceptibles de développer des convulsions et de l’épilepsie ensuite.

Les résultats de cette étude ont été présentés lors du récent congrès de l’American Stroke Association.

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Moitié moins de risques de cancer de la prostate chez les hommes actifs

Santé Log rapporte une nouvelle étude concernant le cancer de la prostate qui risque de donner le goût à plusieurs hommes de se mettre à l’exercice physique.

Selon l’étude britannique, les hommes actifs verraient leurs risques de développer un cancer de la prostate être diminués de moitié, rien de moins.

Publiées dans la plus récente édition du magazine Cancer, ces recherches en provenance du Durham Veterans Affairs Medical Center ne sont pas complètes, mais apportent certains éléments qui tendent à prouver cette théorie.

Cette dernière parle de 50 % moins de risque concernant le cancer de la prostate, mais aussi d’une meilleure capacité de rétablissement en cas de cancer, en plus de risques atténués de subir des lésions graves lors des traitements ou du développement d’une maladie du genre.

L’étude semble controversée depuis sa sortie, puisqu’elle parle des bienfaits de l’exercice physique en matière de cancer de la prostate chez les hommes blancs seulement, ce qui fait bondir certains spécialistes et observateurs.

Il est clair que d’autres études sur le sujet sont à prévoir.

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Les 18-34 ans sont les plus stressés

On apprend via The National Library of Medicine que les jeunes adultes forment la génération la plus stressée en ce moment.

En effet, selon le site de l’association, les 18-34 ans seraient plus stressés que la moyenne générale de la population. C’est un rapport de l’American Psychological Associationqui prétend ce fait, un rapport qui tente aussi d’en expliquer les raisons.

D’abord, il semble que la course capitaliste incessante soit la toute première raison de ces pointes de stress, puisque l’argent et l’emploi semblent être au cœur des priorités de cette génération.

« Manifestement, il y a un nombre de facteurs de pression auxquels les jeunes font face et qui explique ces pointes de stress. Ces individus grandissent dans une ère économique sans précédent. Cela coïncide avec la fin de leurs études, alors qu’ils essaient de s’établir dans la société. Trouver un emploi, fonder une famille et rembourser les dettes étudiantes contractées sont des éléments stressants. Ils ont aussi du mal à se trouver des emplois, avec des taux de chômage sans précédent », résume avec brio Norman Anderson, chef de la direction de l’American Psychological Association.

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Les anomalies congénitales en hausse chez les bébés provenant d’une grossesse multiple

Une nouvelle étude a étudié les données provenant de 5,4 millions de naissances survenues entre 1984 et 2007, dans 14 pays européens. Les chercheurs ont constaté que 3 % des cas étudiés étaient des naissances multiples (jumeaux, triplés et, beaucoup plus rarement, quadruplés et plus), et que ces grossesses multiples avaient augmenté de 50 % durant la période.

En ciblant uniquement les grossesses multiples, les chercheurs ont noté que pendant ces années, la prévalence des anomalies congénitales est passée de 5,9 par 10 000 à 10,7 par 10 000. Parmi les 148 359 anomalies majeures, 3,88 % provenaient de grossesses multiples.

Le risque de développer une anomalie congénitale était 27 % plus élevé chez les bébés provenant de ces fratries multiples, et ce risque n’a cessé d’augmenter avec le temps.

Dans 11,4 % des jumeaux affectés, l’anomalie était présente chez les deux bébés. Ces anomalies dans les grossesses multiples étaient plus susceptibles de se terminer en enfant mort-né, selon ce que rapporte Medscape.

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Les enfants ayant vécu un traumatisme bénéficient de la psychothérapie

Des chercheurs ont analysé les résultats de 21 études portant sur les interventions faites auprès des enfants ayant vécu un traumatisme. Aucune médication n’a semblé aider ces petits, et plusieurs sortes de psychothérapies ont été évaluées, incluant celles axées sur le traumatisme, celles axées sur la régulation des émotions et celles axées sur le processus cognitif.

La thérapie cognitivo-comportementale a été identifiée comme étant la plus efficace, à la fois pour les enfants qui présentaient des symptômes et ceux pour qui le traumatisme était moins apparent.

Les auteurs ont noté qu’environ les deux tiers des enfants et jeunes vont vivre au moins une expérience traumatisante, ce qui rend le besoin de les aider particulièrement criant. « Nos conclusions illustrent le besoin d’agir », ont-ils écrit, selon Med Page Today.

« Les interventions en psychothérapie peuvent apporter de l’aide relative à ces enfants qui présentent des symptômes de stress post-traumatique ou qui ont été exposés à des événements traumatisants, même s’ils n’ont pas l’air d’être vraiment affectés. »

Les résultats ont été publiés dans la revue Pediatrics.

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Le comportement des mères obèses influence le risque pour leurs enfants

La revue Appetite a publié les résultats d’une thèse qui s’est attardée à la relation entre les mères et leurs enfants, en lien avec l’obésité. L’auteure a étudié le cas de 222 familles défavorisées d’origine afro-américaines et latino-américaines.

L’aspect ethnique était particulièrement pertinent, puisque la plupart des études précédentes ont mis l’accent sur les familles caucasiennes appartenant à la classe moyenne. Aux États-Unis, 17 % des enfants et jeunes sont obèses, mais ce problème affecte particulièrement les minorités : 21 % des jeunes afro-américains, et 22 % des jeunes latino-américains.

La chercheuse a découvert que lorsque les mères continuent à manger alors qu’elles n’ont plus faim et ont une attitude plus contrôlante envers leurs enfants face à la nourriture (par exemple en les forçant à finir leur assiette et en les menaçant ou les privant de nourriture), les enfants étaient en général beaucoup plus difficiles.

Les mères qui « mangeaient leurs émotions » ou qui avaient peu de contrôle envers leur propre consommation de nourriture avaient quant à elles souvent des enfants qui mangeaient trop et « avaient un désir intense de manger ».

« Lorsqu’un jeune enfant dit qu’il n’a plus faim, les parents doivent écouter et lui faire confiance. Et il est important de limiter la disponibilité des “mauvais” aliments, comme les sucreries, mais il ne faut pas non plus les rendre si rares qu’ils deviennent trop tentants », a conseillé l’auteure, Halley Morrison, selon Science Daily.

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Les boissons diètes augmentent la puissance de l’alcool

On serait porté à croire que l’utilisation des boissons diètes pour les cocktails de fin de soirée est une bonne chose.

Voilà que selon une étude américaine en provenance du Kentucky, les boissons gazeuses diètes ne font pas que faire baisser le nombre de calories dans votre verre : elles en augmentent aussi la puissance.

Ainsi, après plusieurs tests effectués à l’aide d’un analyseur d’alcoolémie, on a pu constater cet état de fait, qui a de quoi surprendre, rapporte The National Library of Medicine.

« La clé est d’être sensibilisé au phénomène. Les gens croient souvent que d’abaisser le nombre de calories est important, mais quand vous buvez de l’alcool, ces mêmes calories aident à ralentir le relâchement de l’alcool dans votre foie et au cerveau », explique l’auteure en chef de l’étude, Cecile Marczinski.

Selon Marczinski et ses collègues de la Northern Kentucky University, il faudrait donc éviter d’utiliser les boissons diètes lorsqu’on prépare des boissons alcoolisées, ou alors de s’assurer de bien manger avant de se lancer.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans la revue Alcoholism: Clinical and Experimental Research du 5 février dernier.