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Le régime méditerranéen au service des diabétiques

Les gens qui souffrent du diabète pourraient eux aussi se tourner efficacement vers le régime alimentaire « méditerranéen », dont on dit beaucoup de bien.

Alors qu’il n’est pas conseillé qu’aux diabétiques, il appert que ce type de diète permettrait un meilleur contrôle sur cette maladie.

C’est du moins ce que conclut un rapport sur le sujet, rapporté par The National Library of Medicine. Ce type de régime est composé de légumes, de fruits et d’une foule de bonnes choses pour la santé, mais c’est l’huile d’olive et l’absence relative de viandes qui semblent créer cet impact positif.

L’huile d’olive (ainsi que le vin) est omniprésente dans les recettes et repas de type méditerranéen, et cela permettrait de faire baisser le taux de sucre dans le sang, en plus de faciliter une perte de poids.

Ces conclusions ont été tirées à la suite d’analyses sur divers groupes de patients aux prises avec le diabète de type 2. Après avoir étudié les types de régime alimentaire des différents groupes, c’est la diète méditerranéenne qui semble rapporter le plus de bienfaits.

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Une solution pour contrer les infections en centre hospitalier

C’est The National Library of Medicine qui rapporte la nouvelle, mais elle s’applique autant sinon plus à notre réalité québécoise.

Une étude américaine lance une suggestion pour contrer les hausses d’infections contractées en centre hospitalier, un phénomène que l’on connait bien ici avec l’éclosion du C. difficile.

Pour les chercheurs du Hunter Holmes McGuire Veterans Affairs Medical Center, un simple bain d’antiseptique pourrait régler une bonne partie du problème. Oui, un bain.

En utilisant des antiseptiques et des serviettes spéciales, il serait possible de « désinfecter » les patients sur une base quotidienne et ainsi éviter qu’ils ne développent d’autres problèmes de santé en plus de ceux qu’ils ont déjà.

À ceux qui diront que cette pratique pourrait s’avérer coûteuse et fastidieuse, on répond qu’aux États-Unis, en moyenne, le coût d’un patient qui doit être traité pour ce genre d’infection contractée en hôpital est de 40 000 $.

À vous de juger si l’idée est bonne ou non, mais dans des régions du monde comme le Québec, où l’éclosion de ces bactéries et infections est devenue un véritable fléau, il est impératif de trouver des solutions… et vite.

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Les gens généreux vivraient plus longtemps

Une nouvelle étude rapportée par Santé Log devrait rendre les plus généreux d’entre vous très heureux, alors que les plus pingres risquent fort d’être déçus.

Pour les chercheurs américains en tête de l’étude, la générosité et l’altruisme permettraient une plus grande durée de vie. Cette longévité serait observable assez facilement chez ce type de personne, notamment parce que les gestes de générosité abaissent le niveau de stress.

Ce fameux stress, outre les maladies graves à proprement parler, s’avère l’ennemi numéro un de la santé depuis plusieurs années.

Les chercheurs de l’Université de Buffalo croient que les actes de générosité sont un puissant contre-stress et permettent d’étirer la durée de vie chez ceux qui en pratiquent souvent.

En pratique, cela signifie que les gens stressés ont plus de risque de décéder avant le temps, mais que ceux qui sont portés vers les autres et aiment aider et faire preuve de générosité « récupèrent » ces années, ou font diminuer les risques créés par le stress.

Ce n’est pas la première étude à tracer un tel lien entre les comportements psychosociaux et la longévité, mais on commence à se rendre compte de plus en plus à quel point nos actions ont une véritable incidence sur l’avenir et notre santé.

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Les initiatives scolaires fonctionnent pour lutter contre l’obésité

Selon une étude publiée dans l’American Journal of Health Promotion, les initiatives les plus efficaces sont celles effectuées à « dose élevée » : celles qui ciblent un plus grand nombre d’enfants et qui mettent réellement l’accent sur le changement des comportements à l’intérieur de l’environnement qu’est l’école.

Par exemple, à la suite d’une initiative menée au Colorado, qui a entrainé un changement de menu dans la cafétéria et une plus grande présence de fruits et de légumes, les enfants ont vraiment changé leur perception d’un dîner santé et ont commencé à manger plus de ces aliments.

« Les changements au sein d’une communauté sont difficiles à implanter, et encore plus difficiles à mesurer », a expliqué Allen Cheadle, directeur du Center for Community Health and Evaluation.

« Notre nouvelle connaissance sur le principe de “dose” nécessaire peut aider des intervenants en santé à mieux évaluer l’impact des initiatives en santé sur des groupes d’individus ainsi que des personnes en particulier », selon ce que rapporte Medical News Today.

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L’allaitement de plus en plus fréquent

Les Centers for Disease Control and Prevention, l’autorité fédérale américaine en matière de santé, ont rapporté qu’entre 2000 et 2008, le taux d’allaitement à la naissance a augmenté de 4 % chez les mères.

De plus, en l’an 2000, 35 % des mères ayant commencé l’allaitement le faisaient toujours après 6 mois. Huit ans plus tard, ce pourcentage avait grimpé à 45 %. 23 % des bébés allaités l’étaient toujours après un an.

Les chercheurs ont constaté un écart au plan ethnique : les femmes d’origine afro-américaines allaitaient moins que les autres, mais la différence s’était réduite au cours des 8 années étudiées. Des initiatives ciblées sont nécessaires pour accroître encore plus ce nombre.

« L’allaitement est bon pour la mère et pour l’enfant – et la nouvelle la plus importante, c’est que des centaines de milliers de bébés de plus sont allaités maintenant, comparativement aux années passées. Cette augmentation peut être constatée à travers tous les groupes ethniques », ont expliqué les auteurs, selon Medical News Today.

Les mères ont besoin d’encore plus de soutien, ont-ils toutefois rappelé.

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Boire jeune, boire trop

Il appert que plus un individu commence à consommer de l’alcool tôt dans sa vie, plus il a de chance de boire trop et d’éprouver des problèmes de consommation.

C’est Santé Log qui rapporte une étude sur le sujet, qui cible particulièrement ce phénomène moderne qu’on appelle binge drinking. Les recherches, publiées dans la plus récente édition du magazine Alcoholism: Clinical & Experimental Research, démontrent des statistiques qui en disent long.

Ainsi, les 39 000 dossiers analysés par l’équipe de chercheurs de l’Université de Washington tendent à démontrer que les sujets qui ont commencé à boire de l’alcool avant l’âge de 21 ans sont aussi moins portés à en consommer avec modération.

Le binge drinking est un phénomène défini par le fait d’une personne qui consomme des quantités abusives d’alcool sur une période de temps donnée, un comportement de plus en plus populaire et remarqué chez les jeunes, particulièrement les étudiants.

Ce comportement mènerait, dans bien des cas, à des problèmes qui suivent les individus jusque dans leur vie d’adulte.

Cette étude avait pour but de déterminer si le fait de permettre à des jeunes de 18 ans de consommer de l’alcool légalement était une mesure responsable.

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Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050

Les cas d’Alzheimer pourraient tripler d’ici 2050, rapporte The National Library of Medicine, alors que des chercheurs américains publient une étude sur le sujet.

Il s’agit d’un constat alarmant s’il en est un, puisqu’on trace des prévisions sombres en matière d’Alzheimer dans les années à venir. 13,8 millions de personnes pourraient être atteintes de la maladie dans les prochaines décennies aux États-Unis seulement, une hausse explicable en partie par le vieillissement des baby-boomers.

« Notre étude attire l’attention sur le besoin urgent de plus de recherches, de traitements et de stratégies préventives pour contrer cette épidémie », croit la coauteure de l’étude et professeure associée Jenniver Weuve, du Rush University Medical Center de Chicago.

Plusieurs autres spécialistes, dont ceux du National Institute on Aging, croient qu’il s’agira en effet de l’épidémie de l’avenir, à mesure que la moyenne d’âge de la population augmente avec le temps.

Plusieurs traitements permettent de réduire les symptômes de la maladie d’Alzheimer, mais aucun ne permet d’en guérir.

Cependant, certaines percées encourageantes dans le domaine permettent d’entretenir l’espoir qu’un traitement sera finalement découvert ou mis au point.

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L’obésité et la vitamine D

Un lien de plus en plus évident se trace entre des carences en vitamine D et l’obésité, observent des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces recherches font état d’observations qui tendent à laisser croire que l’obésité peut provoquer un manque de vitamine D dans l’organisme.

On ne pourra taxer cette étude de manquer de rigueur, puisque les chercheurs britanniques ont analysé les données de pas moins de 165 000 patients pour tirer leurs conclusions.

Ainsi, une baisse de 4 % du taux de vitamine D serait observable avec un gain de 10 % de la masse corporelle.

À l’inverse, une déficience de vitamine D n’influencerait que minimalement la prise de poids. Pour les chercheurs, donc, la guerre à l’obésité permettrait aussi de régler plusieurs cas de carence en vitamine D, un autre phénomène commun observé.

Plusieurs autres études sur le sujet n’arrivaient pas à conclure de façon claire si une carence pouvait mener à l’obésité, ou si c’était plutôt l’inverse. Il semble que nous ayons maintenant un début de réponse.

La vitamine D est essentielle pour le bon fonctionnement de l’organisme et solidifie les os.

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Le cannabis augmente-t-il les chances de faire une attaque cérébrale?

Une nouvelle étude controversée sur le cannabis risque de faire jaser. Selon ce que l’on apprend via Santé Log, l’étude révèle des risques d’attaques cérébrales potentiellement à la hausse chez les fumeurs de cannabis.

La marijuana, pourtant prisée par plusieurs et même prescrite par certains médecins, comprendrait un dangereux revers de médaille pour ces chercheurs australiens en tête de l’étude.

Présentées lors de l’American Stroke Association International Stroke Conference 2013, ces recherches sont parmi les premières sérieuses à tenter de démontrer un risque accru d’AVC chez les consommateurs de la drogue douce.

Une drogue pas si douce, pensent les chercheurs, qui croient fermement à leur théorie. On parle du double, voire du triple, des chances d’AVC chez cette partie de la population, en comparaison aux non-fumeurs.

Cependant, plusieurs facteurs pourraient venir brouiller ces résultats. Notamment, l’usage de la cigarette chez les sujets observés, ainsi que leurs caractéristiques distinctes comme l’âge et leur état de santé préalable.

On s’attend à voir d’autres études sur le sujet être effectuées dans un avenir rapproché.

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L’obésité des pères augmente le risque de cancer chez les enfants

Le journal BMC Medicine a publié les résultats d’une récente recherche qui s’est attardée à l’ADN de nouveau-nés, en particulier les données épigénétiques, c’est-à-dire la manière dont l’environnement et l’histoire individuelle ont une influence sur l’expression des gènes.

Les chercheurs voulaient particulièrement étudier l’effet de l’obésité des parents sur leurs enfants, et ont donc comparé ces données avec de l’information sur le poids des deux parents.

Ils ont constaté que le poids des deux parents avait un impact sur le risque de l’enfant de développer un cancer, et pas uniquement celui de la mère, tel que la science le croyait auparavant.

« Durant la spermatogénèse (la production des spermatozoïdes), certaines régions du code génétique pourraient être sensibles aux dommages environnementaux; ces effets peuvent être transmis à la prochaine génération. Il est possible que la malnutrition ou le niveau d’hormones des pères obèses puisse mener à une méthylation incomplète de l’ADN ou à une reproduction instable des gènes », ont noté les chercheurs, selon Medical News Today.

Des études plus poussées doivent être menées pour mieux comprendre ce facteur de risque.