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Des pierres aux reins causées par des suppléments de vitamine C?

De plus en plus d’études qui mettent en garde contre la prise de certains suppléments alimentaires sortent depuis quelque temps, et le rythme ne semble pas vouloir ralentir.

Cette fois, ce sont les suppléments de vitamine C qui sont ciblés, alors que The National Library of Medicine rapporte une étude suédoise qui trace un lien entre ceux-ci et plusieurs cas de pierres aux reins observés chez des sujets masculins.

Pour ces chercheurs, les gens qui ont des antécédents de pierres aux riens devraient réfléchir sérieusement avant de consommer des compléments alimentaires de vitamine C. Même chose pour les hommes qui ont un régime alimentaire déjà bien équilibré.

Le Dr Brian Matlaga, un urologue du Johns Hopkins Medicine de Baltimore, commente l’étude : « Je ne crois pas que je brandirais ceci en affirmant que vous ne devriez pas prendre de la vitamine C. Par contre, lorsqu’on interroge des patients aux prises avec ce genre de problème, on se rend souvent compte qu’ils consomment des produits non prescrits, comme des suppléments de vitamines. Il manque de preuve en ce moment pour démontrer de réels effets bénéfiques à la prise de suppléments ».

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Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire

Les hommes et les femmes se ressemblent plus qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log. Voilà une affirmation qui va en faire sourciller plus d’un.

Quiconque se trouve ou s’est déjà trouvé impliqué dans une relation amoureuse ou d’amitié avec une personne du sexe opposé vous dira probablement que l’adage qui prétend que les hommes et les femmes proviennent de deux planètes différentes est probablement vrai.

Pour les chercheurs de l’Université de Rochester, la plupart de ces « différences » relèveraient souvent plus du mythe que de la réalité.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne la sexualité, ce qui a de quoi étonner. Il semble que les deux sexes recherchent souvent les mêmes choses en matière de vie sexuelle, et que beaucoup de stéréotypes et de tabous donnent une impression d’opposition.

Même chose concernant l’empathie et les émotions, que l’on attribue souvent plus à la femme qu’à son partenaire masculin. Or, pour Harry Reis, coauteur de l’étude, les hommes sont capables d’autant d’empathie que les femmes.

On croit que la communication peut s’avérer un élément clé pour mieux comprendre l’autre sexe et découvrir des faits étonnants. Il faudrait parler des différences entre hommes et femmes en tant que moyennes, et non en tant que certitudes.

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Trop de calcium nuirait à la santé cardiaque

Prendre suffisamment de calcium dans un régime alimentaire équilibré, c’est bien. En prendre trop pourrait cependant s’avérer plus néfaste qu’autre chose, selon ce que rapporte The National Library of Medicine.

C’est une étude-analyse des National Institutes of Health qui dévoile cet état de fait, en ciblant particulièrement les suppléments de calcium vendus en capsules.

Selon ces spécialistes, trop de calcium pourrait avoir un impact négatif sur le cœur.

« L’effet d’un supplément de calcium sur le cœur et d’éventuelles maladies cardiaques a toujours été un peu une thèse non prouvée. Il se pourrait que les suppléments fassent dépasser les doses nécessaires et adéquates de calcium dont on a besoin, mais les raisons qui expliquent l’impact d’un trop-plein de calcium sur le cœur demeurent incertaines », explique Howard Sesso de Harvard.

Ce phénomène serait vérifiable chez l’homme, et beaucoup moins chez la femme, apprend-on. Bien que les raisons restent à être éclaircies, les chercheurs croient fermement à cette cause à effet.

On conseille donc d’inclure du calcium à son alimentation, mais de demander l’avis d’un praticien avant de se tourner vers les suppléments.

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Les Québécois n’ont pas le réflexe oméga-3

Les Québécois sont réprimandés dans une nouvelle étude qui dévoile que ceux-ci ne mangent pas assez d’oméga-3, malgré toutes les campagnes vantant et rappelant leurs bienfaits sur la santé et l’organisme en général.

C’est dans le cadre du mois de la santé du cœur, en février, que différents spécialistes tiennent à faire ce rappel. Du lot, l’équipe d’Adrien Gagnon, le célèbre producteur de produits naturels, croit qu’il est important de rappeler aux Québécois que les oméga-3 peuvent améliorer grandement leur santé, et peut-être même leur sauver la vie…

Le constat québécois concernant les risques de maladies ou de problèmes cardiaques fait peur. En effet, on apprend que près de 9 Québécois sur 10 affichent des facteurs de risque cardiaque comme le tabagisme, l’inactivité physique, le surpoids, la haute tension ou encore des taux de mauvais cholestérol trop élevés.

Le résultat est qu’un décès sur trois (Canada) est causé par un problème cardiaque. On recommande donc de commencer l’activité physique et de mieux contrôler ce que l’on mange, mais aussi de veiller à consommer suffisamment de poisson (qui renferme ces fameux oméga-3).

Il est aussi possible de consommer des oméga-3 en suppléments, retrouvés un peu partout en magasin et en pharmacie.

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Les soins de santé offerts aux enfants sont peu adaptés pour la pratique à domicile

La revue médicale Pediatrics a publié les résultats d’une étude menée auprès de 620 cliniques qui desservent les enfants et les familles. Les chercheurs ont réalisé que moins de 40 % de celles-ci incorporaient même un minimum d’interventions à domicile.

En 2011, un comité d’experts a émis des standards reliés à la certification pour la pratique à domicile, établissant que les cliniques devraient obtenir un minimum de 35 points sur 100 afin de se qualifier.

Les cliniques pédiatriques analysées n’ont obtenu qu’une moyenne de 38 %, tandis que les cliniques plus générales ont obtenu 35 %. Les chercheurs ont donc indiqué « qu’une proportion significative de ces pratiques médicales ne se qualifierait même pas au niveau de certification le plus bas », selon Medscape.

La taille des cliniques jouait un rôle important, puisque les plus grosses cliniques, comportant au moins 6 médecins en plus des autres professionnels de la santé, ont obtenu des résultats entre 10 et 14 % plus élevés.

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Moins de cancers en Alberta

Une nouvelle aussi bonne qu’intrigante nous arrive de l’Alberta, alors que l’on constate des taux de cancer en chute libre au sein de la population de la province canadienne.

Selon Radio-Canada, qui rapporte la nouvelle, il appert que le phénomène n’est pas tout nouveau dans la région, puisque les taux de mortalité et de diagnostic de cancer en Alberta sont en baisse depuis 2004.

Pour Paul Grundy, vice-président affecté aux soins de santé liés au cancer et directeur médical en chef, il s’agit d’une preuve concrète du succès de certaines des mesures implantées dans la province depuis quelques années. Notamment, les campagnes anti-tabac, de prévention des rayons UV et celles qui prônent le dépistage régulier contre le cancer semblent toutes avoir porté des fruits.

On souligne aussi la qualité des soins de santé offerts en Alberta, en plus du travail exceptionnel des oncologues de la province.

Pour M. Grundy, il s’agit d’une bonne nouvelle, mais encore beaucoup de travail reste à faire. Le cancer demeure un fléau même en Alberta, et on doit poursuivre la lutte.

Le taux de diagnostic de cancer a chuté de 1 % annuellement depuis 2002 en Alberta, et le nombre de décès liés à la maladie est en baisse de 2,8 % depuis 2004.

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Un nouveau vaccin contre la tuberculose ne réussit pas à protéger les bébés

L’étude a été menée sur 2797 bébés âgés de 4 à 6 mois, qui ont reçu soit une dose du vaccin expérimental, soit un placebo. Ces enfants, provenant de pays moins développés, ont ensuite été suivis à 37 mois.

Le vaccin, qui a déjà démontré son efficacité lors de quelques études précédentes menées sur des adultes, a été considéré comme étant sécuritaire, mais n’a pas vraiment présenté d’avantages par rapport au placebo.

32 des enfants ayant reçu le vaccin (2 %) ont développé la tuberculose, comparativement à 39 (3 %) des bébés qui ont reçu le placebo.

Les chercheurs ont indiqué que même si le vaccin a permis aux enfants de développer des cellules permettant de lutter contre l’infection, la réponse immunitaire des bébés n’était pas plus du dixième de la réponse observée chez les adultes, selon MedPageToday.

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Des capacités cérébrales améliorées grâce à la bonne humeur

On cherche de plus en plus de moyens pour contrer les effets du vieillissement sur le cerveau, et une solution partielle pourrait s’avérer aussi simple qu’efficace.

En effet, The National Library of Medicine propose une étude sur le sujet, initialement publiée dans la plus récente édition du magazine Cognition and Emotion.

Cette étude parle des bienfaits de la bonne humeur ou d’émotions positives sur le cerveau des gens plus âgés, et de comment cet état esprit peut influencer la qualité de prise de décisions et de la mémoire chez les aînés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’Université de l’Ohio, tous les petits bonheurs sont bons! Un sac de friandises, une visite inopinée, un nouveau passe-temps, bref, tout ce qui peut améliorer l’humeur d’une personne âgée peut s’avérer hautement bénéfique.

Encore une fois, on constate les effets et conséquences des différentes émotions ressenties par l’être humain sur la santé.

« Il y a eu plusieurs études qui ont démontré que les jeunes adultes sont plus créatifs et ont de meilleures performances cognitives lorsqu’ils sont de bonne humeur. Mais à cause du déclin observé pour le cerveau des personnes plus âgées, nous n’étions pas certains si le même phénomène s’appliquait. Les résultats sont donc une bonne nouvelle », conclut Elle Peters, professeure en psychologie.

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Les survivants d’un cancer du système nerveux durant l’enfance peuvent souffrir d’une mauvaise image de soi

Le Journal of Neuro-Oncology publie les résultats d’une étude menée en Suède, auprès de 700 patients qui ont survécu à un cancer du système nerveux durant leur enfance. Leur image corporelle et leur sens de l’identité, entre autres en lien avec les sports, ont ainsi été évalués.

L’image et l’estime de soi dans les sports étaient fortement liées avec le statut fonctionnel et émotif actuel des patients. Si ceux-ci souffraient de déficits persistants au niveau du langage ou de la vision, éprouvaient de la douleur ou avaient des problèmes émotifs apparaissant après coup, les patients étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir une image corporelle négative.

Les femmes, qui souffrent habituellement de complications plus sérieuses du point de vue de la santé, avaient également une image plus négative.

« Nous ne comprenons pas encore complètement les causes de ces différences basées sur le sexe, mais ces connaissances sont très importantes. Elles signifient que, dans le futur, nous pourrons mettre en place des mesures de prévention pour les patients à risque de développer des problèmes d’identité », a noté l’auteur de l’étude, le Dr Krister Boman, selon Science Daily.

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Les mères les plus affectueuses et les moins contrôlantes ont une meilleure relation avec leurs enfants

Des chercheurs américains ont analysé des vidéos où des mères et leur enfant interagissaient dans une situation de jeu, lorsque les petits avaient 1 an, 2 ans, 3 ans et 5 ans.

Lorsque les mères avaient une attitude plus directive envers leur enfant, par exemple en ne le laissant pas toucher aux faux éléments du poêle d’une cuisine-jouet, les enfants exprimaient moins d’émotions positives envers leur mère, et plus d’émotions négatives.

Lorsque les mères étaient plus affectueuses, toutefois, les effets négatifs de l’attitude contrôlante étaient diminués.

À un an, les mères d’origine afro-américaine avaient l’attitude la plus directive, suivies par les mères d’origine latino-américaine, puis les mères caucasiennes. Toutes les mères avaient tendance à devenir moins directives à mesure que leur enfant grandissait.

L’auteure de l’étude, Jean Ispa, a expliqué que les mères qui étaient plus directives croyaient qu’elles faisaient bien de corriger leur enfant, mais en fait, elles l’empêchaient plutôt de développer sa créativité et le faisaient moins apprécier leur compagnie, selon ScienceDaily.